La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1066)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Quelques heures plus tard, nous reprîmes le chemin du retour sous les compliments, félicitations des Invités pour cette inoubliable soirée orgiaque
Tandis que la Rolls-Royce nous ramenait vers la propriété du Maître, nous traversions Montfort-LAmaury, nous allions entrer dans la vallée de Chevreuse, le Maître fit un signe à Walter qui opina de la tête. Alors que le Majordome actionnait un clignotant, le Noble mattira à lui, posa sa main que je baisais avec dévotion, sur ma nuque et je compris quil voulait que je descende de la banquette, et vienne entre ses jambes, écartées. Je le fis avec envie, il défit sa braguette et sortit un sexe déjà si bien tendu que jen fus surprise. Un coup dil de ma part sur son visage, suite à son claquement de doigts, me fit comprendre ce quil voulait. Je passais alors ma langue sur son gland violacé et dur, léchais avec respect cette épaisse hampe au chapeau de champignon si délectable, passait tout autour mais aussi dans la fente, soufflant du chaud et le prenant avec respect et délicatesse entre mes lèvres, mélange de baisers suaves et de soumission. Puis je lenfonçais doucement à mi-parcours, laspirant, le serrant entre mes lèvres pour menfoncer ensuite, plus avant, recommençant à nouveau aspiration et succion descendant encore plus bas, jusquaux poils pubien, la tige entièrement avalée, chatouillant ma luette. Alors que jallais remonter, la main du Maître se posa sur ma tête pour me maintenir ainsi je sentais la queue du Châtelain plantée profondément au fond de ma gorge. Prise de tremblements, je hoquetai, manquant dair, quand tout à coup, dun coup de reins puissant, il senfonça encore plus puis se retira pour me laisser agir seule afin de lui donner encore plus de sensations de bien-être car il me dit :
- Débrouille-toi pour mapporter un maximum de plaisirs avec tes mains, ta bouche et ta langue de petite chienne
Alors voici comment jy suis parvenu : Comme il bandait tel un taureau, je commençais à caresser son Vit de ma main.
J'avais envie de me toucher la chatte mais je nétais pas autorisée et je devais obéir à Son ordre de lui apporter le plus de plaisirs possible dans laccomplissement de la meilleure fellation que je pouvais réaliser, alors jétais toute à cette queue dressée.
Je le suçais donc ainsi, activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le voulais dans ma bouche afin de tout prendre de Lui. Je ne voulais rien perdre de sa divine semence. Je m'activais avec détermination et application. Je branlais, suçais encore et encore accélérant le rythme. Il soulevait légèrement les reins, soufflait, gémissait. Ses signes là ne trompent pas ! Cétaient des signes avant-coureurs de la proche éjaculation. En effet, Il ne résista pas. Il lâcha un long râle sonore de plaisirs et déchargea dans ma bouche. Une giclée d'une pression inouïe m'inonda l'arrière gorge. Animé de spasmes, il n'en finissait pas d'inonder mon gosier par saccades des flots de spermes chauds.
Pendant ce temps où je nettoyais Sa noble queue, il me travaillait les tétons avec délicatesse, mais ce traitement pour léger quil était, me renvoyait à nouveau vers ce que javais connu peu dheures auparavant et qui ne mavait pas calmée entièrement. Déjà, je gloussais encore excitée par la fellation que je venais deffec :
- Hmmm, cest bon Maître ! Ouiii merci Maître de mexciter ainsi ! Ohhhh ! Maître, vous me donnez encore envie. Merci de me traiter ainsi
La Rolls-Royce entrait dans un sentier caillouteux arboré de grands arbres, et sarrêta dans une clairière. Le ciel était étoilé, la lune brillante, signe que la nuit serait fraîche, les étoiles scintillaient. Walter et Le Noble se regardaient par rétroviseur interposé quand Maître fit un signe à son Majordome. Celui-ci se leva, sortit de la voiture, fit le tour et mexigea de sortir. Regardant le Châtelain, Celui-ci confirma lordre de Walter. Il me conduisit vers la forêt, nous nous éloignions de la voiture dont le moteur tournait encore. Monsieur le Marquis prit le volant et démarra, un tournant plus loin et le véhicule disparut. Je peinais à suivre le Majordome avec mes escarpins, tenue par la laisse que je navais pas quittée de la soirée. Nous marchâmes ainsi quelques centaines de mètres et arrivâmes devant une chaumière, éclairée.
- Cest vous Monsieur ? (espérant madresser à Walter)
Pas de réponse. Nous marchions et jentendis ces mots :
- Boudi Madame, faites gaffe ça glisse ici !
Cétait la voix méridionale entendue plus tôt, jétais aux mains dun inconnu qui memmenait où ? On sarrêta.
- A poil, la Madame, dit la voix !
- ??? Ici ??? répondis-je, timidement
- Et oui, la ptit dame, ici.
Jenlevais ma robe de soirée mettant mes mains sur mes seins. Je sentis que la laisse me tirait vers lavant, javançais, puis on me prit le poignet droit, lattachait à une corde, on tira dessus ce qui me fit relever le bras très haut, et attachait lautre poignet aussi haut. Il en fut de même avec mes chevilles écartées auparavant, puis plus rien
Jentendis les pas séloigner, puis séteindre
De longues minutes passaient, rien
une heure peut-être ?
Je grelottais. Je pleurais même de peur, vraiment de peur... Puis soudain, jentendis à nouveau des bruits de branches, des pas, puis à nouveau plus rien. Je tentais de me tourner autant que mes liens me le permettaient, dans le sens des bruits, mais rien, je nentendais plus rien
. Encore, un bruit, très léger, au milieu des hululements dune chouette, de bruits de rats courant sur les feuilles, rapides à moins que cela ne soit des bruits dautres animaux
Soudain, sorti de nulle part, une main me toucha qui me fit à la fois sursauter et crier :
- Ahhhh !
