Collection Lesbiennes. La Mère Supérieure Du Couvent (3/4)
Qui aurait pu croire ce quil vient de marriver en peu de temps, depuis que mes parents mont conduite dans ce couvent où se trouvent vingt-deux surs et novice comme moi ?
Je me gouine avec la mère supérieure, je vais me baigner dans une mare où deux dentre elles mont entraîné et je me fais fouetter les fesses avec une badine souple à men empêcher de pouvoir masseoir.
Ce nest pas grave pour me punir plus sévèrement, la mère supérieure que je dois appeler par son nom Séraphine, sous couvert de trouver les autres surs qui ont participé à notre petite expédition nocturne me privent de nourriture pendant trois jours.
Je dois lire la sainte Bible à la place de sur Anaïs, qui sempiffre de pain et de lait alors que je nai droit quà un verre deau, même pas agrémenté du moindre quignon.
Aujourdhui, ça fait deux jours que je suis punie, sur Marie et Josette, se fichent de moi, cest bien la solidarité féminine, mais je comprends vite que si ces petites garces peuvent me baiser, elles le font sans aucun scrupule.
Je les aime bien tout de même, surtout quand discrètement elles me passent trois pommes cueillies dans le vergé, évidemment, elles sont vertes à me casser les dents dessus,
Avec labstinence, je suis obligée de courir vers les toilettes me vider les intestins en plein milieu de la prière me faisant une nouvelle fois remarquer.
Cette nuit, Séraphine a voulu se laver seule, nul doute quelle a pensé que javais la gastro, car je lai vue se faire des ablutions aux mains.
Comme elle me la demandé, la porte est seulement poussée, des petits cris facilement reconnaissables se font entendre, Séraphine doit jouer avec son corps.
Tapis comme mes amies hier, je vois que la lumière bougeante est due à la chandelle allumée sur sa table de nuit.
Quelle salope cette mère supérieure !
Elle a les cuisses écartées et bien que je sois placé de côté, je vois nettement ce qui sort de sa chatte, elle se pénètre avec lun des cierges que léglise fournit au couvent.
Sans savoir combien de longueur son vagin ingurgite, entre vingt et trente centimètres entre et sort chaque fois que sa main le fait manuvrer.
Ce qui métonne le plus, cest le diamètre de celui-ci, il y en a deux dans la chapelle du même modèle de chaque côté de lhôtel.
Cest à ce moment que je sens la même main sur ma bouche et sur mes seins quhier, la différence, cest la douleur du corps de Marie qui touche mes fesses encore très sensibles.
Sensible, oui, mais ce contact me procure beaucoup de plaisir, je sens que je suis prête à recevoir la même quantité de verges, deviendrais-je accro à ces volées de bois vert ?
La voix de Marie à mon oreille me parle dans un souffle pour éviter que Séraphine ne nous surprenne.
Chute, cest nous, nous étions sûrs que notre sainte mère supérieure honorerait son con avec son cierge, viens, tu as vu ce quil y avait à voir, la vieille pute se défonce la chatte régulièrement presque chaque soir.
Du côté de Séraphine, le cierge dun diamètre indéfinissable mais conséquent atteint son apogée, cest au moment où son corps se tend, quun livre quelle tenait dans sa main opposée tombe au sol.
Viens sortons, allons à la mare, nous discuterons là-bas.
Encore une nouveauté pour moi, comment peut-on être aussi lubrique dans un lieu consacré à la méditation, elles sont saintes pendant les journées, putes les nuits, ça semble être la devise de notre couvent.
Tout me va, depuis que ma chatte et surtout mon clito me démange, quand maman mavait expliqué que seules les filles vierges pouvaient aspirer à devenir bonne sur, javais un peu peur.
Tient, mange, nous sommes venues près de la mare apporter quelques fruits et du pain pour que tu évites de mourir de faim, Josette a réussi à faire fabriquer le double de la clef de la cuisine.
La pomme na pas été cueillie sur les arbres du verger comme tu las constaté, mange sans crainte, nous tavons bizuté, comme tu nas rien dit de notre escapade nocturne, tu es maintenant des nôtres.
Comment as-tu eu la clef ?
Sur Agathe qui gère les cuisines et la réserve a eu un faible pour elle.
Je me partageais entre Séraphine, je pense quelle ta dit de lappeler ainsi.
Oui.
Et notre sur, jai trouvé un double de la clef dans sa table de nuit quand elle est partie chercher un cierge dans la réserve, je lai donnée à ma sur qui vient me voir tous les mois et qui en a fait ce double que je cache dans ma paillasse.
Moi aussi, te pénètres-tu avec un cierge ?
