Première Expérience En Club Libertin
Alain 56 ans, légèrement bedonnant, poivre et sel, depuis quelques temps je narrête pas de parler à ma femme Catherine, de mon fantasme daller dans un club libertin.
Catherine 51 ans, des grands yeux verts, une bouche bien dessinée, des cheveux frisés coupés en carré court, une poitrine généreuse et ferme, des hanches un peu rondes, sur des jambes fines et bien galbées, misent souvent en valeur par des talons et des jupes ou robes courtes, fait comprendre quelle nest pas tentée.
Cathy : et tu vas faire quoi dans ton club de dégénérés sexuels ? Tu vas mater ? tu crois quil ny a que des canons et des mannequins. En plus ça doit être plus que limite au niveau hygiène.
moi : je ne sais pas, je ne connais pas, mais je vais enquêter, je te montrerai les résultats de mes recherches.
Après plusieurs semaines, je lui fais un petit compte rendu, avec des articles de presse, et des reportages trouvés sur internet.
Alain : alors quen penses-tu ?
Cathy : cest moins pire que je ne pensais, mais tout nest pas très net.
Alain : jen convient, mais tu as vu, dans un reportage ils ont bien dit quil existait des endroits très clean , sérieux, ou le respect était de rigueur.
Cathy : ok mais on la pas encore trouvé
Alain : si je le trouve, tu viendras avec moi ?
Cathy : trouve-le, nous verrons après
Sur ces paroles pas trop négatives, je me remets en chasse. je finis par trouver un établissement, très bien noté sur plusieurs sites et forums auxquels je participe. Les avis sont très favorables.
Je me décide pour ce club, qui se trouve (et je préfère) loin de chez nous.
je nen parle pas à ma femme, je veut lui faire la surprise, alors lentement, sans précipitation je la travaille au corps (dans tous les sens du terme).
Je réussis à lui faire admettre de partir en vacances une semaine au mois de juin dans la région concernée.
Nous sommes au mois de mars, tout est organisé, lhôtel est réservé, régulièrement je regarde sur le site du club et continue daller sur les forums, pour être certain de trouver toujours les mêmes niveaux dappréciations.
Début juin, les vacances sont enfin arrivées, après plusieurs centaines de kilomètres nous sommes sur notre lieu de villégiature. Lhôtel est classe avec SPA, piscine, et grande plage comme ils en existent dans le sud-ouest de la France.
Le premier soir, après un repas léger, et une bonne douche, ver 20h30 Cathy se repose nue sous un peignoir, sur un transat sur le balcon de notre chambre face à la mer. Il fait doux cest très calme, il ny a pas grand monde encore
Je suis nu, je mapproche doucement, elle a les yeux fermés, le peignoir légèrement ouvert sur ses jambes et sa poitrine, me donne une trique denfer. Je me mets a genou au pied du transat, pose les mains sur ses pieds, et en les faisant glisser, remonte le long des mollets des cuisses. Elle ouvre les yeux en souriant en même temps que le peignoir.
Je marrête un instant pour lui butiner le sexe, mais elle mattire sur elle
Cathy : baises moi jai envie
Elle écarte les cuisses, nos lèvres se soudent, et mon sexe tendu trouve lentrée de sa grotte humide. Nous faisons lamour tendrement, doucement, je vais et je viens. Elle a relevé et écarté les jambes, cest trop bon. Au bout de quelques instants, son souffle saccélère, elle gémit, me serre dans ses bras, elle vient de jouir, au moment ou elle détend ses jambes dans un dernier sursaut de plaisir, je jouis à mon tour au plus profond de son intimité dans un râle rauque. Je reste quelques instants allongés sur elle, puis elle me repousse en disant
Cathy : tu as mis la dose ça me coule dans la raie
Moi (avec un petit sourire) pas plus que dhabitude, mais toi par contre tu as mouillé fort tu étais déjà toute humide avant que je te pénètre.
Elle part dans la douche sans rien dire
Le soir au lit
Cathy : tu dors ?
Moi : presque, pourquoi ?
Cathy : jai quelque chose à te dire
Moi : cest grave ?
Cathy : non tu veux savoir ?
Moi : oui bien sure
Cathy : eh bien tout à lheure, je mouillais parce quun homme me matait, et ils nous a maté tout le temps de notre acte.
Moi (surpris) : mais il était ou cet homme, je ne lai pas vu, et pourquoi tu ne mas rien dit ? il était jeune ?
Cathy : il était vieux, au moins 80 ans. Quand tu es venu, javais commencé à exciter sa curiosité, le peignoir était un peu tombé. Et puis tu es arrivé nu, alors jai décidé de lui faire le grand jeu, jai écarté les cuisses, pour quil me voit me faire baiser.
