La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1078)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite de l'épisode N°1074) -
Nous sortîmes, moi suivant Walter laissant le Comte de Beusgley maquignon à ses réflexions
Etant admise parmi les esclaves de Monsieur le Marquis dEvans, il me restait, avant de commencer vraiment mon chemin desclave, à passer la visite médicale obligatoire. Le Noble avait su sentourer de praticiens tels quun dentiste, gynécologue, médecin généraliste, chirurgien dont certains sont des Maîtres et chez qui, il envoie ses protégées. Même si javais conservé mon appartement à Paris, je passais le plus clair de mon temps au Domaine du Châtelain. De temps en temps, je retournais en mes murs, accompagnée par Walter. Ce retour en arrière, pourtant si récent, me paraissait à chaque fois me faire revenir dans une autre vie comme si jétais morte à quelque chose et que ma vie, maintenant était autre, complètement autre, conne dans une évidence absolue. Cest une très curieuse sensation que je sentais en moi, à chaque fois que je revenais dans mes meubles me faisant me sentir étrangère chez
moi. Pire encore, je ne me sentais plus bien chez moi, il me manquait quelque chose ou plutôt quelquun. Jen étais là de mes réflexions, tandis que le Majordome me ramenait de chez le comte pour retourner chez le Maître. Il me regardait dans son rétroviseur et me dit, me voyant pensive :
- Un problème, petite chienne ?
- (Sursautant) Non Monsieur, non, rien de grave !
Bien quil ne me répondit pas, il me regardait avec attention, après tout, je représentais pour son employeur quelque chose dimportant sur lequel il devait veiller pendant le trajet. Arrivée enfin au Château, je fus immédiatement conduite auprès du Noble qui maccueillit très chaleureusement. Je ne pouvais nier limmense joie de Le retrouver ! Monsieur le Marquis me prit dans ses bras, membrassa tendrement et me dit :
- Tu as manqué au Maître, petite salope !
De sa bouche, je pris ses paroles comme un compliment.
- Walter, tu conduiras dès demain ma petite chienne pour sa visite médicale.
- Oui Monsieur le Marquis. Pour quelle heure, Monsieur le Marquis ?
Ainsi et sur ordre de Maître, je dois passer cette révision. Réfléchissant, Maître dit :
- Walter, chez mon ami le Gynécologue, demain après-midi, pour 17 heures. Tu lamèneras selon le protocole habituel.
- Bien Monsieur le Marquis, naturellement.
- En attendant, emmènes-là maintenant aux cuisines, auprès de Marie
Jai un coup de téléphone à passer maintenant. Ramène-la-moi dans une heure.
Deux heures plus tard, Le Maître, assez agacé, demanda à Walter :
- Walter, où est Ma chienne ?
- Elle est occupée avec Marie, Monsieur le Marquis, elle na pas terminé avec elle
Veuillez mexcuser, jétais au téléphone avec Monsieur le Comte de Beusgley, votre ami qui devient, pardonnez-moi lexpression, vraiment embarrassant.
- (Surpris) Embarrassant ? dis-tu ?, et pourquoi donc ?
- Monsieur le Comte semble trop intéressé par Votre chienne, Monsieur le Marquis, et il me pose des questions embarrassantes, vraiment ! Questions auxquelles je ne sais quoi répondre.
- Lesquelles ? interrogea le Noble subitement devenu blême !
- Il me demande si Votre chienne est bonne à baiser, si elle se comporte bien au lit, si elle est docile ou pas
Si vous consentiriez à la lui céder ou à lui vendre au besoin ? Il vous en donnerait un excellent prix, selon Lui.
Le Noble devenait encore plus irrité aux dires de Walter. Subitement :
- Walter, va me chercher Ma petite chienne.
- Oui, Monsieur le Marquis.
Javais été envoyée auprès de Marie la cuisinière pour lui montrer de nouveau mes aptitudes à la faire jouir, car elle savait que je léchais bien
Et quand le Majordome entra dans la cuisine de Marie, il la trouva sur le point dexploser son énième orgasme sous mes si bons coups de langues entres ses lèvres intimes, mais lentrée inopinée du Majordome calma sa montée de plaisirs
- chienne Isabelle, ici, tout de suite, Monsieur le Marquis tattend immédiatement !
- Oui, Monsieur.
