Un Couple De Libertins Découvre Le Monde D/S

Merci à Gilles de m’avoir raconté sa vie de couple libertin et de m’avoir donné matière à cette nouvelle histoire ! Son souhait (les prénoms ont été changés) était de tester virtuellement le monde D/s au travers d’une histoire. La voici.

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Comme tous les étés depuis plusieurs années, nous rejoignons Sylvie et moi le Cap d’Agde. Le beau temps, la chaleur, l’ouverture d’esprit, tout est propice à l’exhibition et au libertinage. J’adore exhiber le corps de ma belle épouse dans le plus simple appareil. Sentir le regard envieux des hommes et jaloux des femmes.
Mais laissez-moi vous la décrire, grande, avec des formes là où il faut, à l’aise dans sa peau. Brune parce que le blond n’est plus à la mode comme elle dit, bien que je la préfère en blonde. La cinquantaine tous les deux.

Il est 7h du matin, à cette heure-là en pleine été, il n’y a que les clébards et leur maître sur la plage. Ma femme, Sylvie, a juste passé une robe sur son corps aux formes pleines que j’aime tant. Innocemment, elle prend la pose, soulève sa robe et montre sa chatte entièrement rasée à mon appareil photo. Quelques voyeurs, me lancent des sourires de connivence et moi, j’aime tellement la voir ainsi que je bande comme un âne dans mon short. Un coin un peu plus tranquille et voilà Sylvie entièrement nue, les pieds dans l’eau, à jouer à cache-cache entre les gros rochers du bord de plage. Humm le sable qui se colle sur ses fesses, comme autant de paillettes qui accrochent la lumière ! Je ne me lasse pas de la voir ainsi.

Je suis tellement à ma contemplation que je ne remarque pas l’homme qui s’approche de moi avant qu’il ne me dise :

-Elle est belle votre femme.

Je sursaute et détaille le nouvel arrivant. Taille moyenne, polo de marque sur un jean, cheveux grisonnants et légèrement bouclés. Il n’est pas particulièrement beau mais dégage un certain charisme. Je vois à l’intensité de son regard que Sylvie ne le laisse pas indifférent.

La force de l’expérience dirons-nous.

-Nous sommes libertins, Sylvie et moi. Vous voudriez nous joindre à nous ce soir ?

Le regard de l’homme passe de Sylvie à moi avant de revenir vers elle. J’ai eu du mal à ne pas baisser les yeux, tant l’intensité que je lis dans ses yeux gris est immense.

-Oui, pourquoi pas ? Je suis aussi adepte du libertinage. Moi c’est Marc, ajoute-t-il en me tendant sa main
-Gilles

Nous nous entendons pour prendre un verre dans un lieu public avant de nous séparer. La journée passe et le soir nous nous retrouvons à l’heure fixée avec Marc. Ayant une certaine habitude, nous ne sommes plus aussi fébriles qu’au démarrage de notre vie libertine pour les préparatifs.

Nous retrouvons notre homme à l’heure fixée. Il fait la bise à ma femme en la complimentant sur sa toilette et nous offre des bulles. Marc nous pose des questions sur nos pratiques, ce que nous aimons. Il est très à l’écoute, sans jugement, ce qui est bien agréable.

- Je suis plus que libertin, je suis Maître D/s et je sens que vous êtes des soumis en devenir, avec un très fort potentiel. Est-ce que vous aimeriez tenter l’expérience ce soir ? Je sens que vous en mourrez d’envie…

A l’évocation de cette idée, mon cœur se met à tambouriner dans ma poitrine. Marc a vu juste, j’ai très envie de relation D/s. Mais qu’en est-il de Sylvie ? Déjà que c’est moi qui l’ai poussé au libertinage. Je lui jette un coup d’œil. Elle regarde avec intensité Marc. Je sens de la peur en elle. Elle est crispée. Quand elle me regarde, ces yeux me disent : j’en étais sûre, toi tu as envie.
Marc reprend
- La soumission, c’est d’abord le plaisir des soumis. Le Maître est là pour les guider et les mener vers de grandes jouissances, beaucoup de plaisir… Je vous laisse en tête à tête pour en discuter librement. Je vous attends dehors devant le café.

