La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1064)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
- Mes amis, je vous avais dit que je vous réservais une surprise, je vais vous la montrer
Les yeux brillants des convives attendaient avec limpatience que vous imaginez. Seule moi, nétait pas au courant. Le Maître mordonna de me retirer, ce que je fis prestement. Je suivis le maître dhôtel qui mentraîna en dehors de la pièce. Là je croisais un ancien plan cul, très bien dailleurs, mais ce soir, habillée comme je létais, avec le collier de chienne et la laisse, il me regarda passer, stupéfait, sans pouvoir dire un mot, bouche bée. On memmena dans la cuisine pour me faire monter nue et à quatre pattes sur une table roulante, puis on avança cette table jusquà lentrée de la pièce des convives. Quelques moments plus tard, jentendis Monsieur le Marquis ordonner de faire apporter le dessert. Celui-ci était le suivant : Sur cette petite table roulante, ornée dune grande nappe, tombant jusquau sol, jétais présentée aux Invités à quatre pattes, les desserts posés sur mon dos, le creux de mes reins, mes épaules, mes fesses. La vulve bien en vue, ouverte et laissant sécouler ma cyprine, on avait placé en mon anus, comme une sorte de queue de cheval dont les extrémités étaient constituées de barres de chocolat, tandis que la queue tenait par un plug bien enfoncé en mes fesses et qui me remplissait mes entrailles, étant ainsi bien enculée. La table fut « introduite » dans le U de la table. Je devais faire attention de ne pas trop bouger pour ne pas renverser les crèmes anglaises, les glaces, sorbets et autres desserts. Mes yeux avaient été bandés, je ne voyais rien, mais entendit tout ce qui se disait :
Des ohhh, des ahhh, des superbeeee fusèrent des deux côtés de la table. Magnifique entendis-je, Quel dessert !, Quel raffinement mon cher ! et Quelle grâce à la chienne ainsi parée.
- Mes amis, vous allez bien écouter ce que ma Perle, ma Jument préférée va vous raconter. Vous voyez à quel point elle est mienne ! Mais vous allez lentendre dire elle-même, sa condition de femelle, avant que je ne la rencontre
Mais, auparavant, je vais garnir louverture principale qui est la sienne (et en riant) - Il serait dommage quelle souille de ses fuites vulvaires, nos desserts, Ha Ha Ha !
Il vint alors derrière moi, quand tout à coup jentendis :
- Ah oui !
Ne sachant ce qui se passait, je sentis quil enfonçait un gode dans ma vulve, mais il lenfonçait lentement, en prenant son temps, tandis que des applaudissements crépitaient
Il le ressortait, le renfonçait en le faisant tourner sur lui-même, jusquà ce que le gland soit rentré. Ensuite, le Maître lenfonça très profondément, et commença de lents va et vient en tournant le gode encore sur lui-même... puis, accéléra la cadence, ce qui commença de me mettre dans un état denvies très fortes. Pluguée par le cul, godée par la chatte
Javais très besoin de remuer mon cul, mais je ne le pouvais sous peine de renverser les desserts. Terrible comme sensation dêtre très excitée mais devoir se contrôler au point de rester parfaitement immobile. Pui le Noble sadressant à moi :
- Raconte à mes amis, ce que tu as vécu à tes 18-19 ans et noublie rien !
Je restais sans voix. Comment savait-il ? Qui avait bien pu le lui raconter ? Comme je restais muette, tentant de rameuter mes souvenirs, une gifle imprévue (puisque javais les yeux bandés) mais puissante, failli me renverser de la table
et faire tomber les desserts.
- Voici ce que jai vécu, il y a sept ans, dis-je (Les convives se turent)
- Javais presque 19 ans. Je cherchais ma voie. La danse : terminée à cause dun accident de voiture, genou abimé. Mais passionnée par mes découvertes physiologiques féminines, les capacités orgasmiques que je travaillais sur moi depuis mon adolescence, je décidais de morienter vers des études médicales et surtout gynécologiques. Lannée précédente, javais assisté à une conférence qui mavait passionnée et en plus, comme on peut lêtre à cet âge, javais la vie devant moi et jétais heureuse enfin comme on peut lêtre à cet âge. Je minscrivis donc à la faculté de médecine de Montpellier, car le conférencier y enseignait et me plaisait beaucoup. Je lui avais téléphoné quelques jours auparavant, lui parlant de sa conférence, lui expliquant que je métais inscrite dans la Faculté où il professait, et que je souhaitais le revoir pour quil me conseille et me guide dans ma première année. Il me donna rendez-vous et je sautais de joie. Je métais rendue à ce rendez-vous comme si jallais retrouver mon amoureux, et jétais assez excitée. Je venais de couper le moteur de ma voiture. Jattendis quelques minutes pour ne pas arriver la première... Ce soir-là, javais donc rendez-vous dans un des meilleurs restaurants de Montpellier, restaurant choisi par le Professeur de médecine. Je ny suis jamais allée et de toutes manières, les étudiants ne vont pas dans ces endroits là... Jétais étudiante en première année de Médecine, je venais de réussir le concours dentrée ! En septembre, jaurai droit au bizutage...
