Damien Vi

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. Les doigts ont quitté ma raie. La main est sortie de mon pantalon qu’il avait remonté, mais mon slip est resté bloqué sous mes fesses. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place ou se déroulait le spectacle.
Les mains ont fouillé dans mes cheveux et ôter l’élastique qui les retenait en queue de cheval. Khaled les a étalés sur mes épaules.
- T’es mieux comme ça. Cheveux longs et pantalon de courtisane. Ils vont aimer nos nouveaux amis.
Je n’ai pas eu le temps de réagir quand, d’un mouvement rapide, il m’a baissé le pantalon sous les fesses. Complètement paniqué, j’ai sursauté. J’avais le cul à l’air au milieu de cette foule compacte qui me collait de toute part. C’était complètement dingue.
Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d'être surpris. Les deux arabes les plus proches de nous, ont certainement vu mon cul à l’air. Khaled m’a remonté le pantalon aussi rapidement qu’il l’avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais de peur.
- Je veux qu’ils voient ton petit cul de salope. Même dans le noir on peut voir tes fesses toutes blanches. Tu devrais bronzer à poil. Dommage que c’est interdit chez nous. C’est aussi interdit de montrer son cul en pleine ville. Trop de risques.
Le regret dans sa voix m’a paniqué. Je sais qu’il était capable de tout.
Un des mecs a parlé et l’autre a ajouté quelques mots. Khaled leur a répondu. La discussion s’est engagée entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient, mais je me doutais bien que je faisais partie de cette discussion.
Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir.
- Ils veulent encore voir la marchandise.
- Non Khaled. S’il te plaît arrête ! On risque de se faire prendre.


- Ta gueule Damia ! Tu décides de rien ! On va encore leur monter tes petites fesses bien rondes.
Les autres ont entendu le prénom féminin et on sourit d’un air de connivence. Khaled a de nouveau baissé l’arrière de mon pantalon. Cela duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu.
Les deux arabes n’ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d’envie. Je n’arrivais plus à voir ou étaient Sylvie et Mourad. A nouveau des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle.
- Il dit que tu as de très belles fesses.... Hautes et musclées.
Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu’il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Sylvie et Mourad. Khaled me parle a l’oreille
- Ils ont envie de te niquer. Ils disent qu’avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup pour leurs zobs.
Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon cœur bat la chamade et je tremble. J’ai un mouvement de révolte. Pourtant je n’arrive pas à lui faire part de mon refus. Il me traite comme un objet, comme son objet et c’est cela qui me trouble et me rends aussi passif. Nous nous regardons. Il sourit.
- J’ai bien envie de leur dire que je suis d’accord pour leur prêter ton cul.
- Non ! Non Khaled ! S’il te plaît....
- Ta gueule ! Tu fais ce que je te dis ! Et puis d’abord pourquoi je leur refuserai. Je sais que tu aimes ça, je le vois dans tes yeux.
- Non je veux pas. S’il te plaît....
- T’as rien à vouloir.
Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d’avance avec Khaled. Pour lui, j’étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j’étais sa pute.
……………………..
La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip dans le linge sale de Sylvie.
Ce jour-là, il était de mauvais poil, agressif et dur, le geste brusque et nerveux. Il a pris le slip dans sa main et l’a serré de toutes ses forces.
- Qu’est que tu attends pour te foutre à poil.
Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. D’un air méchant, et m’a jeté le slip au visage.
- De dos avec son slip j’aurai l’impression de la baiser elle. Tu lui ressembles avec tes cheveux longs et ta taille fine.
J’ai compris qu’il se passait quelque chose entre ma copine et lui et qu’il voulait se venger avec moi. Il m’était impossible d’accepter ce qu’il me demandait et j’ai osé refuser et lui tenir tête. Il est entré dans une rage folle et m’a giflé violemment avant de se jeter sur moi.
Nous nous sommes battu, mais je ne faisais pas le poids. J’ai appris à mes dépends qu’il pratiquait couramment les arts martiaux. D’une clef très douloureuse, il m’a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et bras tordu dans le dos, à la limite de la cassure.