Moi : eh bien ma cochonne, tu es prête pour le club libertin
Cathy : tu ne vas pas remettre ça, ce nest pas la même chose, il était loin et il nallait pas me toucher, alors que dans ta boite, ils se touchent, sembrassent, se baisent, cest différent
Moi : mais tu nes pas obligée de participer tu peux être que voyeur. Donc il y a un club super coté à 10 kms dici, on y va un soir de la semaine ok ? allé dis moi oui, on boira un verre on matera un peu et hop on sen va.
Cathy (boudeuse) : ok mais quand je dis on sen va on se casse, et je ne participe à rien, même toi si tu es excité, tu nauras pas le droit de me toucher. Mais si tu en a envie ou loccasion je ne te retiendrai pas. On y va demain soir comme ça je serai débarrassée. Sur ces bonnes paroles nous nous sommes endormis
Le matin au petit déjeuner dans la salle de restaurant, je vois un vieux monsieur, sapprocher de notre table, nous saluer
Le vieil homme : (en regardant Cathy droit dans les yeux) Bonjour madame, monsieur (puis lui prenant la main) merci pour le spectacle dhier soir vous étiez, si jolie, si ouverte. Votre corps ma ravi, il y avait si longtemps que je navais pas vu un couple faire lamour devant moi. Je suis là encore 3 jours, nhésitez pas à recommencer.
Il lui fait le baise main et sen va. Nous sommes stupéfaits, cest Catherine qui se reprend la première
Cathy : ça cest un gentleman, bravo
Moi : jespère que nous aurons la possibilité de lui faire de nouveau plaisir
Cathy : que je lui ferai plaisir
La journée passe doucement entre plage et découverte de la région.
Cathy (juste avant daller diner) : je mhabille comment pour ta discothèque, en salope ou en none ?
Moi (ravi quelle nait pas changé davis) : comme tu veux ma chérie, comme tu te sentiras la plus à laise
Je ne lui dis pas que nous serons obligés de nous mettre nus avant de rentrer.
Le repas est calme, et silencieux. Je remarque toute fois quelle boit plus que dhabitude. En montant dans la voiture, je suis sur le point de lui dire
Moi : aller on rentre à lhôtel
Cathy (me devançant) : alors elle est loin ta boite, car jai une folle envie de danser
Moi (en démarrant) : non non quelques minutes.
Ayant repérer le trajet sur internet, 10 minutes plus tard nous sommes arrivés à destination, devant une grande maison début 20eme siècle. Sur le parking loin être plein une quinzaine de voitures.
Cathy (en sortant) : je bois un coup, je regarde mais ne participe pas on est bien daccord ? toi tu fais ce que tu veux
Moi : (la suivant) : ok ma chérie, et on part quand tu veux.
La porte souvre sur un jeune couple dune trentaine dannée très souriant.
Elle, brune aux yeux noirs, les cheveux sur les épaules, un corps de rêve sous un paréo
Ensembles : bonjour madame bonjour monsieur, bienvenu. Nous Nina et Marco pour vous servir.
Nous : bonsoir
Nina : cest votre première visite chez nous
Moi : oui
Nina : Marco va vous accompagner, mais avant tout, il faut passer au vestiaire, et sous la douche.
Cathy : nous ne restons pas habillés ?
Nina : non madame, la politique de la maison, veut que tout le monde soit à la même enseigne, donc tout le monde en peignoir. Rose pour les dames et bleu pour les messieurs. Et nu dessous bien sûr.
Cathy : (me foudroyant du regard) tu le savais
Moi : non
Nous sortons de vestiaires et suivons Marco notre guide, qui nous fiat visiter les lieux. Le jacuzzi, le sauna, le hammam, les différents salons.
Marco durant la visite nous a expliqué que ce soir cétait une soirée couple, quil y avait peu de monde, que pour une première fois cétait idéal.
Nous sommes installés, dans des grands fauteuils, avec vue sur le bar la piste de danse, ou deux femmes se trémoussent langoureusement, en ouvrant et fermant leurs peignoirs devant leurs maris
Je regarde en coin ma femme, qui très droite les jambes croisées, le visage fermé, semble sennuyer très fort.
Il y a sur notre droite, deux couples de 35 ans environ, qui discutent entre eux, mais visiblement de nous. Car régulièrement, ils jettent de regards ne notre direction.
La musique sarrête quelques instants
Moi : (me penchant vers Cathy) ça va ? pas trop stressé ? tu veux danser ?
