La Réalisation Des Fantasmes De Vanessa - 2Ème Partie.
Mars 2013.
Mon voisin ou mon second fantasme.
Je reprends ici, le récit de mon second fantasme qui me hantait depuis plusieurs semaines.
Ce second est plus récent et il vient tout juste de se réaliser la semaine passée
Là, il ne sagit plus de moffrir une partie coquine lors dune sieste. Ce nest plus possible car jai déménagé depuis le début de lannée 2013 et désormais, jhabite dans un grand appartement au dernier étage dun immeuble récent des hauteurs de Cannes dans le quartier du Prado. Cest merveilleux car la grande terrasse face à la mer que japerçois au loin, me permettra quand les beaux jours seront revenus, de me livrer facilement aux rayons du soleil pour faire dorer mon corps de blonde
Depuis que jhabite cet immeuble, jai croisé à plusieurs reprises un homme, grand, brun, aux cheveux courts et ondulés, avec de yeux dun noir profond et une carrure dathlète aux épaules larges et à la taille étroite. Souvent la nuit, je rêve quil me prend dans ses bras lorsque nous sommes dans lascenseur et membrasse amoureusement. Hélas, rien ne se passe
il semble ignorer la belle jeune femme qui se pâme discrètement alors que nous sommes seuls dans cette cabine.
Ce serait en été, jaurais plus facile à le tenter
quelque petite robe moulante, des hauts un tant soit peu décolletés qui offriraient mes seins à sa vue, ce serait plus facile ! Hélas, lhiver est là, et ce nest pas une saison très propice pour shabiller ainsi, même si jhabite sur la Côte. Je désespère chaque fois que nous arrivons à notre étage commun ! Va-t-il tenter une approche ?
NON ! NON ! NON !
Chaque fois, cest « Bonsoir ! » et il se tourne pour ouvrir sa porte et entrer rapidement chez lui.
Mais là, ce samedi, la chance tourne en ma faveur. Je vais vous expliquer comment cela sest passé mais avant, laissez-moi-vous décrire un peu mon nouveau « chez moi » !!!
Jai acheté cet appartement à la fin de lan passé et vous vous doutez bien que je lai arrangé à mon goût.
La veille au soir, jétais passée dans le magasin où javais acheté mes meubles au moment de lemménagement et javais trouvé deux bibliothèques pour terminer ce que je voulais faire. Hélas, la livraison ne pouvait seffec quau début de la semaine suivante et tout mon weekend était libre
Comment ne pas gaspiller mon temps si précieux entre mon job, mes cours de musique et mes activités coquines ?
Quà cela ne tienne ! Ce samedi en début daprès midi, je retourne à la Bocca et je charge tant bien que mal les cartons (les meubles ne sont pas assemblés) dans ma voiture et je retourne à mon immeuble, un peu inconsciente de ce qui mattend. Combien de voyages vais-je devoir faire avec lascenseur depuis le garage souterrain pour monter ces quatre cartons lourds et encombrants jusquau 6ème étage ?
Un premier voyage me permet de monter les deux cartons les moins lourds mais aussi de changer de tenue pour mettre des vêtements plus appropriés
En fait, je garde le collant noir et épais que je porte depuis le matin, je change ma jupe un peu longue pour une jupe en jean qui marrive à mi cuisse et jenfile un haut, noir également, largement échancré qui découvre mes épaules barrées par les bretelles de mon soutien gorge.
Au moment où je range dans lascenseur les deux cartons restant, je vois arriver mon voisin avec sa voiture. Jattends quil se gare et il me rejoint dans la cabine où pour la première fois nous échangeons quelques mots :
Ils ont lair bien lourds ces cartons ! Voulez vous de laide pour les porter dans votre appartement ?
Oh oui ! Ce nest pas de refus ! Le premier voyage a déjà été bien difficile.
Ok ! çà marche !
Lorsque les quatre cartons sont enfin empilés dans ma salle à manger, je lui offre de prendre un café avec moi pour le remercier.
Il a 38 ans et sappelle Ludovic. Il est seul en ce moment car sa copine la quitté à la fin de lété. Alors en passant au tutoiement, Il me demande :
Et toi ? Tu as quelquun ? Un copain ? Un ami ?
Non ! Pas en ce moment ! Jai trop de travail ! Mais pourquoi cette question ?
Et bien, ne toffusque pas, plusieurs fois je tai entendu jouir ! Les cloisons sont assez minces ! Tu avais lair de bien prendre ton pied !
