Notre Notaire Confisque Ma Petite Culotte (Episode 6)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m'appelle Camille, je viens tout juste de réussir mon examen de maturité (Baccalauréat) cession dhiver avec une mention Très Bien et une moyenne générale de 5.6. Jespère maintenant être définitivement retenue pour un stage d'été dans un important office notarial de Lausanne. Pour cela, Il me faut encore réussir un dernier entretien avec Maître Duriez, le dernier et le plus âgé des trois associés de l'office.
J'ai bon espoir. Sans le connaître personnellement, je sais que Maître Duriez a longtemps travaillé avec mon grand père, mais avant tout, je crois que mes deux précédents entretiens ont été assez concluants (voir épisodes précédents) et quà ce jour ces messieurs ont pris conscience de mon potentiel et de tout le bénéfice quils peuvent tirer dune jeune étudiante consciencieuse et très perfectionniste.
Une fois de plus, mon rendez-vous, prévu pour le sur lendemain, fut annulé et mon entrevue avec Maître Duriez reportée d'une semaine. Cette fois-ci, je reçus les directives, non pas par SMS, mais par mail avec accusé de lecture. Après tout, ils étaient notaires, alors pas de quoi s'étonner et la prochaine fois qu'ils auraient besoin de mon cul, je pouvais aussi bien m'attendre à recevoir une lettre recommandée avec A.R.
Le courriel précisait que je devais me présenter à Maître Duriez en jupe courte, escarpins et bas maintenus par des jarretelles, pas de collants ni de bas auto-fixant. Jétais également informée, quau cours de cette visite, je devrais faire tout le nécessaire pour mesurer leur sexe en érection, prendre des photos témoins de preuve sur mon mobile et enregistrer leurs dimensions respectives. Il me faudrait également prévoir de faire la même chose avec mon petit ami Julien. Leur intention étant de me posséder très prochainement, ils souhaitaient que jaie connaissance des différences de proportion de chacun au moment des différentes pénétrations.
Je cite :
« Camille, à chaque fois que tu prendras une nouvelle bitte dans le cul, il sera essentiel que tu puisses la si en volume, proportions et pourcentage par rapport à lensemble de tes autres partenaires. Tu devras pouvoir, sur simple demande et publiquement, fournir ces informations au moment de chaque prise. En particulier, tu devras systématiquement informer chacun de tes nouveaux partenaires de ses proportions par rapport à celles de ton fiancé et lui communiquer ton ressenti par rapport à cette comparaison. Il te faudra, en outre, pour chaque rapport, en consigner tous les paramètres par écrit, en regard des caractéristiques de chacun de tes partenaires. Taille du sexe, orifice utilisé, durée de lacte, résultats, éjaculation, intensité de la jouissance, rougeurs, présence de cris, de couinements, paroles échangées
Cette présentation devra obligatoirement figurer dans ton journal annexé à ton compte rendu de stage et comptera dans ta note finale. »
Pour cela, ils me conseillaient de réfléchir sans plus tarder à la méthode et de penser à réaliser le tableau Excel approprié dés maintenant. Je devais également prévoir les possibilités de rajouter dynamiquement de nouvelles variables et de ne pas me limiter en nombre de participants. Des allusions lors de ma précédente visite mavaient fait comprendre que mon rapport de stage pourrait être largement diffusé. Cétait peut être là une raison de plus pour désirer se rapprocher des standards de présentation classique, en proposant une étude académique accompagnée par un nombre impressionnant de graphiques, camemberts et autres courbes, tous basés autour de lexploitation de mon cul de jeune pucelle. Javoue que le sens de la démarche méchappait un peu. Je voyais seulement quil était prévu quune grande quantité dhommes allaient mavoir et cela mexcitait.
Il est vrai que, sur le moment, je navais pas la moindre idée de l'ampleur des écarts que j'allais être amenée à constater chez mes futurs partenaires, tant au niveau des exigences sexuelles que des performances.
