Collection Lesbiennes. La Mère Supérieure Du Couvent (1/4)

Dans ces années-là, il était courant d’offrir à Dieu pour le repos de l’âme des parents l’une de leurs filles surtout s’ils en ont plusieurs, le tout agrémenté d’une dot en or qui aide au bon fonctionnement de ces lieux d’église.
C’est mon cas, je viens d’entrer dans un couvent, près de Nantes, j’ai tous juste dix-neuf ans, âge où nous les filles s’ouvrent à l’amour.
C’est mon cas, je suis amoureuse de Lucas, le fils du boucher, je me voyais bien derrière la caisse de la boutique de ses parents quand ils auraient pris leur retraite.
Depuis que je saigne, mon corps me brûle certains jours, j’ai trouvé, comment l’éteindre le soir ou j’ai rencontré le petit bouton que j’allume ou que j’éteins au gré de mon doigt qui passe, se retire, repasse, se retire jusqu’à ce que la grosse bulle qui s’est formée au plus profond de mon corps éclate sur mes lèvres.

Quand mon père m’a convoqué pour me dire que j’aurais l’honneur de leur permettre d’atteindre leur paradis, la foudre m’est tombée sur la tête.

• Ma fille, je compte sur toi pour nous faire honneur, une vie de prière à celui qui va devenir ton mari, est la meilleure des choses qui peut arriver à une jeune fille.
Tu aurais pu aspirer à épouser un riche marchand, mais cet honneur en revient à ta sœur Anabelle notre fille aînée et comme notre fortune, même si elle est conséquente, est loin d’être suffisante pour que tu aspires à un tel mariage.
Par compte, la bourse que nous offrirons au couvent pour que tu pries pour le salut de nos âmes sera assez importante pour que tu sois bien considérée au sein de ce couvent.

C’est comme cela que je me trouve à franchir la porte du couvent de Marie qui m’a été destiné.

• Mes sœurs, Aurore vient nous rejoindre, je compte sur vous pour lui faire bon accueil, sœur Marie, comme votre tâche vous l’en incombe, emmenez-la revêtir la tenue de novice de notre ordre et lui montrer la cellule que je vous ai demandée à.


• Oui, mère Marie des Anges, j’ai déjà opéré le changement que vous m’avez demandé pour les cellules de nos sœurs, Aurore suivez-moi.
• Attendez, une dernière chose, après la prière, je vous réunirais pour vous faire connaître les modifications que l’arrivée de notre nouvelle sœur va engendrer, aller.

Je me retrouve dans la buanderie qui est le lieu du travail de trois sœurs sous la direction de sœur Marie, il y a sœur Josette, sœur Marie-Madeleine et la plus vieille qui a été placée là, car elle fait un minimum de travail vu son âge, sœur Antoinette.

• Aidons là à enlever ses vêtements, sœur Josette, tu te souviens quand pour la première fois, nous nous sommes retrouvées nues devant les sœurs, qui hélas, ont été rappelées par notre très haut.

Des roucoulements ponctuent cette tirade, chacune s’affaire à me déshabiller pour mieux me montrer comment mettre la tenue de novice que je garderais jusqu’à ce qu’il soit considéré que je mérite de devenir définitivement leur sœur.
Je connais tout cela, ayant été au catéchisme auprès du curé de notre village, j’ai toujours eu des pensées autres de toutes ces bondieuseries, mais dans mon époque, ce que décidaient nos parents tenait lieu d’évangile.

Un point positif tout de même, c’est la première fois depuis les mains de maman dans ma petite enfance, qu’une femme, non des femmes touchent mon corps, avant de me faire enfiler ma petite culotte en pilou.

• Aviez-vous déjà vu une telle toison rousse ?
• Rouge, tu veux dire Marie-Madeleine.
• Oui, tu as raison, notre mère supérieure devrait beaucoup aimer, sœur Virginie qui rejoint les cuisines était blonde comme les blés.
• De quoi parlez-vous mes sœurs, vous m’intriguez, maman m’a dit que la vie dans notre ordre était contemplative.
• Pour contempler, tu vas contempler et même de très près, mais arrêtons de cancaner, Aurore est prête, écoutez, la cloche de la prière retentie, suis-nous, pendant le temps de la prière plus un mot.


Ce sont mes premiers pas dans cette immense bâtisse, je suis les sœurs, les mains jointent comme elles.
Le temps des prières passées, nous sommes réunis pour le repas, sœur Marie m’assoit à sa droite, elle-même assise à celle de la mère supérieure.
Repas frugal, mais suffisant, car équilibré avec féculents, légumes sans oublier les fruits.

• Les légumes sont de notre potager, je t'y emmènerais.
• Sœur Marie, vous savez que nos repas doivent se faire en écoutant notre sœur Anaïs lire des pages de l'évangile.
• Pardon, ma mère, vous avez raison.
• Tu viendras me voir pour recevoir ta punition, je veux du respect du travail des autres dans le couvent que j’ai l’honneur de diriger.

Ma prise de contact avec la mère supérieure semble tendue, jusqu'à ce qu'elle se lève.