Cathy : ça va, non merci pas envie maintenant
La musique reprend cest un slow, les deux femmes qui dansaient pour leurs hommes, se collent entre elles. Les 2 femmes et un des hommes qui parlaient de nous se précipitent sur la piste, après avoir ôtés leurs peignoirs.
Tout au spectacle, je nai pas vu le 2eme homme qui était sur notre droite sapproché
Lhomme : excusez-moi, je peux inviter votre femme à danser
Moi (sursautant) : heuuuu oui bien sûr, si elle le souhaite
Lhomme (lui tendant la main) : jolie dame je peux vous proposer une danse
Cathy (aussi surprise que moi) : je ne sais pas (elle me jette un regard)
Lhomme : votre mari a donné sa permission
Cathy : (prenant la main tendue en soupirant) si mon mari est ok alors pourquoi pas.
Arrivés sur la piste, ils commencent à danser, ma femme garde ses distances, elle est raide comme un i, et elle ne le regarde pas. Lui par contre, essaie de la coller, et son regard est fixé sur son visage. Il lui parle, elle répond toujours crispée. Puis progressivement je là vois se détendre lui sourire, jai limpression que leur corps se rapprochent.
Je suis à mon tour crispé, jai une pointe de jalousie, quand il sécarte légèrement pour ouvrir son peignoir. Japerçois son sexe tendu. Il se recolle, et pose ses lèvres dans le cou de Catherine, qui se recule et le repousse gentiment. Il lenlace, plus fort. Elle lui parle, avec un léger sourire (comme jaimerais entendre ce quils se disent). Il lembrasse de nouveau dans le cou et lui mordille le lobe de loreille. Elle se penche en arrière pour esquiver les bisous. Pour ne pas quelle puisse séchapper, il plaque ses 2 mains sur ses fesses. Leurs ventres sont collés. Tout à coup, dune main leste, le danseur défait la ceinture du peignoir rose, qui souvre, je vois une fraction de seconde le corps de ma femme. Il colle son pénis, et sa poitrine contre la peau douce et satinée. Il passe une main sous le tissu, et la plaque sur les fesses, et de lautre il lui prend la tête. Ils sont collés, elle doit sentir, sont sexe tendu sur son ventre. Ils sont les yeux dans les yeux, il approche son visage du sien, au moment où leurs lèvres, vont se toucher, elle tourne la tête, et il lembrasse sur la joue. Le manège dure quelques instants.
Je me demande si elle va résister à ce jeune homme, qui en le regardant bien est tout à fait le style de ma femme, 180cm, bien foutu, blond.
Tout à mes pensées, je navais pas remarqué, que la main qui lui tenait la tête était passée sous le peignoir, et maintenant caressait, les seins aux tétons tous gonflés. Je voyais la main qui était sur les fesses, montée et descendre du cou au plus bas quelle puisse allée sous les reins. Cathy avait posé sa tête dans le creux de lépaule de son cavalier, et semblait aimer la situation. Nos regards se croisèrent quelques secondes, elle me fit un petit sourire, et avant que je lui rende, elle avait tourné la tête, et ses lèvres sétaient collées délicatement sur celles du danseur. Quelques bisous tendres, puis leurs langues se mélangèrent pour un baiser fougueux. Ils sarrêtent et sans un regard, partent en se tenant par la main vers les salons.
Je suis sans réaction, sur le cul comme on dit. Je naurais jamais pensé ça. Au moment où je me lève pour les suivre, une jeune femme brune, petite mais bien proportionnée sapproche de moi, le peignoir ouvert
La jeune femme : je crois que mon mari va faire lamour à votre femme . (elle me prend la main) venez je vais vous emmener dans un endroit pour voir sans être vu
Je suis sur un nuage, la femme du gars qui va sauter la mienne memmène pour que je sois voyeur de la chose.
Nous nous installons sur un canapé, dans une petite salle, dont un des murs est une vitre sans teint, donne sur une pièce ou le seul mobilier est une table de massage.
Ils sont 4 dans la pièce, ma femme, son cavalier, et un autre couple, je les reconnais, ce sont les jeunes qui étaient à côté de nus au bar
Mon accompagnatrice (en ouvrant son peignoir) : je suis marie, le dragueur, mon mari Stéphane, lautre couple mon beau frère Olivier et ma belle sur sa femme Sylvie, ils vont soccuper de ta femme. Ça va tu es bien installé
Moi : (balbutiant) oui oui, je la connais elle nacceptera jamais quune femme la touche
Marie (prenant mon sexe dans sa main) et toi tu aimes,
Moi : oh oui
Marie regarde été laisses toi aller
Tout à coup jentends ma femme parler
Cathy : (assise sur le bord de la table) qui sont ces personnes ?
