Damien Fin
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jarrivais en vue du lieu de rendez-vous. C'était un des plus grand restaurant de la ville. Javais encore limpression davoir la bouteille dans le cul. Cétait il y a plus de quinze et cétait la première fois que je revenais en Tunisie depuis cette période.
Nous étions rentrés de vacance Sylvie et moi début septembre pour la reprise des cours. Bien sûr nous nous sommes tout de suite séparés.
Les cours et la vie ont repris. Je me masturbais frénétiquement tous les soirs en repensant à ces vacances. Curieusement, je nen voulais pas du tout à Khaled et Mourad que jimaginais en train de draguer sur leur plage favorite à la recherche dune femme allemande ou dun petit français aussi tendre que moi.
Sylvie que je voyais régulièrement et avec qui jétais resté ami, navait plus le moral. Elle narrêtait pas de parler de nos vacances et de Khaled qui manifestement lui manquait terriblement. Puis un jour, elle ma envoyé un mot.
- Je retourne là-bas, je ne peux pas vivre loin de lui et lui non plus. A un de ces jours jespère. Tu restes mon meilleur ami. A la vie.
Jai bien sur compris de qui elle parlait. Rapidement, je nai plus eu de ses nouvelles. Je nai plus jamais eu non plus de relations sexuelles avec des mecs. Je nen éprouvais ni le besoin ni lenvie et je savais que je ne trouverai personne comme Mourad et Khaled.
Les années se sont écoulées. Jai parfaitement réussie ma vie professionnelle et je possédais une entreprise à la pointe de la technologie informatique. Je gagnais très bien ma vie sur ce tout petit marché que je partageais avec deux ou trois autres entreprises pour le monde entier.
Jai aussi réussi ma vie affective. Je me suis marié. Javais trois beaux s qui me donnaient toute satisfaction. Bref tout cela nétait plus que de lointains souvenirs jusqu'à il y a trois mois.
Au cours dun salon professionnel, jai été contacté par le ministère tunisien des affaires étrangères qui lançait un appel doffre pour des très gros travaux de redéploiement informatique.
Aucune nouvelle pendant un mois. Je commençais à me faire à lidée que javais perdu le marché quand un jour, lambassade tunisienne ma contacté. Jétais invité dans leur pays pour discuter de mon offre!
Leur grand manitou de linformatique du pays, minvitait à douze heure trente précise le jeudi suivant, dans le plus grand restaurant du pays.
Jétais devant l'entrée du restaurant. Très chic. Très classe. A des années lumières de ceux que nous fréquentions à lépoque avec Sylvie. Jai franchis le seuil. Un majordome sest précipité vers moi dun air obséquieux.
- Que puis-je pour vous Monsieur. Ce restaurant ne reçois que sur réservation.
Sans attendre la suite de son baratin, je lui ai tendu la carte que javais trouvé avec le billet davion et la réservation de mon hôtel. Il sest tellement penché pour me saluer que jai eu limpression quil allait se casser.
- Si Monsieur veut bien me suivre. Monsieur est attendu dans un des salons privés du premier étage.
Nous avons traversé la salle entièrement occupée par des hommes daffaires de toutes nationalités. Le cadre était superbe, mais je nai pas eu le temps de le détailler.
Un escalier, un long couloir, beaucoup de portes fermées. Aucun bruit ! Moquette épaisse dans les tons bleu et or, décoration clinquante et tapageuse.
Le majordome frappe à une des portes. Une invite à entrer. Il ouvre et sefface pour me laisser passer avant de refermer la porte derrière moi.
Un homme sest dirigé vers moi. Carrure imposante. Epaisse crinière. Il ma tendu la main. Voix virile et chaude.
- Bonjour Damien. Ça fait longtemps
Jai cru mévanouir en reconnaissant Khaled . Il nétait pas seul. La femme vêtue dans un costume traditionnel sest jetée à mon cou pour me couvrir de baisers.
Pendant toute la durée du repas, nous avons discuté de tout et de rien nous racontant nos vies respectives. Moi surtout, décrivant mon boulot ma famille.
J'étais très heureux dêtre ici. Sylvie était resplendissante. Sure delle. Dune sensualité exacerbée dans ces vêtements orientaux qui lui allaient si bien.
Les plats se succédaient sans arrêts, mais nous y touchions à peine, tout à la joie de nos retrouvailles.
A la fin du repas, nous sommes allés nous asseoir sur le canapé. Sylvie nous faisait face assise sur un fauteuil. Khaled a demandé au maître d'hôtel de ne plus nous déranger.
- Tu veux un alcool?
- Non merci. Je ne bois pas.
- Si nous en venions au contrat.
- Dois-je comprendre que tu mas choisi
- Presque mon ami, presque, mais il faut quand même régler certains détails car tu nes pas le mieux disant sur le marché.
- Je suppose que je suis trop cher?
