Le Bad-Boy

Ce soir-là, je devais sortir avec des amis. Je me préparais lorsque la sonnerie de mon téléphone retentit. C’était un de mes potes au téléphone. Il me demande s’il peut passer ce soir. Etant infirmier, il m’avait demandé, quelques jours après son opération, si je pouvais lui retirer les fils de sa cicatrice. Je lui réponds machinalement que je suis de sortie mais que s’il veut, ma compagne est présente et qu’elle est d’accord pour s’en charger. Intérieurement, je me ravisais me demandant si je ne faisais pas une erreur. Mon pote ne s’était jamais vraiment caché qu’il trouvait ma femme très à son goût et elle, de son côté, elle ne ratait pas une occasion pour me dire que mon pote était très bel homme. L’idée de les laisser seuls ne me remplissait pas de joie mais, il était trop tard, j’avais parlé trop vite. Il acceptait de suite et il me demandait le numéro de ma compagne. Je lui donnais bon gré mal gré et je partais dans la foulée à mon rendez-vous l’esprit préoccupé. A peine dans ma voiture, j’étais pris d’une angoisse et je ne pouvais démarrer. Est-ce que je n’avais pas fait une énorme bêtise ? J’aurais dû lui dire que je n’étais pas disponible et reporter au lendemain mais, il était déjà trop tard pour faire machine arrière et d’ailleurs je voyais à travers ma vitre, mon pote qui se présentait en bas de chez moi. Il n’avait pas perdu de temps celui-là ! Ce n’était pas fait pour me rassurer. Du coup, je sentais une chape de plomb s’abattre sur mes épaules, me sentant incapable de bouger et encore moins de conduire. Je ne pouvais pas partir. Je devais savoir ce qui allait se passer là-haut, chez moi ! J’envisageais le pire et mon esprit n’était habité que par cela. J’appelais mes amis et prétextant un quelconque mal, j’annulais notre rendez-vous. Je sortais de ma voiture et me précipitait littéralement dans mon immeuble. Ne voulant pas être pris en flagrant délit, je montais par les escaliers pour privilégier une approche plus silencieuse et discrète.

Je ne voulais pas que mon pote ou ma femme me voient et se disent que j’avais fait demi-tour pour les surveiller. Passer pour un mec jaloux et subir leurs moqueries, très peu pour moi. Je devais juste en avoir le cœur net. Je les observerais quelques minutes et une fois rassurer, je partirais gardant mon honneur sain et sauf. Avant d’ouvrir la porte de mon appartement, je collais mon oreille dessus. J’entendais leurs voix mais elles étaient éloignées m’indiquant qu’ils étaient très certainement à l’autre bout, dans le salon. J’en profitais pour introduire la clé avec moultes précautions et me glisser dans les lieux. Je laissais la porte légèrement ouverte et me dissimulais rapidement dans le cagibi juste à côté du salon. De là, j’avais un poste d’observation idéal et une cachette éventuelle en cas de problème. Je pouvais apercevoir mon pote affalé sur notre canapé, le t-shirt relevé, présentant sa cicatrice à ma compagne qui s’affairait armée d’une pince et d’un scalpel. La plaie en question balayait le côté gauche en bas de son abdomen sur environ 4 à 5 centimètres.
- « Ne bouge pas ! » lui ordonna-t’elle. « J’ai bientôt fini. »
- « Déjà ? J’ai presque rien senti. Tu es très douce. »
- « Tu rigoles ? Tu n’as pas arrêté de te tortiller. »
- « C’est parce que c’est sensible. » rétorqua-t’il.
- « Ben alors ? Je croyais que tu étais un bad-boy. »
- « J’en suis un mais je suis aussi un mec tendre. »
- « Mouais… » pouffa-t’elle en retirant le dernier point. « Voilà, c’était le dernier « bad boy ! »
- « Tu en doutes ? dit-il en abaissant son t-shirt.
- « Non ! Non ! Non ! Relève-moi ça ! Je n’ai pas terminé ! »
- « Aaaaah… vraiment ? » répondit-il avec un sourire appuyé d’un regard coquin.
- « T’emballe pas ! Je vais juste désinfecter et après tu pourras remballer. »
De mon observatoire, mon sang bouillonnait. Mes soupçons n’étaient pas totalement infondés finalement et je me disais que je n’avais pas eu tort de revenir sur mes pas.
Heureusement, ma compagne semblait décider à calmer les ardeurs de mon pote… pour l’instant. Mon pote avait toujours été un peu « lourd » et j’espérais qu’il ne dépasserait pas le stade de la blague potache.
