Frasques À Deauville
Cette histoire est le second volet sur le fétichisme. Après « Trouver chaussure à son pied » et la rencontre pour notre héroïne Laetitia Marsac avec une fétichiste des pieds et des chaussures, voilà à nouveau Laetitia dans ses aventures.
Le fétichisme ? Quest-ce que cest au juste ? Alors, le sujet est vaste. On peut dire, sans se tromper que cest une excitation sexuelle (parce quon parle de fétichisme sexuel pour le coup) causée par le contact physique ou visuel avec une partie du corps, une situation, un objet.
Les plus courants sont liés à des partie du corps (le fétichisme des pieds, exploré dans le précédant épisode, mais aussi des fesses, des jambes par exemple), des accessoires (les vêtements, les dessous, les chaussures), des matières (cuir, latex, lycra, soie
), des fluides corporels et odeurs corporelles. On citera enfin lanatomie (les rondes, les petites, les femmes mures chez les jeunes etc.
).
Le fétichisme fait appel aux sens, enfin à certains de nos sens : la vue, le toucher, lodorat principalement, le goût et louïe plus rarement.
Le fétichisme est-il une perversion ? Bah, le sexe nen est pas une, le fétichisme faisant pleinement partie intégrante du sexe, pourquoi en serait-il une ? Quand le fétichisme nest pas maladif, quand on peut prendre du plaisir en dehors du fétichisme, pourquoi serait-ce une perversion ?
Sommes-nous toutes et tous fétichistes ? Euh, oui surement
Mais il parait que cest plus rependu dans le gente masculine. Moi, oui, je suis fétichiste, cest sûr !
On a tous une âme de collectionneur par exemple, les femmes, cest souvent les chaussures. Y-a-t-il une dimension sexuelle derrière ça ? A méditer !
Mais place à Laetitia Marsac, qui va vous raconter son histoire :
Nous avions passé deux jours à Deauville. Maelenn devait aller en Angleterre pour raisons professionnelles. Dhabitude elle sy rendait par lEurostar. Comme javais quelques jours de RTT à épuiser, nous avions réservé un hôtel à Deauville à compter du jeudi et elle devait prendre un avion pour Londres le samedi matin.
Je lavais déposée à laéroport de Deauville Saint Gatien, et je mapprêtais à repartir pour la région parisienne. Le temps navait pas été de la partie depuis jeudi. Nous avions eu le droit à deux jours de crachin. Du coup nous étions peu sorties de notre chambre dhôtel (si vous voyez ce que je veux dire !). Par contre ce samedi matin, le ciel était limpide. Je maccordais le temps dune petite balade sur le front de mer de Deauville, à flâner un peu avant de rentrer, pour profiter des rayons de ce soleil qui nous avait laissées en plan pendant deux jours.
Mon attention fut attirée par une affiche en passant devant la salle des ventes de Deauville :
« Vente de vêtements vintage ».
Ca pouvait être intéressant, je décidais dentrer pour voir. Ça nengageait à rien du tout et puis ça faisait des lustres que je nétais pas allée dans une salle des ventes.
La vente était commencée. Une trentaine de personnes y assistait. Mon entrée fut accueillie par le son du marteau du commissaire-priseur : « Adjugé pour 50 euros ».
Un homme était tout fier de son achat, un magnifique chapeau haut de forme.
Je trouvais une place assise au troisième rang.
Les ventes senchaînent rapidement. Dabord silencieuse et dans mon coin, je risquais une enchère pour une robe années 50, bleue marine à pois blancs, évasée en bas : « 30 euros pour la jeune femme au troisième rang » annonça le commissaire-priseur.
Une dame enchérie à 40. Je laissais tomber, le jeu nen valait pas la chandelle.
Les ventes suivantes ne mont pas intéressée, une série de foulards Hermès, pas vraiment mon genre, ni mon style.
Une tunique année 60, hippie 15 euros, je propose 20. Personne nenchérie, elle est à moi. Je suis fière, elle est en parfait état.
Sensuivie quelques vêtements masculins, dont une redingote plutôt sympa. Mais que voulez-vous que je fasse dune redingote ?
Le commissaire-priseur a proposé un chapeau noir à voilette.
Javais lintention de ne plus enchérir. Javais dépensé assez. Quand le commissaire -priseur annonça une paire de gants longs en cuir rouge, pour la modique somme de 30 euros, je restais bouche bée.
Les gants étaient magnifiques. Pour sûr, ils devaient marriver au-dessus du coude. Dun magnifique cuir rouge vif, ils mhypnotisaient ces gants. Quelle classe jaurais avec ça !
« 35 », jannonçais
- 35 euros pour la jeune femme du troisième rang
- 40
Je me retournais, pour voir qui surenchérissait. Cétait une femme blonde au dernier rang. A peu près du même âge que moi, peut-être un peu plus, je lui donnais entre 35 et 38 ans maximum. Par contre, quest-ce quelle était belle. Le ton de sa voix était haut et clair.
- 45, dis-je dun ton affirmé (non, mais oh !)
- 50
Elle ne lâchait pas laffaire. Je les voulais vraiment ces gants. Mais bon, soyons sérieuse, je nallais pas dépenser plus de 50 euros pour eux
- 50, une fois, pour la jeune femme au fond, annonça le commissaire-priseur
Jallais lever la main, je me retins
- 50 deux fois
- 50 trois fois, adjugé vendu
Jenrageais intérieurement. Je les voulais tellement et je venais de me les faire souffler par cette femme.
