Série Insolite. Épisode 14 « Sarah » : Baisée Pour Conserver Son Emploi Mais Pas Pour Faire La Pute. Partie 5/13

Je m’appelle Sarah, lors de la première partie de mon histoire, dans la série insolite N°13, je vous ai expliqué comment j’avais obtenu mon emploi. Je vais maintenant poursuivre en vous disant pourquoi j’avais accepté la proposition de mon nouveau PDG : « Voulez-vous devenir ma favorite ? »

En fait depuis trois mois, André était tombé malade et ne pouvait plus bander. Il en avait honte, il avait des difficultés à supporter son impuissance. Si auparavant cet homme à femmes, avec tout son pouvoir baisait toutes les employées qui se laissaient approcher, il se retrouvait à présent avec la verge en berne. Pascale la DRH fut longtemps sa favorite mais sans l’avoir jeté au panier, il avait donné toutes ses faveurs à Sophie, la directrice administrative, plus jeune que la précédente. André le PDG, le macho, ne voulait absolument pas que cela se sache, c’était la raison pour laquelle, en m’ayant à ses côtés, il pensait qu’aucune rumeur désobligeante ne pourrait venir ternir son image.

André était le PDG de l’entreprise, il avait pratiquement tous les pouvoirs mais ne dirigeait pas seul. Quatre associés actionnaires formaient avec lui un conseil d’administration. Lors de mon embauche, comme les deux Directrices avaient donné un avis défavorable sur moi, afin de les convaincre et de ne pas rentrer en conflit avec elles, il me présenta comme sa petite nièce et leur demanda de revenir sur leur décision. Ses deux anciennes maitresses avaient revu leur position, elles n’avaient rien contre mes compétences mais comme l’avait dit le boss, elles avaient peur que je prenne leur place dans son lit.

Ces deux femmes n’étaient pas dupes, elles ne crurent jamais notre lien de parenté, cependant cela m’avait permis d’être très respectée au sein de l’entreprise. Au siège à Boulogne Billancourt, la cinquantaine de cadres et tous les employés gravitant autour étaient tous au petit soin pour moi, j’étais considérée comme la petite reine de la société.

André m’emmenait partout toujours dans le cadre du travail, diners d’affaire, négociations importantes avec des clients en France et à l’étranger et certaines soirées mondaines. Ce n’était pas des endroits où je pouvais trouver un fiancé, tous ces vieux qui me regardaient et m’abordaient étaient mariés pour la plupart et ne pensaient qu’à leur fantasme malgré la présence de mon grand-oncle.

André me proposait tout ce dont une jeune fille de 24 ans, pouvait espérer. J’avais un emploi intéressant avec un salaire bien au-dessus du SMIC, j’étais logée gracieusement dans un superbe appartement T3 sans aucune charge, un budget mensuel m’était alloué pour mes vêtements, y compris pour la lingerie fine, pour mon maquillage, pour le coiffeur et tous mes soins. J’avais tous mes week-end, j’étais libre de faire ce que je voulais du samedi au dimanche pendant qu’il était avec son épouse. Je pouvais même avoir des amants comme je le désirais. La seule chose qui m’était imposée était que je ne les amène pas dans l’appartement. Cela ne me gênait pas, car depuis ma venue, le boss y avait installé tout un système de vidéos surveillance dans toutes les pièces. Je couchais donc eux dans la luxueuse chambre d’amis sur le même palier.

En contrepartie, comme je n’avais même pas à coucher avec lui, les inconvénients étaient si minimes que j’avais accepté. Je devais laisser André venir tous les matins me réveiller en m’apportant le café au lit. Pendant la première semaine, il entrait discrètement dans ma chambre, tirait le drap et me matait tout en me demandant d’enlever ma nuisette. C’était difficile pour moi car je n’avais aucune attirance pour cet homme, je n’étais pas naturelle. Néanmoins voulant me montrer docile, je m’exécutais en fermant les yeux, je ne voulais pas le regarder lorsqu’il me touchait ou me caresser les seins ou les fesses. Heureusement il n’était pas brutal, ses mains étaient douces et jouait avec moi tout en délicatesse. Il était même parvenu après quelques jours à me faire mouiller.


Dès la semaine suivante, il s’était aperçu que j’étais de moins en moins réticente, ses caresses m’excitaient et j’avais pris sa main pour qu’il la pose sur mon intimité. Il s’était alors penché sur moi et m’embrassa, tout naturellement, j’avais sorti ma langue sans aucune gêne pour lui offrir ma bouche. Ce jour-là, il me pelota la poitrine que je lui tendais avec envie, me suça les mamelons qui prenait de la grosseur entre ses lèvres et me fit un cunnilingus magistral. Cet homme était doué, il me masturba et me fit jouir sous ses doigts et sa langue. Il avait même éjaculé dans ma main sans que son sexe soit en érection : « Il devait être bien monté. » Me dis-je.

