Damien Vii
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Latmosphère était à couper au couteau. Tahar a tiré sur la ficelle. Le tampon a bougé dans mon ventre. Tahar a tiré plus fort et le tampon a commencé à sortir lentement. Jai pété. Cela les a dégoutté surtout quand le marin a montré le tampon bien gonflé, de couleur marron. Jai dû aller le jeter à la mer avant de les servir. Et bien me laver la raie sur le pont.
Il y avait un bol dhuile sur la table. Tahar y a trempé deux doigts pour m'en badigeonner la raie. Jai serré les fesses, mais les doigts sont entrés sans difficulté. Tous ont vu quils se sont vrillés dans mon fondement.
- Il dit que cest mieux quand ça glisse bien. Tout à lheure, il a eu un peu mal. Cest mieux quand tu es bien ouvert.
Je me suis laissé faire vaincu et humilié. Les autres ne perdaient rien du spectacle que nous leur donnions. Les doigts ont fait plusieurs allers retours entre le bol dhuile dolive et mon trou de mieux en mieux lubrifié. Les ongles cassés ont écorché la peau de ma corolle. Je sentais ma pastille se dilater et sassouplir autour des doigts qui me fouillaient lanus. Cela a duré un bon moment avant quil ne sarrête
- Tu vas nous servir..... On a faim
Mes fesses glissaient lune contre lautre quand je marchais pour faire le service. Ils mangeaient lentement en prenant leur temps. Chaque fois que je passais à côté de lun deux pour le servir, il me caressait le cul à lexception du patron qui ne mavait jamais touché depuis mon arrivée sur son bateau. Mourad nétait pas en reste.
- Je leur raconte comment on ta niqué la première fois avec Khaled.
Jai entendu prononcé le nom de Sylvie. Mourad devenait intarissable. Mais je ne comprenais rien. A un moment ils ont souri.
- Ils aiment bien lépisode du maïs que je tes mis dans le cul. Ils ont du mal à y croire.
Le capitaine a prononcé quelques mots. Mourad sest tu. Ils se sont regardaient en silence.
- Ils connaissent bien Khaled et ils comprennent parfaitement que ta copine préfère sa grosse quequette à la tienne. Le patron a eu une bonne idée. Tu vas voir, tu vas beaucoup aimer.
Javais peur de connaître cette idée. Je devinais que ce serait sûrement une humiliation de plus. Rachid a débarrassé les restes du repas à lexception du bol dhuile quil a placé sur le petit réfrigérateur.
- Le patron, il a dit quavec les femmes tu sais être un homme, mais quavec les hommes tu es une femme obéissante et soumise.
On ne pouvait pas mieux analyser mon comportement. En une phrase ce vieil arabe avait tout dit et avait deviné des choses que je ne savais pas moi-même avant de venir dans ce pays. Mourad a repris.
- D'après lui tu es comme cela et tu aimes être traité comme une roulure même si tu ne le sais pas encore. Tes pas le premier étranger à passer une nuit avec nous. Ils le veulent tous et surtout les femmes. Certains hommes aussi dailleurs. Ils ont dabord peur de nous, mais après ils en redemandent et ne veulent plus quitter le bateau... Et certains payent très cher le voyage. La semaine dernière, cétait une grosse allemande, une vraie chienne toute blonde. Le soir elle nous a fait un strip-tease extra, elle sest mise à danser la danse du ventre et on la niquée toute la nuit par tous les trous. Tu aurais dû voir comme elle en redemandait cette pute, avec sa grosse bouche et son gros cul tout blanc. Elle avait les nichons aussi gros que ses fesses. Des vraies outres bien pleines. Elle était déchaînée et on lui ai tous passé dessus plusieurs fois. Elle était tellement contente quelle nous a donné tout son fric et même ses vêtements. Je lai raccompagnée à son hôtel avec juste une djellaba sur le corps et jai tout raconté au patron de l'hôtel. A lheure quil est si elle nest pas partie, elle doit se faire niquer par toute léquipe de l'hôtel du club.
Le patron a interrompu brusquement Mourad pour lui dire quelque chose. Mourad a hoché la tête et ma saisi le bras
- Viens on monte sur le pont. Le patron a une envie
Tahar nest toujours pas revenu et Rachid nous accompagne. Sur le pont, je dois me pencher face à la mer. Eux, restent derrière moi.