- Je vais te faire obéir moi. On ne discute pas avec moi. Tu n’es qu’une poule mouillée qui mérite une bonne punition. Je ne sais vraiment ce que ta copine te trouve…
Il m’a alors donné une fessée magistrale. Il avait une force redoutable et il m’a assené une volée de claques sur les fesses qui m’a fait pleurer de douleur et il a continué jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. On devait entendre mes cris dans tout l’immeuble. Je m’en fichais. J’avais trop mal aux fesses.
- C’est pas fini le français. Il faut que tu le demandes poliment.
Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers. J’ai crié, puis l’ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu’il voulait. Il m’a frappé les couilles. La douleur a irradié dans mon cerveau. Me bloquant la respiration.
- La prochaine fois que tu refuses de faire ce qu’on te dit. Voilà ce qu’on te fera.
Les fatmas; elles n’ont pas besoin de couilles.
Un autre coup sur mes couilles. La douleur était intolérable. Il m’a lâché. J’ai mis de longues secondes à récupérer. J’avais du mal à récupérer mon souffle.
- Allez, Tu le mets ou je recommence.
En pleurant et reniflant, j’ai mis le slip de dentelle. Mes fesses me brûlaient. Je titubais et mes couilles douloureuses n’arrivaient pas à se loger dans l’empiècement.
- Penches toi et tends bien ton cul.
Je lui ai présenté mes fesses rougies enserrées dans la dentelle noire. Mes fesses me cuisaient. Je me suis cambré au maximum en appui sur le lavabo.
- Chez nous, les femmes elles obéissent en se taisant.
Il a écarté le fonds du slip, dévoilant ma raie.
- Mets-toi de la salive sinon je te niques à sec
J’ai craché dans ma main pour m’enduire la raie. Je l’ai fait plusieurs fois de suite jusqu'à ce que je n’aie plus de salive.
Avec ses pouces, Il a ouvert largement mes fesses au niveau de mon anus et son gland s’est collé contre mon trou mouillé.
- Je t’ai déjà dit de te raser la raie. T’as intérêt à le faire. Et la prochaine fois, tu t'essuieras mieux quand tu chies. On n’aime pas les gens sales chez nous. Il faut que tu sois absolument propre avec nous compris.
Cette humiliation de plus a été un nouveau coup de poignard pour moi. J’ai pleuré comme un gamin. Cela l’a fait rire.
- Allez Damia, recule, c’est toi qui va te niquer tout seul… Toute seule
J’ai dû tortiller mon cul pour m’empaler sur son sexe tendu. Il m’a laissé faire et j’ai lentement reculé. Mon anus s’est ouvert sans trop de difficultés. La douleur était supportable. Je sentais son sexe écarter ma corolle. Le gland est passé sans problème. Puis la tige épaisse est entrée. Mon ventre se gonflait. Je continuais de reculer malgré la douleur qui se réveillait.
- Continues. je veux que tu te la plante jusqu’aux couilles.
J’ai reculé d’un coup. Tout est entré et mes fesses se sont collées contre son pubis.
J’ai serré les dents. Il était gros et dur dans mes entrailles.
- Tu vois quand tu veux. Vas y, Damia bouges bien ton cul. Plus vite ! Vas-y ma salope française, tortille ton cul de poufiasse sur mon zob.
Mon cul s’est ouvert autour de son sexe très épais. C’est moi qui m’enculais et j’allais de plus en plus vite. J’ai redressais mon visage vers le plafonds en gémissant doucement. Mais pas de douleur.
Son sexe occupait tout mon ventre et tapait tout au fonds de mes intestins. Mon trou béant l’avalait sans difficulté et la salive jouait parfaitement son rôle de lubrifiant.
J’ai reculé vers sa bitte jusqu'à ce que ses couilles frappent les miennes. Je me cambrais au mieux pour lui tendre mes fesses toujours enveloppées du slip de Sylvie. Je sentais parfaitement le sexe coulisser en moi.
