La Réalisation Des Fantasmes De Vanessa - 1Ère Partie.
Les deux récits qui vont suivre ont été écrits à la suite de contacts répétés que jai eu sur un site coquin avec la protagoniste des faits. Je lui laisse la parole !
Septembre 2012.
Chers amis et chères amies.
Grâce à un ami qui écrit des nouvelles érotiques, je vais vous confier comment deux de mes fantasmes ses sont transformés en une réalité bien chaude.
Le premier fantasme me hantait depuis quelques mois et il revenait sans cesse dans mes rêves. Au cours du début de lété (2010), il sest transformé en une belle partie de jambes en lair. Jen garde un souvenir ému : trois jeunes hommes rien que pour moi !
Mais dabord, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, laissez-moi me présenter. Je me prénomme Vanessa, je viens de sauter le cap de la trentaine. Je suis une grande et belle jeune femme (aux dires de ceux qui ont eu le privilège de me conquérir), blonde aux yeux verts, jai de longs cheveux blonds qui descendent jusquau milieu du dos. Ma peau blanche avec des éphélides est souvent bien bronzée car jaime le soleil et la mer.
Jai dailleurs fait un long voyage jusquen Australie et retour à bord dun grand voilier et je ne vous dit pas comment tout mon corps était halé lorsque jai débarqué au retour
un couleur de miel ou de pain dépices.
Je suis très fière de ma silhouette avec de beaux seins en forme de pomme, bien ronds et opulents. Je fais un bon 85.C qui remplit bien mes soutifs. Ma taille étroite sévase sur des hanches pleines et des fesses bien galbées.
Si aux yeux de mon entourage, je passe pour une timide, je suis quelque peu exhibitionniste, jaime vivre nue et attiser le regard des hommes quelles que soient les circonstances. Jaime danser en discothèque dans des tenues somme toute assez sages mais cest ma silhouette et mes déhanchements qui me font remarquer. En club je nhésite pas à me trémousser le long de la barre de pole dance.
Cest aussi une des raisons qui mont poussé à une époque à minscrire sur un site érotique où je mexhibe dans des petites prestations bien chaudes au gré des clients qui viennent me voir par webcam interposée. Jy prends beaucoup de plaisir et je suis devenue une accro aux jouets érotiques comme les boules Geisha, les chapelets Thaï, les godemichets simples ou doubles, les Plugs et autres vibromasseurs.
Javais découvert la masturbation au cours de mon adolescence. La première fois, jétais sous la douche, le corps enduit de mousse odorante, je me suis rendue compte quen passant mes mains sur la pointe de mes seins, le bourgeon sérigeait et javais une sensation de chaleur dans le bas du ventre. A 15 ans le corps séveille ! Jai cru naïvement que cétait ma sexualité qui naissait.
Le lendemain, cétait samedi : pas de lycée ! Je flemmardais dans mon lit quand jai eu envie de caresser mes seins comme la veille sous la douche, juste pour voir ! A peine les paumes de mes mains posées sur mes « pommes damour » que les tétons sérigeaient et je ressentais cette même boule chaude au niveau de mon pubis. Jai conservé une main à hauteur de ma poitrine pendant que je laissais lautre descendre le long de mon ventre et se poser sur ma vulve légèrement poilue. Surprise ! Jétais toute humide entre mes lèvres intimes si bien quinstinctivement deux doigts sont allés débusquer mon clitoris dans son capuchon.
Là, je ne vous dis pas quelles sensations jai eu lorsque jai introduit deux doigts dans louverture de ma chatte ! Cétait tout gluant et chaud. Jai fait aller et venir mes doigts dans ma vulve jusquà ce que je me heurte à mon hymen.
Je nai pas mais jai continué à me caresser jusquà ce que la jouissance déferle en moi pour la première fois. Peu à peu, jai pris lhabitude de me caresser tous les samedis matins avant de me lever et au fur et à mesure, je devenais de plus en plus experte mais avide de ces masturbations matinales qui me mettaient en forme et de bonne humeur pour tout le weekend.