Tout en faisant une grimace au Majordome lui exprimant quelle navait pas fini de prendre son plaisir avec moi et dun coup de talon, fort mécontente, la cuisinière menvoya bouler les quatre fers en lair... Je suivais Walter, me demandant pourquoi le Châtelain me faisait venir si vite. Je remarquais que passant dans les couloirs, les esclaves mâles comme femelles sinclinaient devant lui comme ils le feraient devant le Maître
Arrivés devant le bureau du Noble,
- Reste ici, salope, je viendrai te chercher.
- Bien, Monsieur, répondis-je.
Dans le bureau du Châtelain, celui-ci se fit apporter...
- Walter, donne mes deux petits coffrets, sil te plait !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis.
- La chienne est-elle avec toi ?
- Elle Vous attend, Monsieur le Marquis
- Fais-la entrer !
- Bien, Monsieur le Marquis !
Le Majordome mintroduisit auprès du Maître, devant lequel je me prosternais en me mettant de suite en levrette, les mains bien en avant, le cul bien relevé, la tête plaquée sur le sol.
- Bien ! Bien, petite chienne, dit-il visiblement heureux de me voir me prosterner ainsi. - Je te fais venir, car, maintenant que je tai acceptée en Ma Demeure, je veux tous savoir de ta santé, de tes capacités physiologiques, de tes antécédents de santé, tes vaccins, aussi, tu vas accompagner Walter chez mon ami gynécologue qui, après tavoir visitée, me fera parvenir les résultats de ses investigations te concernant.
- Oui, Maître.
- Mais auparavant, je te dois une correction pour être arrivée en retard, tu ten souviens ?
- Oui, Maître. (je pensais, jespérais quIl lavait oubliée)
- Relève-toi donc et va te pencher au-dessus de ce canapé, tes bras, reposant sur le dossier.
- Oui, Maître.
Il me désignait un superbe canapé en cuir, au-dessus duquel, je me plaçais, les jambes devant le canapé, et les bras posés sur le dossier comme exigé, fessier bien offert, tendu et dégagé.
Le Maître, tout dabord sapprocha de mon corps, par derrière, me caressa tendrement les fesses, si tendrement, que jen eu des frissons. Il passait ses doigts autour de ma taille, si fine, (36 voire 34 parfois sur un fessier de 90) mettant en valeur ma croupe bien arrondie
Dun coup de genoux, il me fit écarter mes cuisses et jambes. Ses mains remontaient le long de mes reins, de mon dos, passaient sous mes aisselles, soupesaient mes seins, titillaient mes aréoles, mes tétons qui se fripaient sous les caresses
Je sentais contre mes fesses, la bosse significative dune envie érectile du Maître
Puis il revint vers mes fesses, attaqua directement mon clito, sans ménagement, tandis que quatre doigts senfonçaient sans préambule, rapidement en ma vulve
- Ohhh, dis-je
Maî
Maître
hummm !
Comme sil ne mavait pas entendue, il ressortit ses doigts et son pouce replié dans les doigts, tenta de forcer mon ouverture en me fistant
Jécartais encore plus les jambes pour lui faciliter le passage, et après que je fus assez ouverte, avec quelques poussées, sa main entra lentement mais sûrement dans ma chatte gluante et tellement trempée par lexcitation de son traitement. Le poignet étant passé, le reste suivit sans problème, et sa main, en boule en ma vulve, commença de me travailler en des allers et venues lentes, le temps que ma vulve se détende assez, puis plus fortement et vigoureusement. Leffet, la sensation dêtre aussi remplie fut énorme, dautant que de son autre main, il branlait en même temps vigoureusement mon clitoris qui nen demandait pas tant
- Maî
Maî
je vais
venir
hummm !
- Oui, mais quand je le déciderai et pas avant, jai dit !
- Oh Maî
Monsieur le Marquis continuait de me travailler, au point de non-retour, je tremblais sur mes jambes, ma vue était brouillée
je crus entendre le Maître parler à Walter
Celui-ci vint devant moi, dégrafa sa braguette, sortit son gros sexe démesuré et si énorme, dont le gland était gonflé et violacé.
Jen étais très excitée à en être trempée de cyprine et même si la douleur fut si cuisante que mes mains, dans un réflexe, lâchèrent le dossier me faisant perdre léquilibre, tentant de protéger mes reins, mais me faisant menfoncer encore plus sur le sexe du Majordome qui mavait de nouveau pénétrer la bouche dun coup sec. Cest à ce moment précis que celui-ci, si excité, juta en ma bouche comme il savait si bien le faire
en de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés
(A suivre
)
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