L'Étudiante - 2Ème Partie.

Lorsque le soir, je me suis retrouvée seule dans mon studio, j’ai repensé au récit que Julie m’avait fait de sa soirée avec Sandra et Serge mais aussi aux 500 euros qu’elle avait empoché… Diner dans un beau restaurant avec un couple sympathique, se faire baiser ensuite et y prendre beaucoup de plaisir… je comprenais mieux l’attitude de ma copine.
Au cours de la semaine suivante, je n’ai pas cessé de penser à tout cela en me disant que Julie avait bien de la chance d’avoir pu trouver cette annonce… et de ce que cela avait entrainé pour elle… mais je n’ai pas eu l’occasion de la rencontrer en tête à tête pour lui poser plus de questions…
J’avais envie d’en savoir plus…
N’étant pas farouche, je me voyais bien accepter de faire la même chose… l’argent n’étant pas le seul attrait… Cela ne me gênait pas de baiser un homme ou une femme pour de l’argent… J’en avais tellement besoin pour rénover la maison de mes parents !



Quelques jours plus tard, j’arrivais enfin à rencontrer Julie… Elle revenait d’un weekend à Rome et elle m’a invitée à la suivre pour faire les boutiques avec elle…
Elle avait hâte de dépenser un peu de ce qu’elle avait gagné au cours de son weekend !
C’était l’occasion où jamais de lui poser les questions qui me hantaient… d’autan que je l’ai accompagnée jusqu’à son studio où elle m’a montré une partie de ce que ces « escapades » (comme elle les nommait) lui permettaient d’acheter…
Elle avait une profusion de dessous tous plus sexy les uns que les autres et des robes habillées qui lui ouvraient les portes des plus beaux restaurants.
Je me confiai en lui disant que je ferais bien comme elle…
• Oh… c’est simple… Fais un test HIV. et donne-moi les résultats pour les faire parvenir en Belgique avec quelques photos. Ce n’est pas toujours utile car on nous recommande d’utiliser des préservatifs mais certains hommes s’y refusent quitte à payer les services plus chers.

Généralement ces hommes sont clean ! C’est ce qui m’est arrivé avec Serge… mais d’une manière ou d’une autre sa bite me faisait tellement envie…
• Ok… je vais m’en occuper… comme cela je serai prête !
• Je vais voir si on peut faire une sortie en double… cela arrive… comme cela tu seras moins paniquée !
• Oh MERCI, t’es vraiment sympa’ !

J’avais fait une série de photos de charme de manière à agrémenter mon dossier.
Rien… les jours puis les semaines passaient… quand un soir j’ai reçu un message sur le portable spécial « coquine » que j’avais reçu dès mon inscription.
C’était Julie… Nous avions un contrat pour le samedi après midi suivant…
Je l’ai rappelée aussitôt car c’était plus facile de s’entendre de vive voix…
Nous devions retrouver un couple dans leur maison de la vallée de Chevreuse… Une voiture avec chauffeur viendrait nous chercher au point de rendez vous habituel…
Dès le lendemain, je suis passée chez mon esthéticienne où j’ai fait rectifier ma toison pubienne en un triangle que je trouvais très coquin… soins du corps et du visage complétaient la séance...
Pour une fois, je n’allais pas me priver de me faire chouchouter…

Le samedi en début d’après-midi, Julie est venue me retrouver pour m’aider à finir de me préparer.
J’avais acheté dans une boutique spécialisée une parure faite d’un tanga en dentelle noire et un soutien gorge à demi bonnet qui présentait ma poitrine plus qu’il ne la soutenait… Les tétons étaient apparents au dessus de la dentelle…
C’était très coquin et la vendeuse m’avait dit que j’aurais beaucoup de succès…
Un maquillage sophistiqué mais discret, une robe bustier et des talons d’une hauteur vertigineuse complétaient ma tenue…
D’après Julie, cela convenait parfaitement !
• çà te va à ravir mais tu sais, la robe, je pense que tu ne la garderas pas longtemps… Nous n’allons pas au restaurant ou au théâtre… je pense que nous allons entrer directement dans le sujet !
• On verra bien ! Le principal n’est-il pas d’être à son avantage lors du contact ?
• Si… Tu as raison !