Les mois ont passé et au cours des vacances estivales, jai rencontré un groupe de jeunes parisiens, garçons et filles un peu plus âgés que moi. Jétais une habituée du club de voile aussi ai-je aidé le moniteur à les initier à la navigation côtière sur des petits dériveurs légers.
Quelle chance jai eu, tous étaient en couple de copains et après les séances sur leau, çà flirtait un peu dans tous les coins, un seul garçon se trouvait sans petite amie : elle sétait désistée au dernier moment !
Jai tout fait pour attirer lattention de Serge. Pour lui à 19 ans, je nétais quune gamine de 16 ans à la silhouette certes agréable à regarder, mais une gamine
Mes manigances ont fini par porter leurs fruits ! Le second soir, tout le groupe sest retrouvé à la discothèque aménagée sur la plage. Bien sur, jétais de la sortie.
Cest ce soir-là que jai perdu mon pucelage. Serge a été doux et si la première fois la légère douleur a pris le pas sur mon plaisir, les autres soirs, quel bonheur de sentir la jouissance menvahir et me laisser pantelante entre les bras de mon amour dété. Mais ce nétait quun amour dété !
A 16 ans passés, jétais désormais une femme à part entière ! Javais repris mes habitudes de masturbation matinale et de temps à autre, je me laissais culbuter dans un coin sombre ou dans une chambre accueillante par un garçon avec qui javais flirté au cours de la soirée.
Je dois ajouter que grâce à la complicité dune copine plus âgée, javais fait lacquisition de plusieurs étuis de préservatifs et de quelques jouets sexuels bien planqués dans le fond de larmoire de ma chambre. Il nétait pas question que ma mère les découvre !
Javais pris goût à ces séances matinales et aux parties de jambes en lair !
Jattendais avec impatience les mois dété car je savais par avance que je naurais que lembarras du choix pour trouver des amants de passage. Javais toujours avec moi un étui de préservatifs bien garni qui me permettaient déchapper à toute transmission inopportune et grâce à la complicité (bienveillante ? ne mavait-il pas pelotée plus que de mesure en mexaminant ?) du médecin de famille, je prenais la pilule en plus
Lautomne de mes 18 ans, ma meilleure copine ma invitée au mariage de sa sur aînée.
Quand il me regardait, javais limpression de fondre. Nous avons dansé toute la soirée en bavardant sur un ton léger et badin. En fait, il me faisait la cour !
Quand nous sommes sortis dans le parc du château où avait lieu le banquet, jai tout naturellement glissé mon bras sous le sien pour sentir au plus près sa présence virile et marcher de longues minutes au clair de lune. Il ma pris dans ses bras pour membrasser, sa langue a immédiatement cherché la mienne et je me suis collée contre lui, offerte, pantelante, prête à céder à toutes ses exigences.
Ma robe bustier a bien facilité les choses. Mes seins sont sortis comme par enchantement du décolleté et Kevin a commencé à sucer mes tétons. Immédiatement, jai commencé à mouiller abondamment si bien quen moins de deux minutes mon string était trempé ! Nous savions ce qui allait se passer : Nous allions baiser au clair de lune ! Le pied total !
Quand nous avons été bien chauds, Kevin ma fait placer en appui le long dun tronc darbre, il a remonté ma robe longue jusque sur mes reins et fait glisser mon string quil a empoché en disant dans un sourire amusé que ce serait un souvenir.
Il a fait coulisser le zip de son pantalon et sest aussitôt collé contre mes fesses pour me faire sentir lérection de son membre. Cest vrai, je men souviens comme si cétait hier, il bandait comme un cerf en rut. Il écarté mes fesses et sest introduit lentement en moi. Je ne sais pas à quel moment il sétait couvert ! Jétais tellement partie que je ne me suis rendue compte de rien.
