Soumise
Lorsque je me suis mariée à vingt ans avec le fils dun couple damis de mes parents plus vieux de quatre ans, je ne connaissais pas grand choses en matière de sexe.
Au lycée, javais un peu flirté avec des copains puis lors dune soirée danniversaire, lun deux avait pris mon pucelage avec beaucoup de douceur. Jai couché avec lui à plusieurs reprises avant mon mariage mais, bien quil sache sy prendre pour me faire lamour, je nétais pas trop attirée par les choses du sexe. Cela a continué avec mon mari avec qui je remplissais mon devoir conjugal (comme dit lexpression) sans grand enthousiasme. Nos rapports se sont progressivement espacés jusquà ce que je sois enceinte de notre premier .
Cest après laccouchement que ma vie sexuelle a basculé. Serge, mon mari à qui javais refusé tout contact depuis plusieurs mois, est arrivé un vendredi soir dans notre chambre où je venais de me mettre au lit après mêtre occupée de notre fille. Sur le moment, je nai pas compris pourquoi il avait avec lui les ceintures de nos peignoirs de bain. Il sest penché sur moi et ma embrassée amoureusement en me prenant dans ses bras. Je me laissais faire en disant que jexagérais de me refuser encore une fois.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsquil a attaché mes poignets au montant du lit. Je ne pouvais plus le repousser. Ensuite, il a ouvert brusquement ma nuisette, larrachant à moitié pour venir peloter mes seins gonflés par le lait maternel, les embrasser en mordillant les tétons.
Il était doux et violent à la fois. Puis il a rejeté les draps en montant sur le lit. Dun geste énergique il a écarté mes jambes, ouvrant mon compas au large. Il a mis une main sur ma chatte, faisant aller deux doigts dans ma fente. Immédiatement jai senti que mon sexe shumidifiait alors que dhabitude, il fallait de longs préliminaires pour arriver au même résultat.
En levant la tête jai vu que sa bite était dressée, dure, impérieuse.
Alors que je ne my attendais pas (et je nai rien pu contrôler) ma jouissance est arrivée, soudaine, violente comme je nen avais jamais connu.
Sans avoir joui, Serge sest retiré. Son sexe était toujours aussi triomphant. Il a détaché mes poignets pour me faire mettre en levrette, nouant à nouveau les ceintures pour emprisonner mes avant bras. Une fois encore jétais à sa merci. Je lui dis :
Pas comme çà ! Tu exagères !
Si ! Tu vas voir ! Je vais te baiser comme une chienne ! Tu mas trop fait attendre !
Comme je tentais déchapper à la pénétration en descendant le plus bas possible, il a commencé à me donner des grandes claques sur les fesses en me disant que jallais comprendre et que désormais je devrais me conduire en femme soumise.
Oulla ! Cela chauffait mes fesses. Elles devaient être rouges vif. Au début je mordais mes lèvres pour ne pas crier mais sous lavalanche de claques, je nen pouvais plus. Jai relevé mes hanches pour venir au devant de sa bite en disant darrêter et quil pouvait faire ce quil voulait.
Au lieu de me prendre brusquement comme la première fois, il sest introduit lentement dans ma chatte humide et chaude comme jamais elle ne lavait été. En même temps, il cajolait mes fesses en les massant. Après la douleur des claques, javais droit à la douce caresse de ses mains. Il me pénétrait lentement, attentif à mes réactions, il me baisait comme je ne lavais jamais été puisque nous baisions habituellement dans la position des plus classique quest celle du missionnaire ! Notre plaisir mutuel est arrivé. Jai joui comme une folle quand jai senti son sperme jaillir au fond de ma chatte.
Une semaine plus tard au moment de nous coucher, il a sorti un paquet cadeau de sous le lit en me disant de louvrir. Il ny avait pas de circonstance particulière et jétais étonnée.
Il me dit sèchement sur un ton qui ne laissait place à une quelconque hésitation :
Ouvre !
Je me suis exécutée immédiatement en repensant à la fessée de lautre jour. Cest là que jai trouvé des jouets qui allaient me faire découvrir des facettes dune sexualité que je ne soupçonnais même pas. Il y avait deux paires de menottes entourées de tissus doux, deux sexes factices, des pinces, des bracelets, une poire dangoisse et encore bien dautres choses. Bref tout un attirail. Devant mon regard étonné Serge ma dit :
Puisque tu as semblé apprécier dêtre fessée la semaine précédente et que tu as bien joui, tout cela est destiné à faire de toi une femme soumise sexuellement à mes envie et caprices.
Reprenant les ceintures de peignoirs et les menottes, il ma attachée, nue, les yeux bandés, les bras et les jambes en croix sur le lit avant de me bâillonner. Prenant un plumeau il a commencé à agacer les pointes de mes seins, le creux de laine et la fourche de mes cuisses, le dessous de mes pieds. Que cette caresse était douce, je sentais la cyprine inonder ma chatte, je passais par des alternatives de chaleur et de frissons mais je ne pouvais rien dire sauf à soupirer daise.
Il ma ensuite détachée et fait mettre à plat ventre et de nouveau entravée comme au début de la soirée pour continuer à me caresser de la même manière entre les épaules, au creux des reins, entre les fesses ouvertes par la position. Mais soudain jai eu un sursaut de douleur, après la douceur des plumes, Serge venait de me cingler les fesses dun coup de badine. Et les coups, heureusement pas encore trop appuyés, ont commencé à pleuvoir du bas de mes reins jusquà mi-cuisses.
Aussi soudainement, la caresse avec les plumes a repris entrecoupée de baisers humides sur mes parties endolories par la badine.
Viens, baise-moi fort ! Je suis à toi !
