L'Étudiante - 1Ère Partie

Après de brillantes études qui m’ont permis d’intégrer une grande et prestigieuse école car j’avais eu une mention TRES BIEN au baccalauréat, je m’étais installée dans un petit studio que mes parents payaient à prix d’or malgré des revenus plutôt modestes.

Les deux premières années s’étaient bien passées… J’avais totalement intégré la communauté étudiante… Nous étions un petit groupe équilibré : quatre filles pour quatre garçons… Nous partagions les mêmes cours, les mêmes envies, les mêmes distractions et si certains étaient « en couple », pour moi faire l’amour avec un garçon ou une fille, ce n’était pas ma priorité… Quand l’envie me prenait, je n’avais que l’embarras du choix dans le groupe ou en dehors.

Malheureusement, cette période d’insouciance (certes très studieuse) s’est terminée par un drame… Mes parents qui étaient venus depuis la région toulousaine me voir à Paris ont été victimes d’un accident sur la route du retour… Un poids lourd dont le conducteur s’était endormi avait broyé leur petite voiture et les secours n’avaient rien pu faire pour les sauver.

Cette troisième année commençait bien mal…
Après les obsèques et les différentes démarches, j’ai repris les cours sans grand enthousiasme mais mes camarades me soutenaient du mieux qu’ils pouvaient…
Nous avions beaucoup parlé au cours de soirées autour d’un plat de pâtes ou autre car je voyais poindre les difficultés : Je ne voulais pas vendre la petite maison de mes parents et leurs économies ne me laissaient plus guère de marge… Si je me faisais pas de folies, j’avais juste de quoi terminer mon Master et rapidement trouver un emploi…
Dix huit mois…çà passe vite…

Lors des vacances de printemps, je suis retournée dans la maison de mes parents pour vider un maximum de choses qu’il était inutile de conserver…
Je travaillais avec Paul et Andrée, un couple de voisins qui étaient des amis de mes parents depuis de longues années et qui m’avait vue grandir…
Je parlais des difficultés financières qui m’attendaient à plus ou moins brève échéance quand ces amis m’ont dit :
• Puisque tu ne veux pas vendre la jolie maison de tes parents, il y a peut-être une solution… Si tu en faisais un gîte touristique ? Tu n’ignores pas que nous avons déjà deux maisons qui le sont dans le village… et nous sommes obligés de refuser des locations à la pleine saison :
• NON… Mais qui s’en occuperait ? Je suis si loin !
• Mais NOUS… si tu veux bien !

Il ne leur a pas fallu bien longtemps pour me convaincre…
La décision prise, nous avons entrepris la transformation pour qu’un couple avec des s se sente à l’aise et profite bien de cette région touristique de la vallée de la Garonne.


Les meubles rustiques et des bibelots impersonnels sont restés en place alors que tout ce qui rappelait mes parents, vêtements, souvenirs et bibelots ont été rangés soigneusement dans une pièce de l’étage qui ne serait pas accessible aux locataires.

Après un passage à la banque pour obtenir un petit prêt, j’ai acheté avec Andrée tout le linge neuf qui était indispensable : des parures de lits aux tailles qui allaient bien pour la chambre parentale et les chambres d’s… du linge de toilette en quantité, y compris de peignoirs en éponge que je fis marquer du sigle choisi pour le maison : un nid d’oiseau en couleurs et en dessous en fils dorés la mention « Le Nid ».
Lorsque dans le train qui me ramenait à Paris, je repensais à tout ce qui avait été fait pendant ces deux semaines, je n’en revenais pas…
J’étais sure que Paul et Andrée m’avaient suggéré la bonne solution : Cela me rapporterait de l’argent et je pourrais choisir les périodes au cours desquelles je souhaiterais occuper la maison !



Parmi les trois filles de notre groupe, j’étais toujours étonnée de voir Julie avec des fringues neuves, des bijoux, certes de pacotille mais en nombre…
Souvent elle était absente le vendredi ou le samedi soir ou même encore tout le weekend…
A son retour, elle faisait une razzia dans les boutiques chic et ne semblait pas compter son argent ! Nous savions tous qu’elle avait un petit appartement pas très loin de la Sorbonne mais aucun d’entre nous y avait mis les pieds…
Un jour après les cours, nous nous trouvions seules à la terrasse d’un café quand je lui posai la question qui tue !
• Oh… j’espère que je ne vais pas te choquer… Depuis le début de l’année universitaire, je suis devenue accompagnatrice pour des messieurs fortunés qui ne veulent pas diner seuls ou sortir au théâtre ou à l’opéra sans avoir une compagne à leur bras.
• Tu es donc Escort ?
• Non pas vraiment… au début, je retrouvais ces messieurs à leur hôtel ou un point de rendez vous convenu à l’avance, nous passions la soirée ensemble puis un taxi me ramenait chez moi avec une enveloppe bien garnie.

