Au Parfum. 1Ère Partie

AU PARFUM – PARTIE 1
Les Parfums ALORIS était une firme bien connue dans le milieu des produits de beauté. Ils avaient des succursales dans toutes les grandes villes d’Europe. Leur siège social était à Bordeaux en France. La firme était aussi connue pour employer, dans toutes ses boutiques, un grand nombre de lesbiennes. C’était un secret bien gardé du public, mais pas des femmes qui cherchaient un emploi.
Mariana étudiait l’histoire de l’art à l’Université de Lyon et cherchait un emploi à temps partiel pour pouvoir s’offrir un appartement plus grand. Elle arrivait d’Italie et même si les écoles d’art étaient nombreuses dans son pays, elle avait préféré s’éloigner de son environnement familial. Mariana était lesbienne et, à 22 ans, elle commençait à vouloir sortir du placard. C’était plus facile quand on était à l’étranger. De plus, elle parlait très bien le français. Une femme qui travaillait pour ALORIS à Pise lui avait mis la puce à l’oreille. C’était une amie de sa tante qui avait 30 ans de plus que Mariana et qui avait perfectionné sa technique en ce qui concerne les amours saphiques. Mariana découvrit également que sa tante n’était pas totalement étrangère à ce genre d’ébats même si sa famille était très prude.
Mariana s’était installée dans le vieux quartier de Lyon où il y avait une grande boutique ALORIS située tout près de chez elle. L’amie de sa tante lui avait prodigué des conseils pratiques : il fallait aller porter sa demande d’emploi en personne, surtout quand on était une belle fille comme Mariana (cheveux noirs un peu frisés, petits seins en forme de poires et belles petites fesses). Il fallait aussi trouver une occasion dans la conversation pour montrer son intérêt pour les filles ou au moins son indifférence envers les hommes.
Une fois à la boutique, on la dirigea au premier étage où se trouvait le bureau de l’agence. Une fois Mariana disparue dans l’ascenseur, les vendeuses ne se gênèrent pas pour faire des commentaires.


« Tu penses qu’elle est de l’équipe ? »
« J’espère. Si oui, je veux tout lui montrer »
« Je sais ce que tu vas lui montrer mais je suis certaine qu’elle voudrait plutôt voir les miennes »
« Nous avons toutes vu les tiennes et ça ne vaut pas le déplacement »
Les rires fusèrent à cette dernière remarque. Les deux femmes se firent des grimaces et des reproches. La gérante du plancher s’interposa avant que ça n’aille plus loin.
« Allez mesdames, au travail et ne vous jetez pas toutes sur cette pauvre fille »
Mariana avait des papillons dans l’estomac mais Odile qui faisait l’embauche la mit tout de suite à l’aise. Odile était là depuis 20 ans au moins. C’était une femme dans la cinquantaine, élégante, bien maquillée et qu’on pouvait considérer comme belle pour son âge. Son visage agréable était agrémenté d’un sourire qui semblait permanent. On ne voyait les formes de son corps que lorsqu’elle se levait et elle ne se gênait pas pour le faire plusieurs fois pour chercher un dossier ou offrir un verre d’eau à son interlocutrice. Odile posa les questions habituelles à Mariana sur son expérience de travail, etc.. puis elle voulut en savoir plus.
« Est-ce que vous vivez seule ? »
« Oui, j’ai toujours vécu seule, une fois sortie de la maison familiale »
« Donc vous n’êtes pas mariée ou avec un homme ? »
« Oh non…jamais de la vie »
« Vous n’appréciez pas les hommes ? »
« Je n’ai aucune objection à travailler avec les hommes .mais pour…pour.. le reste…oh non…je suis…je suis… plutôt portée vers les femmes»
« Vous êtes lesbienne ? Il ne faut pas en avoir honte »
« Oui..à 100% , et je voulais m’éloigner de mon village pour cette raison »
« C’est très bien. Vous êtes ce que nous cherchons. Venez avec moi »
Odile prit l’Italienne par la main et l’amena vers un grand bureau qui était celui de la directrice de la boutique.
« Madame Éveline ne sera là que demain », dit la secrétaire
« Je peux avoir les clés ? », demanda Odile qui savait bien que sa patronne n’était pas là le vendredi.

