Chez Le Véto
20h ; je mets la dernière touche à mon maquillage ; jean, à mes côtés finit lui aussi de shabiller ; pantalon et chemisette blanche, largement ouverte ; pour moi corsage blanc, très ouvert, transparent, laissant découvrir mes seins nus ; une robe portefeuille courte recouvrant un porte jarretelle noir, et pour une fois, pour faire plaisir à mon homme, pas de string ; ce soir nous recevons un couple, vétérinaire qui vient de sauver notre berger allemand ; mais revenons 15 jours plus tôt.
Jai rendez-vous vers 18h chez notre vétérinaire pour prendre des nouvelles de notre chienne, 12ans venant dêtre opérée dune tumeur mammaire ; pour moi, Bélize, cest son nom , représente beaucoup car elle a été mon « soutien » lors de moments difficiles il y a six ans, au décès de mon mari. Je suis en retard, et quand la véto me reçoit, je suis déjà très perturbée. Elle me rassure et me propose de venir la voir ; encore très somnolente dans son box, elle lève à peine la tête à mon arrivée.
Je ne sais si cest la vue de ma pauvre chienne ou lodeur de léther qui flotte dans la pièce, mais brusquement je me sens défaillir et je nai que le temps de masseoir avant de perdre connaissance. Cela ne dure pas très longtemps , mais je suis complétement vidée et elle me propose un moment de repos dans son appartement ; allongée sur son canapé, je récupère rapidement ;je constate alors que ma jupe est très remontée et découvre mes cuisses à la limite de ma foufoune et que mon corsage est entrouvert , découvrant ma poitrine. Me redressant jessaie de reprendre une tenue correcte , mais elle me rassure ; « ne vous inquiétez pas, cest moi qui ai ouvert votre corsage pour vous aider à respirer et de plus nous sommes entre femmes, détendez vous » sans doute pour me rassurer, elle a posé sa main sur ma cuisse découverte ,et le contact de sa main me fait frissonner, dautant plus quelle ne reste pas immobile.
« cela va mieux ? » je ne peux que répondre par laffirmative, dautant plus que a main devient de plus en plus caressante ; si au début javais tendance à resserrer les cuisses, maintenant je me laisse aller ; jaime le contact féminin et elle me donne envie ; la laissant faire, je ferme les yeux, signe de mon consentement.
Quand enfin elle se retire , elle me prend dans ses bras et membrasse tendrement « jai très envie de toi, jaimerai que lon puisse jouer ensemble » un baiser cèle ses paroles ; et alors que jallais lui répondre, je découvre son mari, dans louverture de la porte qui se branle ; je ne sais depuis quand il nous observe ; devant ma réaction de replis, elle me prend dans ses bras et me dit, « je crois que lui aussi , il a envie de toi »
A suivre
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