La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1073)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Arrivée à deux pas de lui, il me dit :
- Petite pouliche, retourne à la porte, et reviens vers moi, très lentement, comme si tu décomposais tes mouvements
Je veux étudier ton pas !
- Bien, Monsieur, répondis-je
- Monsieur le Compte ! me reprit-il dun ton sec et très sévère.
- Bien Monsieur le Comte
Je revenais vers la porte du salon, me retournais et me mis en « marche » lentement, très lentement, de sa main il guidait mes pas comme pour me faire avancer au rythme quil voulait
Il me dévorait des yeux
Je me sentais comme happée par son regard de fin connaisseur, comme si jétais une pouliche au dressage
Je mapprochais très lentement, il me détaillait encore quand il dit avec un ton hautain :
- Alors comme ça, tu es la dernière trouvaille de mon excellent ami, Monsieur le Marquis dEvans ? Ou ta-t-il dénichée, petite jument ?
- Lors dune présentation dune Collection de la prestigieuse Bijouterie Cartier, il y a peu à Paris, Monsieur le Comte ! Jy présentais des parures de joailleries.
- Ah, tu portes beau semble-t-il, si on fait appel à tes services !
- Merci Monsieur le Comte, répondis-je !
- Ecartes tes pattes de jument, mon petit et montre-moi ta vulve de chienne !
- Jobtempérai, écartais mes jambes, et ouvrais mes lèvres intimes largement.
- Je vois. Petit clito ! Tu nas pas encore vêlé me semble-t-il ! (Jallais répondre quand il ajouta) - Tu sais, on ne me la fait pas à moi, jai lil, tourne toi maintenant, penches toi et écartes tes fesses
- Bien, Monsieur le Comte !
Je me penchais en avant, lui tournant le dos et écartais les fesses, lui dévoilant mon anus. Je lentendis se lever, et je sentis déposer un doigt sur ma rosette qui se serra un peu mais pas trop. Il tenta dy introduire un peu plus le doigt, mais, se ravisant, le retira, me caressa les fesses longuement, comme les palpant.
- Bon râble, as-tu fait de la course ou compétition?
(Toujours penchée en avant, jambes et fesses écartées) - Oui Monsieur le Comte
- Tu as de beaux restes, je vois
- Il se rassit tandis que je conservais immobile la posture exhibée
Dun claquement de doigts, il me fit comprendre de me relever et de me tourner vers lui.
- Tu as des cuisses dacier me semble-t-il ! Mollets bien faits, pieds cambrés, tu as fait de la danse, belle pouliche ?
- Oui, Monsieur le Comte !
- Jen étais sûr. Tout cela est très intéressant disait-il en se caressant le menton
Ensuite, il se leva, sapprocha de mon corps, tourna deux ou trois fois autour de moi très lentement tout en me dévisageant longuement. Puis, il prit ma main très délicatement et la fit aller vers mon clitoris. Il commença à faire bouger ma main comme pour me branler avec mes propres doigts
- Continue ! Montre-moi ce que tu as dans le ventre ! Montre-moi comment une jument comme toi se masturbe son petit clito, Tandis quil reprenait sa place dans le fauteuil.
Javoue que cet homme mintriguait fortement et ma main, posée sur mon sexe ne bougeait pas tandis québahie par ses propos, je le regardais, yeux grands ouverts. Il me fixait, son regard devenait dur, de plus en plus dur. Je dis, calmement mais distinctement :
- Monsieur le Comte, sauf Votre respect, je nai pas reçu instruction du Maître de vous servir en ces gestes qui lui sont réservés.
Il était en train dabsorber une gorgée de sa boisson, mais manqua de s en entendant ma répartie. Sans bouger, sa main portant toujours le verre, et toujours à portée de sa bouche, ses yeux se plissèrent, tant, quils ressemblaient à deux traits de vipère.
- Je vous choque Monsieur le Comte ? Sachez que cela nest pas dans mes intentions mais jappartiens à Monsieur le Marquis dEvans qui ne ma laissé aucune consigne en ce sens.
(Se levant dun bond) - Je te ferai ravaler tes propos, petite chienne effrontée, grommela-t-il, se saisissant dune cravache, levant son bras et resta
ainsi, bras levé
Il respirait très fortement, la lança au travers de la pièce et appela le Majordome presque en hurlant :
- Walter !
Quelques secondes plus tard, alors que jétais restée dans la même pose, Walter fit irruption, dans le salon.
- Monsieur le Comte ma fait demander ?
- Cette petite Chie
, cette... soufflait-il, hors de lui, cette
peu importe dailleurs, ose me tenir tête refusant dobéir à un ordre que je lui donne.
- Sans vous offenser, Monsieur le Compte, vous connaissez les limites de la permission de Monsieur le Marquis, votre ami. Quavez-vous ordonné à la chienne ici présente ?