Stéphane ( la prenant par les épaules pour faire glisser le peignoir et lembrasser délicatement) de voyeur qui viennent mater une jolie dame qui va faire lamour avec un inconnu.
Et sans lui laisser le temps de réagir, il lallonge sur la table, elle à les jambes qui pendent le sexe offert, il lembrasse dans le cou sur la poitrine, le ventre et pose ses lèvres sur son sexe.
Sous la caresse elle soupir, se pelote les seins, se tortille comme pour mieux offrir son clitoris à cette langue. Elle sétend en passant ses bras au-dessus de sa tête. Elle ne fait plus du tout attention aux voyeurs, qui se précipitent et prenant chaquun un poignet lui attache des menottes. Sous la surprise elle essaie de se débattre, mais Stéphane de son coté lui a attaché les pieds de la même façon, les cuisses écartées.
Cathy : non arrêtés, je ne suis pas là pour être torturée, ou maltraitée, (se tortillant) laissez moi partir, je vais hurler
Sylvie (lui caressant les seins, le cou) tu vas hurler de plaisir ma jolie)
Stéphane à repris sa position et lui fait un cuni, Olivier lui caresse les seins, lui mordille les tétons, tandis que Sylvie, approche son visage pour lembrasser. Elle tourne la tête dans tous les sens, Sylvie la bloque avec ses mains et pose ses lèvres sur les siennes, quelle garde soudées. Sylvie lui fait des petits bisous, la mordille pour essayer de briser la résistance. Et doucement je vois les lèvres de ma femme souvrirent sa langue apparaitre timidement et venir à la rencontre de celle de sa maitresse.
Je lentends respirer plus fort, je comprends quelle va jouir. Les deux garçons ne sont pas restés inactif. Stéphane uqi la léchait cest redressé, et la lime doucement avec deux doigts enfoncés dans le vagin. Olivier, qui lui couvrait le corps de baisers te descendu sur son sexe quil lèche avec application.
Leffet produit par ses trois amants est instantané, elle se met à gémir fort puis à crier
Cathy hurlant presque : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, faites moi jouir ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, allez allez OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII allez allez allez hooooooooooooooooooo cest trop bon trop fort OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII et dans un orgasme fulgurant elle ne bouge plus comme évanouie. Le corps inerte les bras et les jambes écartés. Seule sa poitrine bouge elle reprend lentement son souffle .
Moi je viens de jouir dans la bouche de Marie, qui me voyant bander comme un âne
Marie : (se mettant a genou devant moi) je ne peux pas te laisser dans cet état. Et elle mavait pompé.
Moi : merci mais ton mari na pas baisé ma femme
Marie : (assise de nouveau à côté de moi, les cuisses ouvertes et me plaquant la main sur son sexe ) attend tu nas pas tout vu, mates et caresses moi.
Sylvie détache ma femme, qui toujours un peu essoufflée, sassied sur le bord de la table
Cathy : merci cétait très agréable, vous mavez donné beaucoup de plaisir, maintenant il est temps que jaille retrouver mon mari.
Mais Olivier, qui se tenait juste derrière, la retient par les épaules, tout en passant devant elle, et se retrouve, le sexe tendu au niveau du sexe encore tout chaud de ma femme
Olivier : (la prenant par la taille, visage contre visage)oui jolie dame mais nous nous navons pas jouit.
Et dun coup de reins il senfonce au plus profond de ma femme, qui sous le choc crie. Tout en la pilonnant il la garde serrée contre lui. Sous les assauts je vois son corps tressauter. Elle ne se débat pas, elle a renversé la tête en arrière et elle cambre les reins pour être mieux défoncée.
Je vois Sylvie, montée sur la table sassoir derrière elle peau contre peau, et lui malaxer les seins dune main, pendant que de lautre elle lui fait tourner la tête pour un baiser baveux. Olivier va de plus ne plus fort de plus ne plus vite. On entend sa respiration. Elle aussi gémit très fort ils vont jouir ensemble
Cathy (ayant lâché la bouche de Sylvie) oui je vais jouir vas-y fort fort défonce moi, rempli moi, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Olivier (au moment de sa jouissance) oui prend ça ouiiiiiiiiii je jouis jouiiiiiiiis, tes trop bonne.
Plus personne ne bouge, ma femme se laisse caresser les siens par Sylvie, Stéphane la queue dans les mains semble attendre son tour. Olivier se retire doucement, on voit son sperme couler de la vulve.
Marie à côté de moi vient de jouir sous mes doigts. Je vais pour me lever elle me dit dattendre que ce nest pas fini.
