La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1079)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
en de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés
Je tentais davaler au fur et à mesure ses émissions de liquide tandis que le Maître continuait de me cravacher tout en poursuivant son labourage interne de mon vagin en feu. Les coups tombaient, réguliers mais de temps en temps après une pause, comme pour casser le rythme et mempêcher de parer aux coups. Mon dos, mes épaules, mes reins et mes fesses étaient en feu et jen mouillais terriblement et même, je commençais en recevant les coups, de sentir plus les excitations que la brûlure de la morsure du cuir
Il métait difficile de retenir un fulgurant orgasme quand jentendis les mots libérateurs :
- Jouis, dit le Maître, mais jouis tout de suite, salope de chienne !
Malgré ma forte envie de jouir, je fus surprise, car je ne my attendais pas du tout pour ce moment-là, et donc je ne réagis pas immédiatement à la seconde même de lordre donné et il sexclama sans attendre :
- Jai dit tout de suite, salope de chienne, me donnant quatre coups de cravache encore plus forts sur les reins
Alors, je nai pas attendu un dixième de seconde de plus pour laisser éclater un puissant orgasme qui me dévasta des décharges électriques me remontant sur toute mon échine pour se propager dans tout mon corps empli de délicieux spasmes. Tout en hurlant de douleur et de plaisirs mélangés, je jouis bestialement, oui comme une bête, comme une femelle en chaleur. Ma vulve se serrant autour de Sa main mencombrant pleinement mon vagin et donc toujours enfoncée en moi, me labourant le bas-ventre, encore et encore. Ma chatte était si serrée quelle avait immobilisé la main du Maître, comme si mon minou laspirait de lintérieur pour la garder par ses nombreuses et libératrices contractions musculaires. Je narrêtais pas de jouir, des orgasmes explosifs non-stop se déversant dans tout mon être sans interruption.
- Décidément, cette petite chienne est vraiment une excellente recrue, elle est ultra-orgasmique
Tout en continuant de me travailler comme si je navais pas encore joui, et tandis que le Majordome accélérait ses mouvements en ma bouche, le Noble lui dit encore :
- Walter, je veux tout savoir de Ma salope, tu le diras bien à notre ami le gynéco !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis !
Enfin, Walter jouit à nouveau, le Châtelain posa la cravache sur le canapé, et sortit lentement sa main de ma chatte béante dans un délicieux mouvement rotatif de retrait de ma grotte lubrique, ce qui me procura de nouveau de succulents spasmes
Sitôt la chatte libérée, un flot de cyprine sen écoula
Je gardais cependant la position, mais dans une sorte de brouillard absolu, inerte et tremblante sur mes jambes
Soudain, je sentis une grosse verge dressée se présenter sur ma rosette, le Maître certainement me dis-je puisque Walter était devant moi. Les puissantes mains du Marquis dEvans se posèrent sur mes crêtes iliaques, saccrochant à mon bassin, tandis quil poussait derrière moi pour pénétrer son cul et que je sentais lentement sa divine queue entrer en mon anus de chienne assoiffée
Ah ! Cette sensation dêtre écartelée en cet endroit, sentir ce bâton dur senfoncer dans les entrailles, de plus en plus, glisser en mes profondeurs, me laissant la chatte béante et ruisselante, jusquau moment où je sentis contre mes fesses les poils pubiens du Maître.
Il tenta de senfoncer encore plus, resta un moment immobile en un profond coït anal, planté en moi sans bouger, puis commença une sorte de ballet infernal, se retirant, senfonçant, se retirant entièrement laissant mon cul ouvert puis se ré enfonçant profondément, dun coup, dun seul jusquau fond me faisant beugler de plaisirs
Tandis quIl me pistonnait virilement avec force, Il me prit les cheveux et les tira à Lui, me redressant en arrière
Dans cette pose, le Majordome prit la cravache et tandis que Maître allait et venait en mon cul torride, Walter cravachait mes seins avec méthode, comme voulant dessiner dessus des arabesques cruelles. Cest au milieu de cet ouragan dexcitations que je reçus les jets sacrés de la semence du Maître, en plusieurs fois, car après les premiers, Il ne sortit pas de mon cul, attendit un long moment, puis reprit son ballet. Ce qui fit dire à Walter :
- Monsieur le Marquis, sauf votre respect, Vous êtes en train den faire une citerne à foutre
Pendant quil éjaculait à nouveau le Maître répondit :
- Walter, tu ne penses pas si bien dire, Ma petite chienne deviendra un réservoir à foutre en effet
Cest son évidente destinée
Enfin, Il sortit de mon orifice anal
Il maida à me redresser, me tourna vers Lui, me prit dans Ses bras, bouche contre bouche
yeux dans les yeux
- Maintenant tu es Mienne, dit-il, maintenant, ton éducation va pouvoir commencer
- Merci Maître, Merci
répondis-je encore étourdie de mille plaisirs.
- Tu vas suivre Walter mais avant
Allonge-toi sur le canapé, couchée sur le dos, jambes repliées sur tes seins !
- Oui, Maître !
Je prenais place sur le canapé, remontais mes jambes presque au niveau des épaules, et un bandeau vint sur mes yeux. Dans cette pose, vous imaginez mes orifices largement exposés à tous les regards, rejetant le sperme reçu
Jentendis des clics
Je sus ensuite que cétait louverture des coffrets demandés par Maître au Majordome.
