L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite 9
S
a quitté le parking m'ayant fait un signe de la main
nul doute que son esprit est encore troublé par les moments qu'elle vient de vivre. Elle doit être fière d'elle et apaisée après ce début de soirée chargé.
Dimanche soir, j'adresse à S
un sms lui donnant l'ordre de retourner au garage, dès lundi après-midi, pour récupérer le contenu de la corbeille
sachant que je l'attendrai sur le parking du garage vers 16h00. Le sms précise également la tenue qu'elle devra porter au moment de se présenter au rendez-vous. Durant la matinée du lundi je constate que S
essaie de me joindre
volontairement je ne décroche ni ne répond aux sms envoyés
ceux-ci sont explicites : S
me demande de renoncer à cet ordre
bien évidemment, je ne réponds à rien et vers 15h45 je gare ma voiture sur une place du parking devant le garage. Le temps passant j'ai quand même eu un léger doute quant à la présence de S
cet après-midi : allait-elle avoir le courage de répondre à mon ordre ?
La réponse m'est donnée vers 16h10 avec 10 minutes de retard quand japerçois la voiture de S
qui se gare à deux pas de la mienne.
J'appelle immédiatement S
et lui demande de sortir de la voiture et de me rejoindre.
S
obtempère de suite. Elle sort de sa voiture et doucement se dirige vers moi. La lenteur de ses pas me permet de constater qu'elle porte un manteau mi-saison en cuir et qu'elle est chaussée d'une paire d'escarpins à talons hauts (au moins 10cm). Je remarque que ces jambes ne sont pas gainées de bas ce qui me convient bien et ce qui préfigure l'obéissance de S
Arrivant à ma hauteur, S
sans dire un mot, après avoir jeter un regard furtif autour d'elle, n'hésite pas à ouvrir les boutons de son manteau, à en écarter les pans, pour me dévoiler son corps totalement nu
pas un vêtement, pas une pièce de lingerie ne recouvre une seule parcelle de son corps
Je sens dans le regard de S
à la fois de la fierté et de la honte de se présenter ainsi devant moi
mais aussi un certain trouble car je remarque que ses tétons sont tout durs et érigés
je constate également qu'un fil dépasse des lèvres de son sexe
nul doute luf vibrant est bien en place
et son sexe est fraîchement et totalement rasé, épilé
nu
Le moment est venu pour S
d'exécuter les ordres donnés à savoir : aller récupérer les effets placés dans la corbeille, sachant qu'avant son arrivée et avec la complicité de mon ami garagiste, je suis allé ôter le porte-jarretelles et la paire de bas qui étaient encore bien humide ainsi que le chemisier qui était aussi humide (voir l'épisode précédent) et je les ai remplacé
ensuite elle doit aller dans les toilettes de l'atelier pour les mettre et me rejoindre dans le hall du garage
Je laisse S
entrer la première dans le garage alors que je me dirige vers le petit espace « accueil client » m'installe dans le canapé.
J'adore ces situations de trouble pour S
ses hésitations et son sentiment de honte.
Cette attente est soudainement troublée par l'arrivée d'une jeune vendeuse, style BCBG, qui interpelle S
et qui lui demande si elle peut l'aider. Le visage de S
devient tout rouge d'autant plus que la jeune vendeuse insiste
S
ne peut faire durer son silence plus longtemps, elle explique à la jeune vendeuse qu'elle se doit d'aller dans son bureau pour y récupérer des « objets » qu'elle a déposé la vieille de ce week-end, et qu'elle a oublié de reprendre..
Depuis l'endroit où je me trouve j'entends la jeune vendeuse, inutile de vous dire qu'elle a été placée dans la confidence, dire à S
qu'elle est au courant de son oubli, et qu'elle peut récupérer son bien qui se trouve toujours dans la corbeille. S
n'ose plus croiser le regard de la vendeuse, elle se précipite dans le bureau et agrippe la corbeille et la vide
c'est là qu'elle se rend compte qu'elle n'a même pas un petit sac pour ranger et surtout cacher au regard d'autrui tous ces « vêtements »
Par provocation la jeune vendeuse demande à S
si elle a besoin d'aide pour les porter
S
ne sait plus ou se mettre elle est confuse et ne peux dire qu'un seul mot : « non merci »
Comme elle connaît un peu les lieux et pour cause, elle sait qu'elle va devoir traverser l'atelier pour
se rendre aux toilettes afin de revêtir ses habits.
S
pousse la pote de l'atelier, et pense qu'elle va pouvoir rejoindre le plus discrètement possible les toilettes
mais le bruit de ses talons sur le sol ne lui laisse aucune chance. Les mécaniciens, au nombre de trois ne perdent ni leur temps ni une miette du spectacle : voilà une femme, à l'air BCBG, qui traverse leur espace de travail et qui se dirige sans un regard vers les toilettes.
