La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1074)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Le Comte de Beusgley perdait toute contenance, devenu marionnette entre les lèvres de la chienne
- Qui es-tu ?, demanda le Comte entre deux hocquets, co... co... comment fais-tu
ça ?
Pour toute réponse, jaccélérais mes mouvements de lèvres, de langue, refaisant perdre conscience au Comte, complètement essoufflé, ses mains battaient lair, tentant de toucher mon visage
mes tétons
en vain. Jesquivais adroitement ses gestes mais je me rapprochais à nouveau ensuite pour le tenter à nouveau. Subtile jeu dapproche, jeu de langue, jeu daspiration, de succion, de tentations suivis de recul, savamment calculé
A chaque fois quil réussissait à surmonter ce que je lui faisais subir, je reprenais mes mouvements de salope peverse, je lavoue, et à nouveau il sabandonnait à mes gestes tentant lui aussi à nouveau ses gestes.
- Je te dresserai, toi, éructa-t-il au bord de lapoplexie, tant il était rouge.
Je poursuivis mes léchages, mes pompages, mes pressions sur le gland, sur le frein, jenfonçais brutalement son sexe jusquau fond de ma gorge, pour la remonter aussi vite, le recracher et avant quil ne dise quoique ce soit, la ravaler entièrement à nouveau. A ce petit jeu, Monsieur le Comte de Beusgley avait perdu toute superbe, sa respiration était devenue violente, ses doigts trahissaient par leurs mouvements désordonnés un état définitivement tendus vers un objectif et un seul : Ejaculer. Mais à chaque fois, je réussissais à bloquer son réflexe
Finalement, quand je leus décidé, et moi seule, par un mouvement combiné de ma langue autour de son prépuce, de mon palais aspirant son jus, par mes coups de tête ravageurs et cadencés sur sa bite devenue si raide quelle men faisait mal à la bouche, en quelques coups rageurs de ma part, je le fis éjaculer. Il lâcha son plaisir par un râle de mâle en rut mais je ne le laissais pas y goûter aussi longtemps quil laurait souhaité, stoppant volontairement toute activité buccale.
- Non !, exigea le Comte, continue !, salope
Alors je le repris en bouche, lengoba entièrement et le pompai de toute la volupté dont jétais capable, ses jambes remuaient en tous sens
ses bras faisaient des volutes, ses yeux révulsés semblaient me supplier de lachever à nouveau. Ma bouche sur son sexe, mes yeux dans les siens, comme dans un « combat » de titans, mes mains sur ses couilles, la chèvre contre le tigre, jétais en train de le vaincre, pire encore, de lanéantir... lui le tout puissant
Seigneur
lhumiliant même
puisquil me suppliait de lachever. Dun geste rageur, je repris durant de longues minutes mes mouvements décidant den finir avec sa verge reprenant une réelle et belle vigueur, bite qui ne tarda pas à redevenir droite et raide après avoir, tantôt, si peu jouis de son sperme. Par quelques mouvements précis, je déclenchais une nouvelle éjaculation tant attendue
Cette fois son jet saccadé en plusieurs flots de semence nen finissait plus, javalais son foutre. Pris de soubresauts nerveux, il jutait encore et encore mais au fur et à mesure de ses jets, je le sentais anéanti, restant inerte, sans voix, affalé sur le fauteuil comme un pantin désarticulé. Il me regardait comme si jétais un ovni... une extra-terrestre. Jétais toujours entre ses jambes, sa queue, ramollie pendait, nous nous regardions lui et moi
- Qui es-tu, toi petite jument
Tu es pourtant si belle, petite et belle femelle ?
- Je suis, une des femelles du Maître.
- Depuis combien de temps te dresse-t-il ?
- Depuis peu, Monsieur le Comte.
Toujours affalé dans le fauteuil, cuisses écartées, sexe sorti mais mou, il me fit mapprocher de lui, ce que je fis en me relevant.
- Plus près !
Jétais si proche de son visage que mes tétons, durcis, effleuraient ses lèvres, tenant de les gober dans un geste de réflexe. Imperceptiblement, je reculais juste ce quil fallait pour quil ne les attrapât pas. Mon parfum lenivrait.
- Redresse-toi, place tes mains derrière ta nuque et recule un peu que je tobserve mieux.
Jobéissais. Il remit son sexe dans son pantalon quil réajusta, referma sa braguette, se leva. Je ne bougeais pas, complètement immobile, mais debout. Il se plaça derrière moi, sans rien dire, je sentais son regard dans mon dos, regard de Dominant mais également de maquignon
Il passait ses mains sur le haut de mes fesses, et je fus surprise de la douceur de son toucher. Il « caressait » le bas de mes reins, ou plus précisément, ce sont ses doigts qui effleuraient ma peau, passant et repassant en bas de mes reins. Il sarrêta au début de mon sillon fessier, descendit un peu entre, je frissonnais et il le vit.
- Tu sembles réactive petite jument, me dit-il, je te crois sensuelle, réceptive
Tandis quil continuait dexplorer mon corps sans y entrer, il continuait de me parler ou de parler tout haut.