Javais ouvert ce mail sur mon portable, dans ma chambre. En le découvrant, javais immédiatement commencé à mouiller. Jécartais les cuisses pour me toucher, sans me soucier de ma sur qui venait darriver et me parlait depuis le couloir. Je mimaginais déjà, à poil à faire la salope et à tortiller du cul dans les couloirs de létude, simplement vêtue de mes bas et dun porte-jarretelles. Dans ma vision, je navais aucune difficulté à faire bander mes petits vieux comme des ânes. Lequel dentre eux allait il être le premier à menfoncer sa grosse bitte dans le cul ? Cela me titillait vraiment. Depuis le début, je savais que jallais y passer et que ces gros cochons allaient tous menculer. Après tout ce qui métait déjà arrivé à létude, jétais bien certaine que ces vieux dégueulasses sétaient mis daccord pour se servir et jouir de mon petit derrière en premier. Ils allaient commencer par me dépuceler du cul. Jallais devenir une petite enculée. Leur petite enculée de stagiaire. Jenfonçais deux doigts dans ma chatte et demandais à ma sur de me laisser tranquille. Je continuais ma lecture.
Le courriel précisait également qu'un modèle de contrat de stage était joint en pièce attachée pour signature. Il men faudrait approuver toutes les clauses en paraphant toutes les pages avec mention lue et approuvée manuscrite et date et signature en dernière page. Une copie était jointe en pièce attachée. Je me préparais à lenregistrer dans Mes Documents, quand, dans ma hâte, je lançais lédition par erreur. Je me précipitais dans la chambre de ma sur ou était installée limprimante partagée. Par chance, elle sétait contentée de lire la page de garde : Contrat de Stage Camille
étudiante
du 16 mai au 15 novembre
Mes explications lui donnant satisfaction, elle navait pas cherché à en savoir davantage, je récupérais les feuillets et retournais dans ma chambre.
Il sagissait dun document dune bonne vingtaine de page. Je me contenterais den reprendre quelques passages. Des clauses particulièrement vicieuses et perverses étaient dissimulées au milieu dun texte tout ce quil y a de plus standard.
Ainsi, le préambule décrivait classiquement le lieu de travail, mes horaires, ma fonction, la durée du stage, puis dun coup, une petite phrase inattendue mentionnée comme clause principale dite dexclusivité spécifique précisait que je devais m'engager à être leur pute et à satisfaire tous leurs besoins pendant toute la durée de ma formation. Je devais également accepter la publication de photos et vidéos sur internet. Cette première clause précisait, en outre, quIl me faudrait tenir un journal détaillé sur lequel tout devais être consigné. Plus précisément, ce journal, annexé à mon rapport de stage pourrait servir de base à une publication privée sur internet, publication agrémentée de photos et de vidéos pour lesquelles je devais donner mon accord par avance. Il pourrait également servir de référence pour justifier de ma note de stage finale qui dépendrait de la manière dont mes mentors allaient apprécier mon évolution et mes progrès.
En tout début de contrat était également précisée ma tenue vestimentaire pendant la durée du stage. Je devais m'engager à me présenter sur mon lieu de travail en jupe ou robe courte chaussée obligatoirement d'escarpins à talons hauts (surtout pas de baskets). Mes sous-vêtements étaient également imposés. Pendant toute la durée du stage : uniquement des bas avec porte-jarretelles ou guêpière et une petite culotte blanche taille haute en coton.
Cette clause « tenue vestimentaire sur le lieu de travail » était complétée par une longue annexe en caractères minuscules. Un paragraphe « petite culotte » y était particulièrement détaillé. Je trouvais tout cela parfaitement ridicule et hors propos, même si, depuis le début cela mexcitait de me plier aux fantasmes de ces vieux pervers.
Par ailleurs, le document insistait à de nombreuses reprises sur la conduite et lattitude que je devrais adopter. Docilité totale serait de mise. Je m'engageais à être leur chienne obéissante prête à passer sous leur bureau à la moindre sollicitation. Il me faudrait également, sur simple demande, me mettre à disposition des meilleurs clients de loffice et ne pas hésiter à leur montrer mes mamelles ou leur laisser visiter mon cul tout à leur convenance. En lisant ces lignes, je tentais destimer le nombre de clients de ce gros cabinet et je ne pu mempêcher de me demander combien ils seraient à avoir la pleine jouissance de mon cul pendant les six mois de stage. Cela me fit tout chaud dans le bas du ventre et je délaissais un instant mon clitoris, que je navais pas arrêté de titiller depuis le début de ma lecture, pour essayer de menfoncer ma main toute entière dans la chatte.