- Baisses toi tes pas à la bonne hauteur.
Je nai pas le courage de refuser et je fléchis les jambes. Deux mains écartent largement mes fesses pour mettre mon anus huilé à nu. Il fait presque nuit. La mer est très calme. La lune doit éclairer mon cul offert. Jattends quon mencule sans aucune révolte. Les mains tirent largement sur mes fesses. Mon sexe tout mou ballotte entre mes jambes ouvertes. Je sens lair marin balayer mes couilles. Complètement soumis, jattends en fermant les yeux.
Je ne comprends pas pourquoi mon enculeur met autant de temps à me sodomiser. Brusquement un liquide chaud frappe ma raie et mon anus. Je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe. Le liquide masperge le trou et coule sur mes couilles et le long de mes cuisses avant de s'écraser sur le pont. Quand je saisi ce quils sont en train de faire, jai envie de pleurer de honte. Je tente de bouger. Un des types me frappe sur la nuque.
- Tu bouges pas salope, tu attends gentiment. Le capitaine na pas finis de pisser.
Mes fesses, mes jambes et ma raie sont toutes mouillées. Le liquide coule un peu sur mon dos. Le jet chaud se tarit après des nombreuses giclées. Je narrive pas à contenir mes larmes. Cet arabe qui me pisse dessus me ravale au rang de larve. Il sest soulagé sur moi. Il ma inondé de son urine, comme un animal qui marque son territoire. Des larmes silencieuses roulent sur mes joues avant de sécraser dans les flaques à mes pieds.
Un autre jet encore plus dru sur mon anus et mes couilles qui pendent lamentablement entre mes cuisses souillées. Jaurai préféré quils menculent. Ce quils me font me semble insupportable.
- Ta gueule si tu veux pas quon te pisse dans la bouche.
Je narrive pas à contrôler mes pleurs et mes larmes brouillent ma vue. Pourtant jaccepte ce qui se passe. Ma queue frémi et se redresse.
Ils se soulagent à tour de rôle sur mes fesses tendues. Il y a une grande flaque de pisse entre mes jambes et mes pieds baignent dedans. Lurine coule lentement vers un des bastingages. Je me laisse pisser dessus sans rien faire. Ils me dominent complètement et je sais que dorénavant plus rien ne matteindra. Il y a un grand vide en moi qui me transforme en marionnette.
Brusquement je sursaute. Il mont lancé un grand saut deau froide sur les fesses et les jambes.
- Cest comme ça quon calme les chiennes, le patron il veut pas que tu salisses la cambuse.
Encore un seau deau sur mon postérieur.
- Sèche toi
Je le fait sans oser les regarder. Ils remarquent mes larmes mais ils sen foutent. Jai froid et je claque des dents. Je narrive pas à contrôler mes mâchoires. Jai les jambes qui tremblent. Je messuie maladroitement le visage.
Nous redescendons dans la cambuse. La table et les deux bancs sont contre les murs de bois. Le centre de la pièce est libre. Il y a un matelas de crin sur le sol. Le plafonds est trop bas et nous oblige à nous déplacer penché. Mon sac ouvert est sur la table à côté du bol dhuile. Tahar est en train den inventorier le contenu. Tahar me tend le flacon dhuile solaire après lavoir débouché et senti.
- Il aime bien lodeur. Il veut que tu en mettes.
Jen verse quelques gouttes et me badigeonne lentement le torse et le ventre.
- Plus bas aussi.... Encore plus bas
Ma main est sur mon pubis. Mon sexe pend tout flétris. Ils regardent sans un mot. Je rajoute de lhuile solaire. Ma main saisie ma verge. je me branle lentement. Cela glisse parfaitement bien. Je mattarde sur ma verge. Je ne ressens rien.
- Tarrives même pas à bander. Vas-y un petit effort. Montres nous que tu es un homme, Un vrai. Pas une femme.
Je me branle en serrant ma tige de plus en plus fort. Rien à faire. Mon sexe refuse obstinément de se redresser. Jai honte de ne pas pouvoir bander. Pourtant je suis excité. Jai envie de leur montrer que je peux. Je mescrime en vrai sur ma verge flasque et pendante. Je rougi comme un gamin.
