Petite Nathalie.
La chaleur aidant, les femmes étaient dans les rues habillées dun rien. De robes impalpables qui leur collaient au cul pour le plus grand plaisir des yeux. Et tout cela avait une cause sur moi, celui de me donner une faim de chatte mûr. Et cest bien connue, cest quand on en a le plus envie quon nen trouve pas.
Donc ce jour-là, ma chasse me conduit à suivre un petit cul rond dune Algérienne. Ça mordait bien. Elle était vêtue dune robe rose en jersey très léger, quelle portait très près du corps comme disent les couturiers et qui mavait semblé son unique vêtement. Elle marchait assez vite et je devais me hâter pour ne pas la perdre. Ses fesses ondulaient devant moi sans excès, dont je distinguais nettement le sillon à travers le tissu. Sans aucun doute elle ne portait pas de culotte. Tout en la matant, je réfléchissais comment jallais laborder.
Puis une voiture sétait arrêté à sa hauteur. Elle avait discuté avec le chauffeur, avant de faire le tour et douvrir la portière côté passager dont elle avait prit place. Sitôt la portière claquée la voiture démarra, et adieu le beau cul.
Puis le hasard fit que je tombais sur Manu.
- Dis donc, tu viens avec moi rendre une visite à Nathalie. Je lai rencontré en bas de chez elle. Elle avait lair de semmerder. Alors je lui ai proposé un rendez-vous. Elle a été daccord mais pour 16H00 chez elle. À lheure que sa mère se rend au boulot.
Malgré mes réticences, je le suivis. Alors quon montait les marches nous menons jusquà lappartement, il me glissa à loreille.
- Tu vas voir, elle a un aussi beau cul que ma cousine.
Sa cousine que javais appris à connaitre sous tous ses coutures lors de son passage parmi nous.
Nathalie portait une robe nouée à la taille.
- Jespère que personne vous a vue monter ?
- Ne crains rien
Par discrétion jesquissais un mouvement de recul. Manu me retenu et me forcer à entrée.
- Verrouille la porte ! Et regarde
regarde bien
comme tu sais jaime bien quon me regarde quand je mamuse avec une fille
Il sapprocha de Nathalie et lui plaqua sa main sur sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa robe. Manu lui tripota les seins en la regardant tendrement dans les yeux. Malgré ma présence elle se laissait faire, toute rouge, les paupières baissées.
- Ils sont toujours aussi moelleux. Tu veux les tâter, Alain ?
- Non merci. Répondais-je.
Sans ce préoccuper de ce que je lui avais dit, il se saisit de ma main et la posa sur le sein de Nathalie. Elle sursauta, surprise. Nos regards se croisèrent. Le sien nexprimait quexcitation. Alors que je mis à tâter ses seins. Il men fallait pas plus pour me faire bander. Manu on sen apercevant se marra.
- Tu vois que tu aimes ça. Tu vas voir
Nathalie a dautres jolies choses à te montrer. Pas vrai, poulette ? Fais lui voir ça
Sans aucune hésitation, elle décrocha sa ceinture de cuir pour permettre de faire remonter sa robe sur ses hanches. Elle le fit dune manière malhabiles, ce qui eut pour effet de mexciter encore plus.
Elle sadossa au mur de lentrée, alors que mon regard tomba sur la culotte bien blanche entre des cuisses nerveuses. À lentrejambe, ça formait deux renflements et un léger creux au milieu où le tissu senfonçait.
- Quest-ce que tu en dis ? Me lança Manu.
Sans attendre ma réponse qui ne venait pas, Manu savança vers Nathalie pour lembrasser. Elle se laissa faire, absolument passive. Manu plaça une jambe entre ses cuisses, puis il se mit à farfouiller sa chatte. Au bout de quelques secondes de caresse, il tourna sa tête vers moi pour me dire :
- Tu vois, Nathalie est du genre à aimer quon la tripote. Essaye, toi aussi
À défaut dautre chose, pourquoi pas. Jaurais préférer sa mère mais bon ! Elle était assez mignonne dans son genre. Avec des lèvres ourlées. Un nez retroussé.
Ses seins saplatissaient contre ma poitrine. Soudain ses lèvres se collèrent aux miennes. Sa langue écarta mes dents pour venir au contact de la mienne. Manu sétait écarter pour mieux nous regarder. Je posais mes mains sur ses fesses et les malaxais. Elle laissa échappé des soupirs qui mencouragèrent à passer ma main sous létoffe de sa robe pour glisser mes doigts dans le sillon moite. Elle serra les fesses et je dû me contenter de caresser les globes charnus. Son corps était brûlant, frémissant. Je marrêtais là, pourtant ce nétait pas lenvie qui me manquer mais cétait tout de même la copine de Manu. Dailleurs elle sécarta delle-même de moi, pour me regarder dun air étonné.
