La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1076)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1075) -
- Exécutions !
Il appuya sur le bouton de linterphone qui appelait directement Walter. Celui-ci était en train dinfliger le fouet à un groupe de soumis et soumises. Non pas quils aient fauté de quelque manière que ce soit, mais pour les habi à le recevoir sans bruit, sans cri pour le plaisir du Dominant entre les mains duquel ils pourraient être amenés à se retrouver. Il confia la suite à un domestique qui assistait à la séance au cas où, où comme dans le cas présent, le Majordome serait amener à s'absenter avant la fin. Il partit donc immédiatement pour le bureau de Monsieur le Marquis, quil ne fallait et faisait jamais attendre. Etant son bras droit, son principal employé, Walter éprouvait toujours une grande admiration pour son patron et rappliquait au plus vite à la moindre sollicitation. Il fut donc rapidement amené à frapper à la porte du bureau du Noble qui le fit entrer sans attendre.
- Mon cher Walter, tu vas avoir loccasion de faire mieux connaissance avec cette petite chienne asiatique que tu as ramené de laéroport. Cétait une bonne salope suceuse, cependant les gorges vraiment profonde sur un temps imposé ne sont pas son fort. Elle a cherché à éviter Mon noble membre par deux fois. Elle mérite donc deux heures de sanction éducative. Quelle soit prête pour le dîner que jai prévu demain soir. Emmène-là maintenant !
- Bien Monsieur le Marquis, grâce à Votre appareil, je suis sûr que cette putain deviendra rapidement une experte en gorge profonde ! Allez viens, chienne, suis-moi !
Walter saisit sa laisse et commença à tirer pour la faire avancer. Sangmo prit facilement le rythme imposé du Majordome, tant quils ne faisaient que traverser les somptueux couloirs. Mais lorsquils prirent les escaliers pour descendre à létage où se trouvaient diverses salles dentraînement, elle ralentit beaucoup lallure, et ceci malgré les coups de badine que Walter lui infligeait pour essayer de la faire accélérer un peu.
Walter sarrêta devant une haute porte en chêne, massive, quil ouvrit, donnant sur une pièce vide de présence humaine. Il la conduisit jusquau centre de ladite pièce, où il la fit se placer à genoux, cuisses si largement écartées que ça en devenait très rapidement douloureux. Il passa au-dessus de ses chevilles des attaches métalliques qui se fixaient dans le sol afin quelle ne puisse pas resserrer les genoux. Il fit descendre du plafond deux chaînes épaisses munies de menottes, écartées dun bon mètre. Au moment où il referma les bracelets autour des fins poignets de la soumise, les chaînes étaient détendues et avaient du mou et Sangmo ainsi pouvait bouger les bras comme elle le désirait. Mais cela ne dura pas longtemps. Walter actionna manuellement une manivelle qui fit remonter lentement mais inexorablement les chaînes à se tendre de plus en plus verticalement, jusquà ce que ses bras se retrouvent en extensions douloureuses au-dessus de sa tête. Le Majordome mit alors un carcan épais autour de son cou, reposant sur ses épaules, avec une sorte de minerve montante, lui interdisant tout mouvement de la tête. Il alla jusquà une commode et en ramena divers équipements : Un bâillon écarteur, quatre pinces mordantes, un plug et un gode vibrant équipé de lanière.
Walter mit dabord en place le bâillon, puis il installa deux pinces sur les tétons de Sangmo qui sétaient érigés, preuve, sil en fallait, de lexcitation de la chienne, et les deux autres sur ses lèvres intimes fort humides. Il en profita pour titiller son clitoris déjà palpitant puis introduisit trois doigts dans sa chatte, quil trouva donc à linstar de ses lèvres vaginales déjà fortement mouillée.
Lécarteur et la façon dont la soumise était immobilisée lui permis de faire ses réglages sans que cette dernière ne puisse faire le moindre mouvement. Les réglages furent rapides mais précis, donc elle neut pas le temps de se sentir étouffée par le sexe factice qui était pourtant dune belle épaisseur. Le Majordome mit alors lappareil en fonction, puis il quitta le champ de vision de Sangmo, avant déteindre la lumière, la plongeant ainsi dans un noir profond. Les seuls bruits quelle entendait étaient ceux du moteur qui commença à activer le manche en bois pénétrant. Il allait et venait dans sa bouche à un rythme lent, senfonçant toujours plus profondément. La première fois quil arriva à la butée programmée, il ny resta quune seconde avant de sortir entièrement de la cavité. Il accéléra alors un peu mais cette fois-ci il y resta plus longtemps. Chaque fois quil ressortait, cétait pour que son mouvement saccélère et que son coït buccal dure plus longtemps, finissant par amener de nombreuses larmes sur le visage de la soumise, peu habituée à de tels traitements.