En fait, dès que je lai senti à lorée de ma chatte, cest moi qui me suis embrochée sur sa queue jusquà ce que mes fesses soient en contact avec son ventre
.
Jétais tellement excitée que je nai pas pu retenir ma jouissance très longtemps. Kevin était toujours en moi qui récupérais de mon orgasme. Puis il est sorti ! Déception
Je nen avais pas eu assez
Jai pensé que nous allions changer de position ! Mais non, ce coquin en voulait à mon autre pucelage : Jai senti la pointe de sa bite contre mon anneau plissé qui sest ouvert comme par enchantement face à cette intrusion. Quand jai été habituée à cette présence, je lui ai soufflé :
Vas doucement, cest la première fois !
Il a commencé à me sodomiser lentement à longs traits, veillant à rester engagé dans mon petit trou puis il a accéléré ses mouvements, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je naurais jamais cru que cétait si bon de prendre une bite dans son cul ! Au moment où je jouissais pour la seconde fois, Kevin sest lâché. Jai senti son sexe prendre encore un peu de volume et cracher de longs jets de sperme qui sont venus sécraser au fond de la capote.
Quelques temps après nous avons regagné discrètement la salle du banquet et nous nous sommes séparés au petit matin. Depuis cette nuit-là, quand un de mes amants veut me prendre par la porte de service, je ne dis jamais non tant cette prise de possession de mon corps me fait fantasmer par avance.
Aussi agréable soit il ce job danimatrice érotique nest pas un fin en soi ! Cest loccasion de me divertir et un prétexte pour me caresser comme le souhaitent les clients. Après des études darchitecte dintérieur à Paris, je viens enfin de métablir comme auto entrepreneur avec un associé avec lequel je travaille le matin et le soir. Généralement après 18 heures je vois nos clients chez eux car là, je suis à même de bien appréhender ce quils souhaitent en matière de décoration.
Mais venons-en à cet après-midi et à la réalisation de ce fantasme !
Sous le soleil de la Méditerranée, il est coutumier de faire une sieste en début daprès midi et je néchappe pas à la règle dautant que je vis aussi beaucoup le nuit. Il nest pas rare que je me couche vers 2 heures du matin ou plus encore.
Cest justement au cours de ces siestes que des rêves récurrents viennent depuis plusieurs semaines, me troubler au point que, de plus en plus, le virtuel me hante au point davoir envie quil se transforme en réalité.
Depuis quil fait à nouveau très chaud sous le soleil du Midi, jai repris lhabitude de cette petite sieste réparatrice qui dure généralement une bonne heure. A lombre dun parasol ou des frondaisons des arbres selon le lieu où je me trouve, je mendors facilement sur la chaise longue bercée par le chant des cigales.
Cest là que mes rêves surviennent, jamais la nuit (ou alors je ne men rappelle pas).
Au début, je me souvenais mêtre masturbée dune main alors que lautre caressait mes seins nus. Plus tard, je me faisais plaisir avec un beau godemichet que je voyais en détails, ressemblant à ceux que je possède
.Lorsque le rêve devenait trop fort où que lheure de repos était passée, je me réveillais avec la sensation que je navais pas rêvé, persuadée au bout de quelques temps quun inconnu avait versé un quelconque soporifique dans ma boisson et avait profité de mon inconscience pour r de moi !
En fait mes rêves étaient tellement forts et prenants que je me retrouvais au réveil avec mes tétons dressés et sensibles et ma chatte humide comme si un sexe lavait visitée. Avec le temps, je ne métonnais plus. Au contraire je savourais cette délicieuse sensation qui mettait mon corps en émoi.
Mais il y a quelques jours, le rêve est devenu réalité.
Comme dhabitude, jétais allongée sur un transat à lombre des grands arbres de la villa où jhabite pour linstant. Je dormais à moitié nue, simplement vêtue dun maillot de bain deux pièces des plus réduit avec des motifs colorés. Soudain, un bruit sur le gravier et la sensation dêtre observée mont tiré de mon demi sommeil.