- Comment tu fais pour baiser ta femme? Tes pas un mâle toi. Pas grave cest une femelle quon veut. Mets toi de lhuile sur les fesses. Allez vas-y !
Mes mains passent sur mes fesses. Encore de lhuile. Je me caresse et me cambre pour bien en mettre partout. Mes mains pénètrent ma raie sans quils ne me le demandent et je mets de lhuile sur ma raie et mon trou.
Je deviens une vraie salope qui se donne en spectacle. Je n'éprouve aucune honte à me comporter ainsi. Je suis devenu très obéissant. Jétais comme dans un autre monde au milieu de ces étrangers dans un bateau en pleine Méditerranée.
Rachid sest approché de moi. Il a juste relevé le devant de sa djellaba découvrant son sexe brun avec un gros gland.
- Caresses le.
Je verse de lhuile solaire dans le creux de ma main. Sans aucun mouvement de révolte, je saisi son sexe à pleine main. Il est brûlant et très dur. Je commence lentement à le masturber devant les autres. Le pieu chaud de tend de plus en plus. Jaccentue mes mouvement et vais de la racine jusquau méat. Il me laisse faire. Ma main enduite de crème solaire glisse facilement le long du pieu qui grossi au fur et à mesure de mes caresses.
La bitte est maintenant à son apogée. Très large à la base avec un gland comme un champignon. On aurai dit un obus. Elle fait au moins deux fois la largeur de ma main. Les couilles sont très grosses. La peau très douce. Je le branle mécaniquement. Je sens les grosses veines bleues contre ma paume.
Les trois autres regardaient assis sur le plancher. Rachid sest assis sur le banc face aux spectateurs, jambes allongées et jointes. Son sexe tendu vers le plafond brillait. Il a parlé à Mourad qui à traduit.
- Vas sur lui, il a envie de ton cul, et on veut que tu te niques tout seul.
Je lai enjambé en reculant jusqu'à ce que son sexe touche mes couilles. Rachid à positionné son gland contre mon anus. Mes cheveux pendaient devant mes yeux, m'empêchant de voir les autres assis en face en train de siroter leur thé.
Rachid ma saisi la taille mobligeant à m'asseoir sur sa bitte. Son gland forçait ma corolle crispée. Brusquement il ma tiré vers lui de toutes se force mobligeant à m'asseoir brusquement sur son sexe. La douleur fulgurante ma fait hurler. Son pieu a dune traite le passage huilé. Javais limpression terrible quon me remplissait le ventre de plomb brûlant. Son gland a tapé durement le fond de mes intestin, me coupant le souffle.
Complètement empalé sur son sexe, je nosais pas faire un mouvement. Javais limpression que mon ventre était sur le point déclater.
Rachid ma bloqué sur sa queue. Au bout de quelques seconde, la douleur sest atténuée puis à disparue. Mon anus sest moulé à la taille du sexe sur lequel jétais emmanché. Cest lui qui a commencé à bouger et je me suis mis a gémir dune toute petite voix. Je suppose que les autres se régalaient du spectacle. Rachid me sodomisait de plus en plus fort. Jai vaguement entendu Mourad parlait en arabe.
Rachid a cessé de bouger, sa queue bien enfoncée dans mon trou. Ses mains sont passées derrière mes genoux. Il a commencé à me relever les jambes vers lui.
- Le capitaine veux voir ton cul ouvert.
Rachid avait une force herculéenne. Il a tenu mes jambes largement ouvertes et relevées. Les autres ont pu voir sa grosse bitte profondément fichée en moi et mon trou dilaté. Il ma limé dans cette position avant de lâcher mes jambes.
Le patron a parlé. Rachid ma repoussé. Sa queue ma libéré. Il sest levé. Javais froid au cul et je sentais que mon anus ouvert.
Tahar sest approché. Il ma tiré les cheveux vers le sol. Je me suis mis a genoux. Il na pas lâché mes cheveux. Au contraire, il les tirait maintenant en arrière mobligeant à lever mon visage vers le plafond. Puis, de son autre main, il a durement appuyé sur le creux de mes joues. Jai ouvert les mâchoires.
Son visage sest approché, à dix centimètres au-dessus du mien. Il avait le regard dur, sûr de lui. Quand il a craché, je nai pas eu le temps de réagir. Le liquide glaireux est entré directement au fonds de ma bouche. Jai eu envie de vomir et je nai pas eu le temps de recracher quil ma fermé la bouche. Jai avalé avant de mécrouler sur le sol, le corps agité de spasmes.