Mais Sangmo finit par accepter son sort et ses muscles finirent par se détendre, ses mâchoires par se décrisper, et au bout des deux heures de traitement, elle était capable de garder ce sexe de taille énorme plusieurs minutes au fin fond de sa bouche sans plus chercher à esquiver. Walter la libéra alors de tout ce qui léquipait. Au moment où il retira les pinces, elle retint de justesse des hurlements de douleurs. Elle avait bien sûr déjà porté des pinces, mais elles étaient recouvertes de caoutchouc en leur bout, diminuant de beaucoup leur douloureuse morsure, contrairement à celles que le Majordome lui avait laissé durant toute la sanction. Ne sachant quelle position prendre, elle resta à quatre pattes, attendant quun ordre lui fût donné.
- Ici, chienne, la position dattente est à genoux, cuisses écartées, mains sur la nuque. Et maintenant, je vais vérifier, sans que tu sois contrainte par des attaches ou un bâillon spécial, si la leçon ta été profitable. Garde cette position, aussi longtemps que je nen exigerai pas une autre.
Sangmo avait les cuisses douloureuses et tremblantes après cette dure sanction, mais elle obéit tant bien que mal. Walter commença par vérifier son état dexcitation. Il était hors de question de traumatiser ceux qui venaient volontairement aux pieds de Monsieur le Marquis dEvans ! Mais il sourit en constant que non seulement sa caverne intime était trempée, mais de plus, ses cuisses étaient couvertes de ses sécrétions vaginales qui navaient cessé de sécouler. Il sessuya les doigts dans la chevelure noire de geais puis sortit sa verge dressée de son pantalon. Walter nexigea pas de suite une fellation de la part de la soumise.
- Ouvre ta bouche encore plus grand, chienne !
Sangmo obéit tout en sentant lodeur du membre du Majordome sapprocher alors sa bouche souvrit encore plus grand et Walter dun mouvement de reins franc, lent cette fois, et régulier enfonça son gros sexe toujours bien bandé dans cette bouche si accueillante, humide et chaude. Il aimait se faire sucer ainsi et commença alors des mouvements de vas et vient doucement. Le bût était de vérifier la capacité de Sangmo à résister à Ses assauts après les deux heures de traitements. La soumise ouvrit la bouche en grand sefforçant de montrer sa docilité et ce quelle avait acquis durant les deux heures. La main du Majordome sempara alors de ses cheveux dans le bût de lui maintenir la tête bien en place au moment de son éjaculation, ce qui ne tarda pas, et cest dun coup de reins supplémentaire que le premier jet sortit, remplissant la bouche de la belle tibétaine, un flot de sperme épais et dense. Sangmo soffrit alors plus encore en prenant bien soin de ne pas montrer de signe d, elle ferma les yeux pour bien profiter et avaler comme une bonne chienne en chaleur. Elle ressentait vivement quelle était soumise à cette épreuve par un vrai mâle Dominateur, chose qui la comblait tant. Walter éjacula à plusieurs reprises usant et abusant de ce réceptacle à foutre ! Et il constata que la chienne acceptait avec bonheur ce traitement de recevoir son sperme, cette salope de soumise se comportait donc comme il le voulait, les deux heures précédant cette fellation avaient été efficaces. Et même à la fin, il sentait que Sangmo prenait bien soin daspirer son membre pour éviter quune goutte de sperme vienne maculer son pantalon. Le Majordome satisfait, retira alors son sexe, effectivement sa verge était bien propre, elle avait vraiment bien avalé jusquà la fin
Lorsquelle eut fini, delle-même, récompensée par de douces caresses sur sa tête, embrassa la queue devenue demi-molle devant elle.
- Tu vois, tu as peut-être appris dans les larmes, mais maintenant que tu as cessé de lutter et que tes muscles se sont habitués, te voilà capable de satisfaire nimporte quel homme qui voudra utiliser cet orifice à sa convenance. Maintenant, il est temps de retrouver Monsieur le Marquis dans son bureau.
Le Majordome lui fit son rapport, sans omettre le fait quil pensait nécessaire une séance dentrainement pour monter et descendre les escaliers de manière et à une vitesse convenable. La journée approchait de la fin, Sangmo se sentait épuisée et affamée. Le Maître sen aperçut sans mal, et après avoir fait amener une gamelle nutritive dans Son bureau, car il avait encore à travailler, Il rappela Walter pour quil la mène au Chenil, où elle ne tarda pas à sendormir sur la couverture dune des nombreuses niches qui la composaient
(A suivre
)
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