(Je repris mon souffle un instant pour continuer à narrer mon histoire) - Lhomme que jallais rejoindre mavait invitée à la suite dune conférence quil avait donnée à la fac de Paris en fin dannée dernière... et ce jour-là, son exposé étant particulièrement brillant, jétais allée le voir, le courant était assez vite passé et il mavait glissé sa carte dans la main pour que je prenne rendez-vous à son bureau.
- Jai rendez-vous avec le Professeur Boyer, dis-je timidement.
Elle me fit signe de la suivre en mindiquant quil était arrivé... La soirée était très agréable, je buvais ses paroles... Cétait vraiment un grand orateur, capable de tenir une conversation pendant des heures... Je remarquais tout de même que la vision de mes seins sous ma robe captait régulièrement son attention et ce pour mon plus grand plaisir... A la fin du repas, nous nous connaissions mieux, je savais à regret quil était marié avec deux s ... Lui devait savoir pas mal de choses sur moi car le vin aidant, je métais mise à parler sans marrêter... Il compatissait sur mes difficultés à joindre les deux bouts et me félicitait darriver à men sortir aussi bien... Lheure de rentrer arriva et devant mon état de gaieté avancée, il décida quil me ramenait chez moi... Arrivés devant chez moi, il coupa le moteur et je me souvins quil me dit :
- Te voilà arrivée à bon port ! Je te remercie pour cette soirée belle Isabelle...
Tout en rougissant, je murmurais :
- Merci à vous.
Son regard se mit dun coup à briller et il posa sa main sur ma cuisse. En même temps quil faisait remonter sa main le long de ma cuisse, il me toisa du regard :
- Tu ne vas pas regretter tes paroles chère Isabelle, mais tu es une petite effrontée qui na pas froid aux yeux...
Sa main venait datteindre ma culotte et commençait à glisser ses doigts à lintérieur.
- Mais tu es trempée petite cochonne ! Tu mouilles denvie que ton professeur soccupe de toi, nest-ce pas ?
- Oui professeur, vous me plaisez beaucoup... avoue ai-je
- Je ne veux pas dhistoires dun soir, si tu veux aller plus loin, tu devras te montrer obéissante et devenir ma chose... Je suis un Dominant dans mes histoires extraconjugales ! Je te veux à moi, où, quand et comment je voudrai ! Tu seras ma pute soumise car je te donnerai 15000 francs (environ 2300 euros) cash tous les mois pour tes services... Regarde dans la boite à gant, ouvre lenveloppe !
Il y avait 2300 euros... Sans beaucoup réfléchir, je me disais que cétait la solution à pas mal de problèmes financiers détudiante et tout ça pour baiser avec un homme qui mattirait terriblement... Je navais donc pas hésité très longtemps !
- Je suis à vous professeur...
Souriant, il répondit :
- Bien, sage décision... Mais fais-moi le plaisir de mappeler Maître, cest plus respectueux de mon statut et de ta condition... Maintenant, enlève ta culotte pour la mettre dans ta bouche... Hmmmm... Très bien Isabelle... Mets ta ceinture, on va faire un tour !
Après quelques kilomètres, il rentra sur un parking et gara la voiture à côté dun banc...
- Tu vois ce banc... Assois-toi dessus et montre-moi ta belle petite chatte. Je te regarde, ne me déçoit pas !
Avalant une gorgée de salive parfumée à mon odeur corporelle, je mexécutais... Il avait lair satisfait de mexhiber comme ça...
- Tu te comportes très bien, nous pouvons y aller... Remets ta culotte.
Étonnée et presque déçue :
- Déjà ?
- Non ma belle, je parlais du club qui se trouve sur cette place. Tu ne vas pas beaucoup dormir cette nuit...
Nous nous sommes présentés devant lentrée où une femme habillée de cuir nous attendait. Elle connaissait mon nouveau Maître... Nous descendîmes alors beaucoup descaliers pour nous emmener dans des pièces voutées... Il memmena dans une pièce quil nomma donjon où se tenaient plusieurs hommes et femmes assis comme pour assister à un spectacle...
- Déshabilles-toi entièrement dit-il !
Alors que jhésitais, je reçus une gifle terrible qui me renversa. Il me prit par les cheveux pour me faire me relever et je me suis déshabillée entièrement. Ensuite, il me présenta à lauditoire et me plaça devant un objet datant du Moyen-Age dans lequel il bloqua ma tête et mes mains afin de mimmobiliser, cétait une sorte de pilori... Moi qui avait une confiance aveugle en cet homme, un frisson dangoisse me parcourut lorsquen essayant de me dégager, je vis que jétais prisonnière... Tous se mirent à rire devant mon angoisse. Et dire que javais affirmé à la dame de la réception que jétais parfaitement consentante lorsquelle me posa la question avant de me laisser entrer, elle avait même demandé à voir ma carte didentité pour sassurer de ma majorité et mavait fait signer un papier sur lequel jattestais que je nétais pas sous quelque contrainte que ce soit... Toujours immobilisée, jentendis tout dun coup :
- Patrick ? La caméra tourne ?