Dès que Marc a passé la porte, Sylvie me lance, presque résignée :
- Tu as envie n’est-ce pas ?

Je n’ose pas répondre « oui » et je le murmure doucement.

- Je pense qu’on peut lui faire confiance et nous sommes tous les deux.

Je lui prends la main et la caresse doucement.
- On tente l’expérience ?

Sylvie acquiesce et en sortant du café, nous proposons à Marc de nous rejoindre à notre mobile-home.

Alors que nous nous installons au salon, le ton de Marc devient tout à coup cassant et autoritaire lorsqu’il nous somme
- A poils les deux salopes !

Je reste interdit. A-t-il bien dit les « deux » salopes ? C’est-à-dire Sylvie et…et moi ? Non mais pour qui il se prend celui-là ? Alors que mes lèvres s’ouvrent, il répète d’un ton ferme et glacial

-J’ai dit « à poils les deux salopes » !

Ma femme obtempère la première et avec un regard coquin à mon encontre, m’enjoint à faire de même. Alors je me déshabille et Marc agenouille Sylvie devant lui pour sortir sa bite d’une taille tout à fait respectable. Sans se faire prier, elle enfourne avec délicatesse sa queue qui pointe au zénith.

- Mets-toi à quatre pattes, chienne, me demande-t-il le plus sérieusement du monde.

Contre toute attente, j’obéis, moi le leader né, qui a plus l’habitude de commander que d’être sous la direction de quelqu’un.

Marc positionne Sylvie à quatre pattes sur le canapé. Il veut la prendre en levrette, une position que ma femme détestait à nos débuts dans le libertinage. Je vois ma Sylvie se débattre et comprends vite pourquoi.

- Ne bouge pas salope! Ta chatte c’est pour ta lopette de mari. Moi je veux ton beau cul! Et toi le cocu, ajoute-t-il à mon encontre alors que j’esquisse un geste en direction de ma femme, tu ne bouges pas non plus !

Marc assène une fessée à Sylvie pour ponc ses dires.
- Alors doucement svp. Je suis vierge du cul! Geint-elle
- Approche le cloporte. Viens lécher le fion de ta gonzesse, cette rondelle qu’elle t’a toujours refusée!

Alors que je pensais détester être humilié, c’est tout l’inverse qui se produit.
Je lèche donc la rondelle de Sylvie. Je la sens palpiter sous ma langue, j’adore.

- Tu ne veux pas qu’elle souffre ? Allez, astique-moi bien le manche, maintenant!

Moi, sucer la bite de cet homme ? Mais je ne suis pas bi ! Alors je m’attarde plus que nécessaire entre les lobes fessiers de madame. Marc ne l’entend pas de cet œil et approche son énorme bite de mon visage, il me biffle même trouvant que je ne vais pas assez vite. Et me voilà à sucer le chibre de cet homme qu’hier je ne connaissais pas.

Je me sens violer, par la bouche. Je suffoque avec sa queue hors norme mais je m’applique sous le regard envieux et lubrique de ma femme. Le mec la doigte avec dextérité. Il s’y connaît le bougre. Mon ego en prend un coup.

Et moi, contre toute attente, je bande comme un fou ! Maître Marc le remarque :
- Mais c’est que la Chienne voudrait aussi y goûter !! Haha ! Il s’adresse alors à ma femme, Salope ! prend de la glace dans le seau à champagne… C’est bien, tu es une bonne chienne docile, maintenant applique sur la petite bite de ton cocu de mari.
Je vois alors un sourire s’épanouir sur ma visage de ma femme qui me regarde avec cette lueur de vengeance au fond des yeux « Tu l’as voulu cette domination, tu m’as supplié et bien alors tu vas être servi ! ».

Le mordant du froid sur ma bite, indescriptible. Mon service 3 pièces se replie en un rien de temps et n’est plus que l’ombre de lui-même. Je gémis malgré moi.

- Maintenant, met cette cage de chasteté sur la nouille de ton cocu.