- Un peu trop oui.
- Cela peut se discuter....
- Je le pense aussi. Dans ce pays tout ce discute mon cher Damien. Cela dépend de toi. Je ne te cache pas que je cherche avant tout un partenaire en qui je peux avoir toute confiance.
Il ma regardé droit dans les yeux. Un bref moment, jai retrouvé lexpression du maître sur son soumis.
- Je sais que je peux avoir toute confiance en toi et que tu sauras te taire, et être discret. Je sais que tu sais te taire quand il faut.
Cétait une menace à peine voilée et jai bien compris l'allusion à ce qui sétait passé il y a plus de quinze ans. Je nen avais effectivement jamais parlé à Sylvie, ni à personne dailleurs. Cest curieux mais, jétais content quil sen souvienne.
- Je saurais être discret. Jai lhabitude. Dans mon métier, nous sommes souvent confrontés à ce genre de problème et notre déontologie nous interdit de raconter ce que nous voyons chez nos clients.
Sylvie a interrompu notre conversation.
- Tu es toujours aussi superbe Damien. Pourquoi as-tu coupé tes si beaux cheveux. Cela tallait tellement bien.
- Je te remercie mais je commence vieillir et mes cheveux aussi..
- Ne dit surtout pas cela. Noublie pas que jai le même âge que toi. Je ne me sens pas vieille du tout.
- Tu es magnifique....
- Tu as raison Damien, jai une femme magnifique. Sans elle, jamais je naurai réussi. Te souviens-tu de ces vacances que vous avez passé ici. Je suis sûr que tu nas rien oublié.
- Il mai difficile doublier. Cest grâce à moi que tu as connu Sylvie, et que vous êtes ensemble.
- Si tu veux. Cest une manière de présenter les choses.
Nous avons rigolé les trois, mais latmosphère avait subtilement changé entre nous. Les deux me regardaient en souriant. Il y avait une vraie connivence entre eux. Je savais quil ne fallait pas revenir sur le contrat.
- Et Mourad?
- Oh il va bien. Il occupe aussi un poste important. Il dirige lagriculture de mon pays.
Nouveau regard appuyé, mais cest Sylvie qui a parlé
- Il soccupe aussi de la pêche
Je me suis senti légèrement rougir. Sylvie et Khaled me regardaient avec un petit sourire en coin. Je me suis raclé la gorge
- Si nous revenions à nos affaires.
- Je suis sure que Khaled et toi, vous trouverez un arrangement. Cela te permettra de revenir souvent. Jaurai plaisir à te voir de temps en temps. Mais moi aussi jy met une condition à ce contrat.
Elle regardait son mari. Je ne comprenais plus très bien ou nous étions dans cette conversation. Khaled lui a fait un signe de tête comme pour lautoriser à continuer. Jétais décontenancé et jai demandé dune voix étonnée:
- Tu ty connais en informatique?
Elle a rigolé longuement de sa voix si envoûtante. Khaled sest joint à elle et je me sentais un peu bête de ne pas participer à cette euphorie que je ne comprenais pas.
- Cela na rien à voir avec linformatique. Je voudrais simplement que tu me rendes ce que tu me dois.
Je comprenais de moins en moins la tournure que prenait la conversation dans ce salon feutré, à labri de regards indiscrets et de la frénésie de la ville. Manifestement, ils avaient préparé cet entretien ensemble. Je la regardais dans lattente de précision. Elle a soutenu fièrement mon regard. Cest Khaled qui a repris.
- Tu auras ce marché Damien. Je sais que tu sauras te taire. Nous connaissons tes compétences. Et le prix nest pas un réel obstacle à notre partenariat. A une condition. Et même si tu refuses de ty soumettre, je te donnerais quand même laffaire.
Quelques secondes à me dévisager en silence avant quil reprenne :
- Vas-y ma colombe demande lui de te rendre ce que tu veux..
Jai regardé Sylvie et je devais avoir lair inquiet.
- Nai pas peur Damien, je ne veux rien dextraordinaire.
Elle a bu de leau. Manifestement, elle savourait un moment longtemps attendu et cela ne faisait que renforcer mon inquiétude.
- Toi tu ma vu. Khaled et Mourad mont tout raconté. Nous parlons souvent de toi. Je ne savais pas que tu étais derrière le grillage. A les entendre tu avais aussi pas mal de prédispositions pour..... la chose.
Mon regard était accroché à ses lèvres pulpeuses maquillées dun rouge très sombre. Elle parlait très lentement en détachant chaque syllabe et ses paroles me brûlaient le cerveau et le corps.
Les années s'effaçaient dun coup et je devenais à nouveau le jeune étudiant timide et docile. Je nétais plus un chef dentreprise mais un adolescent rouge de confusion et de honte.
