Le Bad-Boy
Ce soir-là, je devais sortir avec des amis. Je me préparais lorsque la sonnerie de mon téléphone retentit. Cétait un de mes potes au téléphone. Il me demande sil peut passer ce soir. Etant infirmier, il mavait demandé, quelques jours après son opération, si je pouvais lui retirer les fils de sa cicatrice. Je lui réponds machinalement que je suis de sortie mais que sil veut, ma compagne est présente et quelle est daccord pour sen charger. Intérieurement, je me ravisais me demandant si je ne faisais pas une erreur. Mon pote ne sétait jamais vraiment caché quil trouvait ma femme très à son goût et elle, de son côté, elle ne ratait pas une occasion pour me dire que mon pote était très bel homme. Lidée de les laisser seuls ne me remplissait pas de joie mais, il était trop tard, javais parlé trop vite. Il acceptait de suite et il me demandait le numéro de ma compagne. Je lui donnais bon gré mal gré et je partais dans la foulée à mon rendez-vous lesprit préoccupé. A peine dans ma voiture, jétais pris dune angoisse et je ne pouvais démarrer. Est-ce que je navais pas fait une énorme bêtise ? Jaurais dû lui dire que je nétais pas disponible et reporter au lendemain mais, il était déjà trop tard pour faire machine arrière et dailleurs je voyais à travers ma vitre, mon pote qui se présentait en bas de chez moi. Il navait pas perdu de temps celui-là ! Ce nétait pas fait pour me rassurer. Du coup, je sentais une chape de plomb sabattre sur mes épaules, me sentant incapable de bouger et encore moins de conduire. Je ne pouvais pas partir. Je devais savoir ce qui allait se passer là-haut, chez moi ! Jenvisageais le pire et mon esprit nétait habité que par cela. Jappelais mes amis et prétextant un quelconque mal, jannulais notre rendez-vous. Je sortais de ma voiture et me précipitait littéralement dans mon immeuble. Ne voulant pas être pris en flagrant délit, je montais par les escaliers pour privilégier une approche plus silencieuse et discrète.
- « Ne bouge pas ! » lui ordonna-telle. « Jai bientôt fini. »
- « Déjà ? Jai presque rien senti. Tu es très douce. »
- « Tu rigoles ? Tu nas pas arrêté de te tortiller. »
- « Cest parce que cest sensible. » rétorqua-til.
- « Ben alors ? Je croyais que tu étais un bad-boy. »
- « Jen suis un mais je suis aussi un mec tendre. »
- « Mouais
» pouffa-telle en retirant le dernier point. « Voilà, cétait le dernier « bad boy ! »
- « Tu en doutes ? dit-il en abaissant son t-shirt.
- « Non ! Non ! Non ! Relève-moi ça ! Je nai pas terminé ! »
- « Aaaaah
vraiment ? » répondit-il avec un sourire appuyé dun regard coquin.
- « Temballe pas ! Je vais juste désinfecter et après tu pourras remballer. »
De mon observatoire, mon sang bouillonnait. Mes soupçons nétaient pas totalement infondés finalement et je me disais que je navais pas eu tort de revenir sur mes pas.
Elle prit un flacon dantiseptique et en appliqua sur une compresse quelle posa sur la cicatrice. Mon pote esquissa une petite grimace.
- « Tu me trouves toujours aussi douce ? »
- « ça pique un peu. Tes obligée dappuyer comme ça ? »
- « ça saignait un peu, je comprime quelques minutes « bad boy » »
- « Tu me provoques ? »
- « Non. Tu me fais juste rire. »
- « Si tu continues à mettre tes mains sur moi ainsi et surtout aussi bas, je ne vais pas résister à te prouver que je suis un vrai dur. »
Elle réalisait quelle avait posé ses deux mains sur ses flancs, presque à lorée de son pantalon. Elle les retira comme si elle avait touché du feu et lui dit que cétait bon, quil pouvait baisser son t-shirt.
