La Representante En Detresse...
La nuit était tombée depuis belle lurette quand jai pris ma voiture pour rentrer chez moi. Je roulais à vive allure sur une petite route de campagne quand mes faisceaux de lumières éclairaient une voiture stationnée sur la bas côté, avec ses feux de secours allumés. Je ralentis mon allure en arrivant à sa hauteur. Grâce à la lueur du plafonnier, je découvris une femme derrière le volant qui me fit de grands signes à travers sa vitre. Heureuse sans doute de trouver âme compatissante dans ce coin perdu dans nulle part. Jai décidé de lui porter secours et pour ça je me suis garé juste devant le capot de son véhicule. Jai coupé le contact et je suis allé à sa rencontre munie dune torche.
Elle attendit sagement que jarrive à la hauteur de sa portière pour entrouvrir sa vitre.
- Bonsoir monsieur, je crois que jai crevé
Je fis le tour de la voiture pour mapercevoir queffectivement le pneu avant droite était déchiqueté. Rassurée sur mon compte, elle était sortie de lhabitacle pour venir aux nouvelles. Debout, je pus me rendre compte que cétait une belle femme, vêtue dun tailleur bleu pétrole. Environ 40 ans, Blonde, plutôt petite malgré ses escarpins à hauts talons, dotée de formes généreuses et dune poitrine opulente. Jadmets que cétait loin dêtre la tenue appropriée pour changer une roue en rase campagne, et de nuit en surcroit.
- Je ne vous serez toujours reconnaissante monsieur de vous êtes arrêter. Javoue que je nen menais pas large avant votre arrivée. Vous êtes mon sauveur. Fit-elle en me faisant une bise sur ma joue.
- Mais cest tout naturel, madame. Bon ce nest pas tout, il faut que je me mette au travail.
Je me dirigeais pour ça à larrière de la voiture, la femme à mes côtés, me suivant comme mon ombre. Le coffre était verrouillé.
- Vous pouvez louvrir sil vous plaît ?
- Oui
bien sûr ! Je vais chercher la clé
Au moment où elle pivota sur ses talons, lun de ses pans de sa jupe sécarta.
Très émoustillé avec tout ça, comme vous pouvez limaginer, je pris sur moi-même pour effec à bien ma mission. Pour ça jattrapais dans le coffre maintenant grand ouvert, le cric et la manivelle puis la roue. Jai eu toute les peines du monde à stabiliser le cric sur la terre. Mais alors que je mapprêtais à retirer la roue jentendis tout proche comme un jet. Je me suis saisi de la torche et jai arrosé les alentours de lumière. Que fus ma surprise de surprendre la représentante accroupie devant moi en équilibre sur la pointe de ses escarpins, la jupe retroussée, les cuisses largement ouvertes, offrant à mes rétines un spectacle des plus affriolant. Dune main elle tirait vers le haut sa vulve épilée, pour maintenir ouvert son méat urinaire, doù séchappée à gros bouillon une urine claire.
La force était si intense que les gouttes rebondissaient sur le sol herbeux éclaboussant ses chaussures.
- Je mexcuse ! Se justifiait-elle. Mais je nai pas pu me retenir plus longtemps.
Il métait à cet instant très difficile de dévier le faisceau de lumière de la scène. Dailleurs cela ne devait pas la gênée. Puisquà aucun moment elle cétait offusquée. Le jet de pisse avait laissé la place à un filet, puis à des gouttes avant de se tarir. Pour le plus grand plaisir de mes yeux, elle ôta sa main, mexhiba quelques secondes encore son minou entièrement rasé qui formait une sorte de cicatrice ourlée de couleur rose.
- Jespère que je ne vous trouble pas trop ? Commenta-t-elle, en sessuyant la fente à laide de sa culotte.
- Tout au contraire ma chère
- Ah oui ! Vous nallez pas me dire que cela vous fait de leffet ? Un grand garçon comme toi
- Et comment ! Que cela me fait de leffet
- Au point de bander ? Me questionna-t-elle.
- Justement
jallais vous le confesser
Pas le temps de finir ma phrase quelle sétait redressée.
- Voyant ça, de plus près vous le voulez bien ?
- A votre guise
Elle prit linitiative de poser sa main sur mon sexe.
- Mais cest vrai, quil bande !
- Sachez ma belle que je mens jamais
surtout avec ces choses là !