Je me concentrai ensuite assez longuement sur un paragraphe intitulé « clause de productivité » ou clause dengagement de production de lait par la stagiaire, le relisant plusieurs fois. Je dois dire, quentre temps, je métais informée sur un site wikihow en tapant simplement « comment sécréter du lait » sur un moteur de recherche. Javais ainsi pu constater quil est effectivement possible que les femmes qui ne sont pas ou n'ont pas été enceintes produisent du lait maternel.
Ce paragraphe traitait, en détail, la manière dont ma lactation provoquée.était sensée se dérouler, pour aboutir au bout de quelques semaines seulement à une production de lait quotidienne supérieure à un litre. La méthode choisie était la plus simple, pas de tire-lait, pas dhormones, le résultat serait obtenu en me triturant et en me pompant les mamelles toutes les 2-3 heures pendant 15 à 20 minutes.
Il était bien précisé quil y avait plusieurs méthodes mais que produire du lait maternel de cette façon prendrait plus de temps et nécessiterait de plus gros efforts. Je retenais que pour atteindre cet objectif, Il me faudrait être prête à me laisser sucer les mamelons et caresser les seins par de parfaits inconnus et ceci tous les jours, jusquà ma montée de lait. Utiliser la méthode de succion pour provoquer la lactation demande des partenaires qui sachent bien téter et ceci, selon un emploi du temps très strict. Ils pourraient également sy mettre à plusieurs et me masser aussi les seins tout entier en utilisant chacun leurs deux mains. Il était écrit que cette autre méthode consistait à stimuler mes mamelons et mes aréoles en utilisant les doigts et les pouces, en les massant et en les faisant rouler entre les doigts. Cest bien cette technique quil me faudrait également appliquer moi-même pour au moins une séance de nuit. En lisant ce dernier passage, Je réalisais alors, quinsensiblement et sans men rendre compte javais déjà pris une certaine avance en commençant au fil de ma lecture, à me toucher et à presser mes aréoles tout en tirant sur mes mamelons. J'arrêtais et essayais de me concentrer. Je repris ma lecture en relisant ce dernier passage qui se terminait ainsi :
« La clause « Lactation de Camille » est une composante obligatoire de cette prestation de stage. Elle sera sanctionnée par une note calculée à partir dun barème basé sur sa production de lait. (Un bonus étant prévu pour une production supérieure à 1300 ml) mais également sur sa capacité de stockage. A savoir : une majoration de 10% sera attribuée pour une Camille arrivant le matin à létude avec des seins bien gonflés, à savoir, avec une rétention de 500 ml par nichon pouvant lui permettre de donner immédiatement le sein ou de les faire gicler à la demande. »
Le dernier point était que jétais dans linterdiction de me faire prescrire la pilule et, dans le cas ou je la prendrais déjà, il me faudrait impérativement larrêter dés le début de mon stage. Les pilules contraceptives contiennent de l'strogène, un inhibiteur de lactation. Il était précisé que cette interruption ne me donnerait, en aucun cas, le droit de me soustraire à des rapports potentiellement fécondants même en pleine période dovulation. Je mouillais ma culotte à la seule pensée dêtre engrossée par lun de ces cochons ou un vieux client inconnu. Je me souviens aussi quà lissue de la lecture de ce paragraphe, je minterrogeais sur le fait quil puisse y avoir autant de messieurs que ça pour se porter candidat à me téter quotidiennement. Quelle naïve je faisais. Jétais bien loin du compte.