Non, non, non, je pense en moi-même ! Pas de cage de chasteté ! En un clin d’œil, ma pauvre bite se retrouve coincée…

⁃ Suffit! Maintenant observe le Maître, cabot.

Son sexe s’approche doucement de l’oeillet de Sylvie Il appuie sur le sphincter. Doucement en lui susurrant avec tendresse

- Détends-toi ma belle. Respire, laisse-toi faire.
Ma femme regarde au loin et sa bouche s’ouvre en même temps que son trou.
La bite de son amant est gobée. « Ooooooohhh » chante t elle.

- Tu es bien serrée. Tu es bonne. Dis Merci Maître!
⁃ Merci Maître
⁃ Tu as une voix suave, salope.

Maître Marc prend son temps et je l’en remercie pour ma femme. Il laisse son cul le soin de s’habi à son chibre et peu à peu commence un lent va-et-vient qui fait pénétrer sa bite de plus en plus loin dans son fondement. Les « Merci Maître » se font de plus en plus emplie de plaisir. Mon sexe se sent bien à l’étroit dans son étau. Quelle frustration !

- Tu vois comme elle aime ça, ta pouffiasse le cocu ?! Approche-toi et vois comme ma bite coulisse bien dans son fion à ta pute.

Il la caresse avec possessivité et lâche une claque sur son fessier. Elle couine de surprise. Je la connais, elle se détend, elle aime ça ma femme, elle se débloque. Que je souffre cérébralement. Que c’est bon de souffrir !

Maître Marc la ramone avec délice.
-Elle est bonne ta femme, sous-merde. Regarde-moi ce cul !

Il écarte les fesses de Sylvie, son trou béant du passage de sa bite qu’il enfourne à nouveau. Il la caresse en appuyant ses mains comme on cajole un chien bien aimé.

- Allez ma chienne, dit à quel point tu aimes ma bite au fond de ton cul ! Parle ! Lâche toi devant ton mari.

Et ma femme, comme un automate répond
-Ah oui, que votre bite est bonne…. Que c’est bon de la sentir dans mon cul

Il accélère la cadence. Sylvie ne parle plus de manière cohérente. Les couilles du Maîtres claque contre le pubis de ma femme.

-Touche-moi les couilles, cocu, m’ordonne-t-il.

Et moi docile contre toute attente, moi le leader né, j’obéis et touche ses couilles glabres, rasées de près. Je me surprends à aimer ! Que ses boules sont douces sous mes doigts ! Elles sont même humides de cyprine, signe que ma femme s’excite et apprécie réellement. Ma bite répond en retour mais toujours encagées, elle prend tout l’espace disponible, comme un saucisson dans son filet.

- Allez, lèche maintenant !

Et encore une fois, j’obéis ! Ma femme gémit de plaisir alors que ma langue s’aventure sur sa chatte.

Sylvie monte monte monte. Je sens qu’elle vient de plus en plus. Maître Marc aussi qui la prend virilement de plus en plus vite. Son plaisir à lui aussi monte. Et la vague les submerge tous les deux
- Oh ouuuuiiiii crie-t-elle !
L’explosion ! Une jouissance comme jamais je ne l’avais entendu !
Maître Marc gicle dans la capote. Il se retire, enlève la protection et tend son sexe encore tendu à Sylvie.

- Lèche, nettoie ma bite petite chienne. Lèche cette offrande que je te fais.

Sylvie gobe cette bite qui ramollit dans sa bouche. A ses coups de langues expertes, le chibre reprend vite de la vigueur.

- Allez maintenant, lèche la rondelle de ton cocu !
Mais non, je ne veux pas ! J’ai un mouvement de recul à ce souhait.
- Ne bouge pas salope ! Tu sais très bien qu’au fond de toi tu en meurs d’envie !

Maître Marc ajoute envers ma femme

- Lèche, salope ! A ton tour d’être cocue ! Ton mari en rêve mais ne le sait pas encore !

Elle s’approche doucement de moi toujours à quatre pattes. Et je sens sa langue timide sur mon œillet qui s’enhardit. Comme moi, elle doit sentir ma rosace qui palpite sous la langue. De timide elle devient entreprenante en imaginant la queue qui va me ramoner, ma pouffiasse de femme ! Sa langue s’aventure carrément dans mon trou, Humm et ma bite dans sa cage qui aimerait se déployer !
- Suffit maintenant ! Les deux chiennes, à quatre pattes côte-à-côte sur le lit !