Non tu as tort ! Je suis seule ! Il ny a pas dhomme dans ma vie, ni de femme dailleurs !
Je ne moffusque pas de ce passage au tutoiement, nous avons sensiblement le même âge, alors pourquoi pas ?
A voir son air ahuri, je vois quil ne comprend pas !
Alors je décide de tout lui expliquer, de lui dire comment je fais des coquineries devant une caméra vidéo sur un site érotique et afin de lui montrer ce que je vois à lécran et quelles sont les demandes de mes clients voyeurs, nous passons dans la chambre où se trouve le matériel dont je dispose pour ces séances.
Ludovic a lair particulièrement intéressé :
Alors cest comme çà ? Quand un homme sait te guider, tu vas jusquà jouir sous ses yeux ?
Oui, dailleurs la plupart du temps, cest ce qui se passe quand je suis bien excitée et échauffée par les propos quil ma tenu auparavant
ou lambiance coquine des échanges avec les autres lors dun tchat.
En disant cela, je jette un coup dil en coin et je constate que Ludovic tente vainement de cacher quil bande. Je vois distinctement la bosse de son sexe qui déforme le devant de son pantalon et je ne peux mempêcher de tendre la main en disant :
Dis donc coquin, çà te fait de leffet ! Savoir que je menvoie en lair derrière ta cloison !
Oh oui ! Tentendre, çà ma déjà fait bander plus dune fois en imaginant que je te baisais !
Et là, enfin, il sapproche encore plus de moi et membrasse à pleine bouche dans un baiser violent où nos langues se mêlent alors que Ludovic me presse contre lui dans se bras puissants. Jai très envie de lui et par un savant mouvement de mes hanches, je continue de le chauffer en faisant rouler sa bite entre nous deux.
En moins de temps quil faut pour lécrire, nous sommes entièrement nus. Javais raison de flasher sur mon voisin ! Il possède un corps dathlète aux muscles finement dessinés mais on voit bien ses pectoraux et abdominaux. Quel bel homme ! Il est si brun de peau que je fais un contraste saisissant avec ma peau de blonde plutôt pale en cette saison hivernale :
Oh oui ! Viens ! Fais-moi lamour ! Il y a trop longtemps que je nai pas goûté une belle queue comme la tienne ! Les godes ou les doigts, cest bien beau, mais une bite bien raide, cest nettement mieux !
Cest vrai que Ludovic a une bite tout à fait remarquable : Longue et relativement mince avec le gland rond et proéminent comme un champignon ! Je bascule en travers du lit qui nous accueille bras et jambes emmêlés en entrainant mon futur amant sur moi mais il se dérobe et descend entre mes cuisses. Je sens aussitôt son souffle sur mon Mont de Vénus et sa langue qui fouille entre mes lèvres pour débusquer mon clitoris. Mon sexe ne tarde pas à shumidifier sous cette caresse qui ma toujours fait fondre comme neige au soleil. Je suis prête ! Discrètement, je tends un préservatif à Ludovic pour quil se couvre. Cest une habitude chez moi, il nest pas question de commettre dimprudence avec le monde de libertins de tous poils qui nous entoure
Je lui dis en ouvrant largement mes cuisses :
Viens maintenant ! Baise-moi bien ! Je nattends plus que çà !
Autant notre premier baiser a été violent, autant lorsque Ludovic me pénètre, il sait être doux en entrant doucement et progressivement dans mon sexe qui est déjà trempé tant je suis impatiente.
La boule chaude qui se répand dans mon ventre quand je suis sur le point de jouir grossit
je mouille de plus en plus et je pars dans les transes de la jouissance presque instantanément quand je sens Ludovic jouir au fond de moi. Waouh ! Quest-ce que cétait bon mais je dois dire que cette joute rapide et violente à la fois nous laisse pantelants tant nous nous sommes donnés, essoufflés, emboités lun dans lautre, bras et jambes emmêlés
nous sombrons dans un sommeil qui nous conduit aux dernières lumières du jour.
Nous avons basculé sur le côté et par de légers mouvements du bassin Ludovic fait renaitre sa bandaison. Je me dégage de son étreinte et je descends ma bouche jusquà son pubis où, après avoir retiré la capote pleine, je gobe le gland, agitant ma langue sur le méat avant davaler plus à fond ce membre de chair qui ma si bien fait jouir. Après lavoir respiré, jai encore envie de le sentir en moi
Il ne faut pas de longues minutes pour que ce beau membre viril retrouve sa splendeur et lorsquil ressort de ma bouche gourmande, je ne peux que continuer de fantasmer en pensant à ce que je vais faire ensuite : Jai soif de sexe vrai ! Çà fait trop de semaines que je nai pas eu une vraie bite dans mes orifices et pour cette fois, je vais en profiter un maximum puisque Ludovic semble doué pour la baise ! Je nai pas envie de le faire juter dans ma bouche aussi, je ne poursuis pas ma fellation.