- Allez encules toi mieux que ça. Vas plus vite ! Plus vite, sinon c’est encore une fessée. C’est dommage que tu peux pas voir la taille de ton trou autour de mon zob. Plus vite salope ! Ca vient.... Vas-y Kahba.
Il parlait fort comme pour être entendu de l’extérieur. Il m’a tiré de toutes ses forces contre son bas ventre et a jouis dans mes entrailles dévastées. Mon cul s’est rempli de son jus chaud. Il m’a caressé les fesses.
- C’est bien t’es devenu une bonne putain.
Il a pratiquement crié la phrase et j’ai entendu des voix dans la cour intérieure de l’immeuble.
Son pieux a libéré mon trou gluant. Il l’a essuyé contre le slip de Sylvie que je portais toujours. Je me suis redressé en ayant encore l’impression d’avoir son sexe en moi.
Il m’a regardé méchamment. Il a lentement remonté son pantalon. Sa bitte toujours tendue, sortait de sa braguette ouverte. Il a ôté sa ceinture de pantalon qu’il a brandit vers moi.
- La prochaine fois que tu nous désobéis, c’est avec la ceinture que je te corrige et on raconte tout à Sylvie. Baisse les yeux quand je te parle.
J’ai obéis. Je me sentais misérable, sale dans la tête et ridicule, uniquement accoutré du slip de ma copine, le cul ouvert et dégoulinant. En plus je savais qu’il y avait du monde dans l'immeuble et qu’ils avaient dû entendre et comprendre ce qui se passait.
Kalhed s’est approché de moi pour mettre son ceinturon autour de mon cou. Il a tiré vers le bas.
- D'après Mourad, tu fais très bien la fellation. C’est un plaisir rare. A genoux ! Tu vas me montrer comment tu te débrouilles… Vite ! Sinon gares à tes fesses.
Des exclamations étouffées devant la porte de la chambre. Je suis tombé a genoux devant lui. Son sexe maculé de traces luisait devant mes yeux. Une très forte odeur s’en dégageait et me soulevait le cœur. La peau brune tendue et luisante, était couverte de taches brunes ou blanches.
- Ouvres ta bouche. Bien grande. Nettoie, j’aime pas avoir le zob sale. Allez nettoies ta merde. Et la prochaine fois tu devras avoir le cul bien propre et rasé.
On parlait à voix basse derrière la porte. J’ai ouvert la bouche, pour sucer la bitte sale de ce jeune arabe. J’étais en train de bouffer ma merde et son sperme, alors que des inconnus derrière une porte devinaient ce qui se passait dans la chambre. J’avais envie de vomir ou de disparaître de la surface de la terre.
Et pourtant, je bandais et je ne pouvais pas le lui cacher puisque le slip de ma copine était trop petit pour cacher mon sexe dur. J’ai découvert l’odeur et le goût de mon intimité en léchant le gland baveux et la hampe tachée.
- Rappelle-toi. La prochaine fois, le cul propre à l’intérieur et à l'extérieur et la raie bien rasée. Sinon on te fait bouffer ta merde. Allez bois jusqu'au la dernière goutte. Allez Damia avales bien toute la jute de ton mâle.
A partir de ce jour, je ne me suis plus rebellé et ai exécuté toutes leurs envies de plus en plus dominatrices.
…………………..
Le spectacle de tous ses chevaux caracolant sur la place était splendide. Mais je n’y faisais pas attention.
- Allez viens... Suis-moi....
Nous avons fendu la foule toujours aussi enthousiaste avec beaucoup de difficultés. Les deux autres arabes nous ont emboîté le pas. Nous avons réussi à quitter la place.
De nombreuses ruelles. Pas d’éclairage. Un bon quart d’heure de marche. C’est un des deux inconnus qui nous guide. On stoppe devant une porte très étroite dans une venelle étroite et très sombre. L’inconnu l’ouvre et parle a Khaled. Nous entrons. Le mec ferme à clef derrière nous.
Un escalier étroit éclairé par une seule lampe. On voit à peine les marches. Khaled me fait passer devant eux. Un des mecs prononce de brèves paroles. Khaled rigole.