S
s'engouffre dans les toilettes et ferme la porte à clé
elle y reste un long moment
ce n'est qu'après plus de 10 minutes que S
réapparaît. Elle semble toute confuse, elle est toute rouge au moment de retraverser l'atelier sachant que les mécaniciens auront constaté, sans nul doute, son petit manège
Que pense S
de ces regards inquisiteurs ? S
éprouve un réel soulagement au moment de me retrouver dans le hall
alors qu'elle commence à se détendre, mon ami garagiste nous invite à le rejoindre pour boire un café
je ne laisse pas le temps à S
d'ouvrir la bouche alors que je réponds par laffirmative à cette invitation. Nous devons aller à l'étage, mais juste avant de monter je demande à S
d'ouvrir son manteau pour me montrer le résultat : nous sommes seuls dans le hall, alors S
se sentant « vaincue », humiliée, ouvre les pans de son manteau et me laisse constater le résultat . Elle est à la fois superbe et totalement indécente : son chemisier noir en tulle transparent laisse deviner le soutien-gorge replacer sur sa superbe poitrine, ses hanches sont recouvertes d'un porte-jarretelles en dentelles noires, son tanga a retrouvé sa place et une paire de bas coutures complète sa tenue. L'absence de jupe lui rappelle sa condition de « petite salope bourgeoise BCBG soumise ». Avant que S
ne ferme son manteau, je glisse furtivement deux doigts dans son entre jambe et je constate, avec énormément de satisfaction, la moiteur, l'humidité de sa chatte
la présence du fil me confirme que luf est toujours bien à sa place. S
ferme son manteau et nous montons dans le bureau du patron.
Alors que nous arrivons à l'entrée du bureau j'appuie sur le bouton de la télécommande ce qui a pour effet de déclencher les premières vibrations de luf. S
marque un temps d'arrêt et « lâche » un léger soupir
nous nous installons sur les chaises devant le bureau de mon ami que nous sert nos cafés.
S
se tourne vers moi
son regard en dit long sur son état d'âme et son trouble. Son geste discret de la tête ne laisse aucun doute quant à son souhait : surtout ne pas obtempérer et partir au plus vite.
Pas de réponse de ma part
au contraire, je me lève, sors discrètement de la poche de ma veste une paire de menottes. Je me rapproche de S
je place ses bras dans son dos, par dessus le dossier de sa chaise, et d'un petit geste, jattache ses poignets ensemble. Sans lui laisser le moindre temps de réaction ou de contestation j'ouvre les pans de son manteau et les laisse tomber de chaque côtés de ses épaules. Le spectacle que donne S
dans cette tenue autant provocante qu'étonnante comble mon ami garagiste
ce dernier ne manque d'éloges vis à vis de S
qui se tortille maintenant dans tous les sens
En effet, je viens d'actionner la télécommande de luf et les vibrations sont à leur maximum
S
n'en peut plus. Son trouble laisse place à une excitation totale, son corps superbement offert se contorsionne et son souffle est de plus en plus court
quelques minutes plus tard, c'est sans retenue que S
« crie » sa jouissance
S
est une nouvelle fois vaincue, indécente, avec cette fois, un sentiment d'humiliation total compte tenue de la situation.
Alors que j'arrête les vibrations de luf et que S
est en mode récupération, je lui passe le collier autour de son cour, y accroche la laisse et l'informe que je vais la ramener à sa voiture
Elle me supplie d'arrêter là son « supplice »
mais une fois encore elle n'obtient pas de réponse.
Je relève S
, délicatement je referme son manteau, puis je tire sur la laisse accrochée à son cou.
Je sens la résistance de S
qui ne souhaite pas descendre et traverser le hall du garage ainsi entravée, tenue en laisse. Je lui dis que si elle résiste, j'ouvre à nouveau totalement son manteau et c'est dans cette tenue, encore plus dégradante, qu'elle sera obligée de me suivre. Plusieurs larmes perlent sur ses joues au moment ou j'y dépose un tendre baiser.
Mon ami garagiste ne manque pas de me remercier et dans un sourire qui en dit long me propose de lui rendre à nouveau visite accompagné de, je cite : « ma petite chienne soumise »
S
ne résiste plus, avant de descendre et de traverser le hall je regarde et constate qu'il n'y a personne à l'exception de la jeune vendeuse.
Nous descendons, et lentement nous traversons le hall. S
ne quitte pas des yeux le sol
elle me suit
en pour cause
et retrouve une dernière fois totalement humiliée alors que la jeune vendeuse nous la porte du garage et me salue en me félicitant d'avoir, tenue en laisse et menottée, une aussi belle bourgeoise
Très discrètement, je détache les poignets de S
, je glisse une main entre les cuisses de S
et constate qu'elle trempée
son tangua est dégoulinant de cyprine
En même temps elle me sert très fort contre elle et me glisse un « merci » Maître
C'est la première fois qu'elle s'adresse à moi en utilisant ce mot : Maître
j'en suis ravi
S
me quitte
Comme à chaque fois je reçois un court sms
« merci Maître, j'espère que vous êtres fier de votre bourgeoise soumise
vous m'avez fait dépasser mes limites
je suis toute à vous
mais rien qu'à vous... » qu'a-t-elle voulu me dire
. À suivre...
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