- Quel con ! Laissa tomber Manu. Tu nas pas envie delle.
Il ouvrait sa braguette et sorti sa verge. Il bandait.
- Viens ici, Nathalie. Montre moi ta chatte.
Lair boudeuse sans doute par mon intéressement pour elle, Nathalie fit passer sa robe par-dessus sa tête. Exhibant par ce geste ses seins nus, hauts perchés, avec de minuscules tétons très noirs. Dans lélan, elle se déculotta, dévoilant par ce geste une grosse chatte touffue. Comme je les aime, dont les poils étaient lustrés, les lèvres biens visibles, comme une balafre, verticale.
- Allons dans ta chambre ? Proposa Manu.
Nathalie marcha devant nous, Manu derrière, la queue raide. Je profitais quils ne sintéressent pas de moi pour humer la culotte. Après lavoir respiré je la jetais à terre et rejoint de couple dans la chambre. À mon arrivée je trouvais Nathalie adossée contre son bureau, les cuisses écartées. Japerçus de grosses lèvres poilues souvrant sur sa vulve rosée, les petites lèvres brillantes de mouille. Les poils étaient collés et ça accentuait la nudité de sa chatte. Dans cette position, on voyait au plus profond de son sexe.
- Tu vois. Elle aime ça, Nathalie !
Il sapprocha, la bite à la main, dont il enfila une capote. Il sen servit pour écarter les poils avec, avant de la frotter contre ses lèvres intimes. Puis il frotta le gros bout de la bite contre la touffe. Nathalie se laissa faire, les jambes écartées, la tête en arrière, son corps parcouru de frissons. Dune voix rauque, tout en continuant à se masser le gland entre les lèvres du con, Manu grommela :
- Tu vois, comme elle se laisse faire.
La poitrine de Nathalie se soulevait régulièrement, alors que son ventre enflait. La verge de Manu continuait à fouiller lentrée de la vulve de la jeune fille. Il arrivait quelle senfonce entre les grosses lèvres avec un bruit mou et mouillé. À voix basse, haletante, Nathalie supplia Manu de lenfoncer tout entière.
- Mets-la dedans
Vite
Dedans
Toute entière
Elle se tourna vers moi, les pommettes rouges, comme pour me prendre à témoin.
- Dis-lui toi quil le fasse !
- Tu entends Manu, lâchais-je
Cest elle qui le demande
Il martela à petits coups le haut de la fente, sous les gémissements de Nathalie. Elle entoura de ses doigts le gland qui allait et venait entre ses lèvres et butant sur son clitoris. Pendant ce temps là, Manu lui léchait les seins. Tremblante dexcitation, elle écarta les lèvres de sa chatte à laide de ses doigts et delle-même elle avança le bassin. Mais ce nétait de lavis de Manu, qui se recula, lui prenant les jambes pour les relever le plus haut quil le pouvait. En sorte que la raie du cul soit visible. Il sarrangea pour que son gland glisse jusquà lanus fripé. Là il lui écarta les fesses, la vulve rose était grande ouverte, alors que lanus, sous la poussée du gland, commençait à se dilater.
Je fus témoin de la disparition de la verge de Manu dans le trou du cul à Nathalie. Et cela jusquà ses couilles.
- Cest mal Manu
de ce côté
cest mal ! Disait-elle, sans pour cela sécarter tout au contraire elle sagrippa à lui.
Le slip souillé je fis les quelques pas qui nous séparer. Profitant de la position de Nathalie pour la déchausser. Elle avait des mollets très fins et délicatement dessinés. Ses pieds étaient là, nus, offerts. Je me mis à les caresser avec mes doigts, avec ma bouche aussi. Elle prenait apparemment soin de ses pieds. Leur peau était douce, souple, et ils embaumaient une légère odeur de transpiration. Certains auraient été dégoûtés de promener leurs doigts sur des pieds, et que dire de la langue, comme je le faisais. Jétais heureux, intensément. Cétait exactement à la hauteur de ce que javais espéré. Je me mis à suçoter les orteils, lun après lautre, comme si cétait des petites bites, pour le plus grand plaisir de sa propriétaire qui se mit à haleter encore plus fort. Manu, encouragé, augmenta la cadence de ses coups de reins. Nathalie remuait la tête en tous sens. La queue en coulissant faisait un bruit mouillé, ponctué de flocs sonores.
