Cadeau De Noël
Jintroduisis fébrilement une pièce dans la fente de la machine à boissons. Un léger ronronnement se fit entendre, avant quun jus noir fumant coule dans le gobelet, dégageant une forte odeur de bon café qui vint titiller mes narines, ainsi que celle de ma collègue Anna tout proche de moi.
Cétaient les vacances de fin dannée et la plupart des employés avaient pris leurs congés. Même la société qui rénovait létage était absente.
Cétait la première quAnna se laisser entraîner jusquà la machine à café. Elle était du genre discret. Même si aujourdhui elle se lâcher. Et ce nétait pas pour me déplaire.
- Tu sais ce que qui me tente à cet instant ? Me fit-elle.
- Non, mais je pense que je ne vais pas attendre longtemps pour le savoir ! Non, je me trompe ?
- Daller faire un tour jusquà mon prochain bureau, me fit-elle, avant de porter le gobelet à ses lèvres et den boire une gorgée.
Je mattendais à tout mais pas à ça.
- Je ne vois pas ce quil y a dintéressant à aller voir son bureau en plein travaux. Mhasardais-je à lui dire.
Elle me sourit comiquement en reprenant une nouvelle rasade de café.
- Ça mamuserait pourtant dy aller. Cest comme ça, je ne peux rien ny faire
- Cest tout de même risqué
Si jamais on te surprenait là-bas
je te rappel que cest interdit au public
lui désignant de lindex le panneau.
- Mais regarde autour de nous. Qui veux-tu qui me surprenne ? Soit réaliste, nous sommes les seuls à travailler dans ce foutue bâtiment.
- Alors pourquoi ten cause. Grimpe les marches et vas-y !
- Oui ! Mais pas toute seule.
- Tu vois ! Je ne sens pas la sérénité chez toi !
- Tu veux maccompagné ? Allez soit gentil
- Et pourquoi le ferais-je. Cela ne mintéresse pas
- Pour me faire plaisir
tiens !
Elle jeta son gobelet dans la corbeille, et savança jusquà lescalier en marbre.
- Allez viens !
Je vidais le contenu du gobelet et le jetai dans la corbeille avant de la suivre dans sa frasque. Se tenant dune main à la rampe, elle grimpa lunes après lautre les marches en roulant des fesses. Consciente que sa robe moulait étroitement le sillon des fesses.
Arrivée sur le pallier, elle constata que je ne lui avais pas menti. Il ny avait rien dintéressant à voir. Que des pièces vides, avec ça et là des tas de gravats, de cartons, de plastiques. Mais quune chose intéresser Anna, celui de découvrir ses nouveaux locaux. Et pour ça, elle mentraîna jusquau fond du couloir là où se situé son bureau. Que fut sa surprise de constater que lui, était à peu près fonctionnel. Trois bureaux de métal partagés lespace, ainsi que des fauteuils tendus de skaï. Des étagères vides habillées le mur repeint en banc. Ils avaient même remplacé les vielles fenêtres par des baies vitrées. Dailleurs comme il pleuvait, leau ruisselait sur les carreaux. À travers le rideau de pluie, je distinguais la ville avec ses quelques fenêtres éclairées dune lumière jaune.
- Ils nont pas rechigné sur la qualité, fit-elle en ouvrant les tiroirs de son ce qui devait être son espace de travail dans les prochains jours. Il te plaît ?
- Oui, mais dit moi pourquoi le troisième bureau. À ce que je sache vous nêtes que deux. Toi et Dolorès.
- Delphine vient nous rejoindre.
- Ah oui ! Je nétais pas au courant.
- Tiens ! Tiens ! Elle ne te la pas dit ?
Elle me coulait un regard en biais, attendant ma réponse :
- Non ! Et pourquoi me laurait-elle dit ?
- Je ne sais pas moi ! Des bruits de couloirs racontent que vous avez lair de bien vous entendre tous les deux.
- Ce ne sont que des bruits de couloirs
répliquais-je
- Ah oui ! Pas plus que ça ?
- Je sens que tu veux en savoir plus sans payer ! Je me
Trompe ?
- Avec mon aire de conne et ma vue basse, je ne reste pas moins au courante de pas mal de chose
tu peux me croire
Je ne pus mempêché de rire.
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Tu nes pas obligé
mais si tu me le dis je te jure de le garder pour moi !
- Javoue que oui, il marrive de prendre du bon temps avec elle. Entre-nous elle me suce tellement bien
Elle resta un instant sans réaction. Ne sattendant sans doute pas à entendre sortir de ma bouche de tel propos.
- Oh ! Sans déconner ? Fit-elle, se décidant malgré-elle de rompre le silence.
Je me rapprochais dun pas.
- Cest quelle sait y faire
elle, la coquine.
- Ooooh ! Jen suis les jambes coupées. Et sur ça elle se laissa tomber sur le siège.
