La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1070)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Nous arrivâmes dans une vaste pièce
, ornée de tentures, de tableaux, de meubles anciens et dobjets de s en tous genres. Son regard sévère, ses yeux pervers, son visage quon pouvait deviner sadique, la cuisinière me faisait avancer sans me lâcher le moins du monde, avec même, ses doigts senfonçant plus fortement dans les chairs de mon téton, ce qui me faisait plier devant elle, je voyais des hommes, torses nus, travailler des esclaves mâles et femelles, sans ménagement. On nentendait que des râles, des gémissements mélangés de douleurs et de plaisirs
- Le chevalet est-il prêt, Victor ?, demanda Marie la cuisinière
- Bien sûr, Marie, répondit Victor.
Le Victor en question navait pas lair commode du tout, agissant sans état dâme, comme rompu à ce quil faisait, à la manière dun métronome et sans humanité. Marie la cuisinière lâcha mon téton, ce qui me fit plus souffrir encore que sous des pinces, me « jetant » presque dans la direction de Victor.
- Parfait, je te laisse, tu sais ce quil y a à faire avec cette chienne, je te la confie
Je reviens tout à lheure
Marie partit aussi sec sans un mot de plus. Javais remarqué que beaucoup desclaves mâles étaient présents, les sexes bien raidis et desquels coulaient ce liquide pré spermatique typique de mâles en rut. Ils avaient tous les mains liées derrière les reins. Victor ressemblait à une sorte de colosse, aux muscles bien développés et saillants. Son crâne rasé luisait, ses yeux étaient froids comme sans âme... Sa vue me donna le frisson...
- Viens ici la chienne, dit-il sévèrement avec un fort accent étranger !
- Oui, Monsieur.
Je mapprochais de lui, tremblante, apeurée... il me prit par un téton et me tirant à sa suite sans précaution, je grimaçais de douleur, tandis quil me jeta contre, ce qui ressemblait à un chevalet multiple.
Cest sur ce chevalet que je fus conduite par Victor et installée comme mes surs de soumission. Jeus droit également au vibro qui immédiatement relança en moi mes envies non assouvies depuis le matin
Régulièrement, Victor passait derrière nous, et au hasard, semble-t-il, cravachait lourdement nos fesses exposées... Au bout dune heure à peu près, un énième verre me fut amené que je dus boire dun trait, tandis quune autre injection était pratiquée dans ma vessie. Je ne pouvais plus me retenir tant mon envie de pisser était violente... augmentée en plus par ces verres deau qui contenaient un produit diurétique puissant. Jen étais là de mon supplice, quand Victor fit venir un esclave mâle, tête baissée. Cétait une très beau black, bien bâti au corps musclé, à la peau débène luisante... Il portait une ceinture de chasteté qui laissait voir une paire de couilles impressionnantes et qui devaient être bien remplies. A lévidence, il navait certainement pas pu jouir depuis longtemps
- Quand je te le dirai, lui dit Victor, tu prendras celle que je te désignerai, tu la baiseras dans une bonne saillie vaginale comme je te lordonnerai, mais ne jute pas ! Fais tout ton possible pour te retenir sinon, tu sais ce quil ten coûtera, le chien.
- Oui Monsieur, répondit lesclave mâle, les yeux baissés.
Victor lui retira sa cage de chasteté, et le sexe de lesclave, libéré, se dressa très rapidement à cause dun manque évident de sexe depuis des lustres. Cette verge droite était énorme, gonflée, épaisse longue, dure, raide comme un I. On aurait cru une bite de taureau en rut ou dun étalon reproducteur près à la saillie
Il attendait lordre, tandis quune autre esclave femelle amenée également, était placée devant nous et destinée à travailler nos tétons... Les six femelles que nous étions, étaient au supplice du plaisir, excitées terriblement par nos vibros et travaillées par les mains expertes de lesclave de devant. Nous avions toutes lordre de nous regarder dans la glace. Je voyais mes consurs couler entre leurs cuisses leur mouille tout comme jen faisais de même, gloussant denvies doucement, gémissant également mais surveillant la cravache de Victor qui de temps en temps sabattait au hasard sur nos fesses ou reins. Quand cela arrivait, je voyais ma voisine fermer les yeux fortement, tentant de ne rien dire car ce pervers et sévère Victor ne voulait rien entendre.
- Prends celle-là dit Victor subitement à lesclave mâle.
Lesclave black sapprocha de la désignée, présenta son épais gland violacé à la chatte trempée, et sur un signe strict de Victor senfonça sans résistance dans lantre brûlante de la femelle excitée. Celle-ci gloussa de plaisirs... Lesclave commença ses va-et-vient réglés par le tempo fixé par Victor, alternant les lents et profonds aux rapides à-coups. La femelle nen pouvait plus, dautant que son clito, comme le nôtre, était toujours travaillée pendant la pénétration bestiale... Alors quelle était au bord de lextase, sur un geste de Victor, lesclave mâle se retira brusquement la laissant aux portes de lorgasme... Lesclave black était essoufflé et au bord, lui aussi, de la jouissance, mais immédiatement, Victor lui désigna une autre femelle qui nétait que .
- Prends-là mais fais attention, le chien, cest la préférée du Maître, Monsieur le Marquis, en ce moment...