• Mais comment faisais-tu pour les trouver ?
• C’est simple… Un jour je suis tombée sur une annonce dans une publication publicitaire… Cela m’a intriqué si bien que j’y ai répondu.
• Et alors ?
• J’ai été invitée à une soirée à Bruxelles où j’ai fait la connaissance du couple qui dirigeait une sorte de réseau. Ils se chargeaient de recruter des jeunes filles ou des femmes pas trop farouches et de les mettre en contact avec les hommes qui voulaient louer leurs services.
• C’est un réseau de call girls !
• Oui… même si le terme n’est plus guère employé. En fait, j’étais libre de coucher ou pas avec mon « client ». C’est ce qui est arrivé dans les débuts…
• Raconte… si je te comprends, maintenant tu acceptes de « baiser » ?
• Oui… cela s’est passé d’une manière un peu curieuse. Le message que j’avais reçu de Belgique m’indiquait que le soir en question je rencontrerais un couple qui avait flashé sur moi… C’était une première…
• Raconte ! J’ai envie de savoir !
• Lorsque le vendredi soir je suis arrivée à cet hôtel non loin des Champs, ce couple m’attendait à la réception. Nous avons bavardé quelques minutes pour faire connaissance en buvant une coupe puis le voiturier est arrivé pour nous conduire dans un célèbre restaurant qui domine la Seine.
• Dis donc, ils ne se refusent rien !
• Oui… ils ont les moyens ! C’était un couple très sympathique… un peu plus de 40 ans je pense, l’homme était très athlétique, grand aux épaules larges avec un visage ovale avec des yeux marron qui allaient bien avec son teint halé. La femme vêtue d’un tailleur strict, était plus quelconque mais jolie malgré tout… Des cheveux blonds coiffé en chignon tombant un peu sur la nuque, elle avait des yeux bleus et des petites rides d’expression… Une bouche un peu pulpeuse semblait appeler le baiser.
• Que s’est-il passé après le diner ?
• Nous avons beaucoup parlé… De tout et de rien en fait… Ils m’ont interrogé sur mes études, mes aspirations mais ils se sont assez peu confiés… J’ai juste pu savoir qu’ils dirigeaient une petite entreprise de pointe en Savoie.
Je ne voyais pas très bien comment la soirée allait tourner… Il était trop tard pour aller au théâtre, nous n’étions pas habillés pour une sortie en boîte…En fait tout s’est décanté quand l’homme m’a confié que sa femme avait très envie de coucher avec moi… que dans leur lointaine province, cela n’était pas possible car ils voulaient éviter mes médisances… Ils profitaient de leurs voyages pour satisfaire les penchants lesbiens de la femme et les habitudes candaulistes du mari… Ils ne voulaient pas non plus aller dans les clubs érotiques…
• Dis donc, la proposition était franche !
• Ne sois pas si naïve… Les mœurs se sont libérées… Toi-même tu n’hésite pas à coucher avec des garçons et des filles !
• Ce n’est pas tout à fait pareil… nous restons en tête à tête ! Raconte la suite…
• Lorsque nous sommes revenus à l’hôtel, nous sommes montés dans leur suite puis la femme s’est approchée de moi pour m’enlacer… et m’embrasser sur la bouche… Tout de suite j’ai senti sa langue s’engager entre mes lèvres et chercher le contact avec la mienne alors que ses mains s’étaient posées sur mes hanches pour presser nos bassins l’un contre l’autre…
• C’était chaud !
• Tu ne crois pas si bien dire… L’homme s’était installé dans un fauteuil et nous regardait, l’œil égrillard… Pendant que la femme m’embrassait, elle a fait glisser les bretelles de ma robe bustier et découvert ma petite poitrine… Pour ne pas être en reste, j’ai glissé une main entre les boutons de sa veste et j’ai découvert ce que je pensais depuis le début de la soirée : Elle n’avait pas de soutien gorge… sa poitrine était libre de toute entrave… Tout de suite, j’ai pris entre mes doigts un des tétons que j’ai fait rouler… Elle ma encouragé à aller plus loin… Bref, en quelques minutes, j’avais devant moi une femme plutôt jolie… ne portant plus qu’un Tanga couleur chair, des bas fumés qui tenaient tout seuls et des talons vertigineux… et ma robe froissée à nos pieds. Elle m’a guidé vers le lit où nous avons basculé trouvant d’emblée la meilleure des positions… Elle me dominait puis elle a frotté sa poitrine contre la mienne faisant sortir les tétons des aréoles avant de descendre dans ma fourche intime et ôter mon string.