Quand jai repris pied dans la réalité, je me suis aperçue que javais la main droite glissée dans la culotte du maillot mais la surprise a été de découvrir trois jeunes gens qui, à quelques mètres de moi, mobservaient avec envie. Un rapide coup dil au niveau de leur short ma immédiatement fait penser quils devaient me mater depuis un moment car je distinguais une belle bandaison cachée par le tissu :
Approchez ! Je ne vais pas vous manger ! Profitez de la vue !
Sils étaient excités du spectacle inconscient que je leur avais offert, jétais tout aussi émoustillée en pensant quils devaient sêtre régalés de me regarder. Ils se sont approchés. Ils ne devaient pas avoir beaucoup plus de 20 ans mais ils navaient pas froid aux yeux car dès quils ont été près de moi, il y en a un qui a fait glisser sa main entre mes cuisses jusquà mon sexe humide pendant que les deux autres me relevaient et faisaient sauter lagrafe de mon soutif :
OK les gars ! Je vois ce que vous voulez ! Baissez vos shorts que je vois quels beaux trésors vous cachez !
En moins dune minute, javais sous les yeux trois jeunes bites bien bandées, dressées comme des épieux devant leur pubis, trois belles bites de taille normale avec les glands dégagés de tout prépuce comme je les aime. Jadore mattaquer directement au champignon quand je suce une queue.
Les deux garçons qui mavaient dépouillée de mon soutif continuaient de sintéresser à ma poitrine en faisant rouler les tétons dardés entre leurs doigts et le troisième commençait à me manger la chatte après avoir retiré ma culotte. Waouh ! Çà démarrait fort ! Javais sous les yeux les sexes des deux garçons et je nai eu quà tendre les mains pour les saisir. Coquine jusquau bout, jen ai guidé un jusquà ma bouche pour le sucer et de la main droite, je branlais lautre et inversement...
Je ne voulais pas quils déchargent leur plaisir ailleurs que dans ma chatte aussi, jai arrêté de sucer et de branler pour prendre dans mon fourre tout les préservatifs dont je suis toujours approvisionnée ! On ne sait jamais ! Çà peut servir et là
çà allait servir !
Jétais prête car celui qui mavait fait un cunni avait su y faire, javais la chatte déjà bien inondée mais je navais pas atteint le stade de la jouissance. Jai relevé à moitié le dossier du transat et jai posé mes pieds de part et dautre du repose jambes. Ainsi, jétais installée confortablement, les cuisses entrouvertes, prête à me livrer aux assauts conjugués de ce trois jeunes gens.
Un de ceux que javais sucé sest couvert le premier. Il sest placé entre mes cuisses, dune main il a mis son bout à lorée de ma chatte et dun seul mouvement, il ma embrochée, faisant claquer ses couilles contre mon périnée. Ce coquin sest aussitôt arrêté au fond de vulve :
Oh ma belle, tes trop bonne, je vais taimer comme une belle femme doit lêtre !
En disant cela, il a commencé des va et vient amples, sortant à chaque fois pour mieux entrer à nouveau jusquau fond de ma chatte : jeune mais bon amant ! Pendant ce temps là, je suçais celui qui avait préparé ma chatte (dailleurs elle est toujours prête). Il avait enjambé mon buste et je pouvais ainsi masser ses couilles qui étaient bien dures. Javais repris la masturbation du troisième de façon à entretenir le feu
Chose surprenante, jai joui au moment où celui qui me baisait sest lâché dans la capote. Cest rare lors dune première fois de jouir en même temps, il y a toujours un décalage. Il sest retiré, a ôté le préservatif et sest essuyé la bite avec ma culotte.
Celui que je suçais sest retiré de ma bouche, a pris un matelas de plage et sest allongé dessus, la queue dressée comme un mat vers le ciel en disant :
Allez, ma belle puisque tu as envie de baiser, cest toi qui va travailler.