Dune seule poussée lente, Serge ma pénétrée, son pubis venant au contact de mes fesses sur lesquelles je sentais encore la chaleur des coups de badine. Cette nuit là, nous avons baisé trois fois et quelle jouissance de se sentir ainsi dominée, au service du plaisir de mon seigneur et MAITRE.
Chaque fois que nous allions faire lamour, je me demandais ce que mon mari allait inventer de nouveau pour me soumettre encore un peu plus. Mes seins, pleins de mon lait, ont fait connaissance avec de pinces. Oulla que cétait douloureux au début et lorsquelles étaient retirées.
Ma chatte a été pénétrée par les godes maniés par Serge puis cest moi qui ait été obligée de me masturber ainsi devant lui mais là, je ne devais pas atteindre la jouissance. Cétait réservé à mon MAITRE qui achevait ainsi ce que javais commencé.
Ensuite, il me baisait plusieurs fois de suite dans différentes positions. Au bout dune année, javais subi tous les supplices imaginés par mon mari mais quelle jouissance déferlait en moi lorsque celle-ci memportait.
Mes habitudes vestimentaires ont changé. Au lieu des dessous classiques, jai commencé à sa demande à porter des strings, des soutiens-gorges demi bonnet ou même avec les bonnets percés pour bien présenter mes tétons qui, après lallaitement et les étirements avec les pinces, avaient atteint la taille dune olive.
Lorsque je portais un pullover ou un chemisier de soie, le contact mexcitait au plus haut point et javais la chatte humide.
Je mhabillais plus court aussi, jétais fière de montrer mon corps moulé dans des vêtements ajustés.
Serge était fier du travail accompli pour révéler les facettes sexuelles cachées de ma personnalité allant jusquà me faire accepter la sodomie.
Mais ce nétait pas tout.
Son travail de soumission nétait pas encore totalement achevé. Depuis quelques temps, par des insinuations, il suggérait quêtre soumis ou soumise à une personne étrangère devait être excitant.
Je nétais pas très chaude pour ce genre dexpérience mais, soumise désormais, jacceptai quune tierce personne intervienne.
Cependant, je posais des conditions : si cétait un homme, pas question quil me fasse lamour. Nous avons cherché sur la toile une MAITRESSE qui accepterait de venir chez nous. Ce ne fut pas facile car la plupart officiaient chez elles en ayant à portée de mains tous les objets nécessaires. Finalement nous avons trouvé celle qui nous conviendrait en la personne de « Démonia ».
Elle avait exigé que je sois nue intégralement, jai donc cherché et trouvé un institut de soins corporels qui accepte de me raser les poils du pubis.
Serge ma prise en photo et la lui a envoyée.
Le rendez vous a été pris pour le vendredi suivant : Nous avions confié notre fille à sa nounou habituelle en prétextant des obligations le vendredi soir
Vers 22 heures, elle est arrivée vêtue de noir de la tête aux pieds, le visage totalement masqué, seuls les yeux et la bouche aux lèvres fines et serrées apparaissaient dans les orifices de la cagoule. Elle portait un collier, des bracelets et une ceinture de cuir noir cloutés, des cuissardes noires également avec de hauts talons. Très grande et fortement charpentée, elle avait des seins volumineux et des hanches larges. Elle portait une petite valise de cuir noir dans laquelle il sest avéré quelle transportait divers accessoires. Dun ton sec elle nous dit daller dans notre chambre et de nous mettre nus tous les deux. Serge, un peu surpris car il ne faisait pas partie du plan, sexécuta lui aussi. Nous devions lattendre à genoux de part et dautre du lit où nous avions disposé tous nos jouets. Lorsquelle est arrivée dans la chambre, elle y a jeté un coup dil.
Bien ! Cela suffira !
Elle avait avec elle une cravache et un fouet au manche court quelle fit siffler à nos oreilles. Elle ma ordonné de me coucher sur le lit en demandant à Serge de mentraver. En moins dune minute, je fus à sa merci, impossible de faire quoique ce soit pour échapper à ce qui mattendait. Elle sapprocha de moi et brutalement elle pinça mes tétons, faisant jaillir des larmes dans mes yeux tellement jai eu mal. Je nai pas pu réprimer un cri.
Fais la taire ! Ferme-lui son clapet !
Pendant que Serge me passait la poire dangoisse, elle lui cingla plusieurs fois les fesses avec la cravache en lui reprochant de ne pas mavoir appris le silence. De sa main libre elle continuait à malaxer durement mes seins avant de descendre jusquà mon pubis glabre et dintroduire brutalement deux doigts dans mon vagin encore sec tellement jétais crispée.
Notre supplice a duré plus dune heure.
Serge na pas été épargné, il a subi diverses flagellations au fouet ou avec la cravache.
Elle lui a emprisonné les couilles dans un anneau pour lempêcher déjaculer. Son cul, comme le mien, a lui aussi été maltraité : Elle y a introduit lun de nos godes.
Dans le mien, après y avoir injecté du gel, elle a introduit un Plug de taille respectable. Javais limpression dêtre remplie jusquà lestomac.
Lorsquelle a été satisfaite de ce quelle nous avait fait endurer, elle sallongea sur le lit en ouvrant le zip de son entrejambe en disant :
Pendant que ton mari va tenculer, tu vas me lécher la chatte pour me faire jouir, jai mérité ma récompense !
Serge et moi nous nous sommes placés comme elle le demandait. Quelques temps plus tard, une jouissance commune nous submergeait. Alors que je navais jamais eu de rapports saphiques, javais obéi sans rien dire et mon antre secret avait reçu la visite du sexe de mon mari pour la première fois.
Désormais jétais totalement soumise à mon SEIGNEUR et MAITRE. Il pouvait faire de moi ce quil voudrait.
Mais ceci est une autre histoire
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