• Merci, sœur Anaïs, je vous autorise à aller manger, mes sœurs, vous savez toutes que nous avons une nouvelle nonne conduite par ses parents auprès de nous.
Sa famille a fait don à notre communauté d'une valeur en or qu'elle renouvellera chaque année, à ce titre elle rejoindra sœur Maria à la gestion de notre couvent, car elle a commencé des études en comptabilité qui nous sera très utile.
J'ai demandé à sœur Marie de lui donner la cellule de sœur Josette qui l’a rejoint à la buanderie dans la gestion de notre linge.
Sœur Aurore en plus de son travail dans le bureau sera ma nouvelle assistante, comme le faisait sœur Josette et quelques-unes de vous dans le passé.
Bonne soirée à toutes, demain debout à 6 heures pour notre première prière.

Je remarque des sourires ironiques, mais en prenant garde, car la mère supérieure semble être une femme entière.
C'est normal, il y a vingt-trois sœurs dont cinq novices, pardon, six avec moi.
Comme un gentil toutou, me demandant tout ce que ces sourires narquois, ce qui va m’arriver.

• Sœur Josette, pardon sœur Aurore, tu vois qu'il y a une porte de communication avec ma cellule, ce sont les seules, car je dois pouvoir avoir ton aide à tout moment au cours de la nuit.

Quand nous serons entre nous, je te tutoierais, viens m'aider à défaire mes vêtements et faire ma toilette.

Pour la première fois, je me retrouve à défaire les vêtements d'une autre femme, qui plus est une bonne sœur, je vais pour lui frotter le dos quand je remarque des zébrures sur son dos, je suis interloquée.

• Tu regardes mon dos, tu sais, même chez nous les serviteurs de Dieu, la chair est faible, il est difficile de tous dire à notre bon curé, alors certaines de nos sœurs dont je fais partie se flagellent pour expier nos pêchers.
• Moi aussi devrais-je me flageller ?
• Avec le temps, tu jugeras par toi-même, mais je t’aiderais, nous devons nous entendre, viens me laver le dos, tu prends du savon que tu places doucement, ma dernière flagellation date de trois jours et mes épaules sont encore à vif.
C’est bien, tu es une bonne fille, descends lentement vers mes fesses avec ta patte mouille savonné, oui, c’est bien, maintenant passe là entre mes deux hémisphères, lentement, on a tout le temps, arrête.
Non, continue, doucement, force un peu sur mon petit trou, mais tu es une petite cochonne, tu me rentres un doigt dans l’anus, passe ton autre main par-devant, non sans le tissu, à main nue.
As-tu déjà fait cela à une fille Aurore ?
• Non, ma mère, vous êtes la première femme que je vois nue.
• Quand nous sommes entre nous, pas de ma Mère entre nous, tant que tu seras à mon service et que nous serons seules, appelle-moi Séraphine, c’est le nom que m’ont donnée mes parents à ma naissance.
Alors, tu ignores ce qu’est un clitoris, à moins que tu ne te caresses, quand tu es seule toi aussi.
• Une seule fois, je vous le jure, Madame, pardon, Séraphine.
• Laisse-moi m’allonger, je vais te donner ton premier court d’anatomie féminine, car ici à part notre vieux curé, les seuls instruments que nous avons à notre disposition, ce sont nos mains et des cierges.
• Séraphine, je rougis, allez-vous m’apprendre !
• Tu veux que je t’initie à mes jeux lubriques qui invariablement vont te conduire vers la punition que je serais obligé de t’infliger, si tu es prête, je serais enchantée, j’aime fouetter mes novices.

Regarde, j’écarte mes grandes lèvres, que vois-tu ?
• Une grosse excroissance tout en haut.
• C’est mon clitoris, il est développé comme pourrait l’être le sexe d’un homme, prend le dans ta bouche, et suce-le, ta maman t’offrait des sucettes quand tu étais petite ?
• Oui, lorsque j’étais sage.
• Tu as été très sage depuis que nous sommes rentrés dans nos chambres, tu as bien mérité une sucette.

C’est ainsi que je fais minette à une femme pour la première fois, elle jouit sans aucune retenue, criant son plaisir, je comprends les sourires narquois des autres sœurs, elles connaissaient le penchant de leur mère supérieure à s’amuser avec nous.
Moi qui croyais trouver le temps long dans ce couvant, je sens que la vie va être pleine d’imprévu.

Elle tombe d’épuisement, je rejoins ma cellule pour y trouver un lit loin d’être mouelleux comme celui que j’avais chez mes parents, je me tourne et je me retourne, quand j’entends de drôles de bruits dans la chambre de Séraphine.
Je me lève et je m’approche de la porte que j’avais préalablement repoussée, le spectacle et les mots que j’entends son extravagant, mais plein d’espoir.

• Salope, tu es une ignoble gouine, il te les faut toutes, même cette jeune fille tout juste sortie de l’adolescence, il faut que tu te fasses lécher la chatte, tiens prend ça et ça encore, oui, oui, oui.

En même temps que, Séraphine prononce ces mots, il faudrait que je puisse écrire, les grands coups de son étrange martinet qu’elle a dû sortir de son armoire.
J’ai mal pour elle chaque fois que les petites billes qui sont dessus frappent ses épaules et son dos, laissant ces zébrures sanguinolentes, incroyable, alors qu’elle s’est relevée, je vois sa main venir sur son vagin deux de ses doigts la pénétrant.
Les cris de plaisir qu’elle a eus avec moi quand je léchais son intimité, j’allais en faire autant quand la porte de ma chambre s’ouvre doucement, avant que j’aie le temps de crier, une main se pose sur ma bouche et sur mes seins.

• Chute, on vient voir la vieille se caresser le dos…

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