Elle sapprocha de lestrade pour retirer son achat, dun pas affirmé. Elle était vraiment très belle. Jappréciais sa silhouette mince de mon il de connaisseuse. Tous les regards de la salle (surtout les masculins dailleurs) la fixaient, elle et sa démarche chaloupée.
Elle prit ses gants et se retourna pour reprendre lallée. En passant à ma hauteur, elle me sourit, comme pour dire « Jolie joute, mais désolée, ils sont à moi », et elle quitté la salle.
Pour être déçue, je létais. Le reste de la vente me parut sans intérêt. Autant jusquà présent, je métais amusée, frissonnant légèrement quand jenchérissais, autant depuis la perte des gants, je me sentais blasée.
Jai décidé de partir, la vente ne mintéressait manifestement plus. Jai pris mes articles et jai regagné la rue.
En passant devant le parking, japerçu, la femme blonde qui entrait dans une Audi noire. Elle sinstallait au volant quand je passais devant le véhicule. En sasseyant, sa jupe de tailleur remonta sur sa cuisse. Jappréciais le galbe de son mollet et de sa cuisse. Cette femme était vraiment magnifique. Cest le moins quon puisse dire. Tout à fait à mon goût.
Son regard sest rivé au mien. Nous nous sommes fixés quelques instants, puis je me suis retournée et jai regagné la rue, pour récupérer ma voiture garée à quelques rues de là.
Je marchais sur le trottoir, quand jentendis une voiture ralentir derrière moi. Cétait lAudi noire. Une vitre sest baissée, et la femme blonde sest adressée à moi :
- Désolée pour les gants !
- ce nest rien, cest le jeu
- Comme vous dites, cest le jeu
La voix était à lavenant du reste, claire, distinguée. Une belle voix ... chaude.
- Vous êtes du coin ? reprit-elle
- Non, je suis de passage.
- Doù ?
- Région parisienne
je rentre chez moi dailleurs !
- Vous allez avoir quelques difficultés. Jai entendu à la radio quun accident a eu lieu sur lautoroute A13. Un camion qui transporte des produits dangereux sest renversé. La circulation est coupée pour plusieurs heures.
- Ah oui ! Je vais prendre les petites routes alors. Je mettrais juste un peu plus de temps.
- Cest ce que fait tout le monde en fait.
- Eh bien
- Ecoutez, je vous propose de venir chez moi, vous reprendrez la route plus tard, quand la circulation sera rétablie
Jhésitais. Je ne connaissais cette femme ni dEve, ni dAdam et voilà quelle me proposait daller chez elle.
- Cest que
.
Je métais approchée de la voiture et je venais de découvrir ses jambes en partie dénudée, la jupe remontée haut sur le siège de la voiture. Mon regard se riva sur la paire de cuisses gainée mis en valeur par des collants fins et noirs. Elle dut sapercevoir que je regardais ses cuisses, un rictus apparu au coin den ses lèvres :
- Alors, me dit-elle en relevant légèrement la jambe gauche, découvrant encore un peu sa cuisse.
Ce nétait pas des collants, mais des bas. Un peu de dentelle noire apparu à lourlet de la jupe.
- Pourquoi pas, dis-je sans réfléchir
- Je vous offre une tasse de thé, et vous repartez quand la circulation sera rétablie sur lautoroute. Où est votre voiture ?
- Juste là
- Daccord, vous me suivez ? Jhabite une maison dans le bocage, à quelques kilomètres.
Je minstallais dans ma voiture. Je mis le contact et je me mis à suivre lAudi noire. Je men voulais un peu. Pas trop prudent ce que je faisais. Une inconnue minvite chez elle, et moi je fonce, tout ça parce quelle a une parie de cuisses avenante ! Tes idiote, cette femme nest surement pas une criminelle, elle na pas lintention de me séquestrer ou de magresser. Elle cherche juste à me rendre service.
Nous sommes sorties de Deauville et nous avons empruntées des petites routes dans le bocage. Il venait de se remettre à pleuvoir, les prés étaient verts, les vaches noires et blanches. La Normandie quoi !
Après un quart dheure, elle mit son clignotant et sengagea dans une propriété. Au détour de lallée en gravier, je découvrais une maison normande typique, à colombage. Le genre chaumière, mais chaumière XXL.
- On continue dans le cliché, me dis-je
LAudi était déjà garée devant la maison. La portière sest ouverte et ma guide descendit de la voiture. Je me suis délectée de la vue de lescarpin à talon aiguille sur le gravier, du mollet et de la cuisse toujours largement découverte. Mon hôtesse est descendue de la voiture. Cest avec un peu de dépit que je regardais la jupe recouvrir les cuisses, mais avec envie que je me suis délectée de la vue de ses fesses bien serrée dans sa jupe cintrée lorsquelle sest penchée vers lintérieur de la voiture pour récupérer son sac à mains et la paire de gants :
- Oh, quel cul ! pensais-je
Comme si elle lisait dans mes pensées, la blonde sest retournée et ma souri.
- Cest par là, mindiqua-t-elle
Hébétée, je la suivais.