Un peu moins d’une heure plus tard, la limousine qui nous transportait, entrait dans une propriété cernée de hauts murs et nous déposait au pied des marches d’un petit manoir !
Un couple d’une quarantaine d’années nous attendait sur le perron…
L’homme, grand et athlétique, brun aux cheveux mi-longs légèrement ondulés avec des yeux marron perçant et une bouche aux lèvres minces…
La femme, grande brune également mais avec des formes callipyges… Poitrine visiblement généreuse abondamment découverte par un décolleté rond… Les cheveux méchés de gris coupés courts, des yeux d’un bleu profond et des lèvres ourlées…
Bref un couple que je jugeai au premier abord bien assorti et à voir leur maison, disposant de revenus confortables…
L’homme se présenta :
• Alphonse de la Ménétrais… et ma femme Ludivine. Entrez je vous prie…

Après avoir traversé un vestibule aussi vaste que mon studio, nous sommes entrés dans un salon richement garni de meubles contemporains, vastes divans, fauteuils profond, tapis épais, éclairages discrets et malgré la saison un feu dans l’âtre réchauffait la pièce…
Sur une desserte trônait un seau avec un magnum de champagne, des coupes et des en-cas solides et une coupelle contenant divers préservatifs.
Ludivine, en parfaite maîtresse de maison, et son mari nous ont souhaité la bienvenue :
• ELLE :
o Chères amies… c’est une joie de vous accueillir dans mon humble demeure… J’espère que nous prendrons du bon temps.
• LUI :
o Oui… c’est un plaisir de recevoir d’aussi jolies jeunes femmes… Nous ne sommes pas déçus de notre choix !
• ELLE :
o Venez… Trinquons d’abord… Nous passerons aux choses sérieuses ensuite !

Je m’étais installée dans un des fauteuils et Ludivine est venue s’asseoir sur un des accoudoirs pendant que Julie et Alphonse avaient pris place sur un des divans et bavardaient à mi voix…
Passant une main dans mes cheveux, Ludivine m’a dit à l’oreille qu’elle me trouvait bien jolie… que nous allions bien nous amuser…
Puis sa main a glissé sur mon épaule droite et s’est insinuée dans mon décolleté pour aller chercher le téton de mon sein droit qui soudain s’était érigé :
• Humm… c’est bon…
• Viens sur le tapis devant la cheminée… Nous allons nous mettre à notre aise !
• Oouuuiiiiiii !
Cette coquine savait y faire… Je n’avais jamais fait l’amour à une femme plus âgée que moi… ne m’étant jusqu’à présent offert des joutes lesbiennes avec des filles de mon lycée ou de la Fac’ !
J’avais ouvert le compas de mes cuisses tant j’étais excitée par la situation…
Face à face, à genoux sur le tapis, Ludivine a fait glisser le Zip de ma robe et l’a fait passer par-dessus mes épaules avant de la lancer au loin sur un autre fauteuil…
• Hummm… Jolis dessous… J’aime beaucoup tes petits seins ronds… Je trouve les miens trop gros !
C’est vrai que les balconnets étaient bien remplis et j’étais très fière d’exhiber mes globes de taille B dont les aréoles frisaient et les tétons pointaient comme un pois chiche…
J’ai ouvert le chemisier de soie de Ludivine puis j’ai ôté sa jupe… Nous étions à égalité ! Nous n’avions plus que nos dessous…
Quelle poitrine… Ronde, généreuse, soutenue par un soutien gorge blanc qui séparait les seins et laissaient voir un sillon profond…Des seins de femme mature… d’un blanc laiteux et parcourus de veinules bleutées !
Cette poitrine me faisait envie… J’ai posé mes lèvres sur un des tétons qui pointait au travers de l’orifice ménagé à cet effet dans le bonnet et je l’ai mordillé doucement… Puis j’ai passé mes mains derrière le dos de Ludivine et j’ai dégrafé son vêtement…
Comment une telle masse de chair pouvait tenir aussi fièrement ?
Mon amante n’était pas restée inactive… Désormais, j’étais nue… seules mes jambes étaient encore couvertes des bas…
Ludivine a ôté son string et m’a fait basculer sur le dos pour m’embrasser…
De ma bouche, la sienne s’est attardée sur mes seins, mordillant les tétons de plus en plus turgescents puis elle a vrillé sa langue dans mon nombril dans une caresse savante qui a achevé de mettre le feu à ma libido…
Je sentais ma chatte suinter … J’avais chaud, j’avais froid… mais j’étais bien car je savais (devinais, devrai-je plutôt dire)… Ludivine allait me manger le sexe…
C’était un peu le monde à l’envers… Nous étions là pour leur donner du plaisir et la femme allait me faire jouir sous ses baisers de plus en plus insistants, débusquant mon clitoris qui roulait entre ses lèvres… sa langue s’agitant ensuite au plus profond de mon sexe… jusqu’à ce que je ne puisse plus retenir ma jouissance !
• Bien… tu as eu un avant goût de ce qui va se passer… à toi de me faire jouir de la même manière… Reste sur le dos, je vais te chevaucher en 69… Ma chatte et mon cul sont à toi !

