Ma Marraine
Je suis resté très proche de ma marraine, mon ainée de 15 ans. Cest une petite femme très énergique qui a toujours vécue seule. Je ne lui connaissais que quelques aventures épisodiques, de courte durée, avec des hommes mariés. Cela ma dailleurs toujours étonné car si jen crois quelques passages de son journal intime dont jai, un jour, « volé » les confessions, elle était très friande de sexe. Mais je ne sais peut être pas tout ! Tout ce préambule pour en arriver à ce fameux samedi soir qui nous a rapprochés encore davantage, (si je puis mexprimer ainsi).
Vous allez comprendre, et jespère ne point vous choquer par cette confession parfaitement authentique dans laquelle je rapporte les situations et les dialogues (pas au mot près bien sûr), tels quils furent.
Je suis un piètre bricoleur mais plein de bonne volonté, cest pourquoi je lui avais proposé, un peu hâtivement peut-être, de repeindre sa cuisine. Ce type de travaux est sans conteste celui dans lequel je peux fournir un travail, sinon parfait, du moins acceptable. Le premier week end javais effectué la préparation ainsi quune première couche et ce fameux samedi je terminai la seconde. A dix huit heures, jétais vermoulu. Il faut dire que je suis plus habitué à manier le stylo, assis à une table, quà prendre des positions parfois acrobatiques pour un raccord de peinture. Mes outils nettoyés, et la place rangée, je métirai longuement.
Tu as mal au dos mon grand ? Questionna ma marraine.
Elle avait depuis toujours lhabitude de mappeler « mon grand » par affection.
Je ne suis pas un grand fan du travail physique, lui répondis-je.
Elle sourit puis me proposa daller prendre une douche bien chaude.
Ça détendra tes muscles. Pendant ce temps je vais préparer un bon petit apéro.
Cest pas de refus, lui répondis-je.
Finalement, je préférai à la douche, me glisser dans un bain presque bouillant où je restai, je crois, une bonne demi-heure.
Ça va mieux ?
Un peu mais je sens encore des contractures.
Bon, alors sèche-toi et je te passerai un peu dArnica.
Lorsque je reparaissais au salon, elle avait posé sur lépais tapis une grande serviette de plage.
Mets-toi en slip et allonge-toi sur le ventre.
Je minstallai en faisant quelques grimaces. Javais quarante ans mais jen paraissait cinquante ! Je sentis bientôt lhuile couler sur mes omoplates.
Ça sent pas larnica, fis-je.
Jen ai plus. Cest une huile de relaxation.
Je mabandonnai bien vite à son massage. Je sentis ses doigts dénouer lune après lautre, les tensions, puis à un moment tout semballa. Ses mains partirent de mes épaules, glissèrent sur mes flancs, revinrent sur ma colonne et passèrent de quelques centimètres sous lélastique de mon slip. Rien de bien intrusif, mais jen frissonnais. Ma marraine murmura :
Détends-toi bien mon grand.
Cest précisément ce que je faisais. Je sentis lhuile chaude ramollir mes mollets, puis après cinq minutes les mains remontèrent lentement sur mes cuisses et simmiscèrent sous mon slip pour me masser les fesses. Surpris, je sursautais et ma marraine tenta de me calmer :
Chut, calme-toi mon grand
détends-toi.
Elle avait à peine achevé sa phrase quelle fit glisser mon slip le long de mes jambes. Elle le lança sur le canapé puis me précisa :
Cest pour pouvoir te masser les reins plus facilement.
A présent nu, elle put donner libre cours à ses mouvements enveloppants
délicieux ! Je navais plus mal. Elle partit des chevilles, remonta sur les cuisses, passa sur mes fesses jusquau milieu du dos
puis refit le chemin retour. Lorsquelle fut revenue aux mollets, dun geste doux elle mécarta les jambes puis remonta sur la face interne de mes cuisses. Je frissonnai en sentant ses doigts entrer en contact avec mes bourses.
Chut ! laisse-toi faire, mon grand, ça va te faire du bien.
Elle remonta lentement le long de la raie, me massa les reins un long moment puis elle redescendit au contact de mes testicules. Elle murmura :
Soulève-toi un peu.
Je lui facilitai le passage et elle referma la main sur ma queue. Est-il besoin de vous préciser que je bandais déjà ? Elle resta ainsi quelques minutes, jouant seulement des doigts puis elle murmura :
Mets-toi sur le dos.
Maintenant quelle lavait touchée, pouvais-je refuser de lui montrer ma bite ? De toute façon je navais nullement envie que la récréation sarrêtât ! Je mallongeai donc sur le dos et fermai les yeux. Jimaginai aisément ce que ma marraine regardait, et je compris que je ne me trompais pas lorsquelle murmura :
Elle est belle.
Jétais flatté bien sûr et je mefforçais (sans effort dailleurs) de maintenir ma bite au garde à vous. Elle me massa la poitrine, jouant un moment avec mes tétons, puis me fis languir en me massant longuement le ventre. Elle descendit enfin
coinça mon prépuce entre le pouce et lindex et le fit rouler
puis elle décalotta lentement mon gland gorgé de sang. Elle le coiffa de trois doigts quelle fit lentement descendre avant de remonter et de répéter le mouvement plusieurs fois. Son autre main me palpait généreusement les boules. Elle ne put retenir un souffle de contentement :
Hum, tu as de belles bourses mon grand.
Je redressais la tête. Elle me sourit.
Et si je te masturbais ? lança-t-elle. Ça te détendrait, non ?
Je lui fis un petit signe de tête approbateur et elle se mit aussitôt au travail. Je refermai les yeux, et si je leus osé je laurais volontiers complimentée. Je me contentai dexprimer ma satisfaction :
Hum, cest bon.
Elle réagit aussitôt de manière inattendue :
Tu veux jouir comme ça, ou tu préfères que je te suce ?
La deuxième proposition me plaisait davantage mais je répondis :
Comme tu veux.
Dans la seconde qui suivit je sentis ses lèvres se refermer autour de mon gland quelle téta puis lécha comme une sucette savoureuse.
Voilà je crois que je ne peux pas faire mieux.
Je ne ressentais plus aucune courbature.
Merci, fis-je.
De rien.
Jallais récupérer mes vêtements, lorsquelle lança :
Non, jaimerais bien que tu restes tout nu.
Je restai donc à poil toute la soirée, durant laquelle elle ne se priva pas pour se rincer loeil, ni me peloter. En fait, elle veilla à me garder en érection le plus souvent possible. Elle mavait chauffé à blanc. Aussi, lorsque vers minuit, elle rejoignit sa chambre jattendis un quart dheure puis je poussai doucement la porte et me glissai dans son lit.
Je suis désolé mon grand, je ne vais pas pouvoir, jai eu une infection urinaire la semaine dernière.
Je ne désarmais pas.
Par derrière alors ?
Si tu veux.
Elle sourit puis se tourna sur le côté. Je me collai contre elle en position de la cuillère, puis lorsquelle remonta les jambes, je trouvai aisément le chemin de ses fesses.
Fais doucement mon grand, je nai plus lhabitude.
Jappuyai mon gland et menfonçais sans grande difficulté. Je lentendis aussitôt gémir puis pousser de petits cris de fouine. Elle était très étroite et je coulissait avec délectation dans son fourreau. Chaque fois que je ressortais complètement pour menfoncer aussitôt je lentendais murmurer à son oreiller :
Oh oui
Oui
Je la sodomisai doucement durant une bonne demi-heure avant de jouir puis je me retirai
sur la pointe des pieds pour rejoindre le canapé du salon.
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