- Oui ça tourne ! »
Une caméra... (à lépoque, il ny avait pas de téléphone portable pour filmer) Comment pouvait-il oser ? Je nen croyais pas mes oreilles du haut de mes 19 ans... Il mavait bien eu ce vieux pervers de professeur...
- La caméra ma belle, cest juste histoire que tu comprennes que tu ne peux reprendre ta liberté sans mon accord sinon cest ta réputation qui pourrait en pâtir... Et puis pour le fric que je vais te laisser...ah ah ah ! Regarde un peu ce que je vais tenfoncer dans ton petit cul de salope !
Mes gémissements étaient à peine perceptibles devant les cris dencouragements que recevait ce Maître.
- Passe-moi le vibromasseur Jean, que je lui donne du plaisir... Et toi, Patrick, filme bien son visage, je vais la faire jouir à la faire couiner de plaisirs et lui laisser le vibro collé à son clito jusquà ce quelle nen puisse plus !
Jétais consentante et son vibro commençait à faire ressortir toute lexcitation que javais gardé en moi toute la soirée... Le vibro glissait contre ma chatte trempée, je commençais à bouger et remuer mon corps sous le coup de lexcitation mais dès que je bougeais un peu trop, la corde qui tenait lhameçon géant avec une boule à lextrémité et enfoncé dans mes fesses se tendait et le faisait remonter dans mon cul comme un pêcheur qui ferre sa proie... Je me mis à jouir comme cela ne métait jamais arrivé... Chaque vibration faisait raidir mon corps et entrainait lhameçon dans des mouvements perpétuels... Le Maître sarrêta au bout de quelques minutes et reçut les applaudissements de la salle... Il détacha la corde de lhameçon et me le retira délicatement. Il sapprocha de moi, baissa son pantalon et prit la parole :
- Je suis ravi de constater tout le plaisir que tu as pris ma belle Isabelle. Ta première séance qui en amène bien dautres, crois-moi, est un succès ! Tu vas maintenant remercier Patrick
- Comme il se doit pour le film quil a fait de toi, film qui restera confidentiel si tu respectes tes engagements... Patrick, viens te faire sucer mon ami ! Et avale tout comme une grande !
Patrick se présenta devant moi et en moins dune minute éjacula dans ma bouche... Mon Maître en fit de même puis il me fallut tout avaler et nettoyer les deux verges redevenues molles avant de me détacher et de me rhabiller. Nous sortirent en silence et une fois dehors, il me questionna :
- As-tu pris autant de plaisir que moi ?
A présent remise de mes émotions, javoue franchement :
- Jai très honte de lavouer mais je crois que oui... Vous avez révélé en moi quelque chose, Maître ! »
Calmement, il me répondit :
- Et ce nest que le début... salope !
Il me déposa chez moi, excitée mais tout de même honteuse. A tel point que la nuit fut horrible pour moi, à ne pas pouvoir dormir à ressasser les évènements. Je me dégoutais au point que je pris peur, en effet alors que javais eu une confiance aveugle en cet homme qui aurait pu être mon père, je métais faite avoir
Javais été humiliée devant des inconnus
et maintenant je devrai passer toute lannée dans cette ville, croisant peut-être des personnes présentes ce soir, et lui aussi comme mon professeur qui certainement ne voudrait pas en rester là... Mes études de médecine commençaient vraiment très mal
Je navais plus quune idée fuir, malgré le plaisir certain que javais pris, javais peur de cette situation et, avec le recul je réalise quà lépoque, javais peur de moi-même, de ce que jétais sans encore en avoir vraiment conscience
Le lendemain matin alors que je déambulais, place de la Comédie en Montpellier, je croisais la route dune ancienne copine qui était venue passer quelques jours avec son chéri. Sur le coup, je ne la reconnus pas, tant elle était bien habillée, cest elle qui me reconnut :
- Isabelle, cest toi, me dit-elle...
Je lui racontais toute mon histoire de la veille, tandis quelle, me disait être mannequin à Paris. Elle voyait bien dans quel état desprit je me trouvais... Je décidais de quitter Montpellier et avec elle et son chéri, nous étions remontés à Paris quelques jours plus tard. Je tentais doublier Montpellier à jamais gravé dans ma mémoire. Deux mois étaient passés, je commençais le mannequinat comme vous le savez maintenant, chez Dior à Paris. Mais là encore...vous connaissez la suite...
(A suivre
)
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