Je lai enjambé et je me suis accroupie pour introduire sa bite dans ma chatte. Je lui faisais face en amazone. Je faisais des mouvements de haut en bas pour faire coulisser sa queue dans ma gaine humide et chaude. Quand elle était bien au fond, je travaillais le bout de mes muscles intimes avant de remonter en veillant à ne pas le faire sortir. Je me servais de lui comme si jutilisais un gode à ventouse. Il ne restait pas inactif, bien au contraire. Dune main il triturait alternativement mes tétons qui étaient bandés sous leffet de lexcitation et de lautre il caressait mon pubis ou jouait avec le bijou qui orne mon nombril.
Les deux autres garçons étaient légèrement sur le côté et faisaient des commentaires sur mon anatomie, sur mes seins volumineux, sur ma taille étroite et mes hanches et mes fesses bien galbées :
Tas vu cette fille les seins quelle a ! Et ce cul qui souvre à chaque fois quelle sempale sur la bite !
Cétait assez graveleux mais cela correspondait bien à lambiance de cette partie de jambes en lair. Puis ils se sont rapprochés. Celui qui ne mavait pas encore baisée ma caressé le dos, faisant courir sa main le long de ma colonne vertébrale pour aller fouiner dans ma raie, prenant mes fesses à pleines mains pour les masser et ouvrir encore plus ma raie où je sentais mon anneau plissé palpiter denvie. Celui qui mavait prise en premier a enjambé le torse de son copain pour revenir se faire sucer. Je retrouvais sur sa queue le goût de son sperme et lodeur de foutre qui emplissait mes narines. Soudain celui qui était derrière moi sest écrié en appuyant une main entre mes épaules :
Couche-toi sur mon copain, ton cul me fait trop envie ! Je vais me le faire !
Je me suis empressée dobéir à cette injonction, comme dans mon rêve, jallais avoir une bite dans chacun des mes trous ! Il a fait entrer un doigt, puis deux dans mon fondement pour ouvrir le passage et finalement cest sa queue qui est entrée. Je me voyais mal protester car jaccepte rarement la sodomie sans y être préparée davance. En moi-même je pensais, finalement et heureusement pour moi, cest celui qui a la bite courte et trapue comme je les aime dans mon ptit trou qui me sodomise ! Je vais la sentir passer mais quest ce que je vais jouir !
Ils ont coordonné leurs mouvements, quand lun entrait au fond, lautre sortait en partie. Cétait si bon et si bien fait que je me suis mise à penser que ces deux là devaient être des adeptes de la double pénétration. Pendant ce temps, je suçais toujours le troisième larron dont le sexe avait retrouvé toute sa splendeur entre mes lèvres. Waouh ! Cétait vraiment chaud. Je sentais ma jouissance monter dans mon ventre et les signes avant coureur du plaisir fuser le long de mon dos :
Allez-y mes cochons ! Baisez-moi bien à fond ! Profitez, ce nest pas tous les jours où vous trouverez une nana dans daussi bonnes dispositions !
Et là, çà a été le déferlement ! Celui qui était dans ma chatte sest mis à jouir ce qui a déclenché mon orgasme et la jouissance de celui qui me sodomisait. Je sentais les giclées de sperme sécraser au fond des préservatifs et, quand celui que je suçais sest dégagé de ma bouche pour gicler sur mes seins, cest ma fontaine qui sest déclenchée ! Lun deux s »est écrié :
Quelle salope ! En plus de te faire sauter de belle manière, tu nous inondes !
Et oui ! Cest le témoignage que vous mavez bien fait jouir !
Et celui qui mavait sodomisée dajouter :
Jaurais bien voulu cracher tout au fond de tes boyaux, tu aurais vu comme je suis généreux !
Ils se sont rhabillés et mont quittée rapidement. Je ne sais pas ce quils étaient venus faire dans le parc ni même comment ils y étaient entrés. Mais moi, je savais que ces trois lascars mavaient permis dassouvir ce fantasme qui hantait mes siestes depuis le début de lété.
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