La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1072)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
- Jy compte bien, Walter, jy compte bien (toujours en me fixant avec une intensité encore augmentée)
Après avoir conduit le visiteur dans un salon dattente, le Majordome revint très excité... pas dune excitation sexuelle, mais plutôt comme sil avait quelque chose de très important à faire, quil ne devait pas rater absolument. Entre temps, javais osé demander à Virginie qui était ce Monsieur à qui Walter donnait avec semble-t-il un énorme respect, peut-être même de la crainte, du « Messire »
- Cest Monsieur le Comte de Beusgley (lire La Saga des esclaves
- saison 1), un très grand ami du Maître, Monsieur le Marquis dEvans, et qui a des écuries de chevaux de courses. Mais il est également grand amateur de Femmes pourvues quelles soient racées, un peu comme les juments Pur-Sang quil possède en nombre, me répondit Virginie dans la mesure où elle était autorisée à répondre à mes éventuelles questions.
- Ah ! Je comprends mieux certaines réflexions, dis-je...
Le Majordome fit irruption donc dans la pièce où nous nous trouvions, Virginie et moi-même.
- Virginie, tu prépareras la chienne Isabelle comme suit : Talons très hauts, les plus hauts possibles, guêpière avec lacets très serrés, gants de soie, ongles maquillés pieds et mains, tu la maquilleras, parfumeras et lui passera ce collier et cette laisse...
Il montrait un collier et une laisse que je ne connaissais pas, collier de cuir travaillé et large, incrusté de pierres précieuses formant les Initiales MDE et la laisse ornée démeraudes sur son pommeau
- Oui Monsieur, répondit Virginie
(Walter sortit en ajoutant) - Je viens chercher la chienne dans une heure !
- Bien, Monsieur !
(Virginie me dit) - On na pas beaucoup de temps, viens vite avec moi.
- Je te suis, répondis-je.
Excitée comme je lavais été, vous imaginez dans quelle situation était ma vulve, littéralement en fusion
Je perdais de ma cyprine comme si je faisais pipi sur moi en permanence. Je suivais Virginie qui marchait vite, me faisant signe davancer plus vite. Elle me semblait subitement craintive, craignant quelque chose que je ne saisissais pas, aussi, jaccélérais mes pas
Nous entrâmes dans une vaste pièce, (une de plus, le Château étant si vaste) dans laquelle trônaient des centaines de tenues vestimentaires suspendues sur des cintres, triées par tailles, des milliers de paires de chaussures, des guêpières, des bas, des mantilles, des capes, des gants de toutes sortes. Beaucoup de ces tenues étaient signées de grands créateurs ou marques célèbres
- Tout dabord, douche rapide, me dit Virginie. Viens ici !
- Jarrive, le temps de retirer mes chaussures
Jentre dans la douche, qui fut effectivement rapide : Jet deau glacée, friction au gant de « crin » qui me fit rougir la peau ressemblant plus à une écrevisse quà autre chose
suivi du séchage qui me réchauffa quelque peu, puis, direction la salle dessayage. Merci la douceur ! Une autre esclave, âgée dune cinquantaine dannées, était présente, triant les vêtements, chaussures, refaisant un point par ci, raccommodant par là
Lesclave était plantureuse mais bien proportionnée. Son large fessier et sa poitrine généreuse portaient des traces de marques de punitions anciennes. De ses tétons et clitoris pendaient des anneaux reliés entre eux par une chaînette. Ses cheveux relevés en chignon lui allaient très bien. Dun coup dil, en habituée, elle me jaugeât,
- Tu fais du 36 de taille ? me demanda-t-elle
- Oui
.
(Je la regardais et elle me dit) - Je suis lesclave Sophie.
- Oui, Sophie, je fais du 36 de taille.
(Sophie prit mes mensurations) - Viens, suis-moi, reprit Virginie, je vais te maquiller comme le veut Monsieur Walter.
Je suivais Virginie qui me fit massoir devant un miroir psyché, au bois finement ciselé.