- Tu as la peau sensible, tu réagis vite aux stimuli, à mon avis, tu dois être une pouliche de luxe, non encore dressée je pense ou insuffisamment dressée
Effectivement mon vieil ami, Monsieur le Marquis, ne sest pas trompé à ton sujet
tu as des qualités évidentes
Venant devant moi, il passait très doucement ses doigts sur mes aréoles, ce qui les fit se friper, puis, tout en me fixant, yeux dardés dans les miens, effleurait mes tétons, qui, immédiatement durcirent, se tendirent, lui faisant ajouter :
- Décidément tu es électrique, toi, si tu étais mienne, je ferai de toi une belle trotteuse
de luxe !
Placé devant moi, je voyais une bosse apparaître à nouveau dans son pantalon
Il ouvrit sa braguette à nouveau, en sortit son sexe, redevenu à nouveau très raide et déjà bien mouillé, sexe quil plaça juste devant mon sexe
mais se ravisant
- A genoux, ordonna-t-il !
Je magenouillais immédiatement.
- Parfait, me dit-il, tu es déjà semble-t-il, obéissante, car toute femelle non dressée aurait ouvert la bouche, tandis que toi, tu attends mon ordre
Il passait maintenant sa queue encore plus coulante sur mes joues, puis, brusquement me prit par les cheveux et tira dun coup violent en arrière
Dans cette pose, on se regardait mutuellement, mais javais mal aux cervicales, car il tirait vraiment fort en arrière. De lautre main, il plaça ses doigts entre mes mâchoires et ce fut comme un étau qui me pressa les joues, mobligeant à ouvrir grand la bouche
- Sors ta langue et garde-la ainsi !
Je sortis ma langue tant que je pus le faire mais ses doigts enfoncés entre mes mâchoires me faisaient très mal, il le savait. Ainsi, il frotta sa bite sur ma langue, pendant un temps qui me parut interminable, mais je restais immobile
Cest lui qui allait et venait sur elle, quand tout dun coup, il senfonça jusquau fond de ma gorge me faisant devant la violence et la soudaineté du geste. Il resta ainsi un long moment en gorge profonde en me fixant avec intensité, puis reprit ses mouvements de va-et-vient. Il prenait son temps, me tirant toujours les cheveux en arrière
Je devenais son objet, ne me demandant rien, mais se servant de moi selon son désir du moment.
- Tu vois, belle jument, je ne peux rien te demander de faire, mais je peux me servir de toi à ma guise, et vais le faire, crois-moi.
Disant cela, il enfonçait de nouveau sa queue dans le fond de ma gorge et semblait prendre du plaisir à me voir hoqueter
Placée ainsi, il faisait des « ronds » dans mon gosier me donnant envie de rendre mais lui, riait. Son rire était pervers et sadique ! Parfois il sortait brutalement de ma bouche, toujours tenue fermement entre ses doigts me faisant avaler ma salive, tenter de reprendre mon souffle, puis se renfonçait profondément
Il commença une sorte de danse endiablées dans ma bouche, entrant, sortant, senfonçant à sa guise, plongeant jusquau fond, faisant des allers et retours
Ses doigts toujours enfoncés sur mes joues.
- Je te dresse ma pouliche, je me sers de toi à ma guise
Il était toujours raide et ne semblait pas pressé den finir. Cependant, il lâcha mes cheveux ce qui me fit redresser la tête un peu mais sa main se posa sur mon front et appuyait dessus me faisant, à nouveau, pencher la tête en arrière.
- Je nai pas fini avec toi belle pouliche. Viens ici maintenant !
Je me relevais, avec un mal de chien aux cervicales...
- Ouvre ta chatte de jument !
Jouvris mon sexe, écartant mes lèvres intimes et trempées, cuisses à demi pliées, juchée que jétais sur mes talons de 16 centimètres.
- Ne bouge surtout pas !
Il sortit un appareil à photos et fixa sur l« image » mes intimités comme un spécialiste laurait fait.
Puis, il prit un téléphone posé sur un magnifique guéridon Louis XVI (les portables nexistaient pas encore à lépoque) et dit, après avoir composé un numéro :
- Cest toi ? Écoute-moi ? Mon vieil ami, Monsieur le Marquis dEvans, chez qui je suis en ce moment pour évaluer une de Ses dernières trouvailles sest trouvé une pouliche de feu pas encore dressée mais de tout premier plan. Tu vas utiliser toutes tes capacités pour quil me la cède, je la veux très vite chez moi !
Cest une rareté au potentiel exceptionnel
Lentendant parler de la sorte, mon sang bouillait mais je ne montrais rien. Ce Comte de Beusgley était immonde !
Revenu vers moi, me tâtant les fesses, les flattant comme il laurait fait avec une de ses pouliches, il me dit en riant :
- Bientôt tu seras à moi et je te dresserai. Tu tireras mon sulky et te conduirai dans mon parc, tu verras !
Puis, aussi brusquement que si rien ne sétait passé, il appela le Majordome qui se présenta aussitôt.
- Walter, veuillez me débarrasser de cette femelle ! Je donnerai à Monsieur le Marquis mes conclusions.
- Bien Monsieur le Comte.
(se tourant vers moi)
Toi suis-moi !
Nous sortîmes, moi suivant Walter laissant le Comte de Beusgley maquignon à ses réflexions
(A suivre
)
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