Par jeu, cest moi qui couvre ce beau sexe dun nouveau préservatif et en prenant appui sur la tête de lit, je me place en levrette.
Joffre ainsi la vue de mon dos à la taille étroite et aux hanches bien galbées, mais aussi une fente accueillante où je fais palpiter mon anneau plissé dans une invitation sans équivoque : Cest un appel à la sodomie. Et là, elle sera profonde vue la longueur du sexe de Ludovic que jencourage :
Vas-y ! Naies pas peur ! Tu as vu ! Tu es entré facilement ! Encules moi fort !
Et il ne se le fait pas dire deux fois ! Dès quil sent que je semble habituée à sa présence dans mon antre secret, il commence de longs va-et-vient en veillant à ne pas sortir de mon anneau plissé. Sans le savoir, je suis tombée sur un bon baiseur qui sait prendre son temps pour bien faire jouir sa partenaire
Une main toujours en appui sur la tête de lit, je glisse lautre jusquà ma chatte où je fais aller et venir deux doigts entre mes lèvres intimes et Ludovic continue de me sodomiser, allant de plus en plus vite tout au fond de moi en faisant claquer son pubis contre mes fesses jusquà exprimer dans un râle de plaisir partagé la jouissance qui déferle en nous.
Pour linstant, nous sommes repus de plaisir et, dans les bras lun de lautre, lovés amoureusement, nous faisons plus ample connaissance. Il est divorcé et sapprête dici quelques semaines à rejoindre son associé qui a monté une boite de com à Los Angeles.
Dans le fond, cela marrange ! Si jai fantasmé à ce point sur mon voisin, je ne suis pas prête à entamer une liaison aussi torride soit-elle. Jaime trop mon indépendance
En début de soirée, je commande des pizzas que nous dégustons avec un rosé de Provence. Nous navons même pas pris le temps de nous rhabiller. Je crois que lun et lautre, nous savons comment va continuer la soirée. En fait, cest moi qui rouvre les hostilités (si on peut dire cela). Pendant que Ludovic fume une cigarette, je le coule entre ses cuisses et jentame une fellation à gorge profonde, enduisant sa queue dune salive abondante et en la faisant coulisser entre mes lèvres. Mais ce dont jai envie, cest de voir son sperme gicler pour moi ! Jai senti par deux fois ses jets au fond de moi, mais je sens quil a encore de bonnes réserves.
Quand je sens que mon amant est assez échauffé par mes talents de suceuse, je sors sa bite de ma bouche et je marrange pour venir la loger entre mes seins que je resserre autour delle. Jentame une branlette espagnole en le regardant dans les yeux dun regard de salope :
Viens ! Tu vas me juter dessus ! Après mes trous, jai envie de voir ton foutre jaillir !
Et çà ne tarde pas ! Quelques allées-venues entre mes seins et voila quelques jets qui tapissent ma poitrine jusquà mon cou tant ils sont puissants.
Toujours salope finie, je ramasse le sperme du bout des doigts et les portant à ma bouche, je men délecte, savourant ce goût un peu salé si caractéristique.
Nous retournons dans la chambre où nous continuons nos ébats. Je veux lépuiser, profiter de sa belle queue longue avec ce champignon bombé qui lui sert de gland : Un baiseur de cette qualité, il ne faut pas le laisser passer.
Avant de nous endormir, Ludovic me baise encore une fois en levrette mais je lui réclame une double pénétration et lui tendant un gode de belle taille et un tube de lubrifiant pour quil me sodomise avec ce sexe factice : Faute davoir deux hommes, cest une solution de remplacement tout à fait satisfaisante, et mon amant sait si bien sy prendre, faisant aller et venir alternativement sa bite et le gode dans mes orifices que je ne tarde pas à partir une nouvelle fois dans les transes de la jouissance avant de sentir une fois encore dabondants jets se briser au fond du préservatif.
Voila comment ce à quoi jaspirais sest déroulé ce dernier weekend de février.
Merci Ludovic ! Tu pourras revenir avant ton départ !
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