- La salope
la salope de Delphine, ça alors
cétait vrai ! Murmura-t-elle en se relevant aussi vite quelle sétait assise. Jurant comme un charretier : Oh merde ma robe !
- Que tarrive-t-il ?
- La chaise
la chaise
il y avait de leau ? Gémit-elle en se frottant désespérément le postérieur.
- Attends, je vais tessuyé, fis-je en prenant un chiffon blanc qui traîné sur un siège.
- Mais non, insista-t-elle. Ce nest pas la peine !
- Mais si, je tassure ! Répondis-je en lui désignant le chiffon que je tenais en main.
Je lui pris dautorité la taille dune main, lui faisant pencher légèrement le buste en avant et entrepris de la frotter. Jen profitais bien, pour lui peloter le derrière de haut en bas. Il nen fallait pas plus pour faire grimper ma libido en flèche. Au point de me faire dire nimporte quoi :
- Tu as sûrement la culotte mouillée aussi ? Tu permets que je vérifie ?
- Ne profite pas trop de la situation, veux-tu ? Répliqua-t-elle, en riant. Dun rire nerveux comme pour laisser filer sa tension et minimiser le caractère hors normes de la situation vécue.
Faisant la sourde oreille, je pris linitiative de retrousser sa jupe. Et par ce geste je fis connaissance avec sa culotte. Elle était en dentelle noire, tendue à craquer sur les fesses. Pas un seul moment elle avait essayé de la rabattre.
- Cest vraiment trempé. Constatais-je. Appuie-toi sur le bureau, ça sera plus pratique.
Elle sexécuta, posant ses deux avant-bras sur le plateau poussiéreux. Elle toussa de surprise quand je glissais mes doigts sous la ceinture de la culotte. Elle toussa toujours, alors que je le baissais, découvrant son fessier, dont jadmirai sa rondeur.
Jallais de surprise en surprise avec cette collègue plantureuse. Que javais de prime abord, mais visiblement à tort, rangée dans la catégorie des secrétaires réservées, voire timorées.
La raie était profonde, entre les deux globes dun blanc laiteux. La peau se couvrait de chair de poule. Pour en voir un peu plus, je me baissais, me saisissant par la même occasion du sous vêtement. Je pus alors apercevoir la vulve poilue. Je ne pus résister de lui effleurer la peau de haut en bas, tout en me redressant. Je lui murmurais dune voix traînante :
- Tu sais, Delphine aussi, elle a de belles rondeurs, comme toi, ainsi quune taille aussi fine.
Cest alors quAnna éclata de rire.
- Delphine
une taille de guêpe ! Tu te moques de moi
Alain.
Lexcitation me faisait dire nimporte quoi.
- Bon
bon, javoue
quelle est bien en chair !
- Oh
- Mais hormis son physique, cest tout de même une bonne suceuse.
Je leffleurais de nouveau. Sous ma caresse, la peau shérissa de nouveau de chair de poule. À cet instant, plus rien compter pour moi que de découvrir son anus. Jécartais pour cela furtivement les deux globes et une odeur forte monta jusquà mes narines. Mais pas le temps de mattarder dessus que déjà Anna se redressa en minant la colère.
- Bon ! On arrête là
avant de faire de grosses bêtises
dailleurs
- Dailleurs quoi, tu es excitée, raillais-je.
Elle poussa un cri de honte.
- Arrête ! Je naime pas ça !
- Moi jaime ! Et cest pour cela que tu vas te laisser faire
- Oh non ! Gémit-elle, sans chercher, le moindre du mode à méchapper.
Je triomphais, et jen profité pour aventurer mon index là où je le désirais. Son anus était si dilaté quil coulissait sans effort. Je griffais doucement lintérieur du conduit anal. Elle donna même un coup de reins en arrière, en poussant une plainte.
- Mais si ! Tu vois que tu aimes ça.
Elle était trop attisée pour protester. Je fis tourner mon doigt, alors quelle remuait son cul. Sa respiration sétait accélérée. Un filet de mouille sécoulait le long de ses cuisses. Je menivrais de lodeur forte de mouille et de sueur chaude qui émanait de lentrejambe.
Je la pris aussitôt dans mes bras. Elle tremblait, alors que je caressais ses genoux, avant quelle disparaisse entièrement sous sa robe. On nentendait dans le bureau que la pluie frappant sa colère sur les vitres.
Elle avait la peau si douce et chaude. Peu à peu ma main fit son chemin, parvenant sur le renflement pubien. Anna vint au-devant de ma tendresse, alors que je passais mes doigts dans la forêt de poils fin et doux. Continuant, leur pèlerinage, ils trouvaient le clitoris durci quils dégageaient de son capuchon. Le majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. Elle respirait bruyamment, ouvrant et refermant les cuisses.
Mes doigts abandonnaient alors son petit bouton pour atteindre la fente et ses petites lèvres, puis le trou béant du vagin inondé. Cétait dabord le majeur qui le pénétra, sen suivit lindex et enfin de lannulaire. Ma main opérait alors au plus profond de son antre. Un massage lent et circulaire. Elle remuait des reins, de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant un bruit humide.
