La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1069)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Jobtempérais et écartais cuisses, jouvrais ma chatte.... Ma mouille abondante coulait plus fortement, en longs fils translucides, saccrochant parfois à mes cuisses, et en poursuivant lexcitation du clito, ma chatte étant bien ouverte et béante, les lèvres gonflées denvies, elle titilla mon méat urinaire, de telle façon que jeux envie duriner... A demi pliée sur mes genoux, je commençais à trembler, à la fois denvies violentes, de honte mais également de crampes dans les cuisses. Lenvie devenant si forte, je devais contrôler maintenant, à la fois mon envie de jouir tout en en faisant de même avec lenvie de pisser... Je me serrais très fort pour me retenir. Elle « travaillait » mon méat urinaire en introduisant un peu une sorte de sonde, ce qui ajoutait à la difficulté de me retenir et la faisait tourner doucement en de petits cercles... Tout dun coup, elle cala le vibro et me commanda de me poser dessus de façon à poursuivre lexcitation qui devenait presque intenable sans jouir ou uriner. Elle revint avec une sorte de tuyau, un peu plus gros que la sonde et plus long surtout, quelle infiltra plus profondément dans le méat me commandant à nouveau de me retenir de pisser. Ne pouvant fermer le méat urinaire, ça devenait plus compliqué et ce qui devait arriver, arriva, alors quelle était accroupie en face de moi, elle reçut mes jets durines sur elle expulsant de ce fait le tuyau placé. Sa colère fut phénoménale... Cramoisie, et honteuse davoir envoyé ma pisse sur elle, je nen tenais pas large. Marie me cravacha si fort que mes seins étaient devenus violets, mes tétons avaient perdu les extenseurs sous la puissance des coups et étaient eux aussi très meurtris, mes fesses, mes cuisses tout y était passé. Je tentais de parer les coups, sous les insultes abondantes :
- Laisse tes pattes de souillonne derrière ta tête sinon tu vas trinquer encore plus fort, la cochonne qui ne sait pas se retenir.
- Oui Madame Marie, répondis-je immédiatement, tandis que les coups sabattaient sur moi.
Quand elle eut fini, essoufflée par ses gestes, et tandis que jessayais de respirer le plus calmement possible, très marquée, elle jeta la cravache et partit... me laissant ainsi mais après avoir dit :
- Je reviens dans un moment, si je te trouve dans une autre position que celle-là, je te massacre, tas compris la chienne-cochonne ?
- Oui Madame !
Quinze bonnes minutes passèrent ainsi, pendant lesquelles je ne bougeais pas, tandis que des personnes inconnues de moi, habillées, entraient et sortaient de la pièce, venant voir les ordinateurs. Plusieurs dentre elles sarrêtaient un moment, regardaient mon corps très marqué et sans madresser un mot, se disaient entre elles :
- Elle ne la pas ratée, celle-là, mais il parait quelle est une belle salope.
Enfin, Marie la cuisinière revint et je remarquai quelle nétait pas calmée du tout. Effectivement, elle était allée se changer de ses vêtements souillés de ma pisse. Elle était revenue portant une jupe si courte quelle arrivait à ras de son sexe et juste en dessous de ses fesses. Marie la cuisinière était une belle femme mature et elle le savait. Sans un mot et avec un regard de lionne en colère, elle replaça le vibro sur mon clito, le lança à fond brusquement ce qui me fit me cambrer, fermant les yeux, tentant de me contrôler... Elle me laissa ainsi quelques secondes et revint avec une sorte de poire à lavement. Sans ménagement, elle me dit :
- Ouvre ta chatte de pute !
- Oui Madame !
Jouvrais à nouveau ma vulve et présentais ma chatte. Elle désinfecta ma vulve dun jet de Bétadine verte, envoyant du liquide à lentrée de la vulve et sur le méat, et introduisit la canule dans le méat la remontant très haut me semble-t-il. Elle pressa la poire et injecta la totalité du liquide. Je sentais ma vessie se remplir, tandis que je recommençais de me dandiner sur le vibro.
- Voilà comment je veux que tu paraisses le soir devant le Maître, salope... Pour y arriver, tu viendras me voir toutes les heures jusquà ce soir, je texciterai à nouveau et tiens ! Bois-ça en attendant, tu en auras dautres, toutes les heures également.
Elle me tendit un verre assez grand avec ce qui ressemblait à de leau mais qui en bouche, nen était pas et était même impossible à avaler. Comme jhésitais, deux coups de cravache dune force terrible sabattirent sur mes reins, me projetant en avant. Décidément, elle cognait fort !