Lintérieur était chaleureux, elle minvita à massoir sur un fauteuil en cuir, profond.
- Je vais préparer le thé, mettez-vous à laise, je reviens
- Merci
- Ah au fait, moi cest Constance ! Constance Neuville de la Forge
- Laetitia Marsac
- Enchantée Laetitia.
- Moi de même Constance !
Constance Neuville de la Forge !! Voyez-vous ça ! Je savais maintenant doù venait ses airs BCBG et son ton de voix. Surement la dernière descendante dune vieille famille noble !!
Les meubles du vaste séjour étaient plutôt design. Ca tranchait avec les poutres et les pierres sur le mur. Mais cétait réussi comme déco.
Je lentendais saffairer dans la cuisine. Enfoncée dans le fauteuil ma jupe était remontée comme pour elle tout à lheure dans sa voiture. Et découvrait mes cuisses. Je ne cherchais pas à la baisser vers mes genoux.
« On va voir si le spectacle lui plait ».
Constance est revenue avec un plateau, contenant deux tasses une théière. Elle sassit moffrant à nouveau le spectacle de ses cuisses.
Elle se pencha en avant pour verser du thé dans une tasse et ma la tendit.
Je bus une gorgée. Le breuvage était très chaud, mais délicieux. Jai avalé une nouvelle petite gorgée.
- Jhabite seule ici et un peu de visite me fait du bien, je vous remercie davoir accepté mon invitation.
Elle venait de se pencher en arrière dans son fauteuil et de croiser ses jambes. La jupe découvrait à nouveau le haut de ses bas. Jétais obnubilée par la vue.
- Non non, cest tout naturel, dis-je, et puis vous mévitez des heures dembouteillage
- Heureusement que jai entendu pour laccident, sinon, cest vrai que vous y aviez droit
- Oui, euh, en
en
en
effet
Quest ce qui marrive ? Je bafouille. Je nai pourtant pas bu dalcool ! Et ma vue se troublait légèrement, ma tête tournait aussi. Je portais à nouveau la tasse à mes lèvres et au moment dingurgiter une nouvelle gorgée de thé, je me suis dit « Elle ma e ! »
- Laetitia ? Vous ne vous sentez pas bien ?
- Euh
Si
Non, un léger étourdissement, sur
surement
- Vous voulez vous allonger dans une chambre ?
- Je ne sais pas
je ne
- Venez me dit-elle en magrippant par la taille
Aussitôt dit, aussitôt fait, avant que je puisse réagir, elle mentrainait dans un couloir. Mes jambes étaient en coton, heureusement quelle me soutenait.
Je me suis retrouvée allongée sur un lit. Constance, était assise sur le bord :
- Vous êtes très belle Laetitia ! me dit-elle en posant sa main sur ma cuisse et en la remontant sous ma jupe.
- Je ne
. Vous
- Chutttt, souffla-t-elle avant de déposer sa bouche sur la mienne
Sa langue sintroduit dans ma bouche. Sa main a délaissé ma cuisse pour se poser sur ma poitrine, quelle massait en douceur.
Jétais consciente, mais toute molle. Surement leffet dune drogue ! Mais le traitement quelle me réservait navait pas lair si terrible que ça. Au contraire, dabord rendue anxieuse par la situation, me sentir ainsi passive et sans défense, je sentais mon excitation poindre, puis monter. Ne serait-ce pas un aphrodisiaque plutôt quun somnifère ? Toujours cotonneuse, mes muscles se détendaient un à un et je mabandonnais progressivement. Une sensation de chaleur et de quiétude menvahie. Par contre, jétais comme déconnectée de la réalité. Je participais à la scène, certes, mais javais également limpression den être au dehors, comme spectatrice. Sensation un peu ambiguë, je dois lavouer
- Est-ce que vous seriez disposée à me rendre un service Laetitia ? me dit-elle en lâchant ma langue et la bouche.
- Je
Oui
Ma volonté semblait au point mort. Je mabandonnais donc, pourquoi résister après tout ? Je me redressais, je me sentais moins faible.
- Dites toujours !
- Oh, ce nest pas grand-chose. Juste satisfaire un fantasme
- C'est-à-dire ?
- Peu de chose, acceptez-vous que je vous guide ? Pas dinquiétude, vous ne risquez rien. Jai un fantasme un peu particulier !
- Je
Je
ne sais pas
- Laissez-vous aller Laetitia, je suis, persuadée que vous allez y prendre du plaisir
Puisquelle le dit, elle doit avoir raison.
Constance sest relevée du lit. Elle a déboutonné son chemisier blanc, découvrant une poitrine opulente prête à faire exploser un soutien-gorge à balconnet noir. Elle passa ses mains dans son dos, déboutonna le bouton de sa jupe, fit baisser la fermeture éclair et baissa sa jupe. Dessous, elle portait un string noir en dentelle, un porte-jarretelle noir et des bas.
Elle plia soigneusement ses vêtements et les posa délicatement sur le dos dune chaise.
Elle a ensuite dégrafé le soutien-gorge et a fait jaillir une belle poitrine qui se tenait toute seule. Elle baissa enfin son string. Son sexe était glabre. Elle garda le porte-jarretelle et les bas. Elle posa ses sous-vêtements sur la chaise.