Après une demi seconde dattente, lesclave mâle en rut plongea en moi, comme un couteau dans du beurre en été, senfonça dun coup puissant jusquau fond de mon vagin et je sentis son gland énorme contre mon nez utérin. Lesclave black était bien monté. Les allers-retours commencèrent, réglés encore une fois par la cadence exigée de Victor, tandis que la cravache de celui-ci tombait au hasard des culs offerts... Javais des envies de folies et en plus envie de faire un énorme pipi... si bien que je commençais à laisser couler des gouttes durines faisant limpossible pour me retenir. Le pervers Victor, malheureusement pour moi sen aperçut, alors il me larda les reins de coups si terribles que je me mis à hurler de douleurs, mais paradoxalement qui mexcitaient encore plus, tandis quil ordonnait à lesclave daller plus vite encore... Alors que les coups tombaient sur mes reins, le pauvre étalon nen pouvant plus
Il lui était ordonné de me baiser avec toute la puissance quil pouvait donner, il devait me besogner comme un chien besogne une chienne dans la rue, à grands coups de boutoir, dans une cadence maintenant inouïe exigée. Alors il lui fut impossible de se retenir plus longtemps malgré tous les efforts que visiblement il fit, efforts que je voyais sur son visage grimaçant dans la glace. Malgré ses efforts, il libéra donc ses puissants jets de sperme en moi par de longues saccades, vidant des couilles trop longtemps restées pleines, me faisant, surprise que jétais, roucouler en même temps que mes cris de douleurs. Au vu de ce qui venait de se passer, Victor éjecta létalon, penaud, le roua de coups en le faisant tomber à terre, lui disant que la sentence serait terrible pour lui
Il y eut un moment de flottement en apparence par le fait que javais reçu la semence de lesclave mâle.
- Mon dieu, lui répondit Marie la cuisinière, ce bâtard a osé juter dans la femelle
Que va-dire Monsieur le Marquis ? Personne ne doit la polluer, Lui Seul pour le moment éjacule dans Sa propriété quest cette chienne
Victor la regardait en haussant les épaules, lui faisant comprendre quil y était pour rien. Pendant leur réflexion, de ma chatte coulaient à la fois ma cyprine mais maintenant la semence de lesclave et un peu durine mal retenue. Ils en étaient là de leurs réflexions quand Walter, le Majordome entra dans la pièce. Je le vis tout de suite dans la glace sise devant moi. Il se rendit vite compte de ce qui venait darriver car voyant mes pertes, il avança la main, prit sur ses doigts le mélange sécoulant de ma chatte, le tâta en réfléchissant.... Marie la cuisinière était devenue blanche et ne disait mot tandis que Victor, égal à lui-même ne bougeait pas attendant le verdict de la réflexion de Walter.
- Qui a juté dans lesclave favorite de Monsieur le Marquis ? cria-t-il si subitement que tout le monde sursauta ?
Victor regardait Marie la cuisinière qui, lui confirma que lesclave mâle avait osé éjaculer dans ma chatte... Fixant férocement lesclave mâle toujours à terre qui se décomposait devant Walter, il lui dit :
- Cest toi qui a juté ton foutre de chien dans la chatte de cette chienne ?
- Oui Monsieur Walter lui répondit tout doucement lesclave mâle apeuré.
Le Majordome recula dun pas, prit une bonne respiration et subitement une paire de gifles puissante arriva sur le visage de lesclave mâle, ce qui le fit rouler quelques mètres plus loin. Lesclave se tenant le visage qui saignait dune lèvre. Très froidement, Walter lui dit :
- Par ta faute, la chienne préférée du Maître a été polluée par ton foutre. Tu savais bien pourtant quil était interdit de jouir delle ?
Lesclave mâle, toujours étalé à terre et se tenant le visage ne disait rien et baissait la tête de honte et Walter hurlant, comme jamais encore, je ne lavais entendu hurler :
- Réponds-lui ordonna Marie la cuisinière très menaçante !
(Timidement, lesclave mâle dit alors) - Oui Monsieur Walter, je connaissais les consignes.
(Avec un regard quil vaut mieux ne pas avoir en face, Walter ajouta) - Tu connais la sanction ?
- Oui Monsieur répondit lesclave mâle.
Immédiatement, du personnel masculin présent sur place se saisit de lesclave mâle et lemmena vers sa destinée... Je ne le revis plus jamais. Je suppose quil a été exclu définitivement du Cheptel de Monsieur le Marquis, ce qui serait pour lui, la pire des punitions de ne plus pouvoir être au service du Maître
Le Majordome se rapprochant de moi, saccroupit derrière mes fesses, regardant ma chatte couler puis se releva et dit :
- Détachez-là immédiatement, je vais lemmener.
Ce qui fut fait très rapidement. Alors que jallais sortir, suivant Walter, celui-ci dit à Victor,
- Poursuivez la séance avec un autre étalon
- Bien Monsieur Walter, répondit Victor
Le Majordome me précédait en des couloirs encore inconnus de moi. Il marchait sans se retourner, sûrement très énervé par ce qui venait de se passer. De temps en temps, tout en marchant, il se retournait, me regardait comme pour voir si je suivais bien, mais ne disait mot. Les salles de dressage, car sen étaient bel et bien, se succédaient les unes aux autres me faisant découvrir des choses étonnantes que je ne connaissais pas. Je voyais des esclaves mâles et femelles, empalées sur des godes dune telle taille que mon anus se serra, dautres, entravées, sur des croix ou piloris, très marqués, semblaient attendre à moins quils ne récupéraient des sévices reçus... Nous arrivâmes enfin dans une pièce, plus petite
(A suivre
)
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