Elle sest levée pour se diriger vers un petit réfrigérateur camouflé dans une commode et en a extrait une petite bouteille de coca quelle ma ostensiblement montrée. Puis elle a lentement versé le liquide pétillant dans un long verre quelle ma tendu dune main gracieuse aux ongles longs et parfaitement manucurés. Elle a bien vu que ma main tremblait.
- Tu aimes toujours le coca?
Il y avait un brin dironie sans aucune méchanceté dans sa voix langoureuse. Machinalement jai pris le verre en regardant la petite bouteille sur la table basse devant moi. Javais chaud. Jai desserré le col de ma chemise. Khaled me regardait en souriant. Ils mont fait penser à deux chats en train de jouer avec une malheureuse souris. Et comme la souris, je savais quils allaient me manger.
Je narrivais pas à détacher mes yeux de la petite bouteille posée sur la table basse devant moi. Jai bu lentement le verre de coca pour me donner une contenance. Javais beaucoup de mal à avaler. Sylvie a repris la parole.
- Mourad regrette beaucoup de ne pouvoir être avec nous. Cest lui qui nous a dit que tu aimais le coca
Sous toutes ses formes. Moi qui ne me suis doutée de rien. Cest vrai que jétais déjà trop amoureuse de mon homme pour faire attention à ce qui tarrivait. A les entendre ces deux-là, il parait que tu ne te défendais pas beaucoup
Ils mont tout raconté et maintenant il faut me rendre ce que tu as vu.
Elle ma fixé droit dans les yeux en vidant le reste de la bouteille dans mon verre. Elle était dune beauté à couper le souffle avec son corps dont je me souvenais du moindre détail, moulé dans cette djellaba luxueuse et son visage maquillé à lorientale. Javais beaucoup de mal à parler. Ma voix était nerveuse et hésitante. Jétais extrêmement troublé pour tout ce qui se passait dans cette pièce dun luxe feutré.
- Je ne comprends pas Sylvie. Tu veux quoi?
Elle ne ma pas répondu tout de suite. Ses mains jouaient avec la petite bouteille de coca. Un sourire a étiré ses lèvres charnues. Khaled est intervenu:
- Dis-lui ma colombe. Vas-y. Inutile de le faire languir plus logtemps
Nos regards se sont soudés lun à lautre. Dune voix très ferme et sure delle, elle a repris.
- Jaimerai que lon retrouve le temps passé.
Elle ma servi un nouveau coca et jouait nerveusement avec la bouteille vide en me regardant fixement.
- Damien?
Je narrivais pas supporter les braises de son regard et ne comprenais absolument pas ou elle voulait en venir. Malgré ma gêne à la trouble évocation du passé, jai fait la bétise dun commercial débutant en voulant la brusquer.
- Oui Sylvie. Que souhaites-tu? Dis le moi enfin !
Un éclair de colère dans ses yeux. Une voix dure que je ne lui connaissais pas.
- Je veux..... Je veux que mon mari tencule. Ici ! Devant moi ! Comme Mourad la fait devant dautres et comme ce que tu as vu dans le hammam ce jour-là.
Je lai regardée dun air effaré. Elle a ajouté dune voix plus douce.
- Sil te plaît comme au bon vieux temps. Tu nous a vu Khaled et moi, je voudrais voir moi aussi.
Jétais complétement décontenancé par la tournures que prenaient les événements. Je les dévisageais stupéfié et le fin sourire narquois de Khaled ne ma pas échappé. Sylvie a repris la parole.
Sa voix a vite remplacé la supplique par de lautorité. Comme par magie, elle est devenue brusquement cynique et arrogante.
- Je suis sûre que tu en as envie. Il parait quil faut quon te force un peu. Nous pouvons appeler le majordome.
Comme un automate, je me suis levé. Khaled aussi. Je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire. Je ne voulais ni rester ni partir. Mon visage devait être cramoisi. Tous les souvenirs ressassés pendant ma promenade pesaient sur moi. Je me sentais craquer.
Sylvie sest approchée de moi. Je sentais son parfum capiteux et enivrant. Ses mains ont écarté les pans de ma veste. Je nai rien fait pour l'empêcher. Je ne pouvais pas bouger, ni même parler. Son parfum très lourd, montait dans mes narines et ses mains posées bien à plat sur ma chemise mont électrisé.
Nous étions à présent debout les trois. Kalhed derrière moi et elle face à moi. Ses fines mains sont descendues lentement pour se fixer sur la ceinture de mon pantalon. Je navais pas la volonté l'arrêter et je savais parfaitement quen cas de révolte, Khaled laiderait. Immobile, je regarde les reliefs du repas sur la table pendant que ses mains sactivent autour de ma taille.
- Cest incroyable, tu nas absolument pas pris un gramme.
Mon pantalon tombe souplement autour de mes chevilles. Je ferme les yeux quand elle saisit lélastique de mon slip qui suit rapidement le même chemin que mon pantalon.