Quand j’ai senti son souffle sur mes lèvres, j’ai fait glisser son Tanga et découvert son sexe… Se mettant en position de 6 9, elle m’a littéralement plaquée sur le lit en m’offrant son sexe à lécher ! Je sentais ses doigts fourrager entre mes lèvres intimes et chercher mon clitoris… Que c’était bon !
• Que faisait l’homme pendant ce temps ?
• Il nous regardait en caressant son sexe encore dans son pantalon… La femme continuait de me bouffer la chatte… et elle savait y faire… Je sentais le plaisir monter dans mes reins aussi, je me suis appliquée à lui rendre sa caresse tout en laissant mes doigts courir sur son périnée jusqu’à son sphincter dans lequel j’ai trouvé un Plug !
• Ben dis donc… une sacrée cochonne cette blonde !
• C’est ainsi que je l’ai fait jouir en même temps que moi en manipulant le Plug dans son sphincter et en plongeant ma langue au plus profond de son sexe… C’était tellement jouissif que nous avons perdu la notion de ce qui se passait autour de nous…
• Explique !
• Lorsque je suis sortie de ma torpeur sexuelle, le mec était près du lit, nu… il nous regardait en branlant une queue ENORME !
• Ce n’était certes pas la première que tu voyais… je t’ai déjà surprise en bonne compagnie !
• Oh oui, je sais… mais une comme celle–là, je n’en n’avais jamais eu… et elle m’a fait envie immédiatement ! Elle était au moins aussi grosse que mon poignet et mesurait au moins 25 cm, veinée avec un gland en forme de dôme… et les bourses pendantes, le tout sur un pubis rasé !
• Ce qui allait suivre ne devait pas être prévu ?
• NON… bien sur… J’avais donné mon accord pour faire l’amour à Sandra mais jamais il n’avait été question que Serge, son mari vienne se mêler à nos jeux ! Mais Sandra m’a encouragée en disant que pour que son mari puisse bien la baiser, il fallait qu’elle soit bien excitée… et qu’elle se sentait prête, que je l’avais bien préparée… que je serais bien récompensée…
• Je suppose que tu avais déjà reçu ton enveloppe ?
• Oui… bien sur… Elle m’avait été remise lorsque nous nous sommes rencontrés au bar et elle contenait les 3 billets de 500 euro prévus !
• Waouh… Tout çà pour un diner au restaurant !
• Oui… c’est le tarif pour une soirée sur Paris… Quand je vais en province ou à l’étranger, l’agence me fait parvenir un billet d’avion en première classe et le transport en limousine est prévu à l’arrivée !
• Mais c’est le paradis… Juste pour une soirée dans un beau restaurant…
• Je ne te le fais pas dire… Mais cette nuit là, j’ai franchi un cap… J’ai d’abord accepté une relation sexuelle d’abord avec la femme et le mari m’a baisée ensuite…
• Je croyais avoir compris qu’il ne voulait faire l’amour qu’à sa femme !
• Oui… au départ c’était cela mais les choses en entrainant une autre… J’étais tellement émoustillée devoir entrer ce sexe énorme dans la chatte de Sandra que je me suis caressée pendant qu’ils baisaient ! Il l’avait d’abord prise à la missionnaire puis il l’a fait mettre à genoux sur le lit et l’a prise en levrette… Quand ils ont joui, j’ai pris un pied terrible au point que Sandra m’a dit que si je voulais en profiter, elle n’était pas contre… que pour le moment, elle en avait assez mais que son mari avait encore des réserves !
• Et bien sur… tu n’as pas hésité !
• NON… il m’a prise en levrette… à un moment j’ai eu peur qu’il ne veuille me sodomiser mais cela, il ‘a réservé à sa femme dès qu’il en a terminé avec moi… et pour la troisième fois de la soirée, j’ai pris un pied terrible quand j’ai senti son sperme se répandre en moi !

Julie a continué à me raconter la fin de la soirée avec Sandra et Serge…
Je n’arrêtais pas de me trémousser sur ma chaise tant ce récit m’avait échauffé les sens… je sentais ma chatte mouillée entre mes cuisses rien qu’à l’évocation imaginée du sexe de Serge… et des 500 euro ramassés par Julie…


A suivre.

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