Première Rencontre.

Je vais enfin LE rencontrer. Cela fait plusieurs semaines que nous échangeons mails et appels mais pour la première fois je vais LE rencontrer physiquement. Hâte et appréhension se mêlent. J’espère LUI plaire, ne pas LE décevoir.

Je suis dans cette chambre d’hôtel très en avance, je dois en effet finir de me préparer. Je commence par un lavement. Bizarrement cette sensation désagréable et humiliante me met dans tous mes états : je le fais pour LUI… Suit ensuite une douche minutieuse, un maquillage marqué mais néanmoins élégant. Pour finir, je m’habille : dessous noirs en dentelles qui me mettent en valeur puis le porte-jarretelles (une première pour moi, plutôt habituée aux bas autofixants…) et les talons hauts. Touche finale à ma parure : mon rosebud… Il faut dire que celui-ci m’est devenu très familier : à SA demande, cela fait une semaine que je le porte une heure le matin et une heure le soir… Histoire de me préparer, avait-IL ordonné… Tous ces préparatifs me font sentir peu à peu la chienne que j’aspire à devenir sous ses mains… Mon intimité est déjà plus que moite, d’autant plus que cela fait plusieurs jours qu’il m’a interdit toute jouissance… Je ne tiens plus…
Je m’arrange pour que la lourde porte de la chambre reste très légèrement entrouverte en y coinçant mon tube de rouge à lèvres puis je vais me placer telle sa requête : assise au pied du lit, les yeux bandés, droite, les jambes bien ouvertes…
Me voici prête et j’attends… La privation de la vue me fait me concentrer sur tous les bruits que je peux percevoir… J’ai un peu peur, il faut l’avouer… Je crains tant qu’une tierce personne découvre la porte entrouverte et me découvre ainsi offerte… J’entends des bruits de pas dans le couloir feutré est-ce LUI ? Une conversation puis des éclats de rires parviennent jusqu’à moi, mon cœur est sur le point d’exploser. Ce que je fais est une folie ! De nouveau, le silence assourdissant envahit l’espace. J’ai l’impression que je vais mourir de honte, d’impatience.

D’un seul coup, la porte se ferme bruyamment. J’entends des pas, SES pas… Je me redresse du mieux que je peux. Il s’approche lentement. Je sens son parfum venir jusqu’à moi, mon cœur s’emballe. Au bruissement de tissus que je perçois, je comprends qu’il quitte sa veste. Il pose un sac à terre. Un bruit de fermeture éclair se fait entendre et je saisis qu’il en sort -lentement- des objets. Il s’approche de moi, ses doigts caressent délicatement ma joue, mes lèvres, mes seins, mon ventre et descendent sur mon sexe déjà bien mouillé. Il insiste sur mon clitoris, j’halète déjà et j’ouvre autant que possible mes jambes. Son autre main se glisse dans le bonnet de mon soutien gorge et il tire et tord mon téton. Cela me rend folle. J’ai envie, que dis-je, j’ai besoin de sexe de SON sexe. D’un geste, il m’invite à me pencher en arrière. Il vérifie que je porte bien mon rosebud et joue avec… Je sens que je deviens prête à tout pour obtenir ma dose de sexe… Ses lèvres effleurent mon visage, je pense qu’il va m’embrasser, mais non, il se retire aussitôt. J’imagine son sourire en constatant que j’avançais mes lèvres… Il défait sa braguette et c’est maintenant son gland qui me caresse le visage. Enfin, il vient se déposer sur mes lèvres ! Du bout des lèvres, je l’embrasse. Il s’est saisi de ma main qui s’approchait de son pénis et il me l’a attachée avec l’autre dans le dos. Ma langue parcours sa longue queue déjà bien gonflée. Je le prends en bouche pendant que ma langue continue de caresser son gland. Je commence de lents va et vient. Ma langue continue son ballet. La cadence ne doit pas lui convenir car il me saisit la nuque et m’imprime son rythme. Je mouille de plus belle. J’aime me sentir objet de son plaisir de la sorte. J’aime me sentir chienne, SA chienne. Son gland tape le fond de ma gorge, je tente de réprimer des hauts le cœur car je sais que pour lui cette gorge profonde est importante bien que je sois novice en la matière. J’ai l’impression que cela dure une éternité. Il me baise la bouche, je ne suis qu’un orifice pour lui et cela m’excite d’autant plus. Ma bave coule sur ma poitrine, mes yeux larmoient, mon entrejambe me brûle, mon fondement demande son dû… Sa queue se cale au fond de ma gorge et je sens son nectar envahir ma bouche par plusieurs jets puissants que j’avale immédiatement. Oups… J’ai oublié d’attendre sa permission. Ma précipitation va me coûter une punition qui va s’ajouter aux autres et qui sont en attente d’exécution… Je sens que mon petit cul va bien morfler…