Faisant des efforts désespérés pour tenter de se calmer
- Rien de spécial, Walter, rien de spécial, seulement que cette
femelle mal élevée se caresse le sexe devant moi.
- Monsieur le Comte, comprenez ma gêne, je vous sais un ami très cher de Monsieur le Marquis dEvans, mais les consignes du Maître sont précises, vous
ne pouvez faire faire quelque chose à Sa chienne qui ne soit pas prévu et la seule chose autorisée par de Monsieur le Marquis, pour vous en ce jour, est que vous lui exigez de vous faire une fellation, rien de plus, Monsieur le Comte et que vous preniez connaissance de son physique
Je nétais pas au courant de ces tractations dans mon dos mais je sentais que javais pris lascendant sur le Comte de Beusgley en lui refusant de me branler. Je pris les paroles de Walter comme une défense de sa part même si en réalité, il ne faisait quexpliquer strictement les consignes claires du Maître.
- Je sais, je sais, mon bon Walter, mais quelle se caresse devant moi, noutrepasse pas lautorisation de mon vieil ami que je sache, cest si peu demander que de se caresser sans même que je la touche, juste que je la regarde se branler en bonne petite chienne. Et de toute manière, une femelle ne peut quobéir !
- Si fait, Monsieur le Comte, la chienne obéit, croyez-le bien, mais elle obéit à Celui à qui elle appartient : Le Maître, Monsieur le Marquis dEvans. Je vous fais remarquer que ce que vous lui demandez de faire nest pas autorisé en ce jour par Lui et la chienne ici présente a eu raison de ne pas vous obéir.
Et « toc » Monsieur le Comte de Beusgley, me dis-je, la main toujours sur mon sexe, riant sous cape au fond de moi.
- Avez-vous encore besoin de la femelle, Monsieur le Comte ?
- Oui ! laissez-là ici, je nen ai pas encore fini avec elle.
- Comme vous voulez, Monsieur le Comte mais, vous le comprenez, je devrai relater lincident à Monsieur le Marquis, dès son retour. La chienne que vous voyez devant vous est vraiment Sa propriété absolue, pleine et entière.
- Oui ! Je sais, laissez-nous Walter maintenant, éructa le Comte.
Walter sortit tout en le saluant poliment de la tête
- Je te jure, petite salope, que tu me le paieras, dune façon ou dun autre, sois-en certaine ! Approche maintenant ! A genoux ! Défaits ma braguette, sors mon sexe et occupe-t-en, je vais voir si tu es aussi efficace de ta bouche pour sucer que pour palabrer et narguer un homme de mon importance.
Je mapprochais, magenouillais entre ses jambes, défis sa braguette et sortis un sexe coincé dans le slip mais qui une fois libéré, se déploya vivement. Le Comte était bien monté. Une verge dépassant les dix-huit centimètres avec un gland somme toute, volumineux et bien découpé. Je déposais un baiser tout dabord sur ce gland violacé qui sentait fort, puis passais ma langue dessus, dans la fente du méat, le léchant méticuleusement.
A partir de ce moment, je commençais une fellation comme, de temps en temps jaimais les faire, lente, longue, très longue, contrôlant complètement les éjaculations intempestives et que jappelle « réflexes ». Jaspirais alors la bite, bouche grande ouverte, lavalais le plus profondément possible au fur et à mesure de mon léchage, calait la queue contre mon palais, l« écrasant » avec ma langue pour « casser » le réflexe premier dune éjaculation trop rapide. Puis, je relâchais létreinte buccale, reprenant mes aspirations, suivies de va-et-vient plus rapides et profonds qui commençaient de faire perdre la respiration de Monsieur le Comte. Ses yeux fermés, tenant ses lunettes entre ses doigts, il hoquetait tant son envie de jouir était forte, mais je contrôlais son éjaculation Ses yeux se rouvrant de temps en temps semblaient me dire :
- Que me fais-tu ? Fais-moi jouir, salope...
Jenfonçais entièrement le gland dans ma gorge, pressant mes lèvres très bas sur la hampe de sa tige. Par des mouvements de ma luette, je « léchais » le bout de la bite du Comte qui, ignorant cette sensation ne pouvait bouger, comme prisonnier de mes lèvres, mais avec une envie, maintenant devenue démentielle. Il cherchait une respiration seconde mais ne semblait pas la trouver. Sa main sagitait comme sil voulait toucher mon visage, mais retombait, car à chaque tentative de sa part, je répondais par une pression de mes lèvres sur la tige, en remontant de tout le long, tandis que ma langue sactivait férocement sur le gland, mes dents le mordillait doucement, je le rendais fou ....denvies. Le Comte de Beusgley perdait toute contenance, devenu marionnette entre les lèvres de la chienne
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!