- Mon ami dit qu’il a pas bien vu ton cul tout à l’heure Damia, tu vas faire ce qu’il te demande.
Ils parlent entre eux. Longue palabre en arabe. Ils m’ignorent superbement. Ils sourient les trois.
- Laisse ton pantalon et ton slip ici, ils ont envie de voir ton pt’i cul de jeune fille monter l’escalier, tu récupéreras tes affaires au retour.
Je mets du temps à réaliser ce qu’il me demande, et c’est un des deux inconnus qui me baisse rapidement les vêtements autour des chevilles. Mon pantalon et mon slip reste sur la première marche.
Nu à partir de la taille, je monte les marches devant eux. L’escalier est interminable, sans aucun palier. De temps en temps on me pousse ou me caresse les fesses. J’arrive enfin devant une porte. C’est celui qui nous ouvert en bas qui ouvre encore. Nous entrons.
C’est une petite pièce avec des grandes ouvertures dans les murs crépis. Sur le mur opposé à celui de la porte d’entrée, il y a une autre porte. La presque totalité du sol est jonché de linge en ballots. Des grands draps en tas aux quatre coins de la pièce. Des montagnes de linge. Jamais je n’en avais vu autant. Une vraie blanchisserie.
- On va être tranquille ici, c’est dans cette pièce que tous les habitants de l’immeuble mettent leur linge sale avant de le laver et l’étendre sur la terrasse derrière cette porte.
Les grandes fenêtres sont sans aucune protection et les lumières de la ville nous éclairent. On entend les lointaines clameurs de la fantasia.
Les deux mecs sont venus m’entourer. Ils parlent à Khaled. Me palpent, les cuisses, les fesses, la taille et bien sur la raie.
- Allez-y mes amis, allez-y… Il est à vous.
Khaled s’est assis sur un tas de linge. Les deux arabes biens plus vieux que nous semblaient impatients et voulaient profiter de l’aubaine rapidement. Ils portaient des alliances. Leur mains impatientes couraient sur mon corps. Ils m’ont débarrassé de mon dernier vêtement, et m’ont poussé vers le sol.
Je me suis retrouvé en levrette, uniquement vêtu de mes chaussures, sur un tas de linge qui sentait la sueur et la crasse. Un des mecs a tiré mes cheveux vers le haut, m’obligeant à lever la tête. J’ai compris ce qu’il voulait et j’ai ouvert la bouche sans aucun mouvement de révolte.
- T’aimes vraiment être traité comme une pute toi.
La bitte qui s’est plantée dans ma bouche ouverte sentait très fort la sueur et la pisse. J’ai eu un haut-le-cœur de dégoût. Le type a tiré mes cheveux vers sa chemise. Le pieu chaud s’est planté dans ma bouche.
- Allez Damia, montre à mon ami comme tu suces bien.
L’autre m’a palpé le derrière. J’ai les fesses écartées. Un peu de salive. Un sexe dans ma raie à la recherche du passage. Des mains sur mes hanches. Un gland contre mon trou. Mon cul s’ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s’enfile en souplesse dans mon intimité. L’arabe pousse son engin au fond de mes entrailles. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème.
- Allez Damia au turf ma petite pute. Fais bien plaisir à nos deux amis.
Je me suis laissé utiliser par mes deux trous devant Khaled. C’était la première fois que je me faisais limer par deux parfaits inconnus. J’avais une bitte dans la bouche et l’autre plantée dans mon cul. J’imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Je suis sûr qu’il devait bien bander en voyant son ami le français se transformer en pute.
- T’es une bonne tapette, dommage que Sylvie n’est pas là.
Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux qui envoyaient leurs sexes au fond de mon être. J’avais du mal à garder la position sur ce ballot de linge. C’est eux qui me tenaient. Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet. Ils m’utilisaient pour leur plaisir.
- Ils disent que t’es qu’une putain à qui ils vont éclater le cul et la bouche.
Les mecs ont ralenti la cadence. Ils faisaient coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement.
