Cruising Club 2

Paris, dans un bar gay à Paris… ( avant le virus )

Il m'a fallu peu de temps pour m'imprégner de l'ambiance… Des hommes dans la force de l'âge, des mâles en chasse descendent ici au sous-sol pour consommer du sexe.

Une musique assourdissante, une chaleur presque étouffante, un éclairage minimaliste… N'importe qui, même pudique, dans ces conditions, ose franchir des barrières.

Un petit jeune arrive à la recherche d'une rencontre. Il me parait bien aventureux pour venir ici dans le sous-sol de ce bar. Vu les mâles virils qui sont postés en attente le long des murs et dans les recoins, il va se faire remplir le cul sans tarder…

A peine jette t'il un œil dans un mini box mal éclairé et sans porte, qu'un bras puissant l'attire. Le jeunot ne résiste pas, bien au contraire, et se laisse emporter par son désir d'être fécondé.
Mon côté voyeur est trop fort, je m'approche… j'adore mater des mecs qui baisent.

Le prédateur, la trentaine passée, un profil de Slave mal rasé ( pourquoi pas un marin ou un légionnaire ) a ferré et senti le petit jeune passif en chaleur qui va assouvir son instinct de copulation, son besoin de vider ses couilles trop pleines.
Ses bras noueux et robustes enveloppent la jeune proie consentante qui tend sa bouche délicate vers ce mâle. Le mec ne l'entend pas ainsi et semble peu disposé aux câlins. Un profil autoritaire et macho se dégage de lui: il retourne le mignon, passe sa large main sous son tee-shirt pour lui palper le corps tandis que l'autre main lui tripote les fesses de façon vicieuse et sans équivoque sur son envie. Le jeune sait tout de suite à quoi s'attendre…

Un sénior débraillé tente de s'incruster dans le box mais le Slave le repousse sans ménagement et lui fait comprendre qu'il ne partagera pas et, bizarrement, en ne me disant rien, il m'autorise à rester, sans doute pour faire barrage au niveau de la porte manquante.
Une odeur de mâle en rut règne dans ce cagibi.

Vu l'étroitesse du lieu, la promiscuité entre nous, la situation est trop excitante, je bande comme un cerf.

Le mec, un gars costaud bien charpenté, envoie une vigueur de mâle Alpha. Il est ravi d'étaler, d'imposer sa domination sur le petit qui se trémousse d'aise qu'on le désire. Ses traits fins, la blondeur de ses cheveux renforcent son côté encore ado comparé au Slave qui porte sur lui les stigmates d'un dur à cuire, d'un baroudeur sûr de lui, d'un mâle dominant.

Le minet en chaleur s'offre comme une petite pute, lâche des petits couinements si agréables à entendre à chaque pincement de ses tétons puis soulève son tee-shirt, s'en débarrasse, tant il a soif de préliminaires et de sexe.
Les bras veineux et cuivrés du mec tranchent avec cette douceur de peau de bébé puis sa main plonge dans le jogging du jeune qui se délecte de cette intrusion pour découvrir le galbe de ses douces fesses.
Pris d'une fièvre sexuelle qui le déborde et voulant satisfaire son mâle et son maître, il se libère complètement de ses fringues.
Le blondinet apparait nu comme au premier jour…Mon Dieu quelle beauté ce garçon!

Son corps fin et sculpté aurait pu servir de modèle à Léonard de Vinci. Une peau de lait à peine bronzée, de petits tétons rougis agacés par les doigts vicieux du mâle dominateur. Un léger duvet autour de son sexe tendu et ses couilles mignonnes et lisses renforcent son côté petit mec à baiser.

Une sublime merveille de la nature avec un vrai boule de pute Brésilienne… et chaud comme la braise tant il se tortille… Que demander de plus pour un mateur!

C'est sûr, il n'est plus puceau. S'il est ici dans le sous-sol de ce bar, c'est pour se faire niquer, pour se faire ramoner par multitude de mâles.