Le courriel se terminait en précisant la date et l'heure de mon rendez-vous. Je serai attendue pour venir faire la salope à partir de 17 heures. Ce nouveau délai me laissait le temps de commander des sous-vêtements sur Amazon. Cela méviterait de me servir, une fois de plus, dans les tiroirs de ma mère qui allait bien finir par s'apercevoir un jour de la disparition de ses sous-vêtements les plus affriolants. Je commandais une guêpière courte satin et dentelle avec armature « modèle Bleu et noir Beauty night », en promotion à 29,90 euros ainsi que trois paires de bas : une paire rose et deux noires. Le tout pour moins de 50 euros. Pour plus de discrétion et éviter les questions gênantes, j'optais pour un point relais à Divonne les Bains qui se trouverait sur notre route pour Lausanne.
J'avais l'intention de demander à Julien de me conduire à ce rendez-vous en lui proposant, pour l'occasion, une virée à la patinoire-piscine de Montchoisi toute proche. Je savais qu'il ne pourrait pas refuser cette occasion de me voir en maillot de bains. Tout était calculé : je retire mon colis en chemin, un soit disant cadeau pour mon père et ensuite nous nous rendons directement à la piscine. Ensuite, après le bain, je n'aurais plus qu'à passer mes sous-vêtements de salope dans les vestiaires qui proposaient des cabines individuelles. Il serait alors bien temps de prévenir Julien de mon intention de passer à l'étude pour régler quelques formalités relatives à mon stage.
Le mercredi, en sortant de notre séance de cinéma hebdomadaire, je l'invitais chez moi. Je l'avais juste émoustillé ce qu'il faut. Il était très chaud pour ne pas dire fou de désir en arrivant dans ma chambre. J'avais préparé le terrain en lui posant plusieurs questions sur son sexe : était-il vrai que les garçons s'inquiétaient autant de la taille de leur sexe, faisaient-ils des comparaisons ? etc... Finalement, il avait accepté le principe de me le montrer mais je ne voyais pas vraiment comment faire pour qu'il se prête à une séance de prise de mesures.
Nous chahutons un peu sur mon lit, il est en confiance mais comme à son habitude, il n'ose pas aller très loin. Je propose de jouer aux mots interdits, histoire de pimenter un peu les choses. Il perd régulièrement, mes gages sont anodins au début puis je me lance : il doit me laisser lui cracher dans la bouche ce qu'il accepte sans rechigner, le suivant est d'enlever son pantalon, puis de me lécher le bout des chaussures. Visiblement il prend plaisir à me laisser le dominer. Il aime que je l'humilie. Bien sûr, je m'en doutais mais pas à ce point. Je comprends qu'il fait exprès de perdre. Je réalise que je vais pouvoir faire de lui absolument tout ce que je veux et cela va bien me simplifier la tâche. Depuis le début j'ai ma petite idée, en arrivant, j'ai pris la peine de glisser dans mon soutien-gorge le petit mètre en papier récupéré lors de mon dernier passage à l' Ikea d'Aubone.
Maintenant, à moi de jouer. J'ai un mal fou à le laisser gagner. Il me demande de lui montrer mes seins et bien sûr je refuse. En échange je lui propose de lui montrer ma culotte. Julien est tout content, il n'en revient pas que je le laisse me caresser un peu les fesses, il est aux anges. Puis, nous nous embrassons et je le laisse me mettre la langue. Je la lui suçote.
L'instant d'après, j'enlève ma culotte et m'assoie tout de go sur le visage de mon petit copain. Tout en défaisant sa braguette je lui donne mes instructions sur comment utiliser sa langue. Il bande très fort, je le traite de petit cochon en la lui sortant. Je n'ai aucune difficulté à le mesurer sans qu'il ne s'en aperçoive, occupé quil est, à se demander ce quil peut faire entre mes fesses. Je mémorise sa longueur : 11,5 cm et jentaille le fragile ruban aux dimensions de sa circonférence. Son gland est tout petit. Je prends tout mon temps en comprenant quil ne cherchera pas à se dégager.
