Collection Zone Rouge. Coup De Tête (3/5)

Sur un coup de tête, quittant le foyer conjugal, je passe des moments qui vont enrichir ma vie sexuelle et qui vont me faire de magnifique souvenir quand j’aurai décidé de reprendre ma morne vie auprès de ma famille.
Dans mes périples depuis que j’ai claqué la porte de mon domicile, j’ai sucé la verge d’un taxi noir, je me suis fait enculer par un fétichiste qui m’a pris ma culotte et qui m’a laissé deux cents euros.
Je pense qu’au bois où il m’a ramassé, il m’a pris pour une pute.
Enfin, place Clichy, en sortant du métro où un inconnu m’a caressé les fesses, je rencontre Ondine, une femme presque de mon âge qui m’invite à sa table et me raconte, comment elle est devenue la propriétaire d’une boîte de nuit à Pigalle.
Ondine étant trop tendre dans son milieu, elle se fait appeler Anabelle.

• Où habitais-tu ?
• Dijon, à la gare, le premier TGV en partance était pour Paris, si ça avait été Lyon ou Marseille, nous ne nous serions pas rencontrées.
À Paris, j’ai débarqué gare de Lyon et après avoir mis mon sac à la consigne, comme toi aujourd’hui, j’ai déambulé dans la capitale, comme dit Aznavour, j’étais pressée de conquérir Paris.
Je passe tous les détails, la vie de bohème, les soirées sous les ponts dans les bords de seine avec une particularité, j’étais toujours vierge.
Une nuit, comme tous les soirs, je dansais devant les copains quand un homme est venu me parler, il tenait une boîte à Pigalle et cherchait des filles pour faire le spectacle.
Il m’a proposé de faire un essai voyant que j’avais de bonnes bases en danse, c’est Paula, une Guadeloupéenne qui était sa vedette à qui, il m’a confié.
Elle m’a appris à faire de la barre et m’a pris mon pucelage, je dormais chez elle ayant récupéré mon sac dans la consigne de la gare.
• Tu es homosexuelle !
• On dit lesbienne entre femmes ma chérie, non, j’aime beaucoup les femmes, mais j’ai appris à aimer les hommes avec Johnny, c’était l’homme qui tenait la boîte.


Ce que je ne savais pas c’est qu’il se donnait un droit de cuissage avec les six filles qui travaillaient ici.
Je te disais qu’elle m’avait enlevé mon pucelage avec ses doigts qui m’ont échauffé avant qu’elle se serve d’un gode ceinture pour me déflorer.
Un soir, il est venu avec nous à la sortie de la boîte, nous nous sommes couchés tous les trois et c’est elle qui a pris sa verge en main pour me l’introduire.
Je n’ai pas compris ce qu’il m’arrivait quand m’empoignant Johnny m’a fait venir sur lui, deux minutes après, j’ai senti comme toi avec ton mec dans l’hôtel qu’elle me faisait une feuille de rose.
D’un coup contrairement à toi, alors que j’étais bien mouillée, elle m’a planté son gode ceinture qu’elle avait mis autour de ses reins, la première fois j’ai eu mal, mais comme nous l’avons fait souvent, j’ai fini par aimer les doubles pénétrations.
• Toujours avec Johnny et le gode ?
• Pas seulement, Johnny était préteur de ses filles, il adorait nous voir baiser avec d’autres hommes surtout quand cela aidait son commerce et invariablement quand il en avait assez vu, il finissait dans nos anus.
• Comment es-tu devenue la patronne ?
• Johnny vieillissait et souhaitait vendre, un jour un homme est venu me voir, c’était un notaire, il devait régler un héritage, je suis une bonne citoyenne et je m’étais inscrite sur les listes électorales de notre arrondissement.
C’était mon beau-père qui comme maman était mort, comme ils étaient mariés, je devenais son héritière, droit de succession payée, il m’est resté assez pour remplacer Johnny.
De plus, le fermage qu’il laissait me permet de toucher de beaux dividendes qui me permettent de faire ces travaux.
• Le fermage ?
• J’ai une ferme en Normandie exploitée par des agriculteurs qui me rétrocèdent une partie de leurs bénéfices, le camembert plus ça schlingue, plus ça rapporte.
• Peux-tu me faire voir comment l’on fait de la barre.


Elle monte sur une estrade où des platines doivent permettre de mettre l’ambiance, elle place un disque assez endiablé.

• Normalement mon numéro où celui de mes filles commence quand nous arrivons sur scène devant la barre, je vais rattr, assieds-toi sur cette chaise à quelques centimètres de moi comme le font les clients ou les clientes.

Elle se déshabille et reste seins nus et en string, elle détache ses cheveux coiffés en chignon qui tombe sur ses épaules, je me pose sur la chaise qu’elle m’a désignée, je l’admire avec ses effets, elle était superbe, sans rien elle l’est plus encore.

• Attends, j’ai vu, comment tu as mis en marche le disque sur la platine, je vais le remettre au début et venir m’asseoir comme tu me le l’as demandé.

Je m’exécute, comme une liane autour d’un arbre, Anabelle fait monter son corps, puis le fait redescendre avec grâce et harmonie.
Comme je suis placé à moins d’un mètre, je pense que pour danser devant ses clients elle doit porter un vêtement plus adapté, car chaque fois qu’elle passe devant moi, le string ayant bougé, je vois sa chatte qui semble mouillée.
Elle se pose au sol semblant reprendre son souffle.

