La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1067)
La Comtesse et son clitoris (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Je mapprochais et me mis à genoux Très doucement, il me prit la nuque et lapprocha lentement, mais quand même fermement, de sa verge dressée. Il ne me demandait rien mais jouvris la bouche pour la première fois de ma vie, jallais prendre en bouche un sexe masculin, je réalisai donc ma toute première fellation
Très gauche, (cétait la première fois), jouvris la bouche et pris le gland, commença à passer ma langue dessus et sur les contours
Je le ressortais, pour mieux le regarder
je vis les contours, y passa de nouveau le bout de ma langue innocente, repassa dessus, sur la fente du méat qui était humide. Le goût initial durine que je pensais me surprit, jy trouvais même un goût de sucre. Etonnée et enhardie, je poursuivais mon léchage, prenait le gland entièrement, laspirais, en pressant les lèvres, descendait de plus en plus bas (mon dieu que cest long, ce truc !) et enfin je lavalais pratiquement entièrement. Lentement, très lentement, je remontais, redescendais, remontais, mais je sentais que ce je faisais lui plaisait car il me caressait les joues avec beaucoup de douceur, ce qui me permettait de me détendre
A un moment donné, il me fit me relever, me mettre devant lui (jétais entièrement nue) il commença par me palper les seins, les soupeser, samusait à caresser mes tétons, léchais les aréoles, aspirait mes bouts de sein, les mordillais puis les étirais mais toujours avec douceur, entre ses dents, je commençais à sérieusement avoir envie sentant mon bas-ventre réagir grandement à son savoureux traitement par une forte humidité qui y régnait
Tout en continuant son manège, il passa ses doigts le long de ma fente vulvaire, la trouva humide, remonta sur mon clitoris, le toucha, et là, tout dun coup, je me mis à trembler de tout mon corps. Sen apercevant par de grands yeux et un sourire plein de gourmandise, il décida daccen sa masturbation manuelle sur mon si sensible bouton rose.
Ma bouche engloba donc tout son sexe entre mes lèvres. Avec mes mains, je caressais ses couilles, ce qui avait lair de lui plaire car je lentendais gémir de plaisir. Je sentais quelles étaient bien pleines et cela me donna envie de faire glisser sa grosse bite plus au fond de ma cavité buccale, de sentir son gland sur ma langue. Je ne voyais pas son visage mais jimaginais quil devait exprimer du plaisir écoutant son souffle court. Le liquide qui sécoulait lentement de la verge excitée avait plutôt bon goût. Cétait nouveau pour moi mais pas désagréable, au contraire. Cest alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres. Ca y était, je faisais ma première fellation ! Lhomme me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça maidait à bien moccuper de lui. Je ne savais pas comment cela allait finir, mais je me devais de le faire jouir. Il devait être fort excité par la situation aussi à sentir la grosseur raide, dure de sa verge dans ma bouche. Il avait deviné, je pense, que jétais novice en la matière. Cela devait augmenter son désir plus que de raison car il ne mit pas longtemps à jouir menvoyant une première giclée de sperme chaud, collant sur ma langue, suivie par dautres en saccades successives.
Le temps pour lui de récupérer un peu, il me fit me remettre debout dabord, reprit le branlage de mon clitoris, tandis quune main passait et repassait sur mes fesses. Il sinsinuait entre elles, cherchant mon anus. Celui-ci trouvé, son doigt se posa dessus et je me serrai de suite instinctivement. Il me demanda décarter moi-même mes fesses, ce que je fis après hésitation
Jétais penchée en avant, et il entreprenait à faire pénétrer son doigt mais jétais sèche. Il me présenta son doigt que je prenais dans ma bouche et celui-ci bien mouillé, il le reposa à lentrée de mes fesses, poussa un peu sur mon anus, le temps que le serrage/ouverture se refit, et le doigt commença dentrer lentement, puis ressortit, puis rentra à nouveau plus profondément
en faisant des cercles pour en élargir louverture. Maintenant son doigt entièrement entré en moi, ses cercles détendaient doucement mon ouverture, qui peu à peu se relâchait, ressortis son doigt, me donna à le mouiller à nouveau avec un second doigt. Les deux doigts firent leur entrée à nouveau, et à un moment donné, je ressentis des sensations de vibrations
en même temps, il travaillait le clitoris, lensemble des deux actions, commençant très sérieusement à mexciter. Je me mis à trembler sur mes jambes écartées
Ce traitement dura une bonne dizaine de minutes quand il se leva, posa sur mon anus, son gland redevenu dur et énorme, je sentis quil poussait me tenant par la taille, fermement par les hanches, et lentement il entrait dans mon cul mais son sexe dépassait en largeur ses deux doigts. Au fur et à mesure quil senfonçait en mon fondement, des fulgurances menvahissaient, je tremblais de plus en plus, et mon clitoris subitement semballa si vivement, je remuais tant, que le Prof senfonça dun seul coup jusquà la garde.
- Ah ! oui ! dis-je Que cest bon, Monsieur
Entendant mes propos quil devait prendre pour un accord, le Professeur commença des va-et-vient, lents au début permettant de faire le passage de sa hampe dans des allers et venues profonds et dilatants. Puis au bout dun moment il alla plus vite, plus rapides, par des va-et-vient qui mélectrisaient entièrement quand il accéléra clairement la cadence à faire cogner ses couilles contre mes fesses. Je soufflais, je beuglais, je bavais... je devenais tétanisée par limpression foudroyante qui arrivait
mon ventre gonflait de plaisirs, je sentais encore et encore ses testicules battre le long de ma fente vulvaire, et ces battements déclenchèrent un ouragan orgasmique, tel, que je trépignais, je gloussais, je tremblais, les allers et retours du sexe en mon cul, se prolongeant, sans que son éjaculation ne vienne, il me prenait sauvagement, bestialement et je jouissais telle une bête, possédée analement pour la première fois de ma vie, avec une sensation dappartenance ressentie par moi, très fortement. Mon orgasme ce jour-là me fit si trembler sur mes jambes, que le Professeur dut me tenir sur ses bras. Toujours empalée, il me fit mettre ma jambe droite sur son bras droit et la gauche sur le bras gauche. Le résultat fut encore meilleur pour moi : il me levait en me soulevant comme un fétu de paille, et mempalait en me laissant retomber sur lui, ce qui me donna une impression dêtre « prisonnière » de ses gestes, au point de déclencher à nouveau un second puissant orgasme, bien plus dévastateur que le premier. Mais nayant pas encore joui dans mes entrailles, il continuait encore et encore à me pistonner, me besogner de plus en plus fort, donnant des coups de reins dune force inouïe tout en variant les cadences, me mettant en une folie orgasmique majeure. Tout vibrait en mon corps, mes oreilles bourdonnaient
quand jéclatais de mille plaisirs jouissifs dans des orgasmes ininterrompus qui se succédaient tout aussi explosifs les uns que les autres
Jétais déchaînée comme une pro complètement désinhibée, je me lâchais entièrement
Il était maintenant déchaîné lui-même certainement grâce au tableau que je lui donnais, et cest de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés qui me remplirent le cul pour la première fois dans des râles de jouissance incroyablement puissants et longs.
- Peux-tu venir, demain en cours, sans ta culotte ?
- Mais monsieur
je
, répondis-je, devenant toute rouge
- Ne rougis pas Isabelle, plus maintenant que tu as
- Chuuut Monsieur, posant mon index sur sa bouche
Je sortis de la voiture, monta dans le métro en sentant que de mes fesses séchappait du sperme encore chaud
(A suivre
)
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