Le Cocu D Isabelle Au Cinéma Suite
Le lendemain soir Isabelle me dit que Michelle doit passer la voir pour lui parler de sa séparation et que cela serait bien si je pouvais aller faire un tour une petite heure afin quelle puisse discuter « entre femmes ». En bon mari docile jaccepte, non sans dabord morganiser. Jai bien lintention de savoir ce qui va se dire entre ces deux complices. Je vais chercher mon dictaphone dans ma mallette et mets une cassette neuve dedans, je le laisse sous le canapé pendant quIsa est dans la cuisine. Il va falloir que je le mette en route juste quand Michelle va arriver. Une petite demi-heure plus tard Michelle sonne à la porte, je laisse Isabelle ouvrir et démarre le dictaphone. Une rapide bise à Michelle et je prends mon manteau prétextant des courses à faire. Si tout va bien je vais en savoir plus sur la fin de soirée au cinéma. En rentrant je croise Michelle qui sen va me lançant un petit regard amusé et moqueur. Discrètement je récupère mes « écoutes » je les écouterais demain.
Effectivement lécoute de la cassette men a appris plus (heureusement quelles sont allées discuter dans le salon) :
Quelques minutes sans importance puis :
Michelle : Alors tu vois je tavais bien dit que tu allais tamuser !
Isabelle : ah oui tu mas bien piégé je ne my attendais à celle-là, cest malin
M : Tu as bien aimé ma surprise non ?
I : oui mais bon Frank quand même tu aurais pu trouver mieux
M : Depuis le temps quil me parlait de toi, à chaque fois que je voyais Serge (jai compris que cétait le prénom du grand type avec Michelle au cinéma) il me demandait darranger le coup avec toi. Dès quil te voyait son pantalon gonflé, sil avait pu il se serait branlé devant toi rien que pour le plaisir que tu le regardes.
I : enfin quand je les ai vu arriver jai quand même été surprise.
M : si tu ne voulais pas pourquoi tu tes laissée faire ?
I : à force de te voir te faire peloter par Serge ça ma chauffé et puis il arrêtait de vouloir membrasser, je me suis dit après tout ça va le calmer mais pas du tout, il a une langue.
M : et pas que la langue hein ma cochonne !
I : oui pas que la langue mais quand même envoyer Maurice (le vieux en costume sombre) pour me caresser cétait beaucoup.
M : Non Maurice cétait pas moi, je lai bien vu arriver mais je savais quil allait essayer de te tripoter
I : Jaurais bien voulu te voir à ma place : Frank qui me caressait les seins en memballant comme un fou et Maurice la main dans ma culotte qui agitait ses doigts sur mon bouton, ça ma rendu folle.
M : on a vu ça avec Serge
I : oui ne ten as pas perdu une miette
M : et toi une goutte !
I : jallais pas le laisser dans cet état là, je me suis dit je le branle et cest bon. Mais quand jai senti le morceau jai été étonné quand même, Bien monté Frank ! tu le savais ?
M : Serge men avais parlé, ils ont fait du foot ensemble alors il lavait vu dans les vestiaires.
I : ouais ben quand il a pris ma tête je savais que jétais bonne pour une bonne pipe, de toute façon je mouillais comme une folle sous les doigts de Maurice alors je me suis lancé...
M : ça a été rapide !
I : oui il ma tout lâché dans la bouche tout de suite et ça vous a fait rire hein ?
M : Te voir relever la tête avec les joues pleines de sperme jusquau moment où tu as tout avalé, oui ça nous fait rire tu avais lair étonné et contente, Serge ma dit quil aurait bien aimé être à la place de Frank à ce moment-là le salaud
I : pour linstant ça me suffit je te le laisse
M : Maintenant dis-moi ce quil sest passé après, il ta raccompagné et alors ?
I : Il a tenu à me ramener, ça tombait bien car à force de me faire caresser je tenais plus. On est monté dans sa voiture il a pris la direction de chez moi , jen pouvais plus, jai commencé à me caresser en remontant ma jupe, il ma dit « ten veux encore ? » oui jen voulais il y as pas de raison quil soit le seul à jouir, non ?Il a pris la direction du petit bois, tu vois en haut de la côte.
M : oui le bois de rencontre des homos
I : oui là, il a garé sa voiture sur le petit parking, moi je me caressai toujours, jai retiré ma culotte, il a baissé le siège et cest lui qui ma branlé, cest doigts sont rentrés sans peine tellement jétais mouillée. Il ma faite jouir rapidement jen pouvais plus. Il a sorti sa queue là jai pu la voir avec plus de lumière : tu avais raison un beau morceau bien droit, merci du cadeau au fait. Je me suis assise sur lui et je peux te dire que jen ai profité.
M : oui jimagine ma cochonne tétais à fond !
I : oui, a un moment il ma demandé darrêter, je me suis rassise sur le siège, il sest redressé et tu avais raison : il avait envie de se branlé devant moi. Il a lâché la purée sur mes cuisses, il devait avoir fait une réserve parce que javais partout.
M :eh bien je savais que tu avais besoin de téclater. Jai bien vu que tu étais en manque de queue mais tu as été rapide à la détente, tu es une belle salope quand même.
I : parle pour toi cest toi qui ma mise dans cette situation.
M : tu as raison, quand est ce quon recommence ? tu sais que tout tes clients ont envie de te sauter
I : je sais mais ceux qui insistent le plus sont pas les plus beaux ni les plus intelligents.
M : non mais ils ont de « réserves » comme tu dis, cest tout ce quon leur demande, il en a un qui doit en avoir cest Philippe tu sais le petit mec divorcé qui vient avec ses frères.
I : il est petit pas beau et hyper lourd je sais pas trop en plus il fait copain-copain avec Denis alors..
M : il fait copain-copain pour mieux tapprocher, il ma dit que Denis était un connard qui mériterait dêtre cocu.
Ensuite jai entendu des éclats de rire avant que la cassette ne sarrête.
Il allait falloir que jattende pour voir qui serait le prochain car il y en aurait dautres, cest sûr
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