Fred, Mon Pote, Mais Pas Que

Je m'appelle Romain, j'ai 24 ans. Physiquement, crâne rasé, un peu de poids en trop, yeux bleus, 1m75, barbe et tatouage.

Je vis au Vietnam depuis 4 mois maintenant, 4 mois que j'ai décidé de m'offrir une nouvelle vie et d'abandonner l'ancienne.
Mais je ne suis pas seul dans cette aventure, Damien, mon meilleur pote de 25 ans, tatoué, grand et très mince, mais ... Non ça je vous le direz plus tard ;).

Comme je l'ai dis, je vis au Vietnam où je me plais beaucoup, les décors, l'ambiance, la culture et aussi les garçons.
Ouais aussi surprenant que cela puisse paraître, j'ai un gros faible pour les asiatiques, je suis d'ailleurs en couple avec un Vietnamien, Huu, il a 28 ans et est community manager pour des salles de sport, je vous laisse imaginer son physique.

Depuis mon arrivée ici, je me suis fais un petit groupe d'amis français dans le quartier touristique de Saigon, mais je vais surtout vous parler de Fred, 38 ans. Vous savez, on a tous ce gars dans notre entourage qui est très grande gueule, qui connait tout sur tout, mais qu'on aime quand même. Bah c'est Fred. Physiquement, il n'a rien d'exceptionnel, mais un charme fou. Cheveux poivre et sel, yeux verts, un p'tit bidon que j'adore et bordel ce qu'il est viril !

On est sorti avec la bande une fois, nous devions être 5 ou 6, tous chez Lolo au départ. Lolo est un bon ami à nous qui tien un bar, c'est un peu notre QG. Fred sait que je suis gay, et de temps à autres, j'ai le droit à des blagues douteuses pas très drôle, mais je remarque que depuis un certain temps, j'ai le droit aussi à des p'tites allusions, des regards et parfois des gestes qui ne trompent pas. J'ai décidé d'en jouer.

On sort donc dans un autre bar, un endroit simple mais super cool, bonne musique, jolies serveuses, je sais pourquoi Fred nous a tous emmené ici. On commence à s'amuser, on enchaine les bières, et je me fais de plus en plus tactile avec Fred.

La soirée ce passe superbement bien, j'ai même le droit à des p'tites caresses sur les fesses, rien de mieux pour allumer la chaudière.

L'ivresse aidant beaucoup, j'att Fred et lui glisse à l'oreille :
- Je vais au toilette si tu veux me rejoindre.
Il me regarde partir, et me suis. J'ai tellement envie de me faire démonter (ah oui, je suis passif, j'ai oublié).

Je rentre dans les toilettes, et Fred emboite le pas, je me retourne, il m'att et m'embrasse bien goulûment comme j'aime. Vous savez la grosse pelle qui excite bien.

- Tu veux ma bite ? Me dit-il
- Ah ouais que je la veux ta queue.

On se dirige donc vers les chiottes fermés, on rentre et là je m'assois sur le toilette, histoire d'être à la bonne hauteur. C'est la que mon amant décide de sortir sa queue. Et quelle queue ... Un beau gourdin de quasi 20 cm accompagné de 2 couilles pendantes comme je les aime.

- Elle te plaît ?
- Oh ouais qu'elle me plaît.
- Bah suce la moi.

Sans perdre de temps, je m'attaque à cette queue qui me fait mouiller comme jamais. Je prend ma main et commence le branler tout en lui bouffant les couilles. Je commence à remonter en faisant glisser ma langue le long de sa verge afin d'atteindre son gland et c'est à ce moment là que je gobe sa queue.

- Putain tu suces vraiment comme une salope toi, t'aime vraiment la bite. Lève toi et tourne toi que je vois ta chatte.

Sans perdre de temps, je me lève, baisse mon pantalon et mon boxer, écarte les jambes et me cambre. Fred descend vers ma rondelle et commence à me bouffer le cul, y glissé un doigt, puis un deuxième. Se relève et je sens quelque-chose pousser sur mon p'tit trou. Ça y est, il est là, et je sens la chaleur de son gland forcer et rentrer petit à petit. J'ai le souffle coupé, la douleur est aussi intense que mon plaisir.
Il commence les vas et viens lentement, je sens sa queue me transpercer les entrailles et pousse un p'tit gémissement de plaisir annonçant à Fred qu'il était doué dans ce qu'il faisait.

- Tu la sens bien ma queue là ? Je savais que j'allais aimé ta p'tite chatte.
- Vas-y baise moi fort Fred.

L'excitation a prit le dessus, je ne contrôle plus rien, ni mes gestes, ni mes actes, ni mes paroles. Et quelles paroles ... J'ai réveillé le vrai male dominant en lui disant ça, il att mes hanches avec ses deux mains et commence à me donner des coups de reins comme jamais j'en ai pris.
Je sens son chibre me déchirer, mon trou se dilater à son maximum, ça me brule, mais j'aime tellement ça. J'entends et je sens ses couilles claquer sur mon cul et sans même me toucher je lâche trois gros jet de foutre par terre.

Je suis épuisé, vidé mais mon Fred est un guerrier et continue de me démonter le cul comme jamais on me l'a fait. Après 5 minutes, je le sens accéléré le mouvement, et resserrer ses mains sur mes hanches. Dans un dernier coup de reins, je sens son foutre envahir mon cul et l'entend pousser un cri de soulagement.
Mon Fred venait de me donner ce que je voulais depuis longtemps, et je ne le pense pas déçu de mes prestations.

Pour finir, on se rhabille rapidement, on se rafraîchi et on rejoint les autres qui, complètement bourré, n'avaient même pas remarqué notre absence.

Avant de partir, je rejoins Fred pour lui dire au revoir.

- Salut Fred, j'y vais, je garde mon cul au chaud pour une autre fois ?
- Y a intérêt. Me dit-il avec un clin d'œil et une tape sur le cul.

À ce moment là, je pense à ce qu'il vient de se passer, j'y réfléchis et je me dis que je vais encore plus m'amuser la prochaine fois.