Toutes ici, même les plus âgés,
Incroyable et moi qui pensais devenir vieille fille en venant ici, si javais su que vous étiez de fieffées salopes, jaurais demandé à mes parents de me conduire dans votre couvent bien plus tôt.
Es-tu vierge ?
Oui.
Veux-tu que lon te déflore, Marie peut aller chercher le deuxième cierge dans la chapelle, lautre cest notre mère qui la dans son vagin ?
Tu as vu que pour éviter de tout traverser pour venir jusquà nos cellules, nous longeons le réfectoire, puis passons par la chapelle, cest plus court, nous avions vu que le cierge à droite de lhôtel était parti en vadrouille, nous étions sûrs de savoir où le retrouver.
Tu es folle, jamais mon petit trou, ne supportera un tel engin et surtout un tel diamètre.
En parlant, je croquais à belles dents dans une pomme bien juteuse, tout en mangeant du pain.
Nous te faisons marcher comme nous lavons fait hier, sachant comment tes deux sphères se retrouveraient ce matin, ton dépucelage, nous le laissons à Séraphine.
Si elle voit que tu nes plus vierge, cest la porte assurée même si largent que tes parents vont donner est primordial pour notre couvent, sur Alice une novice arrivée avant Josette, la compris quand elle sest retrouvée dehors quand elle lui a mis les doigts.
Encore une nouveauté, je vais avoir un cierge dans le vagin, quel lieu de fous, je devrais dire de folles !
Viens, on va à leau, tu as assez mangé, tu vas devenir boulimique, garde le reste pour demain, le samedi sur Rose qui travaille aux cuisines prépare des tartes aux pommes pour le dimanche midi, nous évitons de leur faire voir que nous avons une clef.
Notre évêque a dit à mes parents que tous les dimanches notre curé venait nous confesser et à onze heures donnait la messe et nous faisait communier.
Tu connais lévêque, je comprends pourquoi Séraphine te protège et ta placé à la comptabilité.
Elle me protège, demande à mon cul, il te dira quil ny avait rien qui le protège entre la badine et lui.
Jentre dans leau pour ma deuxième leçon, je flotte déjà, deux choses positives, elle mapprend à faire la grenouille, chaque fois que jécarte mes jambes leau fraîche caresse ma chatte et je sens des sensations, de plus leau sur mon fessier le régénère.
Il est temps de rentrer mes surs, lorage gronde au loin, nous allons avoir de leau dici peu.
Nous sommes à peine entrés, que la pluie commence à tomber, nous repassons par la chapelle, je regarde les cierges, les deux sont à sa place, je mapproche de celui qui manquait.
Je le sens sur son support, en plus de la cire, lodeur de la mère supérieure que jai sentie hier, pour ma première expérience sexuelle, est présente.
Je quitte mes copines qui me regardent bizarrement, me voir sentir la base du cierge a dû les interpeller, alors que, par les vitraux la lumière de la foudre illumine la chapelle et ensuite les couloirs, je retrouve mon lit.
Aurore, viens me voir !
Je quitte mes copines qui me regardent bizarrement, me voir sentir la base du cierge a dû les interpeller, alors que, par les vitraux la lumière de la foudre illumine la chapelle et ensuite les couloirs, je retrouve mon lit.
Elle mouvre ses draps, je laisse tomber ma chemise et comme dhabitude seulement la tête recouverte de ma coiffe, comme elle, elle me prend dans ses bras et laisse retomber le drap sur nos corps.
Ah !
La foudre est tombée, mais un peu plus loin que le couvent, lorage séloigne, ce « ah », cest ma maîtresse qui vient de le dire, elle est terrorisée, je la serre dans mes bras.
Cest le monde à lenvers, la jeune fille de moins de vingt ans rassure la femme dune quarantaine dannées, car même si les copines lappellent la vieille, elle ne lest pas.
Lorage étant loin, elle se détend et finit par membrasser, nos langues senroulent, sa main commence à me caresser les seins, lautre se déplace sur mes fesses, ce qui me fait sursauter.
Je regrette de tavoir flagellée, tu es si compréhensive.
Non, Séraphine, je lavais mérité.
Vous étiez encore à la mare ce soir.
Oui, mais je ten supplie, pas la badine, laisse mon postérieur digérer la raclée dhier.
Je pourrais recommencer dans quelques jours, jaimerais que ce soit toi qui me flagelles la prochaine fois nous laverons nos pêchers en famille, dautant plus que dimanche, il y aura confesse, je vois mal dire à notre vieux curé que je vais te lécher la chatte.
Oui lui parler du cierge.
Jai honte, mais il est si bon.
Je lécoute religieusement, absoudre ses turpitudes va lui permettre de taire à cet homme, car pour moi il reste un homme, que le cierge tout près du confessionnal sent la mouille de la mère supérieure
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