- Ils veulent profiter à fond d’une bonne salope comme toi. Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs. Nos femme sont trop pudiques pour accepter ce genre de chose.
Au bout d’un moment les bittes m’ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale. Mais ils ne m’ont laissé aucun répit et m’ont retourné à plat ventre. Ils n’avaient même pas ôté leur pantalons qui tire-bouchonnaient sur leurs chaussures de ville impeccablement cirées. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leurs fesses et leurs bas-ventres. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Ils avaient même gardé leurs cravates. Les bittes dures et luisantes qui sortaient des pans de leurs chemises, ressemblaient à des armes. La lune éclairait bien la pièce. Le linge sentait fort malgré l'aération.
Un des mecs s’est mis à genoux au-dessus de ma tête, m'emprisonnant le crâne entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s’est baissé et ses couilles se sont posées sur mes lèvres. Il était presque assis sur mon visage et frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. Il s’est mis a frotter son cul sur ma bouche. L’odeur de merde et de sueur était suffocante. J’avais du mal à respirer.
- Sa femme lui a toujours refusé ça. Tu vas lui faire plaisir et lui bouffer le cul comme une professionnelle.
L’autre m’a levé les jambes à la verticale. Le mec assis sur moi m’a saisi les chevilles pour tirer mes jambes vers lui, faisant passer mes mollets derrière lui et les bloquant derrière ses bras. J’étais cassé et plié en deux. J’avais un mal fou à respirer. La position qu’ils m’avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. J’avais l’anus offert. Mon visage était soudé contre la raie très poilue. L’odeur était insoutenable. Ils ont parlé en arabe.
- C’est dommage que tu n’arrives pas à te voir dans cette position. Avec le cul en l’air et le trou bien offert. En plus tu bandes bien mon salaud. Ils veulent voir la taille de ton trou.
Je ne pouvais ni parler ni crier. L’anus du type était contre ma bouche. C’était très chaud, doux et avec une odeur poivrée très forte.
- On va voir si tu as le fion aussi souple que le corps.
Un sexe a le passage de ma corolle. Le mec m’a pris par les cuisses et m’a tiré vers lui. Sa bitte s’est enfoncée en moi sans aucun problème. Je sentais mon muscle se dilater.
- Il veut que tu lui lèches le cul. Dommage que Sylvie ne peut pas te voir.
Ma langue s’est mise à nettoyer la rosace plissée. Les poils étaient rugueux et collés entre eux. Je m’habituais à l’odeur épicée et au goût sucré de la peau.
Une brusque douleur qui m’a fait sursauter. Mon enculeur donnait de violents coups de reins en me tirant en même temps vers lui. Sa bitte tapait durement au fonds de mon ventre.J’avais l’impression que mon cul aller éclater à chaque fois que le sexe coulissait en moi. Je ne pouvais pas bouger et ma bouche ouverte gémissait contre l’anus d’un de mes tourmenteurs.
- Il dit que tu as le cul bien ouvert, il ressemble à la chatte de sa femme. Dommage que tu ne mouilles pas autant qu’elle.
Pendant un bon quart d’heure, j’ai cru que j’allais mourir d' ou d’un déchirement. J’avais l’impression que mon cul était béant. J’étais complètement ouvert et offert à ces deux arabes qui me traitaient de la pire des manières.
J’étais leur chose, et ils faisaient ce qu’ils souhaitaient de mon corps, avec la bénédiction de Khaled qui nous regardait sagement assis dans son coin. Ils ont plusieurs fois échangé leur place et je léchais des bittes souillées. Mon cul les recevait sans aucun problème et restait ouvert entre leur relais. Les deux arabes ont mis du temps avant de jouir. Ils se servaient de ma bouche et de mon cul sans aucun ménagement. J'étais assez surpris de pouvoir supporter un tel traitement.
Quand ils m’ont lâché, j’avais l’impression d'être complètement disloqué. Je n’ai même pas senti les bittes qui se sont déversées à tour de rôle dans mes entrailles.