« Je suis certain que Madame Éveline va s’en remettre à votre décision », dit la secrétaire avec un grand sourire et un regard qui déshabilla Mariana d’un trait.
Les deux femmes entrèrent dans le grand bureau d’Éveline et Odile ouvrit une porte à l’arrière qui menait à une petite chambre avec un canapé, un lit et une salle de bain complète. À la suggestion d’Odile, les deux femmes décidèrent de se tutoyer.
« Je dois seulement vérifier si ce que tu dis est vrai. C’est tout. », dit Odile en déboutonnant son chemisier et se débarrassant de ses talons aiguilles.
Mariana ne répondit pas mais imita sa nouvelle amie et se déshabilla rapidement. L’Italienne était plus petite que la Française et son visage se retrouva face à face aux nichons un peu mous d’Odile. Mariana en profita pour débuter la séance en suçant les tétines d’Odile qui embrassait le cou de sa partenaire tout en pétrissant ses petites fesses fermes et rondes.
Les deux femmes se rejoignirent sur le lit et Mariana se positionna tête-bêche sur sa partenaire plus âgée. L’Italienne n’avait pas de problème à baiser avec une femme plus de deux fois son âge. C’était la femme de Pise qui l’avait initiée en Italie. Au contraire, elle appréciait leur expérience et leur technique.
Les deux lesbiennes durent s’ajuster au début car elles n’étaient pas de la même taille, mais chacune réussit à rejoindre ce qui l’intéressait et elles se sucèrent avec entrain. On aurait dit qu’elles avaient fait ça ensemble toute leur vie. Odile avait une vue privilégiée du petit trou plissé de sa partenaire et se promettait bien, dans les prochaines semaines, de lécher cette rondelle qui l’attirait beaucoup. Elles étaient déjà à la sucette du clito et les gémissements augmentaient d’intensité. Elles atteignirent leur rythme de croisière et les deux corps soudés se roulèrent sur le matelas. Odile jouit la première mais Mariana n’était pas loin derrière.
Une fois côte à côte, les deux lesbiennes se complimentèrent sur leur technique.
Odile était très impressionnée par la petite Italienne et ravie de lui offrir un poste à temps partiel dans la boutique. La secrétaire fit un grand sourire aux deux femmes qui sortaient un peu échevelées et avec un maquillage défait mais très satisfaites de leur rencontre.
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« Elle a 22 ans et belle comme une petite Sophia Loren », dit Odile au téléphone à sa patronne Éveline, lorsque celle-ci la rappela le lendemain matin. Bien entendu, elle exagérait un peu mais peu de femmes l’avaient fait jouir si rapidement et si fort. Mariana travaillait les lundi, mercredi et vendredi après-midi et toute la journée les samedis. Le reste du temps elle était à l’université.
« Tu me l’enverras samedi en fin de journée », dit Éveline.
Mariana avait déjà commencé à travailler le mercredi après-midi et elle apprenait rapidement les types de parfums, et les questions à poser aux clientes. Les employées de la boutique se l’arrachaient et Mariana se plaisait bien dans cette atmosphère saphique. Elle prenait plaisir à se frotter contre l’une ou l’autre, à poser sa main sur le bas du dos d’une collègue ou de se glisser à deux dans un espace restreint. Elle avait reçu des invitations très crues pour une visite au WC mais elle avait résisté en attendant de rencontrer la directrice et de connaître les règlements. Mariana avait même apporté une petite garde-robe dans une valise qu’elle laissait dans le bureau d’Odile au cas où elle aurait besoin de changer une pièce de vêtement suite à des ébats amoureux.
Éveline ne travaillait pas le vendredi (mais elle était au poste le samedi). Odile aimait bien choisir ce jour pour les entrevues de nouvelles recrues.
Ce vendredi, elle avait fait l’entrevue avec une jolie lyonnaise blonde et garnie d’appâts très apparents. Elle eut l’idée d’inviter aussi Mariana qui était du même âge que Louise, la petite nouvelle.
Les trois femmes se retrouvèrent à poil dans l’arrière-bureau d’Éveline.
Elles avaient d’abord pris une douche et Odile voulait goûter à l’autre orifice de ces dames. Mariana savait bien ce qui allait se passer car elle était aussi amateure de cette caresse intime. Les deux jeunes femmes commencèrent le bal quand Louise se mit à quatre pattes puis Mariana se glissa derrière elle pour lui lécher la rondelle. Odile admirait la scène. Elle avait un choix difficile : se placer devant Louise et se faire lécher ou derrière Mariana et lécher son entre-fesses. Elle choisit la seconde option et attaqua le trou plissé et mauve de l’Italienne avec entrain. Elle en tremblait de plaisir, depuis le temps qu’elle en rêvait. Odile avait raidi sa langue et faisait un va et vient dans l’orifice de la belle brune. De son côté, Louise gémissait sous les coups de langue de Mariana qui aimait particulièrement cette caresse anale et en profitait pour masturber Louise en lui glissant une main entre les cuisses.
Une fois bien excitées, les deux jeunes femmes ne purent s’empêcher de former une balle de chair fraîche; deux jeunes lesbiennes soudées bouche à sexe et roulant sur le lit. Odile observait le tout avec un sourire cochon et se rappelait ses jeunes années, même si à cette époque, ce genre de baise n’était possible que derrière des portes fermées à double tour.
Odile se masturbait lentement en regardant les deux jeunes femmes se sucer les deux trous jusqu’à l’orgasme. Elle en profita pour pousser une drie épaisse qui couvrait un mur de la chambre. Derrière on pouvait admirer la collection d’œuvres d’art érotiques de la directrice. Bien sûr, les scènes se passaient surtout entre femmes. Mariana et Louise se régalaient de cette exposition tout à fait inattendue.
« Vous aimerez certainement Éveline. Elle est un peu plus jeune que moi et beaucoup plus belle. » dit Odile faisant semblant de rougir sous les protestations des deux jeunes femmes.
« T’as vu le dessin de l’arrêt de la calèche ? », chuchota Mariana à Louise
« Ah oui…l’arrêt pipi d’une calèche au 19e « , répondit Louise
« Ça me donne envie », dit Mariana pour qu’Odile entende.
Odile conduisit ses deux employées vers la salle de bain où les deux jeunes s’installèrent de nouveau tête-bêche. Odile arrosait le couple et la fin de son intervention déclencha la pisse mutuelle des deux jeunes lesbiennes. Odile fut éclaboussée à son grand plaisir, pendant que les deux jeunes avaient la bouche pleine du nectar.
Vraiment Odile se félicitait d’avoir trouvé deux recrues si intéressées par leur travail. Elle était certaine qu’Éveline la récompenserait.
À SUIVRE



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