En me penchant vers lui, je sens son souffle entre mes cuisses. Je baisse son pantalon et son slip et reprend une série de mesures plus précises cette fois. Tout juste 11 cm et ses couilles me paraissent minuscules. On dirait juste deux petites balles de ping-pong Je n'en reviens pas mais cela m'excite. Il me parait vraiment tout petit comparé aux proportions de mes deux notaires. Comment de tels écarts sont ils possibles ?
Je n'aurais jamais pensé quil puisse exister de telles différences entre hommes. Il faudra que je vérifie sur internet. Je parviens en me tortillant à saisir mon mobile posé sur la table de nuit et je prends une série de clichés en maintenant tout près le petit ruban de papier gradué le long de son sexe. Je frotte bien tout mon entre-jambe contre son visage en me balançant d'avant en arrière. J'empoigne mes fesses à pleines mains et les écarte au maximum en lui intimant d'enfoncer sa langue dans mon trou du cul et aussitôt, je deviens très grossière :
« Ah oui vas y continue mon salaud, je la sens, comme ça, vas y encore, fait la bien frétiller, enfonce là encore plus dans mon trou du cul. »
« Encore, plus fort. Jadore me faire enculer avec ta langue »
En même temps je me doigte frénétiquement puis je me penche en avant. J'ai sa petite queue sous le nez, je laisse couler un long filet de salive, je me racle le fond de la gorge et crache à petits coups sur son mignon petit gland tout rose, puis, je me mets à lui souffler sur sa queue complètement détrempée. Aussitôt, Il frémit, trésaille, un nouveau crachat, puis mon souffle. Le chaud et le froid font leur effet, beaucoup plus que ce que je n'aurais pu limaginer.
Encore quelques secondes et il éjacule en l'air, tout droit, sans que j'ai eu même besoin de le toucher. Je le sens suffoquer. Il a du mal à reprendre sa respiration entre mes fesses que je ne cesse d'agiter. Comme il fait mine de se dégager, je l'att par ses petites couilles pour le maintenir et je l'oblige à continuer à me lécher tout en l'insultant. Je vois bien qu'il aime ça. Malheureusement, je sens une envie pressante qui va m'obliger à couper court à cette séance. Je lui en parle et Il accepte même l'idée de me nettoyer avec sa langue une fois que je serais allée aux cabinets.
A mon retour, il est toujours allongé conformément à ma demande. Je commence à réaliser à quel point je le domine.
Ce pauvre Julien est totalement sous mon emprise. Je peux faire de lui tout ce que je veux. Je lui demande d'écarter les cuisses, je me penche et lui enfonce mon index dans le cul, puis je le touille sur son ventre ramassant au mieux les quelques gouttes de sperme qui commencent à sécher. Je lui demande de tirer sa langue puis de venir lécher mon doigt. Je recommence plusieurs fois l'opération avec tous mes autres doigts qu'il suce docilement avec application, puis j'enlève ma culotte toute trempée et je lui enfourne dans la bouche. Pendant que jétais aux toilettes, je me suis reculottée exprès pour faire pipi dedans. J'ai pris beaucoup de plaisir à uriner longuement dans ma petite culotte en pensant à mon petit ami et maintenant le spectacle de mon urine lui dégoulinant sur le menton me fait monter la température. Cette chaleur qui commence à monter et à envahir le bas de mon ventre... Je soulève ma jupette et la tenant relevée coincée entre mes dents je m'approche du lit, je fléchis, les cuisses écartées, au plus prés de son visage qui dépasse du lit. Je m'approche encore pour que ma chatte soit bien au niveau de ses yeux. J'écarte mes lèvres.
« Regarde bien Julien, je veux que tu saches quoi faire pour bien me téter le clitoris la prochaine fois. »
« C'est très facile, avec une main tu places un doigt de chaque côté du clito, par exemple l'index et l'annulaire, tu places le majeur juste au dessus du clito, et tu fais coulisser tout en appuyant un peu, et là tu vois apparaître le clito. Plus tu tires fort avec tes doigts, et plus mon clito va se découvrir. Il ne te reste plus qu'à le caresser avec l'autre main ou avec le bout de ta langue. Voilà, je te montre. Je te conseille de bien humecter tes doigts de mouille ou de salive ou même de pipi. »
Et, joignant le geste à la parole je récupère ma pisse qui goutte de son menton jusque dans son cou.