Et en effet, Sylvie se décale, oblige ma femme, complétement épuisée à se mettre sur le ventre, la tète au niveau de son sexe, Cathy hésite, Sylvie lui appuie doucement sur la tête. Quand ses lèvres vont toucher, Stéphane la tire par les pieds pour ramener son sexe au bord de la table, et lui aussi sans hésitation la transperce. Elle se cambre sous le choc. Il va dès le début très vite très fort en la tenant par les hanches. On entend les couilles taper sur les fesses à chaque fois quil senfonce en elle. Elle na plus de réaction on dirait une poupée gonflable. Sylvie cest rapprochée lui proposant de nouveau sa vulve à lécher. Et sans aide Cathy, pose sa bouche sur le sexe et commence à lécher embrasser, je vois sa langue monter et descendre le long des lèvres, pénétrer le vagin, ressortir pour titiller le clitoris. Sylvie offerte les cuisses écartées, prend son plaisir.
Stéphane explose tout a coup dans un cri rauque, qui couvre à peine lorgasme de Catherine, qui lèche et avale le plaisir quelle vient de donner à Sylvie avec sa bouche. Stéphane se retire
Stéphane : merci ma jolie tu es drôlement bonne
Olivier (en lui mettant une tape sur les fesses) reviens quand tu veux
Sylvie : (après lui avoir roulé une dernière pelle) ta bouche est merveilleuse
Marie : (se levant pour partir et voyant ma trique) joli petit couple sympa, tu devrais aller la retrouver, en plus maintenant elle est prête à tout.
Je rejoins ma femme qui est restée allongée sur le ventre sur la table, les jambes pendantes la croupe offerte elle semble dormir. Je tourne autour de la table la queue dans la main droite, pendant que de la gauche je frôle du bout des doigts le corps fatigué de ma femme. Elle ouvre les yeux
Cathy : ah : cest toi, ils sont partis ?
Moi oui, ça va ?
Cathy : oui ils mont tué, mais jai adoré
Moi : (marrêtant derrière elle) oui jai tout vu une sacrée cochonne
Cathy : (essayant de se relever) quoi tu as tout vu
Moi oui tout et je nétais pas seul
La repoussant, pour quelle reste allongée offerte, et présentant ma tige raide à lentrée de son vagin, la prenant par les hanches
Cathy (surprise) : tu fais quoi ? tu ne vas pas me prendre, comme ça, leurs jus coulent de ma chatte cest dégueulasse
Sans répondre je la pénètre. Avant quelle ne réagisse, je ressors, pour la pénétrer aussi tôt, mais pas dans son sexe, dans son petit trou. Je suis tellement bien lubrifié que je rentre sans effort, jusquau fond.
Cathy : oh non pas ça, tu me fais mal
Moi (la limant doucement) : tu me dois bien ça, après la soirée que tu viens de passer, caresses toi.
Je lai vu soupirée, passée une main sous son ventre, je lai sodomisé, rapidement, à grands coups de reins. Nous avons jouis ensembles. Elle doucement en gémissant, et moi fortement
Nous sommes rentrés sans un mot, pris une douche, et mis au lit, nous nous sommes réveillés vers 16h.
Nous avons reparlé de notre soirée, nous avions été comblés tous les deux.
Vers 20h15, Cathy sort de la douche, en peignoir, et va sinstaller sur le transat de la terrasse. Je la regarde, elle a mis ses lunettes de soleil, on ne voit pas son regard. Je mapproche, elle me fait signe de ne pas venir, de reculer. Je comprends tout à coup quelle veut rester seule pour le vieux monsieur.
Après une ou deux minutes dattente, je la vois, défaire la ceinture du peignoir, qui souvre largement laissant apparaitre son corps. Dune main elle se malaxe les siens, de lautre elle se caresse le sexe. plus elle est excitée plus ses cuisses souvrent, et ses doigts pénètrent son vagin humide. Ses doigts senfoncent au plus profond de son ventre, de plus ne plus vite. Elle respire fort, gémit, se met un troisième doigt et jouit dans un dernier soupir, en serrant les cuisses comme pour grader sa main en elle éternellement. Au bout de quelques instants, elle rouvre les jambes, libérant sa main quelle porte à sa bouche, et lèche ses doigts pleins de cyprine.
Puis elle se lève et rentre en me disant voilà jai fait un heureux on va manger.
Le lendemain matin sur notre table au petit déjeuner, il y avait un énorme bouquet de roses rouges et une carte ou il était inscrit MERCI signé vieux monsieur.
Nous ne sommes jamais retournés dans cet hôtel ni dans un club
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