Ils mont laissé sur le matelas pour boire leur thé. Jai vaguement reconnu la voix du capitaine. Cest lui qui dirigeait les opérations. Cétait lui le vrai patron, Mourad se contentant de me mettre à leur disposition.
Rachid et Tahar sont revenus vers moi. Ils étaient nus, impressionnants de force et de vigueur. Ils mont couchés sur le dos et mont ramenés les chevilles sur les épaules. Ma raie sest ouverte à nouveau. Je restais inerte entre leurs mains noueuses. Mourad sest agenouillé devant moi.
- Le capitaine dit que tu as encore trop de poils autour de la rondelle.... Je vais te faire une vraie chatte bien lisse.
Je savais que javais quelques poils dans la raie. Il ma épilé. Cela ma fait très mal car il a étalé une pâte très chaude tout le long de ma raie, de la base de mes couilles jusqu'aux creux de mes reins. Il la laissé refroidir avant de la retirer brutalement dun coup sec. Jai eu limpression que lon marrachait la peau. Mourad a recommencé à étaler cette pâte. Javais beau me débattre, je ne pouvais rien faire. Les deux marins me bloquaient. Mourad a arraché à nouveau la pâte. Il a recommencé trois fois avant de me laisser.
- Maintenant tas plus un seul poil au cul. Un vrai cul de pute.
Javais la raie toute irritée. La boule de pâte était pleine de tous petits poils blonds. Jamais je navais pensé avoir autant de poils. Ma rosette me brûlait et javais encore le goût de crachat dans ma bouche. Jétais un peu groggy, comme un somnambule. Mourad est parti sasseoir à côté du capitaine.
Rachid ma tiré par les cheveux vers son bas ventre. Sa bitte brûlante et sale à cogné contre mes lèvres.
- Suce le. Tu lui fais une bonne fellation. Tu vas être le roi de la pipe.
Je lai sucé. Son gland énorme tapait au fond de ma gorge. La queue coulissait entre mes lèvres. Tahar ma écarté les jambes pour mouvrir les fesses. La bitte a mon anus qui sest ouvert lentement sous la pression. Javais maintenant les deux trous occupé. J'étais le jouet de leur bittes qui ouvraient mes trous. Jétais leur chose à leur disposition et ils donnaient de violent coup de bassin.
Ils mont longuement limé la bouche et le cul. Jétais crevé mais je navais presque plus mal. Les deux sexes me foraient en prenant tout leur temps. Ils nétaient pas pressés. Ils avaient toute la nuit. Ils se donnaient en spectacles devant les deux autres, mobligeant à prendre des poses qui permettaient de bien voir ma bouche ouverte autour de la hampe ou mon trou dilaté.
Sur ordre du capitaine, ils mont laissé. Mourad est venu me coucher sur le dos. Je lai supplié d'arrêter tout cela. Il ne ma pas répondu. Il tenait un rouleau de sparadrap très large de couleur chair.
- Le capitaine ne veut plus voir ton sexe
Lair dégoûté, avec laide des deux autres, il a collé deux bandes de sparadrap sur mon sexe et mes couilles. Je navais plus de bitte. Dans la pénombre de la cambuse, ils mont transformé en femme. Le sparadrap tirait ma peau à chaque mouvement.
Puis il a utilisé de nouveau une boule de pâte. Cette fois ci, sous les aisselles. Ils ont dû me tenir à deux, tellement la douleur était forte. Je criais de toutes mes forces en sentant mes poils sarracher. Quand ils mont lâché, je navais plus ni poils ni sexe. Ils mont traîné à genoux devant le capitaine. Mourad a pris la parole.
- Répète après moi, Je m'appelle Damia et je suis votre servante dévouée.
Ma voix était atone, mécanique. Une main de fer a croché ma nuque, mobligeant à ma prosterner devant le capitaine.
- Embrasse les pieds du capitaine.
Jai embrassé les pieds nus, la peau calleuse, les ongles épais. Jai baisé la plante des pieds et le talon dur comme du bois. Le capitaine a prononcé quelques mots.
