Collection Zone Rouge. Coup De Tête (2/5)
Vingt ans de mariage, trois gosses, une mère qui ma élevé seule, mon père mayant abandonné à ma naissance et à qui comme avec mes s, jai dû lui nettoyer les fesses à la fin de sa vie, gagnée par la maladie.
En plus de ce tableau noir, je dois moccuper de Sylvain mon mari, il me considère comme un meuble, quand jai claqué la porte en quittant mon foyer tout à lheure, jignore si je reviendrais.
Je sais, les décisions sur un coup de tête sont souvent les plus mauvaises.
Pourtant, jai été contrainte de sucer la bite dun chauffeur de taxi noir à qui je devais trente-deux euros étant partie sans clef et sans argent ou carte bleue.
En sortant du bois de Boulogne où je voulais me régénérer en présence darbres, je viens de croiser une pute Brésilienne castrée qui a cru que je voulais lui prendre son turbin, je viens de monter dans la voiture dun homme immatriculée dans le 25, le Doubs.
Après quil s'est garé, il mentraîne dans un restaurant, minvitant à manger, heureusement, mon départ précipité maurait obligé de jeûner, étant sans argent.
Je passe le repas quelconque, pour arriver au dessert seul moment du repas sympa, je mange une glace à la fraise.
Alice, tu es délicieuse, jadore ta fraîcheur, jai bien compris que tu passes une période de doute, jaimerais toffrir un verre dans ma chambre, elle est dans un hôtel à deux pas.
Je me lève, sans attendre mon reste, ne nous méprenons pas, pas pour partir en courant, je sens que je vais connaître une nouvelle étape de ma vie et sans aucun scrupule, jentre dans lhôtel pour rejoindre la chambre de Damien.
La chambre est quelconque, mais suis-je là pour regarder le papier peint ?
Non, après mêtre agenouillée et quil ait ouvert sa braguette, cest son pubis que jai devant les yeux quand je commence à sucer ma deuxième verge de la journée et de ma vie.
Oui, quand il me place en levrette, restant debout derrière moi, me prenant la chatte bavant denvie, nayant pas été honoré depuis plusieurs mois.
Sylvain semble mignorer, je sens que ma conscience est retournée dans ma poche, mon mouchoir par-dessus.
Je veux faire une chose dont je rêvais, jai tout prévu.
Je crois que je viens de te prouver que je suis à ta disposition, si je te racontais ma vie, tu pleurerais.
Il saute de lit ouvre sa valise, des menottes, il veut me menotter et si javais affaire à un pervers, avant que jaie le temps de moffusquer, ma main la plus proche est attachée aux barreaux de la tête de lit.
Cest moi qui lui tends la deuxième quil attache deux barreaux plus loin.
Laisse-toi aller, nest aucune crainte, je ne suis pas un pervers.
Il sallonge sur moi, tout en mécartant les jambes, je sens son sexe chercher son chemin, je suis tellement mouillée, ce qui ne mest pas arrivé depuis des lustres, quil rentre en moi comme dans une motte de beurre.
Il se redresse après que jai eu un début dorgasme.
Tout doux ma petite pute, si tu crois que tu vas jouir aussi vite, tu te trompes, nous avons tout le temps.
Je sens son souffle qui sapproche de mes fesses, sa langue passe tour à tour sur lune de mes fesses.
Remets-toi en levrette.
Je remonte mes fesses difficilement à cause de limmobilisation de mes mains, sa langue passe sur mon clito et remonte jusquà mon petit trou, jamais je naurais pensé que lon pouvait mettre une langue à cet endroit.
Il me met sa main et récupère de ma cyprine quil étale sur ma rosette, je me tortille dans mes liens essayant de méchapper, je vois où il veut en venir.
Pas mon anus, je ne veux pas que tu mencules !
Que vas-tu faire, pourquoi taies-je attaché ?
Damien, tu mas dit ne pas être un pervers !
Cest le cas, mais jai toujours rêvé denculer ma femme, elle veut divorcer si jessaye, de passage à Paris, je me suis promis de le faire une fois.
Cest pour cela que jétais dans le bois, je voulais trouver une pute pour la faire venir ici, cest toi qui tes présentée, ne bouge pas, je tai bien préparé, jy vais.
Je sens quil prend son temps, jai envie de hurler, mais ne suis-je pas dans une nouvelle vie, pipe, adultère et maintenant sodomie, je ne mourrais pas idiote, d'autant plus que le gland est passé avec seulement une légère douleur.
Cest vrai quil fait attention, centimètres par centimètres il entre dans mes intestins, heureusement quil nest pas membré comme mon chauffeur de taxi noir, avec lui jaurais dégusté.
Jignore si par cette voie très réduite, lon peut jouir, il faudra que jaille sur Internet voir ce qui en ait dit.
Fais fonctionner tes sprinters, tu vas voir, tu vas ressentir une sorte de jouissance.
Je me concentre, il accélère ses pénétrations, il me prend même par les cheveux et je pars, je suis obligée de faire sortir les cris rauques qui montent dans ma gorge, jusquà ce que je sente son sperme giclé hors de lui et de moi, jen sens couler le long de mes jambes.
