Collection Lesbiennes. La Mère Supérieure Du Couvent (2/4)
Cétait ma première journée au couvent où mes parents mont conduite ne pouvant assumer deux dots pour leurs deux filles, Anabelle ma sur va avoir le privilège de trouver un mari avec la dot que mes parents vont lui allouer.
À mon avis, je découvre le noir dessein quils ont pour moi, un couvent près de Nantes ou tous les ans, ils déposeront une somme dargent pour que je sois reconnu dans mon nouveau lieu de villégiature.
Dès mon arrivée, les surs me mettent à poil avant de mhabiller en novice, leurs mains sur mon corps ayant tendance à mémoustiller.
Cétait une toute petite étape, car le soir, je me trouve rattacher au service de la mère supérieure, Marie des Anges qui en réalité sappelle Séraphine, ça ne sinvente pas, elle tient que, lorsque nous sommes ensemble à ce que je lappelle ainsi.
Quand elle me demande que je laide à la dénuder, je remarque que son dos est déchiré, elle se flagelle pour expier ses pêchers et ainsi éviter de se confesser auprès du vieux curé affecté à notre couvent.
Je me demande ce que je vais faire quand je le rencontrerai, les jeux que Séraphine mapprend, étant très difficile à lui confesser.
Je dormais, quand du bruit dans la pièce de la supérieure me réveille, je viens discrètement regarder ce quelle fait, elle sinflige une séance de flagellation avec un drôle de martinet ayant plusieurs lanières terminées par de petites boules en bois.
Cest à ce moment que la porte souvre et que je sens une main sur mes seins et lautre sur ma bouche.
Heureusement que cette deuxième main vient sur la bouche, jaurai certainement hurlé, la personne qui est entrée parle dans un murmure.
Regarde Josette, cette salope se caresse le dos, dit moi Aurore, que lui as-tu fait pour quelle se punisse.
En temps normal, elle trouvait un motif pour faire ses petits jeux pervers avec Josette une fois par semaine afin que son dos guérisse, là, il y a quatre jours, tu as dû sérieusement lexciter.
Je comprends à la voix que sur Marie et Josette qui viennent de me rejoindre pour voir notre supérieure se faire du mal pour expier en toute tranquillité nos turpitudes.
Elle finit par tomber dépuisement à même son lit son martinet en main et semblant dormir.
Venez les filles, elle va dormir jusquà ce que la cloche de six heures nous réveille, allons nous rafraîchir à la mare.
Jignorais que ce couvent a une mare, je les suis toujours en chemise de nuit, la pleine lune nous permettant de nous déplacer facilement.
Les deux surs me tiennent chacune la main, je les suis pensant à limpunité, je les ai crus quand elles me disent que Séraphine va dormir comme un bébé.
Au fond du couvent après le jardin aux légumes et aux fleurs avec lesquelles les surs décorent la chapelle où nous avons prié, elle est là sa surface brillant des reflets de la lune, des grenouilles coassent, elles me lâchent les mains et font passer leur chemise de nuit par-dessus la tête, gardant les coiffes cachant nos cheveux et sautent directement dans leau.
Je freine des quatre fers, jenlève ma chemise, entrer dans cette eau sombre me fait un peu peur.
Allez peureuse, viens nous rejoindre, tu verras, elle est bonne.
Marie se met à nager, ce que je ne sais pas faire, mais pour éviter de passer pour une nunuche, je finis par me trouver dans leau jusquà ma poitrine, la chaleur de cette nuit se trouve radoucie par leau qui coule le long de mon corps.
Aurore, sais-tu nager ?
Non, nous sommes allées à un lac pic niquer une fois, nous navions aucun maillot, nous sommes sagement restés sur le sable.
Cest lété, dici quelques jours, quand la vieille sera endormie, tu viendras nous rejoindre et je vais tapprendre.
Cest ainsi quelle me donne ma première leçon, elle me tient sous le menton alors que je vois ses seins sortis de leau, que marrive-t-il, je me surprends à avoir envie de les prendre dans ma bouche.
Cest ce que je fais une demi-heure plus tard quand ayant un peu froid, nous rejoignons un coin dherbe quelles semblent entretenir avec soin, je tombe sur les fesses avant de mallonger pour regarder les étoiles.
Mes deux compagnes mont suivi et chacune delles dans un même élan sattaque à mes seins avec leurs bouches, la sensation de ces deux bouches complètement différentes dans leur approche me fait mouiller.
Lune se met à me mordiller et lautre lèche consciencieusement ma fraise, merci papa, merci maman, moi qui aspirais à rencontrer un homme, en quelque temps, jai déjà trois femmes qui souhaitent faire de moi leur chose.
Vingt-deux, ici les surs sont vingt-deux, vous en enlevez dix qui sont hors cadre, je sens que je vais devenir une parfaite lesbienne, si javais connu cela plus top, Lucas aurait pu ranger sa queue dans sa poche avec son mouchoir par-dessus.
Lèche-nous, tu las fait à la mère supérieure ?
Oui, vous avez dû lentendre jouir !