Nue, elle était magnifique. Je ne la quittais pas des yeux. Une invitation au sexe et au plaisir, voir même à la débauche. Elle me faisait tourner la tête.
Elle sapprocha de moi, me tendit la main en disant :
- Venez Laetitia, je vais vous préparer. Prenez ma main, je vous aide à vous lever. Vous devez encore avoir les jambes flageolantes, ne vous inquiétez pas, cest normal, ça va passer !
En effet, je me sentais peu assurée, ma tête tournait encore un peu. Mais lexcitation était bien présente et prenait le dessus sur le vertige.
Constance entreprit de me déshabiller. Elle enleva mon haut, fit glisser ma jupe sur mes cuisses, ôta mon soutien-gorge et ma culotte :
- Je vous laisse vos bas Laetitia, dit-elle en saccroupissant pour menlever mes chaussures.
Elle plia soigneusement les vêtements et les posa sur la chaise avec les siens : « une manique, ce nest pas possible ! ».
- Vous êtes belle Laetitia me dit-elle revenant vers moi. Elle joignit le geste à la parole en me caressant les fesses et en glissant à nouveau sa langue dans ma bouche.
- Vous aussi vous êtes belle Constance
- Je vais finir de vous préparer Laetitia, asseyez-vous sur le fauteuil, là, je reviens, dit-elle en quittant la pièce.
Je la suivi des yeux. Quelle paire de fesses, quelle paire de seins ! Quelle sensation bizarre. Mélange dexcitation sexuelle et sensation dêtre dans du coton. Pas désagréable cest sûr. Enfin, jétais un peu dans un état second.
Constance revint les bras chargés de deux grands cartons.
Du premier elle a extrait une paire de cuissardes en cuir noires :
- Cest du 39, à priori votre pied est plus petit, ça devrait aller. Il vaut mieux un peu grand que trop serré, me dit-elle en sagenouillant devant moi pour me passer les cuissardes. Elles me montaient haut sur les jambes. A mi-cuisses à peu près. Mes bas dépassaient à peine du haut des cuissardes.
Du second carton, elle extirpa une large ceinture en cuir, quelle passa autour de ma taille. Elle déplia un long manteau en cuir. Constance minvita à me lever pour passer le manteau. Il marrivait quasiment à mi- mollets et ne possédait pas de manches. La situation mexcitait de plus en plus. Je sentais mon entre-jambes shumidifier.
- Maintenant la touche finale, mannonça Constance. Ma dernière acquisition
Elle me présenta les gants de cuir rouges, ceux de la vente.
- Touchez comme le cuir est doux et fin, me dit-elle.
Je caressais la matière. En effet, le cuir était souple et doux.
- Je vais vous les passer.
Elle eut du mal à me les passer. Ils me faisaient comme une seconde peau. Constance tira vers le haut pour les tendre au maximum. Les gants montaient jusquau milieu de mes biceps.
- Vous êtes superbe Laetitia. Allez-vous voir dans le miroir.
Je me déplaçais vers le miroir. En effet, voir mon reflet ainsi vêtue augmenta mon excitation (si cétait possible). Jai passé ma main sur mon ventre. Le contact du cuir de gant sur ma peau me provoqua la chair de poule instantanément. De lautre main, je me caressais un sein. Le téton se durcit sous la caresse.
Constance vint se coller derrière moi. Elle frottait son corps nu à mon dos, enfin surtout sur le cuir de manteau. Elle lécha mon épaule, enfin le cuir du manteau sur mon épaule plutôt.
Jai passé ma main derrière moi et lui caressa les fesses. Le contact du cuir du gant sur elle la transit. Et lui arracha un profond soupir. Son corps se colla encore plus au mien. Elle se frottait maintenant avec frénésie sur le cuir :
- Retournez-vous, me dit-elle
Une fois face à moi, elle écarta les pans du manteau, tira une de mes jambes en avant et commença à se frotter lentre-jambe sur le cuir de la cuissarde :
- Caressez moi partout Laetitia, ces gants sont divins.
Je passais ma main sur ses seins, sur son ventre. Elle se frottait toujours le sexe sur ma botte. Jagrippais ses fesses à deux mains pour accompagner le mouvement :
- Attendez, me dit-elle en sécartant dun seul coup.
Je notais une trace de mouille sur la cuissarde.
Elle prit deux de mes doigts dans sa bouche et se mit à les sucer :
- Vous savez où les mettre, nest-ce pas ?
- Oui, je me doute, lui répondis-je en les glissant dans son intimité, provoquant un petit cri aigu de sa part.
Je la branlais en douceur, la pénétrant de deux doigts, mais en glissant mon pouce à la recherche de son clito.
De son côté Constance, a pris mon autre main, à glisser mon index gainé de cuir dans sa bouche :
- Dans mon cul celui-là
Je glissais mon index dans son fondement. Jaccélérais mes mouvements, alternant main gauche et main droite, ralentissais, reprenais
Constance geignait, soupirait, me soufflait des encouragements dune voix rauque. Enfin, lorgasme la prit. Il fut rapide, mais à priori intense. Son visage tendu juste avant marqua le bien-être.
- Laetitia, vous mavez gâtée ! dit-elle en reprenant son souffle et sa prestance. Je vais vous donner du plaisir à mon tour. Attendez-moi, je reviens
Elle me laissa là comme une idiote, debout seule au milieu de la pièce.