- Je crois que cela ira, me dit-elle ! Regarde-toi et dis-moi ce que tu en penses ?
- Je suis superbe Virginie, tu as parfaitement marié les tons
superbe, merci
- Je connais les goûts du Comte de Beusgley, tu sais, il ne passe absolument sur rien
- Ah !
- Viens vite, le temps passe, viens essayer ce quesclave Sophie ta préparé. Fais vite Monsieur Walter va revenir, on na pas le temps, me redit-elle.
Nous voilà dans le dressing, esclave Sophie avait lair aussi tendue que Virginie, décidément me dis-je, ce Comte semblent perturber les esclaves... Assez sèchement car stressée, esclave Sophie me dit :
- Enfile cette guêpière !
Je passais la guêpière, me présenta à elle bras écartés, pour quelle commence de serrer les lacets, assez rudement je dois dire, me forçant à me relever, jen avais presque le souffle coupé. Mes seins reposaient sur la guêpière comme offerts. Jenfilais des bas, attachés à la guêpière et « montait » sur des escarpins dont les talons dépassaient les 16 cm. Virginie me parfuma à nouveau, tandis quesclave Sophie regardait son uvre et lhorloge placée au mur opposé.
- Vite, un dernier point encore, le collier Virginie et la laisse, fais-vite sil te plait, Monsieur Walter ne va pas tarder à revenir !
- Oui, tout de suite.
Virginie courait, et revint aussi vite tendant collier et laisse à esclave Sophie, qui me le passa autour du cou. Je me regardais dans le miroir tandis que Virginie le basculait de façon à ce que je me vois entièrement. Je reconnais que javais de lallure
Jétais en train de madmirer quand la porte souvrit brutalement, laissant entrer le Majordome, semble-t-il essoufflé.
- Elle est prête dit-il immédiatement ?
Sophie et Virginie sinclinaient respectueusement devant Walter, tandis que Sophie, répondit
- Oui, Monsieur, est-elle à votre goût ?
- Très bien mais ce nest pas à moi quelle doit plaire.
Walter tourna rapidement autour de moi et lança :
- Suis-moi, chienne !
Je sortis, le suivais tant bien que mal avec mes talons
Walter semblait réellement tendu
- Je vais te conduire auprès de Monsieur le Comte de Beusgley, me dit-il, cest un très grand ami de Monsieur le Marquis, cest un grand expert et un passionné de chevaux de course et de très belles femmes. Cest aussi un Maître et expert en distribution de souffrances aux récalcitrantes
un peu comme toi. Il ne te connait pas encore mais a demandé à Monsieur le Marquis de te rencontrer, ayant entendu parler de toi. Voilà pourquoi il est ici aujourdhui, avec lautorisation du Maître. Il na aucune capacité à te « toucher » sauf, sil te lexige, à lui faire une fellation. Quand je dis te « toucher » il peut te donner un ou des ordres, mais ne pas te cravacher par exemple, mais en revanche il peut entrer ses doigts
sans te baiser, enfin tu comprends. Sois la plus efficace possible, car il relatera au Maître dans les moindres détails ce qui lui a plu ou pas. Si tu veux éviter des corrections sévères, à toi de jouer, ma belle...
- Je ferai de mon mieux, Monsieur, répondis-je immédiatement reprise par
- Pas de ton mieux, tu feras tout à la perfection.
- Oui, Monsieur, comptez sur moi.
Le Majordome frappait à la porte du salon dans lequel Monsieur le Comte de Beusgley attendait et annonça mon arrivée en ces termes :
- Monsieur le Comte, je vous présente la dernière trouvaille du Maître, une véritable perle en cours de dressage.
Il me fit signe dentrer et se retira en fermant la porte sur mes talons. Le Comte de Beusgley était assis dans un large fauteuil de cuir, à son côté, sur une crédence, des boissons et deux verres
Il ne réagit même pas à lannonce de Walter et me regardait pas plus.
(A suivre
)
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