La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1065)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Mais là encore...vous connaissez la suite...
Pendant que je racontais ce passage de ma vie, passage qui explique pourquoi depuis cette histoire et donc avant de rencontrer Monsieur le Marquis dEvans, je tenais les hommes à lécart, les toisant comme je le faisais, méprisante et hautaine, les godes installés en moi sétaient mis à vibrer dans mon cul et ma chatte, doucement au début, puis de plus en plus fortement, hachant mon discours...parfois lun stoppait, tandis que lautre continuait, et ensuite cétait linverse, ce qui me mis lensemble du cul en feu. Les convives avaient achevé les desserts, ils ne restaient plus rien sur moi, lorsque je sentis devant ma bouche, se poser un gland violacé, volumineux que je pris immédiatement en bouche en esclave bien dressée. Sans laide de mes mains qui me tenaient toujours à quatre pattes, je pompais goulument le sexe assez long et épais. Je le travaillais consciencieusement ne sachant pas à qui il appartenait, tandis que je sentais les godes sortir de mon corps me laissant vide et inondée. A cet instant, je sentis contre ma joue, un autre sexe qui sagitait comprenant que quelquun se branlait contre mon visage. Les premières contractions du sexe que je suçais commençaient, signe annonciateur déjaculation arrivant, je sentis aussi quon me prenait analement et sans ménagement. En effet, un sexe que je sentis énorme en volume senfonçait dans mon anus ouvert, bien dilaté et jusquà la garde, à la hussarde. Je sentais les poils pubiens de lhomme toucher mes fesses tandis quil se mit à me besogner.
Cette verge dressée, dure me sodomisait profondément, par des vas et viens puissants entre mes reins, profonds par des mouvements amples et cadencés, sans préambules. Toujours la même allure, la même cadence rapide, je le sentis me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs à me faire mouiller encore plus.
Pendant ce temps, je recevais en plein visage le foutre de celui qui se branlait contre ma joue, et presquau même moment celui que je pompais me prit les cheveux et les tira fortement en arrière, et senfonça dans mon gosier, éjaculant copieusement
Sitôt avalé, un autre sexe se présenta à moi, toujours en bouche et je recommençais à sucer
Complètement avinés et chauffés à blanc, les Invités buvaient encore et encore, les chaises bougeaient sans arrêt, je sentais des éjaculats tomber sur mes reins, mes épaules, tandis que celui qui menculait sortait après avoir lancé ses jets de sperme chaud par saccade dans mon fondement, et il était vite remplacé immédiatement par un autre qui profita de mon anus très dilaté pour senfoncer sans ménagement à grands coups de boutoirs aussi virils que ceux de son prédécesseurs.
Je devenais un cloaque vivant quand soudain je sentis deux doigts se poser entre mes mâchoires et les desserrer fortement. Je fus obligée douvrir la bouche et dans cette pause, je sentis quon urinait dans ma bouche, lentement, comprenant que je devais avaler, ce que je fis, puis les jets se firent plus longs, plus rapides, javalais aussi vite que je pouvais le faire, quelques tapes sur la joue comme pour me dire, « cest bien » et tout cela sans que je sache qui était celui qui pissait dans ma cavité buccale... Arrivée assez tard dans la nuit, on me mit sur le dos et javoue que cela me soulagea beaucoup les reins. Toujours les yeux bandés, on mécarta prestement les cuisses tandis quon posait sur mon clitoris un vibro qui se mit en marche aussitôt... Alors que jétais sur le point de céder, une voix, Sa voix, se fit entendre au creux de mon oreille, comme la voix dun esprit :
- Je suis très très fier de toi Ma petite chienne, vraiment, continue ainsi de te retenir...
Tournant la tête du côté de la voix, je répondis
- Oui Maître.
Le vibro était déchaîné, je fus prise plusieurs fois daffilée, recevant des tas et des tas de giclée de foutre, mon ventre devenant une citerne à foutre, mon estomac et mon cul également. Soudain je sentis quon menjambait au niveau de la tête... Puis, le contact des poils me fit me demander si ce nétais pas une femme.
- Mon dieu, Mon dieu, disait-elle, mais comment fait-elle, il y a bien longtemps que je nai pas joui ainsi... Mon cher Maître, vous avez trouvé une véritable perle... Jen redemande... Une salope à donner du plaisir comme je les aime
Et la voilà à se reposer à nouveau sur ma bouche. Tandis quon me travaillait la chatte
. que je tremblais tentant de respecter lordre du Maître, je reprenais mon léchage qui très peu de temps après, déclencha en celle que je léchais de tels spasmes quelle en tomba à la renverse, souffle coupé alors quelle ne put se retenir à me pisser sur le visage... Cest en cet instant précis que jentendis à mon oreille :
- Jouis petite chienne, montre à tous ces gens ce que jouir veut dire...
Alors quun étalon me pistonnait depuis plus de quinze minutes menvoyant au Paradis, jexplosais immédiatement par des orgasmes qui se succédaient à une vitesse folle, en une puissance inouïe, comme pourrait le faire une tigresse enfin prise... Toutes griffes dehors, je faisais des bonds, mon étalon, surpris tentant de saccrocher comme il pouvait, je feulais, je criais, je griffais, jai même mordu une main, jenvoyais des coups de pieds, je jouis sans aucune retenue et au même moment, létalon lâcha sa semence puissamment dans les râles digne dun cerf en rut menvoyant dans le fond de mon vagin pour la énième fois, ses giclées de foutre chaud.
(A suivre
)
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