Ma Femme Et Moi : Nos Retrouvailles Sexuelles (6)
Deux jours plus tard, nous étions de retour au pays. Après la réception familiale et la distribution des cadeaux, nous avons repris notre train de vie habituel le jour suivant. Le soir, après le repas et la télé, nous sommes allés nous coucher comme auparavant, sans nous parler et sans nous toucher, bien cachés dans nos pyjamas respectifs et nos frustrations psychologiques.
Je suis resté longtemps sans parvenir à dormir et je pensais à notre ridicule situation. Jai décidé de capitaliser les résultats de nos aventures vécues pendant nos vacances et jai échafaudé un plan. Le lendemain, jai fais les magasins et jai acheté une sorte de gandoura assez fine et très souple pour moi et une large chemise de nuit semi transparente pour ma femme.
Et le soir, en me couchant, jai enlevé mon pyjama habituel dans la salle de bain et jai enfilé ma gandoura, sous laquelle jétais totalement à poil. Puis je me suis présenté ainsi dans la chambre. Ma femme a été étonnée et comme je lui expliquais que je me sentais nettement mieux ainsi, elle ma approuvé sans hésiter. Alors, je lui ai offert la chemise de nuit. Dabord surprise, elle a hésité à laccepter mais je lui ai proposé de lessayer avant de décider. Elle a couru à la salle de bain pour lessayer et rapidement elle en est revenu, nue sous la jolie chemise bleue.
Jai exprimé mon admiration par un grand cri et je lai prise dans mes bras. Je pensais que le fait dêtre nue sous la chemise, elle allait se cabrer et refuser mais mon geste, peut-être calculé mais sincèrement admiratif a brisé la barrière de ses hésitations. Je lui ai avoué combien elle était belle et désirable ainsi, mais cétait inutile car la vue de son corps, de ses seins, de son large bassin dans le flou du vêtement ont provoqué ma bite qui sest réveillée et commençait à pousser ma gandoura.
Très vite, un grand chapiteau était visible au niveau de mon sexe et elle le remarqua aussitôt car ses yeux étaient fixés sur mon bas ventre.
Nous navions pas eteint la lumière et mon corps ne cachait rien et mon sexe pointait devant moi à lassaut de ma femme. Poussée par la même audace, ma femme enleva sa chemise et, toute nue, elle me regardait presque avec crainte. Elle ne savait pas que javais déjà admiré son corps, en cachette, pendant les vacances et que je le connaissais sous toutes les coutures et même dans ses désirs et ses débordements sexuels.
Mais jai joué à linnocent, alors je jai enlacé, embrassé au cou, sur les lèvres et sur les seins. Je lai entrainée vers le lit et allongée sur le dos, je pouvais caresser tous les trésors de son corps. Enfin, je pouvais toucher, caresser, embrasser et lécher tous les coins er recoins de son corps. Elle aussi, encouragée, elle commençait à inspecter mon corps avec ses mains. Le visage dabord, puis la poitrine et le dos, ensuite ses mains descendirent vers mon ventre et bas ventre.
Et enfin, elle empoigna ma bite. Dabords doucement, puis je sentais qu »elle la soupesait, quelle contrôlait sa consistance, sa longueur et sa largeur et doucement, elle commença à la branler. De mon coté, même si je continuais à caresser son corps, je suivais par les sens ses gestes sur mon corps quelle ne connaissait pas réellement auparavant.
Surtout, jattendais son verdict sur mon sexe. Moi, javais confiance car je savais que ma bite était plus grosse que celle du marchant de légumes algérien mais moins que celle du marchant black. Mais tout le monde sait que les blacks ont une queue spéciale comparée à la majorité des autres, donc cétait normal et inutile den tirer des conclusions inutiles. En tout cas, ma femme semblait satisfaite de son diagnostic.
Maintenant, il sagit, pour moi, de lui prouver mes capacités dans laction. Alors, je me suis redressé et jai commencé à lui embrasser et lecher la chatte. Elle coulait déjà, donc ça sannonçait bien et ma queue, moi aussi était au top, javais réellement envie de baiser cette salope qui ma trompé plusieurs fois, avec mon consentement certes, mais dont les images dans ma tête mavaient excitées à fond. Maintenant, je vais lui défoncer la chatte et peut-être aussi la terma après.
Alors je me suis mis ur elle et elle a écarté ses belles cuisses lourdes de chair et de désir et jai plongé. Certes, doucement dabords, mais malgré quil était gonflé, mon zob glissa facilement dans la chatte de ma femme. Alors je lai baisé à fond, à grands coups de reins et de vas et viens rageurs. Elle aussi commençait à haleter avec bruit et très rapidement elle se crispa et cria son premier orgasme. Je continuais à limer sa chatte et tournoyant mon zob dans ses entrailles, je sentais le plaisir monter da mes couilles.
Mais jai décidé de finir par derrière. Alors je lai retournée et les genoux et bras sur le lit, elle me présenta son large derrière et jai eu, enfin, devant mes yeux et mon zob, sa chatte vue de derrière et son anus bien nets, bien rasés, sans un poil. Jai enfoncé mon zob dans sa chatte et jai continué mes coups de reins. Dans ces positions, mon zob ressentait mieux ses frottements sur la chair interne de ma femme et le plaisir augmentait plus vite et devenait plus jouissant.