Pour sur, nous attendions quelle se flagelle et quelle sécroule comme on te la dit pour venir te retrouver, tout le couvent est réveillé quand notre sur passe une nuit de débauche.
Et cest souvent, une fois par semaine en moyenne, elle prend soin de son chat à sept queues.
Il y a des chats dans le bâtiment, je nen ai pas vu la queue d'un de la journée.
Pauvre , tu ny connais rien dans les jeux amoureux, le chat à sept queues est le martinet quelle se sert pour se flageller, tu verras rapidement quand ce sera sur toi que les billes en buis sabattront, tu le sentiras passer, dautant plus quelle ne retient pas ses coups, regarde mes fesses.
Elle me montre ses fesses et malgré le peu de luminosité, je vois nettement ce quelle a dû subir.
Lèche-nous, il va falloir aller se coucher, la cloche va tinter et nous naurons pas fermé lil, demain nous avons le changement des draps et leur lavage, vingt-trois multiplier par deux, quarante-six draps à faire bouillir, quarante-huit, car il faut deux paires par semaine à sur Marie-Madeleine faisant sous elle.
Je mapplique à faire comme la première fois, Josette me mordait le sein, je lui mords le clito la faisant tomber en pâmoison, heureusement que nous sommes éloignés du corps de bâtiment, ce serait à leur tour de réveiller tout le monde.
Nous nous relevons et sans remettre nos vêtements que nous prenons sous notre bras, nous regagnons nos cellules, si je mattendais à ce qui va marriver, je serais restée près de la mare.
Alors petite dévergondée, doù viens-tu, je parie que cest Marie et Josette qui tont emmené pour te dévergonder, jai fait un cauchemar, je me suis réveillée en eau, je voulais que tu me passes une serviette sur le corps.
Je tai appelé, tu mas obligé à me lever alors que mon dos me faisait mal à cause de toi, après tes turpitudes, je suis obligée de me punir pour éviter de le dire au curé.
Je vois que tu es nue, on va gagner du temps, allonge-toi sur le ventre, tes fesses bien dégagées, je vais chercher ce quil me faut pour te punir à mon tour, je ferais gagner du temps pour ta confession.
Pas le chat à sept queues, pas les billes de buis, je tourne la tête pour éviter de voir, comment elle veut me corriger.
Celle-ci fera laffaire, fine et souple, il va ten cuire.
Pour men cuire, il men cuit, le premier coup me fait hurler et à partir de ce moment chaque coup quelle me porte entaille mes fesses, mais au fure et à mesure, je flotte dans une douce torpeur, il se peut que jaie tourné de lil.
Ce quil y a de sur, cest que la chatte coule mouillant abondamment mes draps, demain matin, il faudra que je demande aux deux garces que je vois planquer derrière la porte de ma cellule quelles ont entrouverte, me les changent comme ceux de la sur incontinente.
Jarrête de compter à trente, alors que je suis sûr quil y en a quelques-uns de plus, comment vais-je faire pour masseoir demain ?
Tout ce quil y a de sur, cest que la cloche va sonner sans que jaie pu dormir, la moindre minute, mon fondement me faisant énormément souffrir.
Dans sa chambre quelle a rejointe, jentends sur Marie des Anges, scier du bois.
Comme mon père le faisait quand jétais petite à mille lieues de penser que je finirais ici au milieu dun tas de gougnottes.
Jai dû finir par mendormir, mais une fois vêtue, les mains jointes, nous prenons le chemin de léglise, sur la tête, je nai que la coiffe couvrant nos cheveux, je prendrais le voile dans quelques années, deux minimums quand la mère supérieure sera sûre de mon amour pour le très haut, devenant mon mari.
En marchant le tissu qui frotte mes fesses, me procure un mal à la limite de la jouissance, tu es malade Aurore, ne vas pas prendre goût à la flagellation où tout autre forme de punition.
Les prières et les chants quil me faut apprendre terminés, nous prenons le chemin du réfectoire où une tranche de pain et un verre de lait nous attendent.
La mère supérieure prend la parole avant de nous autoriser à nous asseoir.
Mes surs, cette nuit plusieurs dentre vous, se sont mal conduites, jai surpris notre novice fraîchement arrivée hier revenant de se promener nue dans les couloirs ou tout autre endroit.
Je sais que quelques-unes dentre vous étaient avec elle, je veux bien pardonner comme le demandent les Saintes Écritures, mais je ne tolère pas que mon autorité soit contestée.
En attendant et avec un minimum de trois jours, sur Anaïs asseyez-vous, sur Aurore aller derrière son pupitre pour lire les textes saints, leurs messages te tiendront lieu de repas, alors mes surs qui samusent la nuit à dévergonder les novices ?
Bien sûr, je regarde sur Marie et Josette qui ont un sourire ironique, mais qui ne bougent pas, les garces, elles savaient que notre supérieure serait réveillée et me punirait.
Cest ainsi que pendant trois jours, je nai le droit que dun verre deau afin de pouvoir lire ce gros livre que je commence à lire
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