Les trois autres mont saisi pour me coucher sur le sol. Ils mont complètement immobilisé sur le dos. Le capitaine sest levé pour venir au niveau de ma tête. Il portait sa djellaba. Il a enjambé mon visage et sest accroupi au-dessus de ma tête. Je ne voyais plus rien, mais très vite, les fesses mont effleurées la bouche. Javais beau gigoter, les autres me tenaient fermement.
- Tu vas faire la toilette intime du capitaine.
Les fesses se sont ouvertes. Jai tenté de tourner mon visage pour échapper à cela. Mourad ma frappé.
- Allez nettoie avec ta langue. Nettoie à fond.
Lodeur très épicée me soulevait le cur. Jai sorti ma langue pour faire ce quon m'ordonnait. Jai léché les poils collés de sueur. Ma langue a tourné autour de lanus serré. Jai longuement léché la raie odorante. Mon visage sécrasait contre les fesses musclées. Jai tête lanus. Je ne savais plus ce que je faisais. Le capitaine est resté longtemps accroupi. Les autres ne pouvaient rien voir.
Quand le capitaine sest enfin levé, ils mont libéré. Je suis resté prostré sur le sol. Ils mont laissé pour boire encore du thé. Je ne pensais à rien, ne bougeais pas. Jattendais leur bon vouloir sans aucune révolte ni dégoût et avec un fatalisme de femme orientale. Ils étaient mes maîtres. Jétais là pour leur obéir.
Mourad ma tendu des bas noirs et une culotte de femme que je ne connaissais pas.
- Cest les vêtements de lallemande. Mes amis voudraient voir à quoi tu ressembles avec ça
Vêtu des sous-vêtements noir, je leur ai servi du thé. Les bas et le slip étaient à ma taille. Je savais quavec ces vêtements et mes cheveux longs, je devais vraiment avoir lair dune femme. Mourad a mis de la musique.
Jai dû danser avec les deux jeunes marins. Au rythme lancinant de la musique, ils me malaxaient les fesses en me pressant contre eux, ou écartaient le fonds de ma culotte pour glisser leurs doigts dans ma raie ou mon trou élargi.
Ils étaient surexcités et me donnaient en spectacles au capitaine. Ils me baissaient le slip sous les fesses ou au contraire faisaient entrer le tissu dans ma raie. Jétais une poupée. Une vraie femme entre leurs bras virils. Les doigts élargissaient mon trou. Les danses se succédaient sans relâche.
- Demain, ton cul sera aussi large que la chatte dune pute de la casbah. Plus large que la chatte de Sylvie.
Cest vrai que je sentais à peine les deux doigt que javais dans le fion. Ils mont à nouveau sodomisé dans cet accoutrement. Seul le capitaine ne mavait pas encore utilisé.
Leurs bittes restées fièrement pointées. Ils ne jouissaient pas et faisait durer leur plaisir. Jétais leur jouet. Comme une marionnette. Je faisais absolument tout ce quils voulaient. Je mouvrais moi-même les fesses devant leur visage. Je me mettait les doigts dans le cul devant eux. Je me vautrais dans leurs fantasmes.
Ma soumission les rendaient de plus en plus entreprenants.
Quand je tentais de refuser ils devenaient violents et me donnaient des fessées. Après la fessée, une humiliation supplémentaire me faisait franchir un nouveau pas vers la déchéance. Et cest Mourad qui sen chargeait. Pour eux, il était mon maître et cétait a lui de punir la plus petite révolte. Jai dû lui lécher les pieds, avalait ses crachats et même lécher le sol.
Pour me soumettre complètement, les deux jeunes ont pris le relais de Mourad. Ils mont saisi par les chevilles et les ont levées me soulevant presque du sol. Mourad a tendu un bâton au capitaine qui a commencé à me frapper la plante des pieds. Je hurlais à chaque coup et Mourad me posait toujours la même question.
- Est ce que tu vas être une femelle obéissante oui ou non?
Au troisième coup de bâton, jai hurle oui. Il en voulait plus.
- Oui.... Oui je serai une femelle obéissante.....
Il en voulait encore plus
- Je serai ta pute...
Ils mont lâché. Je me suis mis en chien de fusil sur le matelas taché. Je restais figé. Mon corps tressautait de manière incontrôlable. Complètement indifférents, ils ont bu du thé. Puis Mourad est revenu.