La main senleva, puis se posa à nouveau sur mon sein droit, le caressant, le soupesant mais sans un mot, rien. Lautre sein subit les mêmes attouchements, tandis que le téton premier touché se voyait pressé, vrillé, pincé avec force et sans ménagement. Malgré la douleur due à la brutalité des pincements et du froid, mon clitoris réagit immédiatement, ce qui me fit cambrer les reins. A cet instant, dautres mains se posaient sur mes fesses, et étaient écartées à leur tour sans égard. Ainsi ouvertes, je sentis un sexe se poser sur ma rondelle très humide par la soirée restaurant, rondelle de laquelle séchappait du foutre que je sentais et tout dun coup, dune poussée violente, je fus enculée comme ça sans préambule, dun coup, dun seul et rapide, puissant. Le gland entré jusquau milieu de la tige, ensuite deuxième poussée et cest lintégralité du sexe inconnu qui se trouva en mon fondement. Pendant que mon enculeur saccrochait à ma taille, me maintenant par les hanches, en même temps il travaillait mon clitoris de ses doigts baladeurs, inquisiteurs, écartant ma vulve, il sagitait fortement derrière moi, le sentant se reculer pour mieux senfoncer toujours aussi brutalement dans mes entrailles maintenant en feu dexcitations. En effet, la soirée restaurant ayant été très chaude et moi pas assouvie, le feu du plaisir couvait sous les cendres en mon corps et il ne me fallut que très peu de temps pour relancer lincendie de lexcitation qui maintenant se déclarait ouvertement. Tandis que le sodomite me pistonnait savamment, tenant ma chatte ouverte et béante, lautre personne, placée devant, me pinçaient toujours les tétons, je le sentis me prendre par devant à son tour, et me voilà utilisée des deux côtés en même temps, prise en sandwich
Je sentais en moi les deux verges, au travers de mes muqueuses, aller et venir en cadence sans aucun ménagement comme deux pistons dans une culasse, mes fesses remuaient, tant les coups de reins de lenculeur étaient puissants, me faisant dire : « Il va venir vite celui-là » mais non, il savait se retenir et poursuivait ses à-coups puissants, profonds, pénétrants jusquà faire claquer ses couilles contre mes fesses, tandis que celui de devant en faisait de même question puissance de pénétration. Et donc des deux côtés, les coups de reins étaient forts, aucun arrêt, puissants au point que je commençais davoir mal au pubis
Le sodomite jouit le premier mais resta en moi un moment en coït profond, bien planté, suivi du second par devant
Ils sortirent de mon corps en même temps. Jentendis lun dentre eux, jurer et cracher et se toper les mains, puis les pas séloignèrent et le silence retomba.
Un silence de mort, lourd et pesant. Les foutres coulaient entre mes cuisses et de mon cul, je tremblais de froid et de manque car je navais pas eu le temps, ni lautorisation de jouir
Le temps passait, lentement, très lentement, quand soudain, à nouveau des bruits de branches cassées, puis des aboiements
Des gens arrivaient, pensais-je
Les aboiements se rapprochaient
Je prenais peur à nouveau
- Cest quelquun ? Dis-je timidement ?
Pas de réponse. Tout dun coup, très proche de moi, je sentis quelque chose meffleurer, un animal, oui cest ça, un animal
un chien errant, pensais-je
mon dieu, je me mis à crier de toute la force de mes poumons
- Au secours !
Un coup de fusil répondit à mon appel, ce qui fit détaler lanimal, maintenant, jen étais sûre cétait bien un animal.
- Au secours, Monsieur, qui que vous soyez
Mais rien à nouveau. En pleurant, je criais
- Monsieur, sil vous plait, venez à mon secours
Rien, abominablement rien, pourtant ce coup de fusil nétait pas du au hasard
il y avait bien quelquun pas loin, me disais-je,
les crampes menvahissaient, je mabandonnais, mes forces déclinaient
Je nentendis plus rien
jusquau moment où je fus prise là, comme ça, venant de nulle part, dun coup, sans rien navoir entendu venir, juste sentant un gros sexe senfoncer dans ma chatte, se mettre en marche sans aucun ménagement encore une fois
avec force de nouveau, sentant les coups de pubis de la personne cogner contre le mien écrasant mon clitoris, les couilles battaient sous ma chatte contre mon périnée, en cadence, toujours sans aucun bruit que des « tchouc-tchouc » , bruit du sexe senfonçant dans une chatte déjà pleine, aucun attouchements, rien que les va et vient de ce phallus, qui enfin se vida en de très longs jets de sperme après mavoir abondamment besogner. Les jets métonnèrent par leur longueur ce qui me fit dire quil mavait remplie beaucoup. Enfin, tard, très tard dans la nuit, une voix
Sa voix,
- Maître, cest vous ?
- Oui, cest moi je viens te délivrer.
- Oh Maître (je pleure en abondance) merci Maître adoré, mais pourq
- Chut petite chienne, chut, dressage oblige, tu vois, je tavais prévenue
- Oui Maître, mais
(Posant son index en travers de ma bouche) - Pas de mais, petite chienne
Et sa bouche prit la mienne tandis quon me détachait, menroulait dans une vaste cape chaude, on me porta jusquà la Rolls-Royce, on me posa sur le siège, la voiture démarra et je mendormis, vaincue dans les bras réconfortants du Maître
Le lendemain matin, je me réveillais dans Son lit, me demandant comment javais pu arriver là sans me réveiller
(A suivre
)
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