Nous nous étions embrassés un long moment, il était heureux que j’accepte, sans la moindre opposition, sa présence mais surtout ses caresses et ses baisers. Il était si gentil avec moi et c’était si agréable que je prenais mon rôle très au sérieux. Une certaine complicité s’installa entre nous au fur et à mesure, je devenais sa maitresse, j’en prenais l’habitude. J’étais toute heureuse lorsqu’il me convoquait dans son bureau, il me faisait prendre un orgasme en utilisant quelques petits ustensiles très appréciés des femmes vivant seules.

Non ! je n’étais pas amoureuse, cependant après six mois, André était comme mon mentor, il me donnait tant que je ne voulais plus le quitter, surtout qu’il venait de m’augmenter. Pourtant, je me rendis vite compte que tout n’était pas rose dans mon statut de favorite. À son bras, le sexagénaire aimait m’exhiber, avec ma jeunesse, je passais plus pour son escorte girl que pour sa nièce. J’avais l’impression d’être sa propriété et j’en subissais les conséquences car au travail personne n’osait m’aborder. J’en avais pour preuve Kévin un jeune assistant juridique qui depuis plusieurs mois, ne manquait jamais de venir me dire bonjour les matins à l’accueil ou me dire un petit mot gentil à midi ou le soir en sortant des bureaux.


Connaissant ma position avec le boss, il n’avait jamais été plus loin dans ses approches. Pourtant, je savais qu’il en pinçait pour moi et de mon côté, je le trouvais à mon gout. J’espérais qu’il essaye de me séduire, après un semestre sans de réelle relation sexuelle, je languissais. Tous les midis, Kévin sortait prendre le déjeuner avec un petit groupe d’employés de notre âge, ce lundi n’étant pas avec André, lorsqu’il me fit un petit coucou, je lui demandai si je pouvais me joindre à eux. À partir de ce jour-là, nous avions sympathisé et de fil en aiguille nous nous étions rapprochés. Je désirais aller plus loin qu’un petit flirt, seulement, il avait peur, il tenait beaucoup à que nous soyons très discrets.

Un samedi soir, lorsqu’il me ramena chez moi, je l’avais invité à prendre un dernier verre. Nous avions pris l’entrée privée où l’ascenseur menait directement au dernier étage. Mais les gardiens avaient la consigne de prendre les identités de chaque personne pénétrant dans l’immeuble et comme des employés disciplinés, nous n’avions pas discuté les ordres. Je savais que je ne devais pas l’amener dans l’appartement, nous nous étions retrouvés très vite nus comme un ver dans l’immense lit King Size de la chambre d’amis en train de nous embrasser.

Kévin n’était pas très expérimenté en la matière, il n’avait que 22 ans mais avait un sexe magnifique. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu une telle verge dans la bouche et tellement avide de sexe, je ne m’étais pas rendu compte que ma fellation était insoutenable pour mon jeune amant. Le temps qu’il me prévienne, je reçus toute sa semence en pleine bouche, bien plus tôt que je ne l’aurais espéré. J’avais ri de bon cœur, heureusement car Kévin se sentais vexé d’avoir éjaculé précocement. Je le rassurai et lui demandai de me donner le change, ce n’était pas un grand spécialiste, pourtant avec mes conseils, il fut à la hauteur de mes attentes, je n’avais pas joui comme cela depuis au moins six mois.


J’avais passé une nuit de folie, non seulement ce garçon avait un sexe comme je les aimais mais s’il avait joui très vite la première fois, sa résistance était incroyable. Je m’étais fait prendre dans toutes les positions que je connaissais et docilement, il faisait tout ce que je lui demandais. Dès qu’il éjaculait sur mon ventre, entre mes seins, ou sur mes fesses, sa verge après quelques caresses et coups de langues, se redressait et reprenait de la vigueur. J’avais connu cette nuit-là de nombreux orgasmes, nous nous étions endormis totalement épuisés.