Je me suis écroulé sur le ballot de linge. Les autres ont allumés des cigarettes. Ils parlaient à Khaled. J’avais du mal à retrouver mes esprits. J’avais des poils dans la bouche et leurs odeurs tenaces étaient encore dans mes narines. J’avais un peu froid. J’avais le visage contre le linge sale. Ils ont éteint leurs clopes. J’ai vu leurs chaussures revenir.
- Tu leur fais de l’effet ma petite Damia, ils ont encore envie de toi. On a encore le temps, la fantasia n’est pas finie, ils veulent faire comme les cavaliers et continuer à te monter.
Ils m’ont sodomisé à plusieurs reprises, et n’ont pas eu besoin de rajouter de la salive. J’avais avalé leurs sexes et léché leurs culs sales. J’étais complètement cassé moralement et physiquement. Ils ont chacun jouis plusieurs fois dans ma bouche et dans mon cul. J’ai bu leurs spermes jusqu'à la dernière goutte. Chose inconcevable aujourd’hui avec le sida.
Quand ils ont fini de prendre leur plaisir, j’avais l’impression que mon trou ne se refermerait plus. Je le sentais boursouflé et douloureux. Je me suis relevé, le visage rouge, les yeux hagards desquels perlaient quelques larmes. J’avais du mal à me rhabiller et encore plus à marcher. Nu et le cul inondé, je suis redescendu toujours devant eux. J’ai remis mes affaires après m’être essuyé avec mon slip.
- T’as intérêt à bien serrer les fesses si tu veux pas tacher ton beau pantalon de courtisane. T’imagine la tête de Sylvie si elle voyait le fond de ton pantalon tout taché de semence.
Les deux autres ont ri à la remarque de Khaled, me prouvant s’il en était besoin, qu’ils comprenaient parfaitement le français.
Le spectacle était fini et la foule envahissait les rues. Je marchais comme un somnambule à côté de Khaled. Les deux autres nous avaient quitté. Nous nous sommes arrêtés devant une fontaine publique
- Nettoies toi sinon Sylvie ne va pas comprendre
Je me suis aspergé le visage. C’est tout ce que je pouvais laver. J’avais mal au ventre et aux mâchoires. Je serrais les fesses pour que le sperme ne tache pas mon pantalon. Khaled m’a montré plusieurs billets de cents dinars
- Ils ont été très généreux
J'étais abasourdi. Ainsi donc, il m’avait vendu à ces deux parfaits inconnus! C’était donc vrai que j’étais sa pute!
Le pire c’est que nous avons retrouvé Sylvie et Mourad attablés à une terrasse de café et j’ai retrouvé ma forme coutumière. Ils ont parlé un moment en arabe pendant que Sylvie s’extasiait du spectacle auquel elle avait assisté.
C’est Khaled qui nous a offert la tournée et les repas avec l’argent que je venais de gagner avec mon cul et ma bouche. Sylvie l’a remercié très chaleureusement.
…………………….
Deux ou trois jours après la fantasia, la première fissure entre moi et Sylvie. Toute la nuit, elle avait refusé mes avances, d’abord avec douceur, puis avec exaspération. Le matin elle m’a annoncé qu’elle passera la journée avec Khaled. Elle devait certainement s’attendre à ce que je lui demande des comptes. Mais je n’ai rien dit. Je savais déjà ce qui se passait. Je me suis contenté de lui poser un baiser sur le front avant d’aller prendre ma douche en lui souhaitant de passer une bonne journée.
Je pense que c’est à cet instant précis que notre séparation s’est faite. Même si aucun de nous ne l’a annoncé.
J’ai passé la journée à marcher dans la ville. Je voulais retourner en France. Tout de suite. Laisser ce pays, tout abandonner et retrouver ma vie d’antan et mes joies d’avant. J’en avais marre. Vers le milieu de l'après-midi, je suis retourné à la plage. Les jeunes jouaient au foot devant les bungalows.
Tous les jours, ils étaient là et jouaient inlassablement. Le petit marchand de maïs était avec eux. Ils se lançaient le ballon pour tenter de marquer. Dans les buts, il y avait Mourad. Lui aussi avait été largué pour la journée. Comme moi.