Je maperçus que mon sexe tait tout humide. Jai glissé ma main gantée entre mes jambes. Le cuir était encore tout humide de la cyprine de Constance, que je mélangeais à la mienne :
- Ne vous donnez pas de plaisir vous-même, je suis là pour ça.
La voix de Constance me rappela à la réalité. Je me suis retournée et surprise, Constance était harnachée dun gode-ceinture (en cuir noir apparemment). Lappendice nétait pas trop gros, juste ce quil faut. Hormis avec Lulu mon vibro (oui, je lui ai donné un petit nom !), je ne suis pas trop adepte des sextoys et en tout cas, pas du tout des gros engins. Celui-là ça allait. Je nai pas le compas dans lil, je serais donc incapable de vous dire ne nombre de centimètres. Et dailleurs on sen fout. Le principal, cest quil me semblait de taille raisonnable pour mon vagin, peu habituée aux pénétrations imposantes !
- Vous voulez le sucer ?
- Euh
oui, pourquoi pas !
Je me suis agenouillée devant Constance et ai pris le godemiché dans ma bouche. La fellation, ça aussi, ce nest pas une spécialité maison. Mais je mappliquais, essayant de lubrifier au maximum lengin avec ma salive, afin que son entrée dans mon vagin soit la plus aisée possible.
Constance me pris la main et me releva. Elle memmena vers le lit et mallongea sur le dos.
Elle écarta mes cuisses et me lécha le sexe. Ça, pas de problème, jaime !
- Vous êtes toute mouillée Laetitia, ça va entrer tout seul ! me dit-elle en sagenouillant devant moi, son bassin entre mes cuisses.
Elle prit lengin dans sa main, et le présenta à lentrée de mon vagin. Elle le pénétra progressivement, je sentis glisser le gode en moi. Plutôt agréable comme sensation. Une fois lengin entièrement pénétré, Constance écarta mes cuisses me tint par les chevilles et commença son va et vient. Elle était plutôt douée, le geste était régulier et surtout, à la différence de certaines femmes, elle avait le geste précis. Les femmes parfois qui se substituaient aux hommes pour pénétrer oscillent des épaules. Constance comme les hommes remuaient du bassin.
Je me mis à souffler au rythme des coups de rein de ma partenaire. Lengin entrait et sortait en cadence. Des vagues de chaleur envahissaient mon ventre. Des « Hmmm » et des « aaaahhhh oui » succédèrent aux soufflements (il y eu même un ou deux « oooohhhh oui, comme ça »).
Constance tourna la tête pour lécher une des cuissardes au niveau de mon mollet, ma jambe état posée maintenant sur son épaule. Je voyais sa langue sactiver sur le cuir. Une vraie fétichiste.
Lorgasme me pris par surprise. Ce fut fort. Une succession de « Oh oh oh » retentirent, puis jagrippais la tête de Constance pour lapprocher de la mienne et glisser ma langue dans sa bouche.
Jai lu, récemment un article, qui disait que lorgasme vaginal nexistait pas en fait. Le vagin ne serait pas érogène. La friction contre ses parois provoquerait en fait des vibrations et titillerait la zone clitoridienne qui est sa voisine de palier, provoquant ainsi lorgasme. La question vaginale ou clitoridienne naurait lieu dêtre. Lorgasme vaginal serait au final clitoridien. Bon, en fait, on sen fout, lessentiel étant de prendre son pied ! Enfin, cest ce que je pense !
Je reprenais à peine mes esprit, que Constance me cueilli à froid avec une seule question :
- Vous voulez que je vous prenne par derrière Laetitia ?
Ouh la ! La sodomie ! Là, je nétais plus sure de rien. Javais déjà testé bien sûr
Lulu toujours. Maelenn me le glissait parfois entre les fesses. Il mest aussi arrivé de me le faire toute seule. Mais là, jallais me faire sodomiser pour de vrai :
- Je
je ne sais pas
- Ne craignez rien, jai du gel et je serais douce
- Bon... Allez-y, sodomisez-moi Constance
Mon manque de résistance me surpris moi-même. Surement les effets de la drogue toujours
nallais me faire prendre par derrière et je némettais aucune résistance. En avais-je vraiment envie au fond de moi ? Surement un peu, mais je nen étais pas persuadée. Pourtant javais dit oui, et même plus jinvitais Constance à me sodomiser
- Mettez-vous à quatre pattes Laetitia
Je mexécutais. Elle releva le manteau, découvrant ainsi mon cul, que je tendis. Constance sest penchée et a glissé sa langue entre mes fesses pour me lécher de haut en bas, puis de bas en haut. Elle déposa un peu de salive sur mon illet, puis le titilla du bout du doigt puis du bout de la langue. Elle insista dessus, lapant puis insista vraiment, comme si elle essayait de pénétrer sa langue dans mon anus.
Enfin, elle se pencha n avant, ouvrit le tiroir de la table de nuit et en extirpa un flacon contenant du gel. Elle en fit couler entre mes fesses. Le gel froid me fit frissonner. Elle fit couler le reste sur lappendice en cuir. Elle étala le gel dessus avant quil ne tombe sur la couette, puis glissa son doigt sur ma raie, massa ma rondelle pour la lubrifier. Elle pénétra un doigt, puis deux pour ouvrir le passage :
- Prête ?