« Tu sais quoi Julien ? Je vais faire de toi un petit lèche cul. Tu vas devenir mon lèche cul attitré. Tu devras répondre immédiatement à mes sms et venir t'exécuter. Tu tiendras un journal détaillé de tes interventions. Lieu, heure durée, conditions tout devra être consigné et mis à disposition dans le Cloud.
Emportée par l'excitation, je ne réalisais qu'après coup ce que je venais de dire. Jétais en train de mettre en pratique pour mon compte des pratiques vicieuses inspirées des cochonneries que javais pu lire sur mon contrat de stage. J'allais le regretter. Mais, contre toute attente, Julien restait sans réaction. Je lui demandais d'approuver et de donner son accord.
« Oui Camille, je suis d'accord pour devenir ton petit lèche cul. Je ferai tout ce que tu commanderas. »
Sa servilité, sans trop m'étonner, me remplissait d'aise. J'allais faire de lui tout ce que je voudrais. Je lui demandais de me laisser le filmer en train de déclarer qu'il était un petit cochon. Pendant qu'il s'exécutait des pensées folles me traversaient l'esprit. J'allais lui faire passer mon collant rose et lobliger à rentrer chez lui avec, ensuite je lobligerais à le porter à chacune de nos rencontres. Ou mieux encore, j'allais le photographier en train d'essayer les sous-vêtements de ma mère. Jétais sûre qu'il accepterait de se laisser féminiser et que ce petit vicieux allait adorer renifler les petites culottes de maman.
Je me voyais ensuite passer dans la cuisine pour lui faire récurer les plats que ma mère mavait demandé de nettoyer en partant au travail ce matin. Puis, je le sodomiserais avec tout ce que je pourrais sortir du grand bac à légumes du frigo. Une carotte, puis une grosse courgette pour commencer. Il se mettrait à quatre pattes et se laisserait faire. Est-ce que jirais jusquà le photographier ainsi habillé en femme avec un gros poireau dans le cul ? Après ça, Je pourrais en faire ma chose.
En attendant je me contentais de le regarder shabiller. Javais voulu faire un test et à ma demande, il avait accepté denfiler de vieux collants roses un peu trop petit pour lui sans discuter. Je savais que mes parents nallaient pas tarder et, il me semblait que ma sur était déjà arrivée. Il était temps quil parte. Je lempêchais de remettre son slip par-dessus mes collants transparents qui ne cachaient pas sa toute petite bistouquette déjà toute raide. Jattendis quil soit complètement habillé pour me remettre à lastiquer. Je laccompagnais dehors sans cesser de caresser sa queue au travers de son pantalon et là une fois dans la cage descalier je mappliquais une fois de plus à passer et repasser mes mains sur son bas-ventre. Je réalisais que jétais sortie simplement vêtue dun débardeur blanc qui marrivait au ras des fesses et pas de culotte. Se balader ainsi dans les parties communes
Jétais vraiment devenue une petite putain exhibitionniste en lespace de quelques semaines. Je remontais mon débardeur jusque sous la poitrine et le derrière complètement à lair, je me collais de dos contre Julien. Je me penchais légèrement en avant et frottais son bas-ventre en faisant tourner mon cul comme une roue. Il y avait du bruit dans la cage descaliers, des gens parlaient deux étages plus bas. Je le sentis attr les bords de mon débardeur. Je pensais une seconde quil allait me lenlever et me foutre complètement à poil sur le palier ou bien me sortir les nichons. Jétais terriblement chaude. A cet instant précis, sil lavait voulu, cet idiot aurait pu me baiser et me dépuceler mais il se contenta de tirer mon débardeur vers le bas pour essayer de me couvrir au maximum. Moins de trente secondes et je le sentis quil éjaculait balançant tout son jus dans mes collants roses de petite fille. Je lembrassais et le poussais dans lascenseur qui venait darriver. Mon Julien chéri allait une fois de plus rentrer chez lui tout poisseux.
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