Il m’a fait un signe de la main. Les jeunes m’ont encerclé. Je n’avais pas envie de jouer au ballon. Mourad m’a demandé si la fantasia m’avait plus. Aux intonations de sa voix, j’ai compris que j’allais payer pour Sylvie. Je m’en foutais.
- Alors, il parait que maintenant tu te fais payer?
Les jeunes se sont calmés. Je ne savais pas s’ils comprenaient le français. Mourad a parlé au vendeur de maïs. J’ai vu la clef changer de mains. Les jeunes se sont esclaffés en me tournant autour. Ils ont rompu le cercle devant la porte bleue. Tête baissée, je suis entré dans le bungalow sous leurs quolibets.
Mourad m’a donné un bourrade sur les omoplates. Je connaissais le chemin. Il ne m’a rien demandé. Complètement soumis, j’ai ôté ma chemisette, mes espadrilles et mon pantalon. J’avais les mains sur l’élastique de mon maillot de bain.
- Garde le. Penche toi et prend appuis sur le lit… Ecarte les jambes. Encore plus. Comme ça, garde la pose.
Je ne comprenais pas ce qu’il cherchait. Il est resté immobile derrière moi sans se déshabiller.
- Ne bouge pas, je reviens.
La porte qui s’ouvre. Il sort un instant et revient. J’entends des bruits de pas. Des chuchotements, des rires nerveux, des piétinements. Mourad est à nouveau là. Il prend mes cheveux et les tire en arrière. M’obligeant à lever la tête vers le mur décrépis.
- Tu vas répéter ce que je dis.
Il prononce une courte phrase en arabe.
- Répète ce que je viens de dire.
Je prononce les mots incompréhensibles. Une autre phrase que je répète. Puis d’autres. Les chuchotements continuent dans l’autre coin de la pièce. Ils sont entrecoupés de rires. Des silences quand je parle.
- Maintenant tu baisses ton slip lentement… Plus lentement que ça... Enlève le complètement et reste les jambes bien écartées.
Des claques sur mes fesses. Le bruit résonne dans toute la pièce couvrant les voies basses. Je sursaute de surprise plus que de douleur.
- Bouge et tourne ton cul. Allez fais danser ton derrière de femelle.
Les coups tombent sèchement. Je gémis en me cambrant pour y échapper. Je tortille mes fesses dans tous les sens. Les chuchotements deviennent plus forts.
- Maintenant tu t’écartes les fesses. Encore plus, je veux voir ton trou de pute. Dévoile bien te raie.
Puis il passe à l’arabe. Je suis obligé de répéter trois fois la même phrase. Je ne sais pas ce que je dis. Des crachats s’écrasent sur ma raie ouverte. Les murmures sont jeunes. Je sais que nous ne sommes pas seuls et qu’il est en train de me donner en spectacle. Mais en même temps, je refuse de reconnaître les faits.
- Couche toi sur le lit ma salope. Ecarte bien tes cuisses. Laisse pendre tes jambes de chaque côté du lit.
Il dit quelque chose en arabe. Un mouvement furtif dans la pièce. Des raclements sur le sol puis près du lit. J’ai le visage plaqué contre le grabat, je ne peux rien voir. De toute manière, je refuse de voir.
Un corps sur le mien. Pas celui de Mourad. Bien plus léger. Plus vif. Tout de suite une queue impatiente qui cherche l’entrée. Un gland qui se pose contre mon anus. Une poussée. Maintenant mon cul se dilate sans problème. La bitte de l’inconnu entre sans problème. Il s’agite sur moi. A peine une minute avant de me remplir. Il se lève en riant d’une voix juvénile.
- Reste comme ça. C’est pas fini.
Un autre me couvre. Cherche la voie. La trouve rapidement et me plante son sexe en couinant de joie.
- Tu sais ce que tu leur as dit tout à l’heure. Tu leur as dit que tu étais une pute. Une chienne qui adorait se faire niquer. Tu leur a demandé de te baiser à la chaîne. Tu leur as dit que c’était gratuit et que tu voulais leurs queues. Chez à partir de treize ans on est majeur. On commande les femmes. Alors tu dois leur obéir. C’est un honneur pour une chienne comme toi de leur faire découvrir leur future vie sexuelle avec des femmes.