- Oui allez-y, Constance, sodomisez moi
Cétait la deuxième fois que je linvitais à le faire !! Constance Neuville de la Forge allait menculer ! Je ne suis pas pour la vulgarité mais dit comme ça, ça prenait tout son sens et ça mexcita encore plus. Et puis ce mot donnait encore un peu plus de relief à la chose. Après quelle ma demandé si jétais prête, javais très envie de lui répondre « oui, vas-y encules moi ! », mais je me suis contentée de « Oui allez-y, Constance, sodomisez moi ». Vous voyez la nuance ? Le pas que je nai pas franchi ?
Elle posa le bout de lengin sur mon anus, le frotta un peu dessus :
- Détendez-vous Laetitia
Enfin elle poussa, lengin força lentrée. Je ressenti de la douleur dabord, mais elle se calma, après que les premiers centimètres furent entrés dans mon fondement. Constance arrêta sa progression pour me laisser reprendre mon souffle et mes esprits.
Elle reprit sa marche en avant. Quelques centimètres de plus entrèrent en moi. Ce fut moins douloureux cette fois. Elle poussa et lengin me pénétra complètement.
Je respirais fortement par le nez, jaccompagnais les derniers centimètres dun « oooohhhh ».
Constance agrippa mes hanches de ses deux mains, et ressortit en partie lengin de mes fesses, jaccompagnais le mouvement dun « aaaahhhh », puis dun « oooohhhh » quand elle la repoussé à nouveau au fond. Ses mouvement étaient lents, mais à force de va et vient, javais la sensation que ça rentrait de mieux en mieux, que plus rien nentravait la pénétration. Ça coulissait. Elle a accéléré le rythme légèrement :
- Ça va Laetitia ?
- Ouiiii, allez y doucement quand même
Constance avait maintenant pris son rythme de croisière. La douleur était maintenant disparue. Par contre la sensation est plutôt bizarre. Rien à voir avec une pénétration vaginale. Le frottement sur les parois vaginales provoque un plaisir. Là, cest diffèrent, le plaisir, je trouve est plus dans la tête. La sodomie, cest un plaisir cérébral. Cest surtout aussi labandon total de sa personne.
Ma première sodomie, jy ai pris du plaisir, je nai pas eu dorgasme. Mais jai aimé. Je ne sais pas si on peut ressentir un orgasme anal, je ne suis pas assez spécialiste de la chose. Peut-être mes lectrices ou lecteurs pourront men dire plus sur le sujet.
Quand Constance retira lengin de mes fesses, je lâchais un dernier petit « oooooooohhhhhh » tout en longueur qui se termina dans un souffle. Jai, posé ma tête sur loreiller, les fesses toujours en lair. Mon corps tendu se décontractait doucement.
- Vous avez aimé Laetitia ?
- Oui, cétait plutôt agréable. Un peu douloureux au début, mais bien ensuite !
- Est-ce que je peux vous demander une dernière faveur ? me dit-elle en détachant le gode-ceinture de sa taille.
- Dites toujours
- Voilà, cest un peu particuliers
- Allez-y !
- Tout à lheure, avec le gant
. Vous mavez mis vos doigts dans le vagin
- Oui, et ? Vous voulez que je recommence ?
- Oui, à la différence que cette fois, jaimerais que vous y mettiez toute la main
- Ah oui, carrément ! Je ne sais pas si
- Sil vous plaît Laetitia, jai très envie dessayer !
- Si vous en avez autant envie, pourquoi pas, lâchais-je enfin
- Oh merci Laetitia !
Elle récupéra le flacon de gel sur la table de nuit :
- Je vais enduire le gant de gel, ça devrait entrer assez facilement
Enfin, jespère, gloussa-t-elle. Vous êtes gauchère ou droitière ?
- Pour le doigtage, ambidextre, pour toute la main, je ne sais pas !
Elle rit à mon rait dhumour, fit couler du gel dans sa main et enduit chacun des cinq doigts de ma main droite. Puis elle en versa à nouveau dans ma paume gantée et létala, ainsi que sur le revers de ma main, le tout jusquau poignet.
- Jusquà là ? lui demandais-je
- Oui, je veux que vous mettiez toute la main.
- Cest vous qui voyez
Elle ajouta une nouvelle couche de gel, puis sallongea sur le dos, la tête calée sur les oreillers, les cuisses écartée:
- Je suis prête, me dit-elle
Dans le ton de sa voix distinguée, je notais des intonations assez marquée dexcitation (je suis prêteeee, par exemple). De toute façon, son sexe était tout humide, elle ne pouvait pas le nier, ses cuisses généreusement ouvertes ne cachaient rien de son anatomie intime. Elle dégoulinait même !
- Je vais vous lécher un peu avant Constance. Je ne lai pas encore fait et jen ai très envie
- Si vous voulez Laetitia
Je me suis penchée vers son sexe et jai passé ma langue dessus, comme pour récupérer le fruit de son excitation. Elle mouillait vraiment beaucoup. Je gardais ma main levée pour ne pas tacher la couette avec le gel sur le gant.