Le Slave amplifie son emprise, l'étreint, se frotte sur son corps magnifique d'éphèbe, l'oblige à se laisser faire. Ses mains vont et viennent, caressent avec avidité sa peau soyeuse, écartent ses fesses pour aller palper l'œillet. Celui-ci ne résiste pas et se tortille comme un asticot en émettant des petits cris jouissifs lorsque les gros doigts besognent en lui pour lui assouplir la rondelle.

Mon excitation est à son maximum, surtout quand le marin ou légionnaire, va savoir, défait son ceinturon pour libérer son arsenal de tir. Mes yeux, qui se sont habitués à l'éclairage ambiant, découvrent un magnifique phallus, arqué vers le ciel, gorgé de sève.

Fier de son attribut, il s'arrange pour me le faire voir, m'invite à tâter son gourdin, se réjouit de mes yeux émerveillés et fini de décalotter la tête de l'ogive. Putain l'engin! Il va faire des ravages dans le petit cul de la fiotte !
Le mignon, trop ravi de ce qui va lui arriver, tend sa croupe et se galbe, chaloupe du cul… comme la chatte sous le gros matou. D'une main rapide il contrôle le gabarit du pieu dressé, réalise la situation et montre un léger désarroi tant le bambou plein de sève l'ébahit. Le Slave, ravi de l'effet et sûr de sa domination, le plaque de force contre la paroi, simule une copulation et glisse son manche de pioche entre les jeunes fesses blanchâtres, lui fait sentir son superbe mandrin, frotte son gland gonflé sur la rosette humide salivée par ses soins.
Son corps ondule à la recherche de l'angle parfait pour enquiller ce petit corps en transe pendant que le jeune cogite soudain que ce mandrin de mâle expérimenté va l'emboîter.

J'en profite pour caresser la poitrine du jeunot. Le Slave laisse faire, trop occupé à se positionner pour l'accouplement. Le blondinet émet de petits gémissements… est ce dû à l'irritation des ses tétons rougis que je pince ou au nœud dur et baveux du mec qui s'est calé dans son œillet et le dilate, l'ouvre, je ne sais pas…
Puis, parce que cela devait arriver, le Slave prend sa bite raide à pleine main et, sûr de lui, l'emmanche; un souffle court et un couinement de jeune enculé royalement servi sort des poumons du jeunot. L'imposant, le magnifique phallus du baroudeur vient de s'enchâsser dans la grotte humide et chaude du minet.

La main à me branler, il ne faudrait pas grand-chose pour que je jute. J'adore ce moment. Ils sont si près de moi et j'imagine ce magnifique sexe dur qui force le chemin, qui s'impose.

La tête à baver sur la cloison, il halète et subit. Il n'a pas le choix. Il ne branle plus sa petite queue, trop occupé à couiner comme une geisha. Lentement, l'étalon le pénètre de sa belle tige raide, lui taraude le boyau, s'enfonce en lui. Le puissant mâle entend bien lui la mettre jusqu'à la garde. La saillie ira jusqu'à son terme, jusqu'à la fécondation, c'est pas le mec à renoncer, à se laisser impressionner par les simagrées du petit blond.
.
Après l'ajustement nécessaire, très érotique, ou le Maître soumet son esclave en chaleur, les gémissements se font plus sensuels. Vaincue par le puissant foret, la rondelle a capitulé et cédé le passage. Les grosses couilles poilues du costaud sont arrivées en butées, le braquemart est solidement emboité.
Le mec de l'Est bave et respire dans les oreilles de sa proie, lui chuchote quelques mots, se régale de sa domination, lui envoie quelques sérieux coups de queue bien profonds pour lui signifier qui est le mâle ici.

Le Slave prend son temps et lime avec passion. Il manœuvre, va et vient dans le cul du petit blond qui couine tel un petit chat, ce qui régale le baroudeur. Ses bras puissants caressent le corps lisse tout en le maintenant fermement à sa volonté. Sa bite vigoureuse pilonne dans le trou chaud, arrachant au jeune des cris langoureux pleins de bonheur… Il se tord de plaisir d'être ainsi fouillé, plaqué contre le mur, à la merci des caprices de cette bête de sexe qu'est ce mec musclé et viril, ce solide gaillard endurci par la vie.
Depuis combien de temps n'a-t-il pas assouvi de désir charnel? Il le baise, lui fait l'amour, le viole, le nique à s'en péter les couilles, trop heureux d'avoir trouvé ce petit cul douillet pour sa bite majestueuse.
De plus en plus chaud, d'un geste rapide, il soulève son teeshirt et plaque son ventre en sueur et ses abdominaux musclés contre le corps enfiévré du soumis.