- Mets-toi sur le dos et lève tes jambes. Plus que ça
Encore, allez encore plus. On veut parfaitement voir ton cul. Ramène encore tes jambes vers ton torse.
Jétais cassé en deux, les genoux pratiquement sur mes épaules. Ils ont déchiré le slip de lallemande. Les deux jeunes mont bloqué dans cette position.
Mourad ma montré une petite bouteille de coca cola. Il la enduite dhuile dolive et la approchée de mon visage pour bien me la montrer.
- Lallemande a adoré.
Jai supplié Mourad de ne pas le faire. Il a juste dit que si je préférais le bâton, il ny voyait pas dinconvénient et que de toute façon jaurai droit au deux si je refuse.
- Je vais être gentil, et te badigeonner le cul dhuile.
Il la fait. Je ne pouvais plus voir la bouteille. Au début le goulot est passé puis il sest bloqué. Je sentais mon cul s'élargir lentement au point de se déchirer. Mourad faisait coulisser la bouteille de plus en plus vite en forçant de plus en plus à chaque fois. Je criais et suppliais en vain mais je navais pas mal. Je tentais déchapper au supplice en me tortillant, mais cela les faisaient encore plus rire. Puis, brusquement, quand jai cru que mon anus allait de déchirer, la bouteille sest enfoncée seule comme un suppositoire. Javais la voix rauque davoir trop crié de peur et un sentiment déroutant davoir un truc bloqué dans mon ventre.
- Tu vois, cest pas si difficile. Elle sortira pas avec cette forme. Tu vas la garder comme ça entre tes fesses.
Je sentais entre mes fesses le cul de la bouteille. Jai dû la garder et jai à nouveau fais le service. Javais limpression que la bouteille allait sortir à chacun de mes pas mais elle ne bougeait pas. Mon anus boursouflé me faisait mal. De plus en plus mal. Mais cétait supportable. Avec ma bitte camouflée, mes poils disparus et cette bouteille fichée entre mes fesses, je devais paraître vraiment pitoyable. Un esclave marqué.
- Cest dommage que tu ne peux pas voir ton cul avec la bouteille au milieu.
Je la sentais bien pourtant et javais du mal à marcher. Mes fesses restaient ouvertes autour de fonds de la bouteille.
Quand ils men ont débarrassé, mon trou ne sest pas refermé. Leurs bittes gonflées ont remplacé la bouteille. Je les sentais mais pas de douleur. Puis il mont demandé de me prosterner dos au capitaine. Jétais effaré quils puissent ouvrir mon cul avec leur doigts. Je sentais mon anus dilaté.
Cela a duré toute la nuit. Et à la fin, le capitaine est juste venu devant moi pour me pisser dans la bouche. Jai tout avalé sans broncher.
Sur ordre de Mourad je me suis moi-même enfoncé la bouteille dans le cul. Ils se sont couchés, et je me suis endormi comme une masse avec la bouteille de coca plantée dans mon cul.
Le matin nous sommes revenus au port. Sur le chemin du retour, je les ai sucé les trois. Ils ne voulaient pas me débarrasser de la bouteille et je ne sentais plus mon anus complètement anesthésié.
Moi aussi je suis reparti comme lallemande, uniquement vêtu dune djellaba. Mais moi, javais toujours la bouteille de coca fichée dans le cul et la bitte camouflée par le sparadrap.
Ils mavaient scotché les fesses autour de la bouteille pour quelle ne sorte pas. Jai traversé toute la ville avec la bouteille dans le cul, nu sous le léger vêtement.
Sylvie et Khaled étaient rentrés de leur périple. Nous les avons rejoints sur la plage. Javais de plus en plus de mal à marcher. Sylvie était heureuse de me voir. Heureuse tout cours.
- Tas une super mine Damien. Cétait bien cette partie de pêche?
Jai trouvé assez de maîtrise de moi pour lui répondre. Mais je serrais les fesses et mon trou me faisait atrocement mal.
- Cela te va vachement bien la djellaba.
A un moment, elle sest éloignée de nous. Mourad ma relevé l'arrière du vêtement pour montrer à Khaled le cul de la bouteille entre mes fesses serrées
- Cest bien Damien. Je vois que tu as pris ton pied. Tes devenu un bon garage à zob mon ami.
Jai rien dit me contentant de baisser les yeux.
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