Ma femme a encore crié un second orgasme alors que je navais pas encore reussi à éjaculer. Alors jai foncé et ma cavalcade devint un galop et mon zob sortait presque puis senfonçait de nouveau jusquaux couilles. Et enfin, la jouissance séjecta de mes couilles et mon zob expulsa au fond des entrailles de ma femme, plusieurs salves de sperme marital. Oui, enfin, depuis plusieurs années, ces deux sexes se sont retrouvés et compris. Après plusieurs années la chatte de ma femme a gouté de nouveau du sperme de son époux, qui lui avait fait, pourtant, plusieurs s dans leur jeunesse.
Maintenant, ce sperme sera pour notre plaisir, pour jouir de nos corps. Nous sommes restés ainsi soudés pendant plusieurs minutes. Ma femme s »tait effondré à plat ventre sur le lit et moi jétais couché sur son dos avec le zob toujours enfoncé dans sa chatte. Puis je me retiré et me suis allongé à coté. Ma femme sest aussitôt levée et a couru vers la salle de bain. Mais ce nétait pas pour se laver, non, elle a simplement retrouvé ses vielles habitudes dil y a quelques années. Elle a rapporté deux pièces de toile pour se mettre lune entre les cuisses et elle ma tendu lautre pour mon zob, le tout pour retenir le sperme et éviter de salir nos draps. Puis elle a repris sa place sur le lit.
Je me suis tourné vers elle et je lai entouré de mon bras, puis je lui donné plusieurs doux baisers sur le visage, sur la poitrine et je lui ai caressé les cheveux. On se regardait et pour la première fois, peut-être même de ma vie, je lui ai dit, en français, parce que cest plus facile dans cette langue « je taime, ma chérie ». Elle ma regardé avec de la joie dans ses yeux et ma répondu doucement « moi aussi, mon chéri, je taime beaucoup ».
Ensuite, nous nous sommes lavés et pris des douches, puis au lit, tous nus dans les bras lun de lautre. Je pensais quon allait dormir, mais ce zob ayant retrouvé sa chérie, ce corps quil admirait par la petite fenêtre des caravanes à létranger, ce zob sest encore réveillé et provoquait ma femme contre son bas ventre. Alors, on a repris notre fête sexuelle.
Cette fois ci, je nai pas remarqué que ma bite glissait facilement dans la chatte élargie de ma femme. Non, ce détail semble avoir disparu car lentrée de mon zob dans ma femme ma semblé, au contraire, très jouissif, comme si la chatte sétait resserrée. Et la lente pénétration puis le glissement du zob jusquau fond ont été dune excitation continue très agréable. Je pense quil y a un complément damour entre ces deux sexes qui leur permet maintenant de saccoupler au mieux pourr lun et pour lautre.
Cest pourquoi, rapidement, je suis arrivé au top, mais je me suis bloqué pour ne pas éjaculer. Puis métant calmé, ja repris mes vas et viens mais doucement en faisant attention pour jouir au maximum. Cest alors que ma femme a déversé son plaisir et crié son orgasme. Jai attendu un moment puis jai repris ma course limitée, contrôlée. On soufflait et on grognait sourdement. Elle membrassait au visage et me disait quelque chose que je nai pas bien saisi.
Jai réussi à tenir un long moment et ce nest que lorsquelle ma soufflé dy aller carrément que jai foncé. Je lai pilonnée avec puissance et chaque que jenfonçais mon zob, jy allais au fond de ses entrailles et je sentais le jus qui montait. Cinq ou six gestes de ce genre et enfin, mon sperme explosa dans sa chatte. Cinq ou six jets puissants mont fait crier de plaisir, puis je me suis effondré sur la poitrine de ma femme. Jai toutefois réussi à lui souffler « merci » avant de sombrer un peu dans les vapeurs du plaisir.
Apres plus de deux minutes sur le ventre de ma femme, jai repris mes esprits et me redressant, je me suis recouché à cote delle. Cette fois ci, ni elle ni moi navions éprouvés le besoins de chiffons. Nous avons sombrés dans le sommeil, ainsi, nus, pas totalement couverts par les draps et les sexes et cuisses barbouillés de sperme séché.
Le lendemain, ma femme sest levée juste avant moi et sest lavé et douché. Jai pris la suite et lorsque nous avons remis nos vêtements de nuit, classique, c'est-à-dire des pyjamas, nous avons pris notre petit déjeuner dans la cuisine.
Très peu après, certains de nos s et petits s sont arrivés car cétait un jour de congé à lecole. Ils doivent, avec leurs tantes, oncles, cousins et cousines passer toute la journée chez nous, leurs parents, faire un grand couscous familial et beaucoup de bruits et de cesses des s.
Autrefois, leur attitude me gênait beaucoup, mais aujourdhui, que nous nous sommes retrouvés, ma femme et moi, je commençais à aimer cette atmosphère familiale, même bruyante. Quant léquilibre sexuel est rétabli dans le couple, tout semble être beau, agréable et cest peut-être cela le bonheur.
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