Seulement, le dimanche matin vers onze heures, nous nous étions réveillés et nous nous apprêtions à refaire l’amour, lorsque j’entendis du bruit dans mon appartement à côté. Me doutant qu’il ne pouvait s’agir que d’André, je me posai des questions : « Comment avait-il su ? Était-il contre ma liaison ? Était-il jaloux ? » J’avais pourtant bien respecté les règles et je pouvais faire de ma vie privée ce que je désirais. Ne voulant pas passer toute la journée en amoureux dans cette chambre comme je l’avais prévu, nous nous étions préparés et nous étions sortis en ville. Je n’étais rentrée que le dimanche très tard dans la nuit après avoir fait l’amour chez Kévin.

Le lundi matin, André n’était pas passé m’amener le café au lit, par contre Sophie était venue me dire dès ma prise de poste que le boss voulait me voir, je me doutais bien des raisons de cette convocation et je n’avais aucune intention de lui mentir. Ce fut la raison pour laquelle, lorsqu’il me demanda ce que j’avais fait de mon week-end, je lui dis toute la vérité et je fus très surprise de sa réaction : « C’est vrai, je t’ai dit que tu pouvais faire ce que tu voulais dans la chambre d’amis mais je t’interdis de baiser avec un employé quel qu’il soit, ce serait une trahison. As-tu bien compris ? » J’étais stupéfaite, je ne savais plus quoi dire, il ne m’avait pas menacée directement mais ses propos étaient clairs : « Ok André, je ne vous trahirai plus. » Lui mentis-je.

En effet, je savais que j’avais une vie de princesse ici et ne voulait pas la perdre, cependant j’avais bien l’intention de continuer ma relation avec Kévin qui était pour moi une échappatoire. Me devant être de plus en plus discrète, je ne déjeunais plus avec mes jeunes amis mais dès que j’étais libre les week-end, j’écrivais un petit mot que je laissais à Kévin lorsqu’il venait me saluer le vendredi soir mais nous nous retrouvions qu’en ville et finissions la nuit chez lui où je prenais énormément de plaisir.

Seulement, je devais probablement être observée car deux mois plus tard, Kévin fut convoqué chez le boss. Soit il acceptait sa mutation à Lille, soit il démissionnait. Si moi, je n’étais pas amoureuse, lui l’était et le choix fut difficile à prendre. Il avait fallu que je parle longuement avec lui afin qu’il accepte de partir dans le Nord. Depuis ce jour-là, le comportement d’André commença à changer. Je rencontrais quelques problèmes lors des réceptions ou des soirées mondaines, avec certains des amis du PDG mal intentionnés et sans scrupule. Dès que ceux-ci avaient un peu trop bu, ils se permettaient de me tripoter la poitrine ou le derrière sans vergognes.

D’autres bien plus audacieux, n’hésitaient pas à se coller dans mon dos, afin que je ressente leur sexe sur mes fesses à travers le tissu fin de ma robe de soirée. Ne désirant pas faire de tort à André, je me forçais à ne pas faire d’esclandre en essayant de m’extirper et en allant rejoindre d’autres invités. J’avais de plus en plus de grandes difficultés à me libérer de leur emprise. Lorsque j’en avais parlé à André, celui-ci me dit simplement : « Si tu veux baiser, vas-y tu as ma bénédiction. Attention, si tu leur refuses fais-le avec diplomatie, ce sont tous mes amis. »

À partir de là, je sus que je devais me défendre seule, ne désirant pas perdre ce que j’avais mis un an à bâtir, lorsque ces types se collaient à moi, je me retournais et les caressais au-dessus de leur pantalon. Ayant tous une peur bleue de leur épouse ou de leur maitresse, ils n’avaient pas d’autres choix que de me laisser et m’abandonnaient. Pourtant, je m’étais brulée en jouant avec le feu, lors d’une réception dans la salle d’exposition. Notre nouvelle gamme venait de sortir et ce soir-là, comme d’habitude, il y avait beaucoup de monde. Principalement des clients désirant renouveler leur commande et certains venaient simplement voir par curiosité, c’était une bonne occasion pour obtenir de nouveaux clients.

Dont ce fameux septuagénaire italien qui passa plus demi-heure avec Régis un commercial et Pascale qui lui présentaient nos produits. Peu de temps après, André était venu me voir et me dit : « Mr Ariani ne veut pas de Pascale, il désire que tu l’accompagnes avec Régis. Fais-en sorte d’être sympa, c’est un nouveau client potentiel. » C’était monnaie courante, ces vieux beaux aimaient se pavaner avec de ravissantes jeunes femmes. Cet homme ne demandait qu’à être en ma présence.

Cependant, c’était nouveau pour moi, j’espérais qu’André ne me vende pas comme de la simple marchandise. Je fis donc en sorte d’être le plus agréable possible avec lui, il n’écoutait même plus Régis, il me parlait dans un dialecte entre italien anglais et français et ne cessait de me toucher la main ou le bras. Il me dévorait des yeux et lorsque le commercial était parti à sa demande chercher des coupes de champagne, il se frotta contre moi. Il posa ses mains sur mes hanches et se pressa contre moi.