Il ne manquait pas de culot mais jusquici ma femme semblait maintenir la distance. Je décidais donc de ne pas intervenir.
Elle se releva et partit dans la cuisine adjacente pour se laver les mains. Elle semblait troublée et gênée. De retour dans le salon, un silence sinstalla et ma femme faisait visiblement semblant de ranger pour ne pas avoir à lui parler.
- « Tu es sûre que ça ne va pas se remettre à ? »
- « Oui. Oui. » balbutia-telle.
- « Jai limpression que ça saigne à nouveau. Tu devrais comprimer à nouveau. »
- « Tiens ! Tu peux le faire toi-même ! » dit-elle en lui tendant une compresse.
- « Cest toi la soignante. Cest à toi de le faire. Je suis ton patient. »
- « N pas. Et puis
tu es un bad-boy, tu ten sortiras très bien tout seul. »
- « Tu narrêtes pas de répéter ça
ça tobsède on dirait. »
Elle ne répondait pas et se retournait pour ne pas avoir à lui faire face, essayant de masquer sa gêne.
- « Jespère que tu assures le suivi de tes patients.
Il sapprochait delle.
- « Tu verras ça avec mon homme. »
Il était juste derrière elle.
- « Tu devrais tassurer que la cicatrice va bien tenir. Quil ny a pas de risque quelle souvre à nouveau. »
- « Je
» Elle balbutiait lorsquelle sentit quil était contre elle et aucun mot ne sortait de sa bouche.
Moi, jétais médusé et incapable de réagir. Jaurais dû me manifester mais jen étais incapable.
Il était maintenant collé tout contre elle et lempoignait fermement par les hanches, se frottant contre ses fesses sans ambiguïté. Leurs respirations se faisaient plus rapides et sonores. Jaurais dû bouger. Jaurais dû les stopper
Il glissa ses mains sur elle, empoignant ses seins à travers son haut et la caressant à lenvie puis empoigna son visage quil tourna vers lui. Même de ma cachette, je pouvais voir sa langue forçant la bouche de ma femme qui finit par lui donner sa langue en retour. Leurs langues se mélangeaient dans des échanges sensuels. Tantôt elle suçait sa langue, tantôt il lui pénétrait la bouche comme si sa langue avait été son sexe. Ma femme avait totalement sombré et elle se cambrait insidieusement, tortillant son cul contre lentrejambe de mon pote, ce qui ne faisait que lexciter encore plus. Elle finit par glisser une de ses mains en arrière pour empoigner le sexe de mon pote à travers son pantalon.
Simple spectateur, jen avais oublié jusquà ma propre situation. Je nétais plus son homme. Je nétais plus son pote. Jétais un spectateur voyeuriste et le spectacle me faisait bander comme un fou.
Elle ouvrit avec habilité la braguette de mon pote et en sortit son sexe en érection.
- « Tu vas voir ce que cest le sexe dun bad-boy ! » lui dit-il dans loreille.
Effectivement, il était énorme. Il faisait au moins une bonne vingtaine de centimètres et il semblait particulièrement épais. Ma femme ne le quittait pas des yeux et elle semblait sen régaler davance.
Elle le branlait avec ferveur et mon pote se régalait.
- « Putain ! Tu sais y faire toi ! Tu sais chauffer un mec ! »
Elle lui adressa un sourire évocateur.
- « Je le savais que tu me cherchais. » ajouta-til.
Il la cambra à nouveau et lui baissa son fuseau sans ménagement. Il prit sa queue en main et vint la frotter sur le cul de ma femme, la passant de haut en bas sur sa raie. Ma femme se mit à gémir, se cambrant de plus en plus dans un geste dinvitation des plus explicites. Lui continua à jouer, frottant son gland contre la chatte puis revenant sur le haut des fesses et frottant sa queue et ses couilles contre son cul.
- « Ton cul
Jen rêvais ! »
Visiblement à bout de patience, elle lui prit la queue en main et la dirigea pour sy empaler, initiant delle-même un mouvement de va et vient. Lorsque sa queue sintroduisit en elle, son visage exprima un soulagement et un plaisir intense. Lui ne bougeait pas et laissait ma femme venir sembrocher delle-même sur son sexe.