• Alice ne bouge pas, depuis que je m’exhibe devant nos clients, j’ai toujours eu un fantasme, grâce à toi je vais le réaliser.

Elle se soulève grâce à la barre, arrache son string, m’apparaissant entièrement nue et recommence son numéro, elle va même jusqu’à se tenir d’une main, les jambes à l’équerre au-dessus de sa tête.
Redescendant prestement, ses jambes viennent de chaque côté de ma tête et reposent sur mes épaules, je comprends ce qu’elle veut, une fraction de seconde, j’hésite, fellation, sodomie et maintenant cunnilingus, pour une accélération de ma sexualité s’en est une.
Quelle femme peut-elle dire qu’elle a franchi toutes ces étapes en si peu de temps, quelle femme pourrait dire qu’elle est passée en si peu de temps de mère au foyer spécialiste des nettoyages des derrières, même celui de sa mère à celui de salope intégrale.

Un peut plus, un peu moins, je franchis le pas.
Par ou commencer, sa chatte contrairement à la mienne est dépourvu de grandes lèvres, mais là où j’en ai un tout petit, derrière son capuchon, elle a un clito extraordinaire, une vraie petite bite.

• Suce-moi, regarde, il n’attend que toi.

J’ignore, si elle me parle dans les minutes qui suivent, ses jambes sur mes oreilles les bouches divinement, et ce qui est divin c’est ma langue entourant son excroissance, je le suce voulant aller plus loin, mais hésitant.
Je sens que l’on m’appuie sur la tête, je suis surprise par ce geste et mes dents viennent le mordre.
Le mordre, le mordiller plutôt, car je relâche le mouvement instinctif de mes mâchoires que la surprise m’a fait faire.
C’est à ce moment que mon visage est inondé par des jets de ce que je crois être de l’urine, la salope, je lui fais plaisir et elle me pisse au visage.
Prestement, elle se retourne comme un serpent et me lèche le visage.

• Alice, excuse de ne t’avoir pas prévenue, c’est mon fantasme qui m’a amené à t’arroser avec ma cyprine, je suis une femme fontaine, chaque fois que je me tortille sur cette barre, je rêve de me faire sucer par les clients.
J’ai profité de toi pour assouvir mon envie, sachant que lorsque tu toucherais mon clito, je t’inonderais, tu comprends qu’il m’est impossible de faire cela avec mes clients, je serais vite mise en faillite par fermeture administrative.
Viens, je vais t’essuyer.

Elle passe derrière le bar, ouvre un tiroir, et m’essuie le visage, elle va plus loin, elle m’embrasse, c’est la première fois, de nouveau, qu’une fille me prends la bouche.
C’est agréable, plus doux que du temps ou Sylvain m’embrassait, surtout qu’elle me pousse doucement vers un paquet de sièges en velours rouge qui sont stocké avant d’être remis en place.
Elle doit être experte grâce à Paula pour déshabiller les filles, car je me retrouve aussi nue qu’elle, sa tête rapidement dans ma fourche quand les coussins me reçoivent et qu’à son tour, elle me suce mon clito.

Je chavire, je jouis sans pour autant l’inonder comme elle, elle se retourne et se place pour que nous nous pratiquions un 69, j’en fais avec mon mari, mais contrairement à Ondine, je préfère lui donner ce prénom plus doux, ma chatte coule, mais sans l’inonder.

• Arrêtons, montons chez-moi, tu vois le travail qu’il reste à faire, les échantillons de tenture sont en haut.

Ondine a un accès direct avec son appartement à l’étage, dès que nous entrons, elle me tire par la main dans une chambre d’un genre spécial, le lit, il est normal sauf le dessus qui est en matière facilement lavable.

• J’en avais mare de changer mes draps tous les jours chaque fois que j’ai un rapport sexuel avec un où une amie et que mes glandes se déclenche, même si ce n’est pas toujours le cas, il faut que mon excitation soit au maximum comme elle l’a été avec toi tout à l’heure.
Quand nous nous sucions tout à l’heure sur mes cousins, si nous avions continué, j’aurais dû faire un nettoyage de ces derniers, il aurait été impossible de les remettre en place et d’ouvrir au client samedi.
• Merci, Ondine, je suis touchée, j’ai eu le droit à ma douche, tu me montre donc l’intérêt que tu me portes, je viens de passer la journée de ma vie la plus intense que j’ai vécu, même si dans les premiers temps de mon engagement avec Sylvain, nous avons passé des moments sympas.
• Tu veux que je te montre une autre chose que tu es capable de faire avec ton corps, tu m’as dit avoir eu trois s ?
• Oui.
• D’où sont-ils sortis ?
• Mon vagin.
• S’ils en sont sortis, il doit être possible d’y remettre une chose moins importante.
• Un gode ?
• Si tu veux, mais un gode humain, ma main, je vais te fister c’est ainsi qu’il est dit quand nous faisons cet acte sexuel, moi qui n’est pas eu d’s, j’adore que l’on me le fasse, allonge-toi et détends-toi.

Je suis étonnée de constater tous ce que j’ai loupé.

• Je mets un doigt, ça va.
• Oui, je sais le faire moi-même.
• Deux, mieux trois.
• Continue va directement au but, je vois que mon corps réagit positivement et je sens l’excitation monter en moi.

Elle réussit à me mettre sa main jusqu’à son poignet, je suis étonné, mais le plaisir qui se déclenche me fait perdre mes mots………………………………………

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