Sans vraiment le comprendre, je me suis retrouvé nu à partir de la taille. Je devais être ridicule avec mon veston, ma chemise et ma cravate et le cul à lair. Le pantalon et le slip autour de mes chevilles mempêchaient de bouger. Sylvie ne me quittait pas des yeux. Jai baissé les yeux. Javais honte de mon comportement devant elle et pourtant je ne faisais rien pour me revêtir. Jai sursauté en sentant des mains sur mes fesses.
- Tu as toujours un aussi beau cul. Cest dommage que tu ne te rase plus. Jai souvent parlé de ton cul et de ta bouche à Sylvie. Mourad aussi en parle souvent.
Khaled avait retrouvé le timbre de voix dil y a quinze années. Voix hautaine, méprisante et dominatrice. Il sest collé contre mon dos.
- Regarde le ma colombe.
Sylvie sest reculée pour mieux me détailler. Ses yeux brillaient. Les grosses poignes de Khaled malaxaient mes fesses en me poussant lentement vers le canapé de lautre côté du salon particulier. Ses paumes moites me faisaient vibrer intérieurement. Javançais lentement vers le canapé après mêtre débarrassé de mon pantalon, mon slip et mes chaussures.
- Tu es encore très bandant. Je vais te mettre comme au bon vieux temps. Je suis certain que ton cul sen souvient encore. Jai raconté à ma femme que tu mettais souvent ses sous-vêtements. Je suis sûr que tu te souviens du slip rouge.
Jai parfaitement reconnu le bruit dune braguette que lon ouvre. Jétais redevenue la marionnette dil y a quinze ans.
- Nai pas peur, personne na rien su à lépoque et personne ne saura rien aujourdhui. Jai vraiment envie de faire plaisir à ma colombe. Toi aussi jen suis sûr...
Jétais debout contre le canapé, comme il y a quinze ans devant un lit dans un des bungalow de la plage. Mais cette fois ci, cest une voix de femme qui ma dit de me mettre à genoux sur ce canapé. Jétais face au dossier du canapé et à un mètre à peine du mur blanc de ce salon. Javais encore mes chaussettes noires et ma veste. Et je ne les voyais plus.
- Tu vois ma colombe, il est plus obéissant que nimporte lequel de nos valets.
Khaled sest positionné debout derrière moi. Ses mains mont saisi par les hanches pour me tirer vers lui. Très vite, jai senti le bâton chaud contre la peau de mes globes. Jai frémis en retrouvant les sensations oubliées.
- Cambre toi bien Damien. Montre bien tes fesses à ma femme. Regarde comme son cul est beau ma colombe, un vrai derrière de femme
Vas-y ma colombe, mets en pas mal. Jai fait ma petite enquête et il na rien fait depuis très longtemps. Peut-être même depuis son retour à lépoque. Ajoute ma colombe. Il est presque vierge après tant de temps.
Larabe a écarté mes fesses, dévoilant mon anus inviolé depuis plus de quinze ans. Javais peur, mais je ne faisais rien pour empêcher la suite des événements. Javais la chair de poule. La gorge sèche.
- Pourquoi tu trembles? Cest la peur ou lenvie?
Je ne le savais pas moi-même. Jai tout de suite reconnu lodeur de lhuile solaire. Les fines mains de Sylvie ont enduit ma raie. Machinalement, je me suis cambré pour tendre mon cul. Une espèce de reflex qui mest revenu immédiatement malgré le nombre dannées.
- Ton trou est bien serré. Dommage que tu te sois coupé les cheveux. Jaimais bien tes cheveux de femme. Heureusement quavec ta blondeur, on ne voit pas trop tes poils.
Khaled avait la voix grave et douce. Les doigts fins et agiles de Sylvie parcouraient ma raie; sattardant sur mon trou pour le masser longuement avec lhuile solaire. Les ongles me griffaient légèrement les chairs délicates. Je la laissais faire en frissonnant.
- Cest vrai que tu as un joli derrière Damien. Les femmes font rarement attention au cul des hommes. Mon mari a raison de dire que tu as un derrière de femme. Je suis sûre que ta femme na jamais fait attention à tes fesses. Il faudrat me la présenter dailleurs. Je sais quelle est superbe.
Jai senti une chaleur monter dans mon bas-ventre. Jen avais envie. Une furieuse envie, incontrôlable. Je me suis cambré au maximum, mes fesses allant à la recherche des doigts.
- On dirait que cela tas manqué. Tu as recommencé en France? Peut-être que les hommes de mon mari se sont trompés?
- Non jamais... Plus jamais...
Javais une voix méconnaissable. Une toute petite voix, rien à voir avec celle de Khaled.
- Moi non plus. Jamais depuis que Sylvie ma rejoint.