Elle continua ce petit jeu quelques minutes avant que mon pote ne reprenne lascendant. Il lattrapa par et la bloqua contre lui.
- « Ralentit
Tu vas me faire jouir trop vite. Je veux en profiter »
- « Mais vas-y ! Ne tinquiète pas. Il va rentrer tard. Je suis tout à toi ! Jouis autant que tu veux ! »
Mon pote ne se fit pas supplier. Il la cambra à nouveau, agrippant fermement ses fesses pour la baiser avec vigueur tout en la gratifiant de petits saillies verbales.
- « Taime ma queue de bad-boy ? »
- « Ouiiiii ! »
- « Tu aimes ça hein ? Hein ? Tu aimes que je te baise ?»
Nobtenant pas de réponse, il continua.
- « Tu veux que je te remplisse hein ? Tu as envie que jéjacule en toi pas vrai ? »
- « Ouiiiii ! Vas-y ! »
- « Je vais te remplir avec mon foutre petite salope ! »
- « Ouiiiii »
- « Tu vas sentir mon sperme chaud en toi ! Je vais te féconder ma belle !»
- « Ouiiiiiii ! Vas-y ! Je veux le sentir ! »
Il accéléra de plus belle faisant claquer les fesses de ma femme à chaque coup de rein puissant. Je pouvais voir ses couilles tapant sur le fondement de ma compagne qui ruisselait de désir. Elle glissa sa main entre ses jambes pour se saisir de ses bourses et les caresser.
- « Tu sens comme elles sont pleines ? »
- « Pas pour longtemps
»
- « Tinquiète, jai de quoi te satisfaire. »
- « Hummmmmm
»
Il la releva, la plaquant contre lui en lenserrant de ses bras. Il lui empoigna les cheveux dune main tout en tenant son bassin de lautre. Il la ramonait sauvagement.
- « Putain ! Taime vraiment ça ! Tu mouilles comme une petite chienne ! »
Il lui claqua les fesses.
- « Tavais vraiment besoin dun bon coup de bite ma salope ! Te faire baiser par un vrai mâle ! »
Elle se tourna pour lui adresser un regard soumis et suppliant.
- « Je vais te défoncer toute la soirée ! Tu veux ? »
Elle hocha la tête.
- « Je vais te remplir la chatte, te marquer de mon foutre et tu seras à moi dorénavant. Ok ? »
Il continua.
- « Tu peux encore dire non si tu veux. Tu peux marrêter. »
- « Non
Baise-moi ! Baise-moi fort ! Je suis à toi ! Jouis ! »
- « Tu es à moi compris ? »
- « Oui
Jouis en moi. Jouis dans ma chatte ! Elle est à toi ! »
Mon pote finit par se raidir dans un orgasme qui sembla durer une éternité, laissant échapper des râles de plaisir.
- « Putaiiiiiiin ! Que cest bon
Je vais te mettre une sacrée dose !
Je nosais imaginer la quantité de sperme qui devait sortir de sa queue pour venir se déverser dans le vagin de ma femme et le remplir. Elle semblait au comble du ravissement et affichait un sourire plus que satisfait. Il fit mine de se retirer mais elle le supplia.
- « Non ! Reste encore un peu ! Je sens ta queue qui se contracte encore. Jaime la sentir. »
Il nétait pas difficile dimaginer que sa queue déversait encore quelques gouttes de foutre dans la chatte de ma femme qui en redemandait.
- « Pas de gâchis avec toi. Tu veux tout ! Tes une vraie gourmande ! »
Elle finit par se retirer delle-même laissant échapper un flot de semence qui se déversa sur le sol. Il navait pas menti. Il lavait effectivement rempli. Elle se retourna pour lui faire face et se greffa à son coup, bouche ouverte, lui offrant sa langue. Il sen empara avec avidité, lui soutirant des gémissements de plaisir.
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