- Je vois ça ! Fit-elle sattaquant à ma braguette, passant sa main dans louverture pour atteindre mon gros oiseau, quelle tira hors de son nid.
Elle donna de petits baisers sur toute sa longueur, avant de poser ses lèvres sur mes couilles, leurs prodiguant une caresse douce de succion qui ravissaient mes (jumelles). Puis elle revenait sur le dur. Ses lèvres étaient de velours, ses mains de satin. Elle mengloutit presque aussitôt dans une bouche très avenante, passionnée. Je fus aussitôt aspiré, léché, enserrée entre deux lèvres gourmandes. On aurait dit deux mâchoires détau.
Plus les secondes défilaient, plus javais du mal à me contrôler. Quelques mouvements encore, et jarrivais à lextase. Jai joui, avec une immense plénitude. Le sperme gicla dans sa bouche, et elle déglutit, son regard de braise fixé dans mes yeux plissés.
Jai pensé que cétait une façon bien sympa de me remercier. Sitôt tout ranger, la femme me souffla à loreille :
- Avec toi
je pourrais faire les pires folies
je ne me sentirais pas sale comme je le sens des fois avec les mecs qui me baisent
Ils ne me respectent pas
je ne suis pour eux qu'une poupée gonflable
Viens par là
Elle mattira à bord de sa voiture.
- Je ne me trompe pas
au-moins ?
Elle faisait basculer le siège en avant.
- Pas du tout Mdame, vous mavez tout à fait bien cerné
Elle prit place sur la banquette arrière. Écartant totalement ses jambes en ramenant ses pieds vers ses fesses. Une lueur dintérêt brilla dans ses yeux en amandes. Je me pliais en deux et mapprochais delle, à la toucher. Elle en profita pour me saisir la tête, lapprochant de son bas-ventre :
- Goûte alors à ma chatte
salaud, tu en meurs denvie !
- Mais vous êtes Devin Mdame
- Alors au travail mon beau
Je me jetais sur le con offert, menivrant de senteurs marines. Deux ou trois baisers sur sa chatte pour mauthentifier de sa douceur. Aussi douce que les joues dun homme après en avoir rasé la barbe de huit jours.
Elle mobservait, un sourire logé au coin des lèvres. Je me mis alors à fouiller la vulve. Alternant les caresses du bout de la langue sur les petites lèvres et les bords du vagin. Elle donnait des coups de reins en me barbouillant la figure de mouille épaisse. Remuant la tête sur un rythme de plus en plus rapide.
Je mabandonnais à lui donner le plus de plaisir que je le pouvais. Pour moi, cétait la plus belle chose au monde. Rien que pour cela, jaurai pu chérir dépouser la carrière de gigolo, pour défendre ce pouvoir divin de faire jouir une femme.
Elle laissa échapper un gémissement. Magrippant par mes cheveux, en tendant son ventre. Je ne lui laissais pas de reprendre ses esprits, remettant le couvert, lapant entre ses lèvres intimes, comme laurait fait un chien. Enfonçant ma langue au plus profond de son vagin.
- Oui ! Oui ! Oui
cest ça
oh ! Continu
.
Je la dégustais à grands coups de langue, insistant sur le bourgeon enflammé qui se dressait. La mouille me coulait dans ma bouche. Le volume de ses gémissements avait augmenté. Elle enchaîna deux orgasmes de suite avant décarter ma bouche en agrippant mes cheveux.
Je profitais de sa phase de récupération pour métendre sur elle et tenter par la même occasion de la pénétrer.
- Accès interdit
beau jeune homme.
Elle coinça alors mon sexe bandé entre ses cuisses. Puis se mit à se branler avec, comme si cétait un gode. Cétait pour moi une sensation assez étrange, mais cela me procurais néanmoins beaucoup de plaisir. À en éjaculer pour la seconde fois.
Elle prit sa culotte assortie à son porte-jarretelles, et lenfila. Jeus de nouveau le plaisir de voir une dernière fois ses belles jambes mais aussi son adorable minou baveux.
- Il est temps pour nous de nous séparer ! Me fit-elle en madressant un joli sourire.
Sitôt dehors elle remit en place son siège et prit place dessus. Puis elle mit le contact.
- Jai trouvé ce petit incident très agréable ! Je pense que vous serez daccords avec moi, fit-elle en abandonnant le tutoiement.
- Et comment, jen ai encore un souvenir en bouche.
Cela la fit bien rire. Elle alluma ses feux et embraya pour disparaître à tout jamais de ma vue.
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