- Boit, hurla-t-elle sur un ton sadique...
Je bus le verre dun trait ne sachant pas ce que je buvais.
- Maintenant viens ici, à genoux, mains derrière la nuque, lèche-moi... Je te préviens ne va pas trop vite, jaime prendre tout mon temps pour jouir...
Marie la cuisinière enleva sa jupe et je découvris un sexe épilé, avec un clitoris gros comme un tronc darbre, entièrement décalotté. Elle se posa dans un fauteuil moderne et confortable, fis basculer le dossier en arrière, écarta les cuisses, et dun geste de son index, me fit mapprocher dabord puis me désignant sa chatte déjà fort humide, me fit comprendre de commencer. Je déposais tout dabord en signe de respect un baiser sur son bouton... puis commençais à passer ma langue dessus, sur les côtés, laspirant doucement, le repoussant entre mes lèvres en un massage lent mais régulier.
- Je me fous que tu aies envie de pisser, tu ne fais que commencer davoir envie, retiens-toi sinon... et surtout continue ce que tu as commencé, la pute...
- Oui Madame, répondis-je...
Je collais ma bouche sur son sexe, léchais, aspirais, mordillais, tant et tant que Madame Marie commençait de cambrer ses reins, de geindre, de respirer fortement, elle me prit les mains et les posa sur ses tétons très durcis... je les faisais rouler, les pressais, et la voyait avancer assez vite dans le plaisir par ses gémissements, je malaxais, tirais ses tétons :
- Ah ouiii continue, tires dessus, allonge-les salope, tu sais faire toi
Je les étirais tout en poursuivant ma besogne du bas, sa chatte avaient des tressautements, elle était trempée, me faisait la lécher ardument tant elle perdait sa cyprine, puis soudainement me fit ouvrir grand la bouche, et vida sa jouissance en moi mordonnant ensuite de la nettoyer et de poursuivre.... Tout cela, prit pas moins dune heure, où je dus la faire jouir ainsi de nombreuses fois. Et pour finir, elle se vida la vessie dans ma bouche en de fort jets durine alors que moi javais de plus en plus envie de pisser quand on frappa à la porte. Après un entrer de Marie, la porte souvrit et une esclave tête baissée et qui navait pas levé les yeux, entra. La cuisinière lui dit :
- Approche Anna ! (et me désignant du menton) - Elle est bonne celle-là, elle sait y faire la garce, replace-lui le vibro et injecte lui à nouveau une poire, mais avant fais-lui boire ce verre.
- Oui, Madame répondit lesclave Anna
Anna était une belle esclave dune trentaine dannées, portant collier et laisse. Anna me tendit le verre aussi dégoutant que le premier, verre que je bus dun trait. Ensuite, elle replaça le vibro contre mon clitoris, tandis que je poursuivais lexcitation de Madame Marie ... soumise Anna sapprocha de moi, par derrière, et minjecta une poire de plus, me faisant gonfler complètement la vessie cette fois ! Tandis que jemmenais une nouvelle fois Marie la cuisinière en des contrées merveilleuses... jeus une envie de pisser folle... envie que je due à nouveau contrôler... avec aussi mon clitoris redevenu fou denvies non assouvies... Les gémissements de plus en plus forts et rapides de Marie la cuisinière participaient à mon excitation, entendre une autre femme jouir et moi-même devoir me retenir à quelque chose de très sadique, croyez-moi... Enfin, alors que je my attendais pas, elle explosa encore une fois en des bonds et des cris inhumains, des cris de femelle en rut et se lâcha également en menvoyant de nouveau sur le visage des jets durines chauds et longs... se vengeant peut-être, alors que je me dandinais de plus en plus me mordant les lèvres pour me retenir de jouir et de pisser... Je restais ainsi à la regarder jouir comme une démente, yeux crispés... Quel tableau ! Jétais couverte de pisse, de cyprine, souillée comme rarement je lai été. Elle posa son pied contre mes seins et me rejeta sans ménagement en arrière, ce qui me fit me renverser, les quatre fers en lair... Anna regardait Marie la cuisinière « revenir » parmi nous, ce qui prit un temps, tandis quelle me faisait signe de la main de me relever prestement, ce que je fis. Enfin, Madame Marie émergea, se releva, fit comme si rien ne sétait passé, me prit par un téton quelle serra très fort et mentraina après elle. Nous sortîmes de la pièce, toujours accrochée à mon téton dans lequel elle enfonçait ses ongles pour ne pas le perdre... Nous arrivâmes dans une vaste pièce
(A suivre
)
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