Elle soffrait à ma main. Écartant tant quelle le pouvait les cuisses. Elle gémissait, dun gémissement langoureux, non feint, sous ma masturbation de plus en plus effrénée. Je percevais chez elle un trouble réel.
Je me déboutonnais. Exhibant ma verge. Je me suis saisis du poignet dAnna, et lui fit prendre ma verge. Instinctivement, elle commençait à faire coulisser la peau sur le gland au même rythme que ma main qui la fouillait. Mais très vite je me lassais de la branlette, qui me procurer pas plus de plaisir que ça. Et je lui fis part dune proposition, avec une voix câline :
- Cela te dira que je remplace ma main par ma langue ?
- Quoi ! Tes fou. Non pas comme ça
là
maintenant.
Jaugmentais la cadence de ma branlette, tout en lui murmurant à loreille avec un ton, plus pressant :
- Tu ne vas pas me dire que ne taime pas jouir sous une langue, dit-moi ?
- Non Alain, fit-elle dune voix rauque, il ne faut pas ! dit-elle toute paniquée.
- Tu naimes pas te faire sucer ?
- Tu sais ! Questions préliminaires
moi je ne connais pas trop. Mon époux est du genre
comment dire : direct. Il passe tout de suite au plat principal, pas dentrée chez lui en quelque sorte.
- Oui, je veux bien croire ce que tu me dis, mais moi je te propose une entrée, là tout de suite, fis-je.
- Oui
jai bien compris. Mais
mais pour ça. Bafouilla-t-elle. Il
il faut que je me toilette
si tu vois
ce que je veux dire. Je ne me sens pas
présentable
- Au contraire ma belle. Je sens chez toi une femme excitée, et moi, tu sais ? Et bien jaime ça
Elle prit son temps pour réflexion. Entre temps javais cessé de la branler. Le détaillant détaillait avec un sourire gourmand. Je caressais les fesses. Explorais la raie profonde où palpitait la rondelle brune de lanus brun violacé, aux fronces en soleil, luisait au centre de la raie tapissé de poils sombres englués de sueur.
Jenfonçais lindex dans lorifice brûlant, entamais un va-et-vient rapide. Haletante, elle resserrait son sphincter autour de mon doigt qui coulissait dans son rectum. Elle creusa ses reins pour bien saillir sa croupe. Prenant la position idéale, Je lui léchais la raie en insistant sur le trou du cul que je déplissais avant dy darder profondément ma langue. Son anus était devenu large et souple. Une vraie chatte. Aussi large et aussi gourmande. Il est tellement accueillant que jy fourre le nez tout en lapant sa figue fendue et juteuse à souhait. Ma cochonne de collègue ondulait des fesses.
Ses gémissements répétés. Ses ondulations lascives, me faisaient savoir quelle au bord de lextase. Je redoublais dardeurs mes coups de langue, à en avoir une mâchoire endolorie. Le corps dAnna sagitait. Je me noyais en elle, comme elle se noyait dans le plaisir.
Je pris mon temps pour me redresser. Mais alors que jarrivais à sa hauteur je la vis tenir en main un préservatif. Elle sempressa de prendre ma verge dans sa main et de me branler vivement, avant de dérouler un préservatif dessus. Puis elle fit masseoir sur une chaise et me chevaucha. La pénétration nétait quun jeu d. Aussitôt elle étouffa un cri de plaisir. Son sexe semblait avoir été fait sur mesure pour le mien. Ses yeux noirs se perdaient dans les miens. Son sourire illuminait son visage doux. Je perdais ma bouche sur la sienne. Pendant quelle jouait des hanches pour ce faire pénétrer au plus profond, je palpais ses seins à travers le lainage. Jouais avec ses tétons, dressés par lexcitation. Je dégustais ses lèvres, tout en lui offrant des râles gutturaux. Je lui avais allumé un incendie en elle. Soumise aux frictions rapides et vigoureuses de ma verge. Sa chatte sembrasait, prise de convulsions. Je sentais monter en moi les prémices de la jouissance, alors quelle ondulait de la croupe, dodelinait de la tête, et couinait son plaisir sans réserve. Le plaisir montait toujours à en avoir mon sexe prêt à exploser. Ma respiration saccéléra. Sans un rictus, sans un cri ni même un chuchotement, jexpulsais mon sperme en cinq puissantes saccades aux espacements réguliers. Terminaison de ma jouissance éprouvée.
Elle ramassa sa culotte et lenfila rapidement.
- Oh Alain, je te promets dorénavant dêtre gentille avec toi, si tu le veux !
Je lassois sur un de mes genoux, lui touchais le gras des cuisses et déclarais :
- La prochaine fois, je te ferai mettre toute nue ! Dans ton futur bureau, pendant les heures de bureaux.
Puis je la fis se lever et la congédiée.
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