Au Salon De Coiffure (2Ème Suite)

Elodie s’allonge par terre, le gode droit comme un I comme une imposante queue en érection.

« Viens t’empaler sur ma queue et caresse moi les seins pendant que je te baise »

Je me positionne derrière Myriam et entreprends de lui caresser les fesses. Je mouille tellement devant ce petit cul très bandant que je lui lubrifie l’entrée en me frottant la chatte contre sa rondelle. C’est comme si elle mouillait du cul.
J’accompagne les mouvements de sa baise sur le gode.
Les deux actions font que Myriam ne peut retenir sa jouissance et part dans un orgasme démesuré qui la fait crier de plaisir.
Se retirant de la queue, elle émet un puissant et long jet de cyprine pour la deuxième fois on peut dire que c’est une sacrée femme fontaine.
Elodie est quasiment inondée.

Devant ce spectacle, je glisse vers Elodie et promène ma chatte sur le corps trempé. En frottant mes poils sur le liquide, à mon tour j’émets un jet de mes entrailles.

"Lèche »
lui ordonne Elodie

« Claire, prend le gode et fait jouir Myriam par le cul. »

Après m’être harnachée, j’introduis délicatement la queue dans le cul de Myriam qui pousse un petit cri, de plaisir je suppose.

« Baise-moi fort, c’est merveilleux, enfonce, baise-moi, baise-moi je sens que je vais jouir »


Très excitée moi aussi, je frotte mes seins contre son dos et nous partons chacune dans un orgasme démesuré
Je me retire dans un bruit d’aspiration.

« Fait moi sucer la bite que je sente le goût de son cul » me demande Elodie »
« Moi aussi j’aimerais bien rétorque Myriam »

Chacune s’affaire sur le gode et Elodie met fin aux ébats.
« Tu vois Claire c’est une vrai chienne pour son âge cette Myriam »
Pendant que Myriam se rhabille, je lui demande de me laisser sa culotte.

« Maintenant que tu as mouillé dedans et que je l’ai sur moi, je vais garder ton odeur et quand je me branlerai, je penserai à toi »
« D’accord mai j’aimerais bien en avoir une de chacune de vous mais bien trempe »
« Pas d’autre solution que de les mouiller de pisse, on a tout donné en cyprine.

Rétorque Elodie. Tu veux ? »
« Oh oui, j’aimerais beaucoup. Tout de suite »

Chacune passons un de nos strings en nous rapprochant pour nous caresser et attendre que notre jus jaillisse.

C’est fait, Il y en a autant sur le carrelage que dans les culottes
Myriam très excitée se couche par terre et lape le jus comme le ferait un Chien.

« He bien, tu m’as l’air d’aimer l’URO, on s’en souviendra pour la prochaine fois. »

Toutes les trois rhabillées, Myriam et moi prenons congé d’Elodie en lui laissant un baiser sur le front.

« Pas de bêtises les filles, vous devez être fatiguées » nous lance Elodie.


Dans l’ascenseur, Myriam m’att par les cheveux et plaque sa bouche sur la mienne. S’ensuit un baiser endiablé. Nos langues fouillent mutuellement nos bouches pendant que nos mains remontent sous nos jupes.
La sonnerie de l’ascenseur nous arrache à nos ébats. Nous sommes au rez de chaussé.

« J’ai trop envie de toi Claire, trouvons un endroit tranquille je veux te sucer la chatte et le cul »

En marchant un peu, nous longeons un parc.

« Viens, il y a des toilettes, allons-y »

Surprise mais excitée par sa proposition, j’accepte.

Pas de chance, l’édicule hygiénique est condamné pour travaux.
Je sens que Myriam est très déçue.
En plaquant une main sur sa jupe au niveau de la chatte, je la rassure.

« Ne t’en fait pas Myriam, moi aussi j’ai follement envie de toi, dès que je suis libre je t’appelle, tu viendras chez moi et nous ferons une partie endiablée entre nous deux. Comme tu es très salope, imagine la prochaine fois, c’est toi qui dirigera. »
« Promis Claire ? »
« Promis Myriam »

Nous nous séparons sur cette promesse.


En rentrant à l’appartement, je prends une douche relaxante bien méritée en prenant soin de bien conserver la culotte de Myriam pour que son odeur ne s’évapore pas trop.

Je décide de ne rien cacher à ma coiffeuse. J’appelle Elodie.

« Elodie, c’est Claire, notre petite Myriam est vraiment nympho. Elle a voulu qu’on se branle dans l’ascenseur et ensuite elle voulait me sucer dans la rue, dans une cabine de toilette. Je lui ai promis de la prendre chez moi un soir et que c’est elle qui dirigerait les ébats avec tout ce qu’elle pourrait imaginer. »
« Vous voulez faire ça toutes les deux ? »
« C’est ce que je lui ai dit mais je pense qu’il serait mieux qu’on soit à plusieurs pour la calmer. As-tu une idée ? »
« Je pense à quelque chose mais il faut que j’y réfléchisse. Demain je vais au salon, je t’appellerai demain soir »
« OK. Merci. Pour le moment je ne bouge pas »
« OK bise à demain »