Elle prit un flacon d’antiseptique et en appliqua sur une compresse qu’elle posa sur la cicatrice. Mon pote esquissa une petite grimace.
- « Tu me trouves toujours aussi douce ? »
- « ça pique un peu. T’es obligée d’appuyer comme ça ? »
- « ça saignait un peu, je comprime quelques minutes « bad boy » »
- « Tu me provoques ? »
- « Non. Tu me fais juste rire. »
- « Si tu continues à mettre tes mains sur moi ainsi et surtout aussi bas, je ne vais pas résister à te prouver que je suis un vrai dur. »
Elle réalisait qu’elle avait posé ses deux mains sur ses flancs, presque à l’orée de son pantalon. Elle les retira comme si elle avait touché du feu et lui dit que c’était bon, qu’il pouvait baisser son t-shirt.
Il ne manquait pas de culot mais jusqu’ici ma femme semblait maintenir la distance. Je décidais donc de ne pas intervenir.
Elle se releva et partit dans la cuisine adjacente pour se laver les mains. Elle semblait troublée et gênée. De retour dans le salon, un silence s’installa et ma femme faisait visiblement semblant de ranger pour ne pas avoir à lui parler.
- « Tu es sûre que ça ne va pas se remettre à ? »
- « Oui. Oui. » balbutia-t’elle.
- « J’ai l’impression que ça saigne à nouveau. Tu devrais comprimer à nouveau. »
- « Tiens ! Tu peux le faire toi-même ! » dit-elle en lui tendant une compresse.
- « C’est toi la soignante. C’est à toi de le faire. Je suis ton patient. »
- « N’ pas. Et puis… tu es un bad-boy, tu t’en sortiras très bien tout seul. »
- « Tu n’arrêtes pas de répéter ça… ça t’obsède on dirait. »
Elle ne répondait pas et se retournait pour ne pas avoir à lui faire face, essayant de masquer sa gêne.
- « J’espère que tu assures le suivi de tes patients.
»
Il s’approchait d’elle.
- « Tu verras ça avec mon homme. »
Il était juste derrière elle.
- « Tu devrais t’assurer que la cicatrice va bien tenir. Qu’il n’y a pas de risque qu’elle s’ouvre à nouveau. »
- « Je… » Elle balbutiait lorsqu’elle sentit qu’il était contre elle et aucun mot ne sortait de sa bouche.
Moi, j’étais médusé et incapable de réagir. J’aurais dû me manifester mais j’en étais incapable.
Il était maintenant collé tout contre elle et l’empoignait fermement par les hanches, se frottant contre ses fesses sans ambiguïté. Leurs respirations se faisaient plus rapides et sonores. J’aurais dû bouger. J’aurais dû les stopper…
Il glissa ses mains sur elle, empoignant ses seins à travers son haut et la caressant à l’envie puis empoigna son visage qu’il tourna vers lui. Même de ma cachette, je pouvais voir sa langue forçant la bouche de ma femme qui finit par lui donner sa langue en retour. Leurs langues se mélangeaient dans des échanges sensuels. Tantôt elle suçait sa langue, tantôt il lui pénétrait la bouche comme si sa langue avait été son sexe. Ma femme avait totalement sombré et elle se cambrait insidieusement, tortillant son cul contre l’entrejambe de mon pote, ce qui ne faisait que l’exciter encore plus. Elle finit par glisser une de ses mains en arrière pour empoigner le sexe de mon pote à travers son pantalon.
Simple spectateur, j’en avais oublié jusqu’à ma propre situation. Je n’étais plus son homme. Je n’étais plus son pote. J’étais un spectateur voyeuriste et le spectacle me faisait bander comme un fou.
Elle ouvrit avec habilité la braguette de mon pote et en sortit son sexe en érection.
- « Tu vas voir ce que c’est le sexe d’un bad-boy ! » lui dit-il dans l’oreille.
Effectivement, il était énorme. Il faisait au moins une bonne vingtaine de centimètres et il semblait particulièrement épais. Ma femme ne le quittait pas des yeux et elle semblait s’en régaler d’avance.
Elle le branlait avec ferveur et mon pote se régalait.
Sa queue était visiblement tendue à l’extrême. Elle alternait lui caressant les bourses puis titillant son gland du bout des doigts.
- « Putain ! Tu sais y faire toi ! Tu sais chauffer un mec ! »
Elle lui adressa un sourire évocateur.
- « Je le savais que tu me cherchais. » ajouta-t’il.