J’ai serré les dents quand le troisième m’a sodomisé. Sa bitte était plus grosse que les deux précédentes. Il a mis plus longtemps à jouir. Des flots épais ont remplis mon ventre. J’avais mal. J’ai crié quand un quatrième s’est couché sur moi et m’a enculé violemment.
- Tu peux crier. Ils s’en foutent, ça les excitent de t’entendre gémir comme une fatma. C’est dommage que tu ne peux pas les voir. Ils sont plein de sève. Les premiers qui t'ont niqué rebandent déjà.
Je sentais mon cul endolori recracher le sperme. Je pétais et ils riaient. Je ne sais pas combien de fois ils m’ont niqué. Ni combien ils étaient. Cela m’a paru interminable et je ne sentais plus mon cul. Je ne savais pas pourquoi les larmes coulaient qu’ils jouissaient dans mes intestins. Une odeur de merde flottait dans la pièce. Je n’avais plus conscience du temps. Je serrais les dents à chaque intromission. Les sexes qui pourfendaient mes intestins me semblaient de plus en plus gros. Mes mains agrippaient les bords du lit de toutes mes forces. Je crois qu’à un moment, je me suis évanoui.
Puis plus personne ne s’est couché sur moi. Je n’avais pas la force de me lever. J’avais envie de vomir. Malgré mon état, je savais qu’il y avait encore du monde dans la pièce. Mais personne ne parlait. Juste des soupirs et des bruits de respirations.
Mourad a pris un gros épis de maïs dans le stock et a retourné les feuilles de protection et les filaments. Il a tiré mes cheveux m’obligeant à lever la tête. Il a bien vu que j’avais pleuré. Il a placé le légume devant ma bouche.
- Suce le. Suce le bien...
Les autres étaient toujours dans la pièce. Je léchais le légume sur toute sa longueur. Je le suçais comme on suce une bitte. Je savais parfaitement sucer maintenant. Bien sûr, je pouvais à peine prendre la moitié du légume dans ma bouche.
- C’est bien, on va leur montrer les capacités de ton trou du cul.
Mourad a positionné l’épi entre mes fesses. Je l’ai suppliais de ne pas faire ça. Mais il voyait bien que je bandais. Avec eux, je bandais toujours. Plus ils m’humiliaient, et plus je bandais. J’entendais les exclamations de surprise des mômes. Mourad a poussé le légume. J’ai encore supplié d’une voix rauque.
- Tu ferais mieux de te taire. Branle toi et tu auras moins mal. Montres leur que tu aimes ce qu’on te fait. Serre les dents salope.
Mourad m’a planté la presque totalité du légume dans mon fion qui l’a engloutit sans problème. J’étais sidéré de la facilité avec laquelle le gros légume s’est enfoncé en moi. J’avais mal, mais la douleur était tout à fait supportable.
- Attends, y en a encore.
Mourad l’a poussé jusqu’aux feuilles. Mon anus s’est refermé sur le légume. Seules les feuilles dépassaient. L’épi ne pouvait plus ressortir. Drôle de sensation de dilatation. Peur aussi qu’il ne puisse plus ressortir.
- T’es comme une poule farcie..... Branle-toi.
Je me suis branlé. J’ai dû sucer son sexe tendu en gardant l’épi planté au fin fond de mon ventre. Il m’a aspergé le visage de son foutre chaud et gluant.
J’ai gémis comme une pute. Une bitte devant ma bouche. Elle est fine et longue. Des couilles imberbes que je lèche. Un gland très doux que je tète et du sperme que j’avale. Une très grande quantité de sperme que je bois jusqu'à la dernière goutte. Pas le même goût que celui de Mourad. Des voix d’adolescents. C’est le vendeur de maïs. J’ai joui comme un fou devant eux. Les spasmes de jouissance étaient tellement violents, que ma tête tournait.

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