Cette première jouissance sous la langue et les caresses de Ludivine m’avaient ôté toute inhibition aussi lorsqu’elle m’a offert la vision de sexe aux lèvres proéminentes, très développées et portant des cavaliers dorés du plus bel effet, je n’ai pas hésité.
J’ai posé mes mains sur ses fesses douces et souples et j’ai relevé ma tête pour lui offrir un cunnilingus de la plus belles des façons…
J’avais rapidement débusqué son clito’ en haut des lèvres que j’ai écartées de ma langue…les faisant peu à peu ruisseler pendant que se cyprine sortait de son sexe…
De mon côté, je sentais que Ludivine m’embrassait le bas du ventre, l’intérieur des cuisses, me chatouillait le périnée mais évitait les parties les plus sensibles…

Depuis que j’étais dans les bras de Ludivine, j’avais perdu toute notion de ce qui se passait autour de moi ! Que faisaient Alphonse et Julie…. Je pense qu’ils devaient être bien occupés de leur côté !
J’entendais des grognements inarticulés mais je n’y prêtais guère attention…
Je sentais que les caresses, les attouchements de Ludivine dans la fourche de mes jambes mais je ne perdais pas de vue que c’était à elle que je donnais du plaisir !
Et sa jouissance est arrivée soudainement avec un grand cri de bête fauve, elle s’est libérée en déchargeant une abondante giclée de cyprine sur le bas de mon visage…
Ce n’était pas une femme fontaine mais cela y ressemblait !
• Alors… Chienne, notre invitée t’a envoyée en l’air !
• ---- ----- ---- ----
• Maintenant que Julie m’a bien préparée, c’est à mon tour… Relève ton cul comme si tu te prosternais.
C’est à ce moment que j’ai découvert le sexe d’Alphonse ! Très long, au moins 25 cm mais ridiculement fin, à peine aussi gros que son pouce… mais un gland proéminent presque deux fois plus gros que la hampe.
Mais la surprise a encore été plus totale quand j’ai découvert Julie harnachée avec un gode ceinture de belle taille…
• Moi :
o Que fais-tu comme çà ?
• Julie :
o Tu vas voir… Pendant qu’Alphonse va sodomiser sa femme, je vais lui prendre le cul… Il parait qu’il n’y a que comme cela qu’il arrive à décharger dans le cul ou la chatte de Ludivine !
• Moi :
o Waouh… Il est impuissant ?
• Julie :
o NON, certainement pas puisqu’il m’a déjà inondé copieusement la matrice.
• Moi surprise :
o ---- ---- --- --- ?
• Julie :
o Il fait un complexe vis-à-vis de sa femme qui a un solide appétit sexuel alors qu’avec son sexe, il n’arrive plus à rien…