Des spasmes me parcouraient le corps. Ils partaient du fond de mon ventre et mirradiaient tout le corps. Jattendais en vibrant que le sexe de larabe se frotte contre mon sillon. Je le voulais et je le redoutais. Javais envie et peur; et javais honte de tendre ainsi mes fesses devant mon ancienne petite amie.
- Ne t'inquiète pas. Je vais aller doucement. Détends toi et ouvre tes fesses. Montre bien à ma colombe ton illet.
Jai posé ma tête sur le rebord du dossier du canapé et mes mains ont écartées mes fesses. Je tremblais, mais pas de peur. Quand jai sentis le bout de son sexe contre mon anus, jai faillis gémir, mais ma gorge nouée ne laissait passer aucun son.
- Regarde ma colombe. Tu voulais le voir se faire niquer. Ne perd rien du spectacle. Regarde-le nous offrir sa rosace toute plissée. Regarde comme il se cambre bien. Et son trou, son anus tout serré, regarde comme il brille sous la lumière. Il palpite comme une bouche.
Cest lui qui ma tiré doucement vers sa verge. Son gland bien dur et très chaud a poussé sur mon anus. La pointe de son pieu pressait de plus en plus fort ma corolle inviolée. il est revenu plusieurs fois à la charge, me tirant de plus en plus fort sur son pieu et mon anus a capitulé pour souvrir difficilement sous les poussées viriles.
Jai sentis son gland déflorer mon intimité glissante et sa verge très dure sest enfoncée lentement en moi marrachant des cris aigus de douleur. Javais le souffle coupé.
- Vas doucement mon chéri. Montre lui que tu nes pas un sauvage. Cest incroyable de voir comment un si petit orifice peut avaler ta bitte mon amour. Tu crois que tu vas pouvoir lui enfoncer ton sexe jusquà la garde?
- Ne crains rien ma colombe, je suis sûr quil aime justement les sauvages. Regarde comme son trou souvre bien. Il na pas changé. Jai comme limpression quon va bien samuser ensemble. Il crie peut être fort mais il ne fait rien pour éviter ma bitte. Je vais le niquer jusquà los devant toi ma colombe. Cest bien cela que tu voulais non ?
- Vas-y mon amour, sodomise-le, je veux tout voir. Je veux tout apprendre. Toutes les femmes aimeraient voir un homme devenir femme.
- Celui-là, il y a quinze ans, cétait devenu une vraie pute, à la fin, on lappelait Damia.
- Incroyable que je ne me sois aperçue de rien du tout. Je devais vraiment être trop amoureuse de toi mon chéri. Montre-moi comment on sodomise un homme.
Il a commencé à me tringler en poussant de plus en plus loin et mon cul répondait parfaitement en sélargissant souplement. Je navais plus mal et son gland ouvrait mes entrailles chaudes. Je me suis laissé défoncer devant Sylvie en gémissant de plaisir.
- Regarde-le. Une vraie femelle des rues. Il faut bien balancer les hanches davant en arrière et pousser de plus en plus fort. A chaque poussée, ma bitte entre de plus en plus loin. Tu vois comme cela.
Khaled me tenait à taille et allait de plus en plus vite dans mon ventre. Ses couilles lourdes tapaient les miennes.
- Je vais bien te niquer. Ton cul sest bien ouvert. Regarde mon ange, comme il soffre à mes coups de queue. Tu vois, il a toute la longueur dans son ventre, et il aime ça.
Il a écarté mes fesses pour que Sylvie puisse voir la bitte coulisser le long de ma rondelle dilatée. Jallais à la rencontre de ses coups de reins pour que sa bitte aille le plus loin possible. Jamais je naurais pensé que cette bitte mavait autant manqué.
Je me suis laissé sodomiser devant Sylvie en gémissant de plaisir. Le pieu de larabe tapait le fond de mon ventre marrachant à chaque fois des petits cris de plaisir. Je sentais son sexe devenir de plus en plus dur, de plus en plus épais. Je savais que Sylvie ne perdait rien du spectacle que nous lui offrions. Moi je me concentrais sur le plaisir retrouvé de me faire casser le cul. Je redevenais la salope dantan. Les couilles lourdes de larabe tapaient de plus en plus vite contre les miennes. Je me cambrais, visage levé vers le plafond. Je serrais le bord du canapé de toutes mes forces en gémissant. Il ma tiré vers lui de toutes ses forces me faisant crier de douleur.
- Je vais le remplir à ras bord.
Son foutre a jaillit dans mon ventre. Les jets chauds me remplissaient le fion et moi je me tordais de plaisir. Il a lâché toute sa semence tout au fonds de moi. Mon cul était collé contre son bas-ventre et je me laissais remplir les intestins jusqu'à ce que larabe se soit complètement vidé les couilles devant sa femme.
Il sest enfin calmé et je restais immobile en tremblant toujours empalé sur son sexe vigoureux.