La cloison en contreplaqué vibre à chaque coup de bite envoyé profond. Le pantalon treillis du mec est maintenant descendu à mi cuisses et laissent entrevoir de temps en temps le cylindre dur qui besogne entre les fesses du petit blond.
Quelle résistance, quelle dégustation de plaisir charnel!
My God, Putain que c'est beau à voir…. Cette virilité qui s'exprime est magnifique!

Chaque mouvement respire la volupté, la chaleur de ces deux corps en rut, emboîtés jusqu'à la jouissance finale. Le petit blond, le trou maintenant bien élargi et dilaté, de plus en plus en rut, fait sa pute comme dans les films pornos gay, sans doute pour faire plaisir à son mâle.
Des mecs, attirés par les cris d'enculé et par le barouf de cette copulation merveilleuse, sont arrivés dans l'encadrement de la porte manquante, matent à gogo, se branlent sans pudeur.

Les coups de bite se font plus énergiques, plus rapprochés, plus amples. Haletant et soumis à ce vérin qui lui perfore le fion, débordé par la situation, il s'accroche tant bien que mal à un tuyau qui passe là et tente de se dégager. Mal lui en prend, le mec le retient fermement et entend bien lui porter l'estocade à sa façon.

Le jeunot réalise peut être qu'il va se faire remplir le cul par plusieurs giclées de sperme fertile car le Slave n'a pas chaussé de capote sur sa superbe queue. Il est trop tard…un cri bestial s'échappe de l'étalon et rempli le sous-sol pendant qu'il reste ancré bien profond dans ce cul divin et vide ses couilles remplies à ras bord.
La fécondation se fait, sans le moindre doute. Un mec qui matait, trop excité, éjacule. J'imagine le gland du Slave qui crache et dégueule sa réserve de foutre bien au fond du boyau. L'instant est magnifique, sublimé par deux coups de queues qu'il envoie comme les répliques d'un séisme.
Le petit jeune, lessivé, laisse échapper quelques gouttes…sans doute a-t-il jouit d'être ainsi baisé.

Le Slave a bien émis quelques mots pendant qu'il coulissait comme une bête dans ce cul délicieux mais personne ne saurait traduire ici ses paroles obscènes. Tout le monde s'en fout.

Il desserre enfin son étreinte sur sa jeune proie et pour la première fois il sourit. Un sourire vicieux et heureux d'avoir baisé ce passif en demande et de lui avoir juté dans le cul. Satisfait de sa capacité de dominant, d'une main ferme, il lui appuie sur la nuque, lui fait comprendre de sucer ma bite raide, sans doute pour me remercier d'avoir préservé sa tranquillité pendant qu'il baisait.

Le jeunot, hypnotisé par ce mec qui est encore en lui et qui vient de lui donner tant de bonheur, ne bronche pas… Sa bouche pulpeuse et chaude se referme goulûment sur ma tige.

Le Slave aboie et gueule sur le jeunot qui aspire, s'applique, comprend qu'il ne doit pas le décevoir. La pipe est délicieuse. Dominateur moi aussi, je lui bloque la tête, l'oblige à me téter, lui fait comprendre qu'il devra avaler mon jus. La pipe est merveilleuse, divine...