Deux claques, une sur chacune de nos fesses viennent ponc ses dires.

- Enlève-lui la cage de chasteté.

Arg, la délivrance me fait mal alors que ma bite prend toute son ampleur et s’érige. Alors que je pensais que le soulagement serait là, l’afflux de sang se fait bien sentir !
- Je t’autorise à te branler, salope et voici un bol dans lequel je veux que tu gicles !

Je sens Maître Marc se plaçait derrière moi, sa bite contre mon sphincter qui se contracte par peur. Ma femme qui me susurre : « tu vas voir, ça va être génial ! » avec une voix lubrique qui me détend. Elle me tient la main. Je sens son corps contre le mien, chaud, doux, rassurant.

- Embrassez-vous les chiennes ! Je veux voir vos langues sortir !

Nos lèvres se touchent et on s’embrasse avec fougue. Je sens le gland à l’entrée du sphincter. Il entre d’une poussée. Houch ! Que ça fritte ! Mais jamais je n’arriverai à tout mettre dans mon cul ! Avant que je ne dise ouf ! il entre d’un seul coup jusqu’à la garde dans mon fondement. Aïe Aïe Aîe hurle mon cul ! Putain que ça fait mal ! Maître Marc ordonne à Sylvie de me branler et lui me ramone doucement le fion. Et contre toute attente, je commence à prendre mon pied ! Sylvie m’embrasse toujours et sentant ma bite enfler entre ses doigts, elle me dit l’air goguenard, « tu es qu’une pute en fait ! ». Ses mots me grisent et décuplent mon plaisir. Ma rondelle se détend franchement.

-Tu vois la chienne comme tu aimes la queue d’un mâle dans ton cul !
Je ne peux rien répondre tant les sensations sont fortes.
- Réponds quand je te parle la chienne !
Je repense alors à ce qu’il a demandé à ma femme et réponds :
- Merci Maître.

Mon timbre de voix change et je gémis de douleur et de plaisir, je ne sais plus. Sylvie me branle la nouille. Marc me ramone et touche ma prostate en même temps, c’est prodigieux comme sensation. Je sens que Marc va bientôt venir aussi et nous jouissons tous les deux en même temps. Moi de manière phénoménale dans un bol et lui dans la capote au fond de mon fondement ! Je n’ai jamais autant giclé en une seule fois !

- Lèche le bol Salope Sylvie !

Voir ma femme prendre en bouche mon sperme comme ça, dans un bol, en le lapant comme une chienne est excitant au possible. Je bande à nouveau !

- Laisse le sperme sur ton visage et ton cocu va te nettoyer de sa langue son propre foutre !

J’en suis à un stade où je n’ai même plus de mouvement de recul et je lèche tout sans réfléchir. Qu’il est bon de laisser sa conscience de côté et de se laisser porter par le plaisir.

- Je t’aime, me glisse ma femme dans le creux de l’oreille.

J’aime ses moments de tendresse après nos soirées de débauche telle que celle-ci, surtout aujourd’hui alors que nous venons de nous faire enculer pour la première fois !

Marc part le premier à la douche, nous laissant seuls et dans notre intimité avec Sylvie. J’apprécie le respect de notre couple et de nos envies dont Marc fait preuve envers nous.
Sylvie est heureuse et moi aussi.

Quand nous nous retrouvons tous propres au salon, chacun un verre à la main, Marc a repris un ton normal, mesuré sans la fermeté dont il a usée dans la luxure.
- Dépuceler deux culs, ça m’était plus arrivé depuis longtemps. Je vous remercie de m’avoir fait confiance.

Nous le remercions de nous avoir fait découvrir ce monde. Il nous laisse son adresse mail si un jour nous souhaitons poursuivre ou trouver un autre Maître. Nous allons laisser un peu reposer tout ça, mais oui, j’espère que Sylvie sera d’accord pour poursuivre notre éducation.

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