Jétais aux anges, seul ma verge baignant dans son sperme était la virgule désagréable de linstant. Mais je bandais toujours ! Avec une énorme envie de me faire jouir. Le sang cognait dans mes tempes, alors que je voyais devant mes yeux Manu sagiter plus vite dans le cul de Nathalie. Qui poussait maintenant des cris perçant.
Malgré une apparence stricte, Nathalie savérait apprécier véritablement le sexe.
Manu se coucha sur le dos et Nathalie vint sempaler sur son sexe dressé, je vis à nouveau disparaître la colonne de chair dans le gouffre humide. Jécartais les globes fessiers de la jeune fille, je mavançai et pointais ma verge à lentrée de son anus. Je neus guère à forcer. En quelques glissements je pus investir le lieu sans peine. Je commençai à bouger en rythme avec Manu, sentant son dard de lautre côté de la fine paroi. La sensation était divine. Javais à la fois le plaisir dêtre dans le cul de la fille et celui davoir limpression de branler ma queue sur celle de mon pote. La sensation était absolument extraordinaire.
Et que dire de Nathalie, qui faisait son possible pour ne pas gueuler son plaisir afin de ne pas ameuter limmeuble, mais elle poussait des miaulements quelle ne pouvait pas contenir.
Elle fut secouée par un premier orgasme, puis un second tout de suite après, tandis que nous nous activions toujours en elle. Mais alors que je hissais mon regard par-dessus lépaule de Nathalie, je découvrais avec stupeur une femme qui nous observait.
Elle était décomposée devant la scène qui se jouait sous ses yeux. Sébouriffant les cheveux à laide de ses deux mains elle déserta les lieux. Paniquée Nathalie ne savait que faire. Du genre diplomate en la matière je me proposais daller voir la mère et de discuter avec elle. Après lavoir chercher dans les pièces principales, je me décidais daller toquer à la porte de sa chambre. Où elle se tenait assise sur son lit le visage dans les mains.
-Fiche le camps de ma chambre ! Cria cette dernière en me voyant.
Je lus sur son visage une immense tristesse.
- Mais pourquoi ? Senquérait-elle.
Je nhésitais pas une seconde, je pris le parti de la franchise en prenant place à côté delle, oubliant ma nudité. Elle fut assez surprise de ma confession. Tentant de la consoler par la suite, de douces paroles. Elle se fit même coquine, excitant mon désir par quelques tendres phrases. Je ne résistais pas longtemps à loffensive de la mère. Je pris même linitiative de la débarrasser de sa culotte. Dans laquelle je plongeais ma tête. Elle était toute chaude, et sentait bon.
Puis je pris sur moi de mallonger sur elle. Dexciter les lèvres de son sexe avec mon pénis. Celui-ci était étonnement inondé de désir. Je prolongeai longtemps lagréable sensation que me procurait la douce muqueuse. Quand enfin, je me décidais à aborder létape ultime, elle se contracta. Javais bien essayer de persévérer, croyant à un phénomène passager, mais cétait peine perdue, je rendant bien compte de lévidence. Surtout que la femme se mit à pleurer. Des larmes étaient intarissables.
Mais alors que jallais baisser pavillon voilà quelle me lança :
-Après tout pourquoi pas, fais-moi lamour !
De peur quelle change davis, je magenouillais devant elle, plaçais mes mains sur ses hanches. posant quelques baisers sur ses cuisses, la faisant frissonner, mais cette fois de bonheur. Jexplorais avec ma langue son sexe. Qui se chargea très rapidement de sécrétion, si bien que je pus sans difficulté glisser un doigt dans le vagin. Den exciter toutes les surfaces, alors quelle se tordait de plaisir.
Mon besoin de foute, me fis me placer entre ses jambes. Mon pénis tâtonna quelques instants entre ses lèvres intimes. Pas mécontent du tout, je fis durer le plaisir du contact, pour enfin la pénétrer doucement. Elle exprima son plaisir dans un long gémissement. Je soulevais légèrement ses hanches, pour la perforais plus profondément en elle. Au fur et à mesure que lexcitation me submergea, jaccélérai mon balancement de va-et-vient entre les cuisses de la dame. Lorsquenfin je sentis le plaisir arrivait, je marrêtais, pour garer mon pénis au plus profond delle, et une fois-là, je libérais en elle mon orgasme, en longs jets saccadés. La coquine releva une dernière fois le bassin pour accepter mon don.
Suite à ce petit extra, je me rendis dans la chambre de la fille qui était en pleur dans les bras de Manu. Je la réconfortais lui certifiant que sa mère ne lui tenait pas rancune quil fallait bien que la jeunesse se fasse.
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