A mon cou, le collier de chienne orné lui aussi des nobles Initiales et la laisse pendante entre mes seins. Cest dans cette tenue que je montai en voiture conduite par le Majordome. Quand je posai mes fesses sur la banquette de la Rolls-Royce, je sentis les deux godes senfoncer plus encore dans mes entrailles, au point même de ressentir une petite douleur vite compensée par une nouvelle et énième excitation. La sensation des deux godes en moi me faisaient écarter automatiquement les jambes. Je me rendis compte aussi de ceci : Les deux godes me remplissant tellement, faisaient ressortir mon clitoris poussé de lintérieur de ma vulve. Le tout donnait limage dune véritable femelle en rut, obscène, lubrique
Le cabinet du gynécologue était à Rambouillet, non loin de la Demeure du Maître.
Walter gara la Rolls-Royce, mouvrit la portière me fit sortir, prit la laisse et me voilà, marchant à ses côtés, fière et un peu honteuse cependant car en extérieur et en visite aussi
Entrés, la secrétaire nous reçut et vit tout de suite mon accoutrement
Nue sous la cape, de très belles chaussures, la laisse tenue par Walter, le collier et les marques impossibles à cacher sur les seins
Mais elle navait pas du tout lair étonnée et même quelle nous souriait dans une mimique faisant comprendre quelle était habituée à ce genre de visite
- Veuillez prendre place dans cette pièce, nous dit-elle
Nous la suivîmes et je pensais que nous allions dans une pièce
neutre
Mais non ! Deux autres femmes sy trouvaient déjà, que le Majordome salua comme sil les connaissait. Très mal à laise, je ne savais quelle contenance prendre quand Walter intervenant dit tout haut :
- La chienne, un peu de tenue, veux-tu ! Le Maître mapprécierait pas que tu te fasses remarquer
Immédiatement je rectifiais la position, assise sur le rebord de la chaise, les cuisses écartées, et tête droite, mais yeux baissés. Les deux femmes ne cessaient de me dévisager, échangeant entre elles très doucement
Elles avaient la quarantaine. Très bien habillées et ne semblaient pas être étonnées plus que de raison. Elles échangeaient entre elles, à voix basse, en me dévisageant sans vergogne. Jétais rouge de honte
Les fesses me faisaient très mal des coups reçus et quand je pris place, le bruit fait par le gode anal au moment où mon cul touchait lassise de la chaise, ne laissa aucun doute sur ce que javais dans mon fondement
Masseyant ainsi le gode anal remonta encore plus haut en moi et je fermai les yeux le sentant senfoncer encore plus profondément
La porte du cabinet souvrit sur le gynécologue qui, à notre vue, se fendit dun petit sourire pervers et montra aussi des yeux vicieux derrière ses petites lunettes rondes
- Ah ! Bonjour Walter !, dit le gynéco à Walter qui lui répondit :
- Bonjour Docteur.
- Je recevrai la nouvelle acquisition de Monsieur le Marquis après Madame de Fontenelle
Une noble, me dis-je, entendant le nom prononcé. Je tentais de voir le visage mais dun regard détourné, car ce visage me semblait connu sans pouvoir dire qui il était. Nous en étions là, attendant, lorsque lune dentre elle, Madame de Fontenelle dit au Majordome :
- Veuillez pardonner mon indiscrétion, Monsieur, mais cette
enfin, cette femme
que vous tenez en laisse a-t-elle toujours été propriété de notre cher Ami, Monsieur le Marquis ? (Walter allait répondre quand) - Je veux dire, cette
comment la nommer ? Cette femme, nétait-elle pas mannequin avant de
Elle ressemble terriblement à un mannequin que je rencontrais de temps en temps lors de défilés mondains.
- Si fait, répondit Walter, Madame la Baronne a vu juste
Mais la chienne va vous répondre elle-même !
Madame la Baronne me dis-je, bien sûr, je la reconnais maintenant, en bonne place aux défilés de mode. Dun coup sec sur la laisse, Walter me fit comprendre de répondre à Madame la Baronne de Fontenelle.
- En effet, Madame la Baronne, répondis-je, avant dêtre à Maître, Monsieur le Marquis dEvans, il y a peu encore, jétais mannequin et défilais pour la dernière fois à Paris, lors de la dernière présentation de la Maison Cartier. Je me souviens de vous, Madame La baronne, vous étiez placée aux côtés de Monsieur de
- Ah ! Je ne métais donc pas trompée, répliqua La Baronne ! Il est vrai que votre pastique ne peut passer inaperçue
Elle me fixait avec une intensité telle que je dus baisser les yeux.
- Jai tout de suite reconnu le Majordome de mon Ami Monsieur le Marquis quand je vous ai vu entrer tenue en laisse par ses soins
Ainsi donc vous appartenez à
- Au Maître, Monsieur le Marquis, coupa vivement, Walter!
- Naturellement, répondit la Baronne avec un sourire entendu, mon ami Monsieur le Marquis dEvans est un esthète et sait sentourer des plus belles choses. Il faudra que je lui rendre visite pour admirer sa dernière recrue et surtout quil mexplique comment il a bien pu faire pour la détourner de sa carrière.
- Madame la Baronne, répondit Walter, vous connaissez assez Monsieur le Marquis pour savoir quIl ne peut rien vous refuser.
Madame La Baronne émit un rire sonore et entendu, lorsque le gynécologue annonça :
- Madame La Baronne, veuillez entrer, sil vous plait
(A suivre
)
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