- Dorénavant, tu dois obéir à ma femme. Tu feras tout ce quelle te demande. Cest elle ta patronne. Tu as compris? Tu vas redevenir Damia. Réponds, tu as compris?
- Oui.... Oui....
- Oui quoi?.....
- Je.... Je suis Damia...
- Et le reste?
- Cest elle ma patronne.
- Cest bien.
Quand il est sorti, mon anus lubrifié à recraché un peu de sperme. Javais oublié cette sensation de vide et de manque quand on na plus rien dans le cul.
- Voilà ma colombe. Tu vois quon ne tavait pas menti en te disant que ton ex-copain aimait se faire niquer.
Sylvie a approché le goulot de la bouteille de coca contre mes lèvres. Jai bu avidement sans la regarder. Javais un peu honte, mais en même temps jétais soulagé. Elle a bien vu que je bandais. Elle avait la voix très douce.
- Cest bien Damien ou plutôt Damia. Je nai jamais eu un homme soumis. Je vois que tu as apprécié le sexe de mon homme. Mais ce nest pas encore fini. Ne bouge pas. Garde la même position, tu es tellement beau comme cela. A croquer !
Je suis resté sans bouger, ne comprenant pas bien ce quelle voulait. Rien ne se passait et mon anus relâchait lentement le sperme de Khaled qui coulait le long de lintérieur de mes cuisses.
Un courant dair dans la pièce. Quand je veux me retourner pour voir ce qui se passe, Khaled me bloque la nuque sur le canapé. Sylvie reprend:
- Il parait que tu aimes offrir ton cul au premier venu. Tu vas être servi, il me faut une autre leçon.
Je devine que nous ne sommes plus seuls. Sylvie se met à parler en arabe. Du ton hautain dune maîtresse de maison. Quelquun se place derrière moi. Un bruit de fermeture éclair. Jai juste le temps de dire non avant quune queue inconnue mempale brutalement. Je crie de douleur. Douleur et surprise de me faire prendre sans aucun préliminaire.
La bitte me semble énorme. Je ne sais pas qui est en train de me planter une queue dune telle dimension. Mes yeux sembuent de larmes et jentends à peine Sylvie
- Tu es en train de te faire enculer par notre chauffeur et il a été particulièrement bien doté par la nature.
Je gémis comme une femme sous les coups de boutoir de linconnu. Moi le dirigeant dentreprise, marié à une femme que jadore, père de deux s, jétais en train doffrir mon cul au premier inconnu devant mon ex-copine. Le pire du ridicule, cest que javais toujours ma veste, ma chemise et ma cravate sans oublier mes chaussettes noires pur fil dEcosse.
Le gland tape durement au fonds de mon ventre me poussant contre le dossier du canapé. Je ne peux rien voir mais je sais que Khaled et Sylvie regardent la scène et larabe me serre toujours la nuque pour que je subisse la loi de son chauffeur qui me laboure en profondeur.
- Tu vois ma douce, une fois quon la ouvert, un cul shabitue vite aux plus grosses tailles.
Je gémis de plus en plus fort.
- Ecoute Damia gémir. Ton ex est une vraie putain. Pire même puisquil est gratuit. Regarde cest loin dêtre fini.
Khaled passe à larabe et linconnu me fait mal en me sodomisant durement. Je crie sans pouvoir me retenir. Il mécarte les fesses au maximum pour bien montrer mon trou dilaté. Un coup de reins dune violence inouïe et un torrent de liquide dans mes entrailles dévastées. Les jets sont interminables et mon cul se rempli à nouveau de semence virile.
La bitte reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Nous restons immobile quelques secondes. Sylvie dit quelque chose en arabe. La bitte sort rapidement. Je lâche un pet. Un nouveau courant dair dans la pièce. Un bruit de porte. Khaled lâche ma nuque. Je mécroule sur le dossier.
Devant mes yeux embués, la main de Sylvie tient un tampon périodique qui se balance au bout de sa ficelle.
- Mets le lui ma colombe. Il ne faut pas quil tache ses vêtements. Et on na plus besoin de son anus pour le moment.
Elle me la enfoncé dans mon fion encore dilaté. Jusqu'à la ficelle. Mon trou la accueilli sans problème. Elle a pris le même ton autoritaire que son mari.
- Va dans la salle de bain à côté. Tu trouveras une djellaba, cest bien plus pratique que ton costume. Bien sûr tu gardes le tampon.
Jai du mal à marcher et je garde les yeux baissés. Honte de croiser leurs regards, ou reflex de soumis. Je ne sais pas. Un peu des deux peut être.
Dans la luxueuse salle de bain, je nose pas me regarder dans la glace. je ne pense à rien. Jagis comme un automate. Après une douche brûlante, jenfile en tremblant le vêtement propre et frais. Le tissu est très fin, presque transparent. Jai mal au ventre et la ficelle entre mes fesses, me gêne. Jai envie de jouir mais je ne touche pas ma queue. Je retourne dans le salon.