Je menhardi en entrant ma langue entre ses lèvres vers lentrée du vagin, je collais ma bouche autour de son clitoris, comme pour le gober. Son excitation me badigeonnait autour des lèvres maintenant, javais le pourtour de la bouche tout humide.
- Venez membrasser Laetitia, jai aussi envie de gouter à ma chatte !
Le mot chatte ne collait pas avec son langage châtié, Pourtant dis par elle avec ses intonations BCBG, ça ma paru assez drôle. Je me suis approchée, nos langues se sont rencontrées et enroulées lune autour de lautre. Constance abandonna la mienne, pour lécher ses secrétions sur mes lèvres et mon menton, puis sur mon nez et prolongea la caresse linguale jusquà ma joue.
- Venant en au fait, si vous le voulez bien, mettez moi votre main !
- Dans votre chatte ?
Javais envie de lentendre le répéter ce mot
- Oui, dans ma chatte, allez-y
« Puisque tu en a autant envie ma cocotte, je vais te faire plaisir », me dis-je à moi-même.
Japprochais la main ganté de son entre-jambe. Je fis pénétrer facilement mon index et mon majeur. Je les fis coulisser un petit moment, ce qui provoqua quelques gémissements et quelques soupirs à Constance.
Jai ajouté lannulaire, puis je lai à nouveau branlée avec trois doigts.
Jai écarté les lèvres intimes pour faire entrer lauriculaire. Jai poussé pour les entrer à fond. Constance gémissait de plus belle, Elle avait agrippé le bois du lit derrière elle avec ses deux mains.
- Allez-y, entrez la main maintenant, lâcha-t-elle entre deux gémissements
Jai joins mes quatre doigts en pointe pour ajouter le pouce. Je branlais à nouveau doucement avec mes cinq doigts maintenant en elle.
Jappréhendais daller plus loin, mais elle me lança un regard mimplorant de le faire.
Je poussais dons mes doigts. Cest là que ça allait devenir critique. La partie la plus large de la main, cest au niveau des os au-dessus de doigts. Les métacarpes si je me souviens bien des cours de sciences du lycée. A lépoque, ça mavais bien barbé cette histoire des os de la main. Jamais je naurais imaginé mettre ma main dans le vagin dune femme et donc de décrire et dénumérer les os et lanatomie dune main.
En effet, les métacarpes posèrent un problème. Ca coinçait à lentrée !
- Poussez, me dit-elle
Cest ce que jai fait. Jai et sest entré. Bon Constance a poussé un cri aigu, mélange de douleur et de plaisir surement. Son avait relevé son visage pour regarder ma main entre en elle, elle mordait sa lèvre inférieure. Elle agrippait toujours le bois du lit.
Une fois le haut des métacarpes entrés, le reste de la main a mieux coulé (si vous me passer lexpression !). Cest entré jusquau scaphoïde (o continue nos révisions danatomie), puis jusquau poignet. Constance avait accompagné le mouvement avec un long, profond et rauque « huùmmmmphhhhannnnnnahhhhh », accompagné dune respiration saccadée. Son regard était toujours posé sur ma main, qui maintenant était entièrement en elle.
- Essayez de bouger un peu, pour vois, me souffla-t-elle
Jai retiré de quelques centimètres ma main puis je lai à nouveau repoussé.
- Ahhhhhahhhhahh ah ah aaaaahhh
Toujours dans lincertitude de savoir si je lui faisais mal ou si je lui faisais du bien, ce cri ma rassurée. Il y avait surement un peu des deux, mais apparemment elle prenait son pied.
Je coulissais, maintenant ma main de manière plus fluide, la ressortant un peu plus que tout à lheure à chaque mouvement, avant de lentrer à nouveau. Cétait impressionnant au début, mais je mhabituais. Elle aussi apparemment.
Constance, toujours agrippée au lit avait maintenant les yeux fermés et la bouche ouverte. Elle respirait de plus en plus fort, allait-elle jouir quand même, malgré la douleur que jimaginais ?
De mon côté, je regrettais presque davoir la main gantée. Jaurais voulu connaitre la sensation que ça pouvait faire sur ma peau nue entièrement dans son sexe.
Et lorgasme arriva. Es cris furent étouffés par loreiller quelle mordait maintenant. Son bassin se souleva du lit, avant quelle ne se relâche et retombe sur la couette.
Jai retiré ma main, lui tirant un dernier gémissement.
Constance est restée ainsi une trentaine de secondes, les yeux fermée, la tête retombée sur le côté, les mains toujours agrippées au lit et les jambes écartée. Jétais un peu anxieuse « elle me fait un malaise là, ou quoi ? ».
Puis elle a ouvert les yeux, a lâché le lit, sest relevée et a pris ma main dans la sienne. Elle la portée à sa bouche et sest mise à lécher le cuir du gant. Elle a sucé chaque doigt, léché à nouveau la paume.
Enfin, elle ma lâché la main, elle semblait enfin repue.
Je me suis allongée sur la couette, après avoir ôté le manteau et les gants avec lesquels javais particulièrement chaud.
Ma main caressait doucement le haut dune des cuissardes. Je me sentais particulièrement bien, détendue, repue aussi, Constance était allongée près de moi :
- Vous mavez e Constance !