Assise en tailleur sur le tapis je regardais comment cet accouplement peu ordinaire allait se faire…
Ludivine s’était placée comme son mari l’avait demandé… les bras posé en avant de sa tête, elle avait les fesses levées bien haut et sa fente s’ouvrait naturellement… Je voyais distinctement sa chatte encore engluée de sa précédente jouissance et son sphincter qui palpitait doucement, semblant appeler une belle queue pour y entrer…
Julie entretenait la bandaison du mari de Ludivine en le masturbant du bas en haut de sa hampe dressée devant son pubis… alors que le sexe factice qu’elle portait était encore simplement glissé entre les fesses d’Alphonse…
Ce dernier est allé enduire sa bite de cyprine dans le sexe de sa femme puis il a approché son gland du sphincter et a dit à Julie :
• Vas-y… Pousse c’est le moment !
Et là, Julie a introduit le gode ceinture dans le cul d’Alphonse qui, sous la poussée, est entré dans le boyau étroit de sa femme…
J’avais pourtant déjà vu ou vécu des situations très chaudes mais là, je pense que j’avais atteint un sommet ! C’ETAIT TORRIDE !
En fait, c’était Julie qui donnait le tempo… Quand elle faisait mine de vouloir sortir du cul d’Alphonse, ce dernier reculait aussi, laissant son gland au contact de la rosette de sa femme et quand Julie poussait en avant, il faisait entrer sa bite dans le cul de Ludivine…
Le rythme s’accélérait peu à peu et Ludivine caressait sa chatte d’une main…
Je ne pouvais pas être en reste…
Je me suis glissée sous le ventre de Ludivine et j’ai remplacé sa main par une des miennes, passant alternativement de son sexe aux bourses d’Alphonse qui se contractaient de plus en plus souvent…
Il n’allait pas tarder à jouir… et Ludivine non plus tant elle gigotait en tous sens !
C’est arrivé soudainement, Ludivine m’a à nouveau arrosé le visage de sa cyprine pendant qu’Alphonse s’épanchait dans le boyau étroit de sa femme puis sur son dos…
Julie et moi, nous étions restées sur notre faim (comme on dit…) mais cet après midi libertin s’est poursuivi… et nous en avons donné et reçu pour notre argent…

C’est ainsi qu’après quelques temps de repos, nous avons sucé toutes les trois le sexe d’Alphonse pour le faire durcir à nouveau…
C’était torride… nous nous partagions ce sexe hors norme, l’une massait les bourses pendantes tandis que les deux autres jouaient de la langue sur le gland ou avalaient la hampe au plus profond de leur gorge… J’admirais avec quelle facilité Julie arrivait à avaler complètement le sexe d’Alphonse…
Puis lorsque ce dernier a été prêt à saillir l’une d’entre nous, il m’a tendu la main…
• Viens… Tu vas me chevaucher… Je veux voir ma bite entrer dans ta chatte !
Alphonse s’est assis dans un des fauteuils et je me suis empalée sur sa bite… J’étais tellement mouillée que le gland est entré facilement… Puis j’ai entrepris les mouvements de va et vient jusqu’à ce que je sente les giclées frapper ma matrice… J’ai joui aussitôt, m’affalant sur le torse de mon amant pour apprécier ces instants…



Depuis cette « escapade coquine », il y en a eu d’autres… en solo ou en duo avec Julie…
Plus d’un an et demi a passé et j’ai pu faire rénover entièrement la maison de mes parents que je continue de louer à des estivants…
Je gagne ainsi sur les deux tableaux…Je commence à avoir un joli pactole bien caché en banque !