Il la cambra à nouveau et lui baissa son fuseau sans ménagement. Il prit sa queue en main et vint la frotter sur le cul de ma femme, la passant de haut en bas sur sa raie. Ma femme se mit à gémir, se cambrant de plus en plus dans un geste d’invitation des plus explicites. Lui continua à jouer, frottant son gland contre la chatte puis revenant sur le haut des fesses et frottant sa queue et ses couilles contre son cul.
- « Ton cul… J’en rêvais ! »
Visiblement à bout de patience, elle lui prit la queue en main et la dirigea pour s’y empaler, initiant d’elle-même un mouvement de va et vient. Lorsque sa queue s’introduisit en elle, son visage exprima un soulagement et un plaisir intense. Lui ne bougeait pas et laissait ma femme venir s’embrocher d’elle-même sur son sexe.
Elle continua ce petit jeu quelques minutes avant que mon pote ne reprenne l’ascendant. Il l’attrapa par et la bloqua contre lui.
- « Ralentit… Tu vas me faire jouir trop vite. Je veux en profiter »
- « Mais vas-y ! Ne t’inquiète pas. Il va rentrer tard. Je suis tout à toi ! Jouis autant que tu veux ! »
Mon pote ne se fit pas supplier. Il l’a cambra à nouveau, agrippant fermement ses fesses pour la baiser avec vigueur tout en la gratifiant de petits saillies verbales.
- « T’aime ma queue de bad-boy ? »
- « Ouiiiii ! »
- « Tu aimes ça hein ? Hein ? Tu aimes que je te baise ?»
N’obtenant pas de réponse, il continua.
- « Tu veux que je te remplisse hein ? Tu as envie que j’éjacule en toi pas vrai ? »
- « Ouiiiii ! Vas-y ! »
- « Je vais te remplir avec mon foutre petite salope ! »
- « Ouiiiii »
- « Tu vas sentir mon sperme chaud en toi ! Je vais te féconder ma belle !»
- « Ouiiiiiii ! Vas-y ! Je veux le sentir ! »
Il accéléra de plus belle faisant claquer les fesses de ma femme à chaque coup de rein puissant. Je pouvais voir ses couilles tapant sur le fondement de ma compagne qui ruisselait de désir. Elle glissa sa main entre ses jambes pour se saisir de ses bourses et les caresser.
- « Tu sens comme elles sont pleines ? »
- « Pas pour longtemps… »
- « T’inquiète, j’ai de quoi te satisfaire. »
- « Hummmmmm… »
Il la releva, la plaquant contre lui en l’enserrant de ses bras. Il lui empoigna les cheveux d’une main tout en tenant son bassin de l’autre. Il la ramonait sauvagement.
- « Putain ! T’aime vraiment ça ! Tu mouilles comme une petite chienne ! »
Il lui claqua les fesses.
- « T’avais vraiment besoin d’un bon coup de bite ma salope ! Te faire baiser par un vrai mâle ! »
Elle se tourna pour lui adresser un regard soumis et suppliant.
- « Je vais te défoncer toute la soirée ! Tu veux ? »
Elle hocha la tête.
- « Je vais te remplir la chatte, te marquer de mon foutre et tu seras à moi dorénavant. Ok ? »
Il continua.
- « Tu peux encore dire non si tu veux. Tu peux m’arrêter. »
- « Non… Baise-moi ! Baise-moi fort ! Je suis à toi ! Jouis ! »
- « Tu es à moi compris ? »
- « Oui… Jouis en moi. Jouis dans ma chatte ! Elle est à toi ! »
Mon pote finit par se raidir dans un orgasme qui sembla durer une éternité, laissant échapper des râles de plaisir.
- « Putaiiiiiiin ! Que c’est bon… Je vais te mettre une sacrée dose !
Je n’osais imaginer la quantité de sperme qui devait sortir de sa queue pour venir se déverser dans le vagin de ma femme et le remplir. Elle semblait au comble du ravissement et affichait un sourire plus que satisfait. Il fit mine de se retirer mais elle le supplia.
- « Non ! Reste encore un peu ! Je sens ta queue qui se contracte encore. J’aime la sentir. »
Il n’était pas difficile d’imaginer que sa queue déversait encore quelques gouttes de foutre dans la chatte de ma femme qui en redemandait.
- « Pas de gâchis avec toi. Tu veux tout ! T’es une vraie gourmande ! »
Elle finit par se retirer d’elle-même laissant échapper un flot de semence qui se déversa sur le sol. Il n’avait pas menti. Il l’avait effectivement rempli. Elle se retourna pour lui faire face et se greffa à son coup, bouche ouverte, lui offrant sa langue. Il s’en empara avec avidité, lui soutirant des gémissements de plaisir.

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