- Oui et non. Je men excuse, je vous dois une explication
- Allez-y, répliquais-je en prenait un ton un peu sec, qui ne correspondait pas vraiment à mon état desprit, toujours aussi serein. Mais il fallait que je la pousse un peu dans ses retranchements
- Voyez-vous, dès que je vous ai vu à la salle des ventes, jai eu envie de vous et de réaliser certains de mes fantasmes avec vous. Il y a eu les gants, bien sûr, jaurais pu vous les laisser, mais je les voulais absolument, vous avez vu pourquoi ?
- Oui, en effet !
- Donc, comme je viens de vous le dire, javais envie de vous. Jétais derrière vous et javais une vue agréables sur vos cuisses, je vous désirais vraiment. Mes yeux allaient du commissaire-priseur à vos cuisses. Jimaginais comment était votre poitrine, que je ne voyais pas de où jétais. Bref, je me faisais mon cinéma. Alors jai monté ce stratagème
- Quel stratagème ?
- Laccident avec le poids lourd ! Il ny a jamais eu daccident, mais je voulais vous attirer chez moi en douceur.
- Daccord
Pour la douceur, vous navez rien brusqué, en effet, mais vous mavez e !
- Comme je vous lai dit, oui, jai mélangé à votre thé un breuvage
- Un breuvage ?
- Il vient du Bouthan, cest un extrait dune plante qui ne pousse quau-delà de 4000 mètres daltitude, je lai découverte lors dun voyage
- Du Bouthan ?
- Oui, cest un petit royaume dans lHimalaya
- Oui, merci Constance, je sais où est le Bouthan
- Cette plante, nannihile pas votre volonté, cest pour ça que je suis un peu rétive à lappeler « drogue », en fait elle augmente certaines perception. Les bouddhistes lutilisent pour la relaxation et pour la méditation. Cest le même principe que la méditation en fait, votre esprit se détache de votre corps. Sauf que là, vous ressentez en plus le plaisir physique, mais votre esprit lappréhende de manière décuplée. Elle a aussi pour effet dexacerber vos envie, de faire passer certaines choses comme normale ou anodines.
- Je vois
- Nayez crainte, ce nest pas dangereux, il ny a aucune accoutumance et pour vous rassurer, jen ai pris moi-même dans mon thé.
- Ah oui ?
- Jen prends pour repousser les limites de mes fantasmes. Enfin non, pour accepter certains de mes fantasmes plutôt !
- Par exemple ?
- Une fois, jen ai pris pour coucher avec cinq hommes en même temps.
- Cinq hommes ? Diable ! Vous ny allez pas avec le dos de la cuillère vous
- Rassurez-vous, jai compris que les hommes ne sont pas votre tasse de thé, si je peux mexprimer ainsi !
Je souris au jeu de mot :
- Il ny aucun homme sous le lit, ni dans larmoire, je vous lassure !
- De toute façon, les effets de votre plante semblent terminés
- Oui, et cest dommage, javais dautres fantasmes en stock !
- Ah oui ? Par exemple ?
- Euh
Par exemple, si vous aviez eu envie de faire pipi Laetitia, jaurais apprécié que vous le fassiez sur moi
- Grand dieu ! Non !
- Sous les effets de ma plante, croyez-moi vous auriez vu les choses autrement
- Je ne crois pas, non !
- Aviez-vous lintention de vous faire sodomiser ce matin ?
- Euh, non, pas vraiment
- Je vous assure que je ne vous ai pas e, vous vous êtes laissée faire de plein gré. Jai juste proposé !
- Je ne sais pas
- Mais si vous savez
- Vous avez peut-être raison
Constance glissa sa main entre mes jambes :
- Nous pourrions faire lamour sans les effets de ma plante, de manière plus conventionnelle, quen pensez-vous ?
- Hmmm oui, jai encore très envie de votre corps magnifique Constance, lui dis-je juste avant de gober un téton.
Je me suis allongée sur Constance qui écarta les jambes, Nous nous sommes embrassée à pleine bouche, nos langues se sont emmêlées, Constance me malaxait les fesses
Jai sorti ma langue de sa bouche, pour les passer sur ses lèvres :
- En plus votre plante donne lhaleine fraiche
- Oui, cest un des effets secondaires, répondit-elle en sortant sa langue de sa bouche pour venir à la rencontre de la mienne.
Nos bouts de langue se sont rencontrée et ont commencé leur joute. Nous étions toutes les deux, bouches ouvertes à nous titiller. De la salive coulait au coin de ma bouche. La mienne ? La sienne ? Aucune importance. Constance a à nouveau écrasé ses lèvres sur les miennes, nous avons continué nos jeux de langues, avant quelle ne se détache pour me demander :
- Vous gardez les cuissardes Laetitia ?
- Si vous voulez Constance
Nous avons fait lamour ; cette fois tout en tendresse. La nuit était tombée dehors et cest tout naturellement que jai ôté les cuissardes et que jai passé une nuisette que Constance ma prêté pour me glisser sous la couette et mendormir contre elle.
Le lendemain, elle nous a préparé an English breakfast, avant que je parte pour retourner chez moi.
Je pense parfois à Constance et à cet après-midi et cette soirée avec elle. Peut-être quun jour, je retournerai vois Constance, pour goûter à nouveau à son thé aromatisé et tester quelques-uns de ses fantasmes, qui semblent infinis
Mais ça, cest une autre histoire !
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