Trop excité par l'accouplement à la fois bestial et érotique auquel j'ai assisté, je ne vais pas tenir longtemps. Le bonheur est trop fort, mes sens se perdent, je gémis, me contracte, braille ma libération… Plusieurs giclées fusent et tapissent sa langue, lui remplissent la bouche. J'ai l'impression de ne m'être jamais autant vidé tant j'avais envie de juter.
Le Slave rigole de la situation, me donne une grosse tape sur l'épaule pendant que le jeune déguste son yaourt et que je profite de ce confort suprême. Graissé des deux bouts, il se redresse, ébahi de sa copieuse collation et du manche qu'il s'est pris dans le cul. Il tâte son fion dilaté qui doit suinter le foutre et donne un bécot à son maître pour lui montrer tout son bonheur.
Celui-ci reste autoritaire, dominateur. Il est venu dans ce bar pour se vider les couilles, point barre et, tel un mac, il fait rentrer dans l'étroit box le sénior en rut, sans doute un touriste, qui n'a rien lâché de son intérêt pour le petit cul blond.
La bite en feu, sans complexe, trop excité, impatient, la bite dressée, il entend bien fourrer ce cul en chaleur.


Le petit jeune ne fait pas le poids face à cette force de la nature débraillée et tatouée, avide de baiser.
Coincé dans le box, à la fois soumis et ravi, impressionné par la carrure du mâle, il se prépare à l'accouplement et présente son cul. Ah, ces petits jeunes, tous les mêmes, très gourmands…

Le Slave et moi, nous restons là à assister à cette saillie. Le petit blond s'accroche et couine, demande grâce pendant que le sénior, peu délicat dans sa façon de copuler, lui loge son appareil reproducteur assez conséquent dans son trou lubrifié de sperme Slave. Il s'active, enquille le petit cul, lui fouille les entrailles. Encouragé par le baroudeur à côté qui insulte la jeune lope et qui lui ordonne d'offrir ses fesses, le spectacle est torride, la baise sublime.
Tel un vieux bouc, il s'arque boute pour ne perdre aucun centimètre. Son plaisir est immense et il nique, il nique…

Vaincue, soumise, la fiotte gémit son plaisir, couine presque en silence. Tous les mateurs ont compris que le vieux a réussi à lui fourrer sa bite épaisse dans le cul. Un autre mec éjacule en gueulant et moi, je rebande en imaginant tout le plaisir de l'enculé et la satisfaction du baiseur.
Ravi de la situation, il le coulisse sans délicatesse et l'on entend ses grosses couilles pendantes venir plaquer contre les petites fesses consentantes et heureuses.
Le petit va se prendre une deuxième cartouche, ça c'est sûr. Ses grosses poignes sur les hanches du minet, il assouvit enfin son envie et le nique sans état d'âme, comme une prestation attendue, fier de baiser ce jeunot devant les autres.
Les coups de reins sont fermes, la cloison claque, le vieux ne va pas le louper et va lui larguer à son tour sa semence. Ca ne tarde pas et c'est dans un râle de jouissance absolue qu'il lui rempli le conduit anal.

Le jeunot, un peu sonné par ce qui vient de lui arriver, incrédule et émerveillé de s'être fait sodomiser par deux balèzes pareils aussi chauds avec des bites si bonnes, tâte son fion dévasté.
Il voulait se faire baiser, il s'est fait baiser. Il n'est pas du tout déçu, ça se voit.

Le mec de l'Est rigole et, sans état d'âme, d'autorité, signifie au jeune passif de lui sucer la bite. L'esclave obéit à son maître…
Il a compris l'emprise qu'il a sur ce petit mec et entend bien en profiter. Aussitôt à genoux, sa bouche pulpeuse se referme sur le magnifique phallus du Slave pendant que les bras noueux lui donnent la cadence…et il lui impose direct des gorges profondes…

……………

Il fallait que je rentre, dommage pour moi…
Je suis reparti à la fois excité et déçu de devoir partir mais satisfait d'avoir juté et d'avoir vu cette baise magnifique. Dans le train, j'ai pensé à ce que j'ai manqué, ce que j'aurais pu faire encore en restant plus longtemps…


Caramel35
Prenez vos précautions, prévoyez les préservatifs. Dans ces lieux de rencontres, il faut être équipé.
Une fois dans le cul, l'excitation est trop forte, on fait n'importe quoi.
Ce n'est pas parce que les mecs baisent sans préservatif dans ce bar gay que vous êtes obligés de faire pareil. Vous êtes des grands garçons…

Merci pour vos commentaires et pour vos mails