À travers le tissu de son pantalon, j’avais pu constater que cet homme de 71 ans bandait comme un jeune de vingt ans, il avait sa verge tendue et très dure contre la raie de mes fesses. Pensant que son épouse était dans la salle, je me retournai lentement et lui fis face. Je le regardai droit dans les yeux et je posai ma main sur son entrejambe sans la moindre gêne. Surpris de mon geste au départ, d’après son sourire, il appréciait beaucoup cette caresse. Néanmoins au lieu de me laisser, il me proposa que j’aille bien plus loin dans cet attouchement en me disant à mon oreille : « Viens ce soir, me rejoindre dans ma chambre d’hôtel. »

Je me retrouvais piégée ne sachant plus quoi faire, je retirai ma main immédiatement en lui disant le plus gentiment possible : « Excusez-moi Mr mais je suis mariée » Lui mentis-je. Régis revenant avec les flutes, nous en tendit une à chacun et j’en profitai pour me placer derrière le commercial, pensant que j’étais sauvée. Cependant Luigi Ariani semblait contrarié, il avala sa coupe de champagne d’un trait, me fixa dans les yeux et nous quitta en me disant : « Vous n’êtes qu’une petite allumeuse Mademoiselle. » Je le vis discuté quelques instants avec André avant de quitter la salle. Puis peu après, je vis Pascale avec sa veste et de la documentation sous le bras, sortir à son tour, essayant de rejoindre l’italien.

Le lendemain matin, je fus une nouvelle fois convoquée par le boss qui me fit des reproches sur mon comportement : « Pascale a essayé de rattr ta connerie, elle s’est sacrifiée pour toi mais cela n’a pas suffi, il est chez la concurrence ce matin. Pourquoi tu lui as touché le sexe, si ce n’est pas pour aller plus loin ? T’avais juste à lui tailler une pipe et tu sauvais les apparences. » J’avais bien essayé de lui expliquer que je n’étais pas une pute mais il rétorqua que ce n’était pas la première fois que je m’offrais à mes patrons. Je n’étais pas parvenue à apaiser sa colère, il me laissa une chance de corriger le tir en séduisant un client allemand, j’étais à deux doigts d’y parvenir, cet homme me plaisait mais ce fut dans ma tête que tout se passa, le fait de faire la pute m’avait empêché d’aller plus loin.

Le mois d’après, il me supprima tous mes budgets, mes primes et j’avais appris quelques jours plus tard, que la DRH recevait quelques candidates à mon poste. J’avais la haine, j’allais être virée comme une mal propre alors que cet homme n’était pas laid. Bien au contraire, malgré son âge il était bien plus beau qu’André et lui n’était pas impuissant, il aurait pu probablement m’apporter du plaisir que je ne prenais plus depuis quelques temps. Je devais trouver le moyen de me rattr, cependant je ne savais pas comment, André faisait la tête et ne venait plus dans ma chambre les matins m’apporter le café.

En 2014, le malheur des uns fait le bonheur des autres, la chance m’avait enfin souri car la semaine d’après, André fut admis à l’hôpital. Son cancer de la prostate ayant empiré, il devait être opéré dans les semaines suivantes. Je fus triste d’apprendre cette nouvelle, les deux années passées à ses côtés nous avaient permis de bien nous connaitre malgré nos différents. Je venais lui rendre visites les soirs lorsque son épouse quittait sa chambre et j’avais appris de sa bouche que sa carrière à la tête de l’entreprise était terminée, le conseil d’administration en avait décidé ainsi. De ce fait, mon licenciement n’était plus à l’ordre du jour, il me l’avait promis, cependant je risquais de perdre tous mes avantages et notamment cet appartement.

Le nouveau PDG, Mr Fischer, était le Directeur de le la succursale de Strasbourg, je l’avais déjà rencontré deux ou trois fois lors des réunions et des réceptions à la maison mère. C’était un proche d’André qui l’avait formé. Le mois avant de prendre ses nouvelles fonctions, cet homme était venu au siège plusieurs fois et avait beaucoup parlé avec l’ancien PDG qui lui présenta tout le personnel dans les différents services. Lors de sa dernière visite, André avait tenu à me présenter à notre nouveau boss. Il m’avait convoqué dans son bureau directorial et lorsque j’étais rentrée :
— William ! Je tiens à te présenter Sarah, ma petite préférée.
Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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