Je mécroule, jignore combien de temps, Damien ma détaché et nest plus dans la chambre, sa valise nest plus là, sur la table une lettre à len-tête de lhôtel.
« Alice, je suis obligé de repartir dans le Doubs, merci pour le bon moment et surtout pour la sodomie, je te laisse deux billets, tu boiras un café à notre santé.
Je te fais ce petit cadeau, je me suis fait aussi un petit cadeau.
Damien. »
En soulevant la lettre, je vois, les deux billets de cent euros, boire un café qui serait fort cher, où pute, il est vrai quune femme dans le bois de Boulogne, cela peut prêter à confusion.
Je prends un bain, je passe le doigt sur mon anus et même dedans, ouf il est bien refermé, un instant, je me suis posé la question, sil nallait pas rester béant !
Au moment de mhabiller, je comprends le cadeau quil sest fait, il a emporté ma petite culotte.
Il devait être fétichiste, je limagine roulant sur lautoroute le nez respirant mon odeur.
Quand je descends, je prends un ticket de métro ne trouvant pas de taxi, cest la première fois que je le prends, jai toujours pris des taxis avec Sylvain.
Je mamuse à descendre à des correspondances et à remonter sur une autre ligne.
Je suis sûr la ligne 3 quand me tenant à la barre, je sens une main me caresser les fesses.
Si jétais montée dans ce métro, hier par exemple, la femme sérieuse que jétais aurait repoussé lintrusion de cette main sur mon corps, là au contraire, je tends mon fessier pour mieux la sentir.
Dommage, nous arrivons à une station, jaurais aimé quil passe sa main sous ma jupe découvrant mon vagin nu, les portes souvrent et plus rien, plusieurs personnes sont descendues, hélas, ma main aussi.
Combien de lignes, je lignore, de changements, je lignore, tout ce qui est sûr, cest quil est 16 heures quand je ressors Place Clichy.
Sur la place, aucune place en terrasse dun café, je regarde si des tables vont se libérer, aucune.
Assieds-toi à ma table, je suis seule, on va se tenir compagnie.
La femme qui vient de madresser la parole est grande, belle, trente-cinq à quarante ans, bref comme moi, tenue plutôt sexy par rapport à moi qui suis classique, le tutoiement, quel emploi me met en confiance, je massieds face à elle.
Je mappelle Anabelle, mes parents mont appelé Ondine, mais dans mon milieu, Ondine faisait trop tendre.
Moi cest Alice, je peux te demander quel milieu, si je ne suis pas indiscrète !
Le monde de la nuit, je tiens une boîte un peu plus loin dans le quartier et toi.
Femme au foyer jusquà ce matin où jai tout plaqué, je mamuse comme une petite folle.
Elle me prend la main que javais posée sur la table.
Raconte, jai du temps, cest relâche ce soir, je fais des travaux, je rouvre samedi.
Nous prenons un verre, un whisky pour la première fois là encore pour moi, si l'on veut vivre une nouvelle vie, même pour un où deux jours, persuadée que je vais reprendre ma vie davant, même si elle est morne et triste.
Je lui raconte ma journée, jusquà la sodomie que Damien a pratiquée sur moi.
As-tu aimé ?
Surprenant au début, jai eu du plaisir à la fin.
Je vois que tu as eu une formation à la sexualité accélérée, je pense que tu as du temps, il faut que jaille voir le chantier, tu vas maider à choisir les tentures quils vont poser demain.
Elle paye, cinq minutes après, elle ouvre une petite porte dans une petite rue après mavoir fait voir la façade qui doit briller dans la nuit quand sa boîte est ouverte.
Voilà mon antre, cest dans ces lieux que se passe la plus grande partie de ma vie, je suis venue dans cette boîte, javais tout juste dix-huit ans, cest sur cette barre que tu vois au milieu de la salle que ma vie nocturne a débuté.
Tu avais quelle formation et comment es-tu entré dans cette boîte, mieux comment las-tu acquise.
De nombreuses questions en une, commençons par le commencement, à cinq ans, ma mère ma mise à la danse classique, javais quinze ans quand elle meurt sans me laisser le moindre franc en ce temps-là.
Javais un beau-père quelle avait rencontré et épousé quelques mois avant de me laisser seule.
Je venais davoir dix-huit ans quand un soir, il est venu dans ma chambre pour que je devienne sa maîtresse, je lai assommée avec ma lampe de chevet, il ne bougeait plus, jai cru que je lavais tué.
Jai mis des affaires dans mon sac de danse que je continuais à pratiquer plus pour garder la ligne que pour devenir étoile.
Après lui avoir fait les poches et trouvé dans sa chambre, outre des godes que maman devait se servir, à moins que ce soir lui, les pervers qui se défoncent lanus avec ce genre dengin étant fréquent, jaie trouvé une cache avec presque deux mille euros.
Je suis parti pour la gare persuadée que pour lui échapper, il fallait que je change dair.
Où habitais-tu ?...
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