Séquence Souvenir : Toute Première Fois
J'ai envie de vous parler d'un très vieux souvenir.
De l'époque où je ne connaissais presque rien du libertinage. Étudiante, j'étais avide de nouveaux jeux. J'avais bien eu l'opportunité d'en expérimenter certains, par hasard, mais restais néophyte.
Une très bonne amie à moi était mariée avec un queutard de première. Elle le prêtait d'ailleurs à l'envie et je peux dire que son sexe avait des mensurations et un dynamisme qui laissait rêveuse. L'époux avait cependant un gros défaut, l'habitude de sortir en club libertin sans accepter de nous y emmener. Selon lui, nous aurions été trop prudes et risquions d'être choquées. Bien sûr, il ne faisait qu'exciter notre curiosité.
C'est ainsi, qu'après quelques mois de harcèlement intensif, nous eûmes l'insigne honneur d'être de sortie un samedi soir pour, enfin, nous rendre dans un de ces "lieux de perdition".
Le club était un des plus ancien de la ville. Discret, il se trouvait dans une maison située banlieue résidentielle. Nous avions pris soin de mettre des tenues qui nous semblaient appropriées mais n'avons du notre "droit de passage" qu'aux habitués des lieux. Nos robes étaient bien trop sages au goût du physio. La soirée commençait bien...
Nous n'avons pas visité immédiatement, les garçons nous ont installées près de la piste de danse avec des coupes de champagne. A première vue, le club n'était pas si différent d'un autre. Rapidement, Alice et moi avons investi la piste de danse et nous sommes amusées avec la barre en métal qui trônait en son centre. Nous étions tout de même très attirées par les pièces sombres. Nous avons donc décidé de nous diriger, comme deux grandes vers le premier passage....
A la découverte du bain à bulle
Les garçons nous ont vite rattrapées. La pièce n'était pas si sombre à bien y regarder, elle était légèrement éclairée d'une lumière bleutée. A notre gauche, on apercevait une mini piscine dans laquelle barbotaient quelques personnes.
Nos vêtements retirés, Alice et moi bien décidées à en découdre nous miment à genoux pour sucer Marc de concert. Je n'avais jamais fait un truc pareil et c'était génial. Les gars étaient excités et leurs queues étaient bien raides. Nous sommes entrés dans le jacuzzi et avons commencé à nous caresser mutuellement dans l'eau. Un des couples présents nous avait rejoint et nous étions six, les mains effleuraient les seins, les clitoris, pénétraient légèrement les vulves tandis que les langues se mêlaient. Je ne savais pas à qui les doigts qui me touchaient appartenaient, et lorsque je prenais un sexe en main je n'étais pas très sûre de son propriétaire, d'autant qu'un peu inquiète, je fermais les yeux.
Après un long moment dans la pataugeoire, les garçons décidèrent que nous étions mûres pour le grand bain...
A la découverte des coins câlins
Après une bonne douche, nous nous somme rhabillés, de nouveau dandinés sur la piste avant de nous diriger vers un second passage. La pièce que nous avons alors découverte était définitivement plus sombre et nettement plus fascinante. Une fois adaptée à l'obscurité, j'ai pu distinguer différents matelas. Pour observer tranquillement, je me suis appuyée contre une poutre.
Derrière moi, un premier matelas abritait les ébats de deux couples et juste en face sur un réceptacle de plus grande taille se trouvaient déjà une dizaine de personnes relativement mélangées. Sur ma droite, une sorte de "boîte" attira mon attention : c'était une forme d'alcôve vide. Un couple ou deux auraient pu s'y installer. Ses parois étaient percées de sorte de meurtrières dont je devinais l'usage bien avant de l'avoir senti en bouche pour la première fois. Achevant mon exploration et sentant mon string bien humide je décidais de revenir vers le plus grand des deux matelas. Je remarquais que mes trois acolytes avaient déjà plongé et se trouvaient fort occupés.
Je me rappelle d'en avoir été épatée, elle prenait 25 cm dans le cul sans broncher. Il était entré direct sans précaution aucune, et cette fille se marrait, les yeux pétillants. Embrochée de cette manière, j'aurai hurlé. A ce sujet, mon trifouiller n'avait pas perdu de temps, car il était en train de me pilonner la chatte. Il se débrouillait plutôt bien mais je restais surprise de plaisir que j'éprouvais à me faire baiser de cette manière, en levrette au milieu d'inconnus.
Alice était folle d'excitation, et un peu saoule je pense. "Un mec vient de me zarfer à la tronche, j'ai pas vu sa tête, tu réalises", en fait, non je pense que j'avais un peu de mal à me rendre compte. Je me laissais porter...
Mon premier trio en club
Après avoir sucé une ou deux queues, je roulais sur le côté pour faire une petite pause. Près de la poutre contre laquelle je m'étais appuyée à mon arrivée dans la pièce.
Je constatais avec plaisir que mes vêtements étaient toujours là. Je fermais les yeux. Des mains écartèrent mes cuisses et je sentis une langue me lécher avidement tandis qu'un doigt s'introduisait hardiment dans ma chatte déjà bien échauffée. Je ne bronchais pas bien qu appréciant le manège, d'autant que d'autres mains torturaient la pointe de mes seins. Je finis par ouvrir les yeux pour découvrir que je me faisais doigter par madame pendant que monsieur s'occupait de ma poitrine en me câlinant. La femme fini par s'allonger sur moi pour entrer sa langue dans ma bouche et frotter son pubis contre mon clitoris, je ne pus m'empêcher de lui rendre la caresse au bord de l'orgasme, la nuque en feu.
Elle me demanda alors si son homme pouvait me prendre, j'acceptais avec enthousiasme. La femme se mit au dessus de moi me présentant sa chatte de manière à ce que je la lèche et me souleva les jambes en les écartant. C'est dans cette position que j'entendis le bruit du préservatif et sentis le membre dur à l'entrée de ma vulve entrer un peu, se retirer puis me pénétrer d'un coup sec pour finalement me baiser intensément. Un moment d'extase qui me laissa pantelante regrettant presque que Marc, l'ami de Luc me rejoigne pour une petite baise entre copains. Une bonne manière de finir cette soirée commencée en le suçant, il faut le reconnaître. C'est donc en bonne copine que je m'accrochais à la fameuse poutre pendant qu'il s'occupait de ma chatte m'arrachant encore quelques cris dont je ne sais plus s'ils étaient d'extase ou d'épuisement....
Le jour d'après
Hummmm, les fameux lendemains qui déchantent entre courbatures, chatte irritée et léger sentiment de culpabilité : promis plus jamais... Enfin jusqu'au samedi suivant car la liberté, c'est trop bon.
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