Ils sont à table en train de manger le dessert. Je me joins à eux. Il y a une énorme corbeille de fruits au milieu de la table. Je nose pas parler ni les regarder. Sylvie me tends une banane.
- Mange Damia, il faut que tu prennes des forces. Tu dois aimer les bananes non ?
Elle a lourdement insisté sur mon prénom. Impossible dignorer le sous-entendu avec ce fruit. Sylvie appuie sur une sonnette devant elle. Quelques secondes à peine et la porte souvre. Cest le maître d'hôtel.
Il me regarde, mais il reste impassible même en découvrant mon pantalon, mon slip et mes chaussures sur le sol devant le canapé. Il va jusquà les ramasser pour les porter dans la salle de bain avant de revenir vers nous.
- Tarek?
- Oui Madame?
- Notre invité souhaite un fruit un peu plus consistant quune banane. Pensez-vous pouvoir lui trouver quelques chose?
- Bien sur Madame, nous sommes ici pour satisfaire tous les désirs de nos clients. Surtout quand ils sont les invités de Monsieur et Madame. Jai déposé ce que Madame a demandé dans la salle deau. Si Monsieur ou Madame souhaitent autre chose, toute la brigade reste à votre disposition.
- Merci Tarek et bravo pour votre efficacité.
- Cest un honneur pour toute la brigade Madame de vous servir.
Il part en refermant la porte. Sylvie se lève et vient à mes côtés. Un de ses mains fraîches se glisse dans léchancrure de la djellaba pour me pincer la pointe de mon sein gauche
- Je suis vraiment contente que tu sois là, je sais que tu reviendras souvent parmi nous. Il faudra habi ta femme, je te préfère complètement épilé comme avant. Il faudra venir avec elle et tes s un jour.
Jai pâlît.
- Non ! Non ! Nai aucune crainte de ce côté-là. Rien ne filtrera. Jamais. Fais-moi confiance
Il nous reste encore du temps, je vais me refaire une beauté.
Khaled me regardait et je ne savais pas quoi dire. Il sest levé au bout de quelques minutes. Je lai imité. Je sentais que tout cela ne finirait pas comme cela.
Le tampon périodique occupait toute mon ampoule anale. Il avait dû absorber les trop-pleins spermes. La ficelle me grattait. Larabe ma flatté les fesses comme on flatte la croupe de son chien.
- Tu auras ce contrat Damien. Je laime trop pour te refuser ce contrat Et tout ce qui se passera dans mon pays sera tenu secret. Tu nas rien à craindre. Elle a beaucoup de tendresse pour toi.
Puis il a changé de ton.
- Maintenant Damia tu vas aller te mettre à genoux face au canapé.
Il ma suivi sans lâcher mon derrière.
- Penche-toi. Plus que cela, le torse sur le canapé. Tourne ta tête vers le mur et écarte tes bras. Je te veux offert et aussi soumise quune bon trou-à-bittes.
Il est venu près de moi, a retroussé la djellaba jusquà la taille, men couvrant la tête. De moi-même, jai écarté les jambes. Cest lui qui ma débarrassé lanus du tampon. Sensation de soulagement.
- Il est prêt ma colombe.
Jai cru quelle voulait à nouveau me faire sodomiser par son mari. Je ne voyais rien avec le tissu sur ma tête. Jai reconnu son parfum. Je nai pas compris ce quelle faisait. Khaled a pressé sur mes fesses mobligeant à baisser un peu mon derrière.
Jai reconnu les douces mains de Sylvie qui ouvraient mes fesses. Puis un truc froid contre mon anus. Cest Khaled à présent qui tenait largement ouvertes mes fesses. Le truc froid poussait contre mon anus. Je ne comprenais pas ce qui se passait.
- Cest bien ma colombe. Comme cela..... Pousse maintenant. Recommence plus fort. Encore
Fais-le plusieurs fois. Ca va entrer dun coup.
La pression contre mon anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre ma corolle. Je ne comprenais pas ce qui entrait dans mon intimité mais cétait épais, très épais. Ma corolle se dilatait douloureusement. Plus gros que le sexe du chauffeur. Les larmes aux yeux, je serrais les dents.
- Vas-y pousse ma colombe.... Nai pas peur... Pousse encore...
- Jai peur de lui faire mal...
- Non au contraire plus il crie plus il bande... Et Nasser la bien préparé. Vas-y dun coup sec de toutes tes forces
Le pilon a ouvert brusquement mon muscle anal, m'arrachant un cri de douleur. Je commençais à comprendre ce qui marrivait. La personne derrière moi ne me pistonnait pas et se contentais de pousser pour menfoncer lengin au plus loin possible.
- Jarrive pas plus loin.
- Mais si ma douce, tu vas y arriver... Donne un grand coup de bassin.... De toutes tes forces ma colombe.
Jai brusquement cru que mon ventre avait explosé sous la pénétration du monstre froid et gluant. Jai poussé un long gémissement et en même temps, Sylvie sest collée sur mon dos.
Les yeux injectés de larmes de douleur, jai sentis sa main chaude tenir mon sexe dressé contre mon ventre.
- Cest vrai que tu aimes cela et que tu bandes. Il y longtemps que je rêvais de tenculer Damien. Depuis quils mont raconté. Jai fait fabriquer ce gode spécialement pour toi par un des artisans du souk. Cest un bijoux.
Elle ne bougeait pas. Son bassin bien collé contre mes globes tendus. Moi jattendais que la douleur sestompe en cambrant bien mes reins. Elle a lâché mon sexe.
- Cest incroyable que tu puisses bander avec ce que tu as dans ton cul. Cest un slip avec un godemiché. Le gode a la même taille que la bouteille de Coca. Cest Mourad qui ma dit que tu arrivais à marcher avec un tel engin dans le cul. Maintenant je vais te sodomiser comme un homme ma petite Damia. Ici, ils disent je vais te niquer comme une kahba.
Elle a commencé à me limer et je voyais mille étoiles dans les yeux. Javais mal, très mal et envie de jouir. Mon visage frottait contre le tissu du canapé. La bitte coulissait de plus en plus vite et Sylvie trouvait le bon rythme pour me dévaster les intestins.
- Cest vrai que tu as le trou comme un hall de gare....
Elle haletait et donnait des coups de reins de plus en plus violents. A chaque fois le bout du gode me tapait le fond et me faisait sursauter de douleur. Cela a duré longtemps, très longtemps. Javais mal et ma bitte tendue narrivait pas à cracher. Et toujours sa voix douce à mon oreille:
- Ca te quel effet de te faire enculer par une femme? Tu sens comme tes dilaté? Tu as vingt-cinq centimètres dans le cul. Après ça tu auras du mal à tasseoir ma chère Damia.
Les pointes de ses seins contre mon dos. Ses jambes fines contre les miennes. Son souffle chaud dans mes cheveux courts. Et sa violence à me défoncer lanus.
- Tu sais que ce slip se retourne?. Cest une pure merveille. Tu vas voir.
Elle arrête et me libère. Mal au ventre, au cul et honte de bander. Je reste sans bouger. Au bout de quelques seconde de silence, Khaled a pris la suite.
- Lève-toi... Allez Damia debout.
Je suis debout. Mes jambes tremblent. Sylvie est toujours là, mais elle ne porte plus le god. Elle est habillée. Khaled me montre laccessoire en souriant. Le gode de couleur chair est luisant de gel. Heureusement, il a lair propre. Un objet magnifique en ivoire ciselé des mêmes motifs que sur la petite bouteille de coca. Il est vissé à une culotte de couleur chair en latex. Sylvie na pas menti sur la taille de lengin. Impressionnant.
Sylvie prend le slip et le retourne. Le gode est à lintérieur du slip.
- Je suis sûre quil est parfaitement à ta taille ce slip. Il faut que ça serre un peu.
Cest elle qui me lenfile. Je me contente de lever une jambe après lautre. Elle remonte le slip le long de mes jambes. Bien sur le gode est du côté des fesses. Il est froid dans ma raie.
Khaled laide à peine, uniquement pour menfoncer de nouveau le gode dans mes reins. Le slip en latex chair enveloppe mes fesses et mon pubis. Cest un carcan serré. Le gode fiché en moi moblige à me pencher pour atténuer la sourde douleur dans mon ventre. Sylvie vérifie la bonne tenue du slip et pousse le bout du god pour quil entre encore plus loin.
- Tu vas le garder jusqu'à ce soir. Tu resteras chez nous dormir. Tu es notre invité. Mourad viendra aussi. Tu seras ma femelle bien obéissante.
La djellaba retombe. Le maître d'hôtel entre. Il me regarde en souriant très obséquieusement. Jai mal au cul.
- Vous ramasserez les vêtements de Monsieur dans la salle de bain et les ferez livrer chez nous. Conduisez Monsieur à notre voiture.
- Bien Madame...
- Tarek, Monsieur va avoir un peu de mal à marcher normalement. Il faudra lui faire traverser la salle lentement.
- Je propose à Madame de faire passer Monsieur par les cuisines. Les commis comprendront puisquils ont vu le cadeau de Madame.
- Pourquoi pas ! Je vous autorise même à leur montrer, mais personne ne touche. Allez vas Damia suis le. Nasser va te conduire chez nous, mais avant, à ton hôtel pour reprendre ta valise. Ils sont prévenus. A ce soir.
Jai obéis à ses ordres et suivit le Maître dhôtel en marchant à lécarté et en bandant.
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