La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1080)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
- Madame La Baronne, veuillez entrer, sil vous plait
Elle le suivit, laissant son amie qui attendait son tour. Assise comme je létais, sur le rebord du siège, les cuisses très écartées dévoilant ma vulve ornée du gode, la cape descendant de mes épaules sur mes reins, tenue par la laisse, mes seins à la vue de tout le monde, le tout marqués des coups de cravache devenus violets, lamie de la Baronne ne détachait pas son regard sur moi mais ne disait mot. Lambiance était lourde, tandis que le Majordome, me tenant toujours par la laisse, feuilletait négligemment des revues posées sur une crédence. Enfin, au bout dune vingtaine de minutes, lamie entra dans le cabinet du médecin, nous laissant seuls, Walter et moi dans la salle dattente. La visite de lamie ne fut pas longue, car quelques minutes plus tard ce fut notre tour.
- Bonjour Walter, je suis très heureux de recevoir la dernière acquisition de mon vieil ami Monsieur le Marquis dEvans. Je vais de ce pas dresser le dossier médical de cette nouvelle chienne
Cest ainsi nous aimons nommer ce genre de femelle, nest-ce pas mon cher ami !, dit le gynécologue dans un air complice envers Walter
- Cest ainsi en effet docteur, répondit le Majordome dun air tout aussi complice.
- Retirez-lui sa cape et toi (me désignant) viens ici que je commence ton dossier.
Le gynécologue était à son bureau, Walter, assis dans un fauteuil de lautre côté, tandis que je restais debout aux côtés du Majordome.
- Nom, prénom, date de naissance
Je répondais au médecin qui enregistrait sur son ordinateur mes réponses. Une fois les renseignements administratifs donnés :
- Viens maintenant avec moi, mordonna le médecin. Son ton était peu amène, je le suivais
La toise me mesura, on me pesa, prit mes mensurations, tour de taille, tour de bassin, tour de poitrine.
- Dernières règles ? demanda le gynéco ! - Pilule, stérilet ? - Cycle ovarien ? 28 jours, 30 jours ? - Des maladies ? Rougeole, Rubéole ?
Je répondais à ce questionnaire complètement déshumanisé, comme faisant linventaire dun produit
- Carnet de vaccinations, demande le médecin à Walter ?
- Je nai rien, répondit celui-ci !
- Il faudra me lamener la prochaine fois, répondit le gynéco.
- Passons aux visites gynécologiques !
Il me fit mallonger sur la table dexamens, les jambes reposant sur les étriers, largement ouverte devant lui, assis sur son tabouret et le front ceint dune lampe. Il retira le gode vaginal, le sentit, le posa et de ma vulve, sécoula beaucoup de cyprine, au point que le médecin du placer entre mes cuisses, sous mes fesses, plusieurs couches dessuie-tout. Il introduisit ensuite un speculum qui ouvrit complètement ma vulve. Le médecin, tâtait, regardait, visitait, palpait, prélevait, prenant des notes
mesurait ma profondeur vaginale, la nature de mon col utérin, y introduisant ensuite un endoscope pour visualiser lintérieur de mon utérus. Il enfila dans ma chatte ses doigts baladeurs et me fit une palpation en règle de chaque paroi vaginale, de mes lèvres intimes, les écartant largement, mais aussi me décapuchonnant mon clitoris, le masturba vicieusement, le fit se dresser... Jen étais trempée
Il récupéra alors dans une éprouvette quelques échantillons de mes secrétions vaginales
Il me faisait changer de position, sur le côté, jambe en lair, regardant lintérieur de mon ventre, prenant des photos quil mettra dans son dossier
Puis me fit me remettre sur le dos. Il dégagea mon anus, et se montra étonné de la grosseur mais surtout de la longueur du gode anal.
- Ouvre la bouche, chienne, me dit-il !
Pendant que jouvrais la bouche, il plaçait sur mon clitoris une sorte de vibro que je ne voyais pas, quil régla à la bonne hauteur et quil activa depuis son ordinateur. Immédiatement, des vibrations très intenses menvahirent mais pas en continue. Les vibrations semblaient aléatoires, allant dune simple vibration, augmentant ensuite fortement, diminuant à nouveau pour « repartir » violemment cette fois. Le vibro obéissant à des ordres transmis depuis lordinateur de façon incontrôlables. Le résultat fut fulgurant, car en très peu de temps, jétais arrivée au bord dun orgasme qui sannonçait violent. Le médecin était placé derrière moi, regardant lintérieur de ma vulve, tandis que la caméra de lendoscope filmait et enregistrait mes spasmes utérins et que de ma chatte coulaient des torrents de glaire vaginale. Subitement, le vibro devint « fou » au point que je ne pus me retenir de jouir, le médecin enregistrant toujours mes réactions de plaisirs et prenant note des modifications intimes de mon intérieur. Je tremblais de jouissances énormes, quand subitement le vibro sarrêta. Le médecin se leva et dit :
- Passionnant Walter, passionnant, vraiment. Cette femelle est vraiment étonnante et a certainement des capacités orgasmiques hors norme quil faudra utiliser si Monsieur le Marquis veut la posséder complètement.
- Naturellement, répondit le Majordome !
- Comment lavez-vous trouvée, vous qui en prenez tant dautres ?
- Comme vous la décrivez, Monsieur, elle est étonnante car très jouisseuse en effet mais de plus experte en sensations sexuelles quelle donne à ceux et celles à qui elle est prêtée.
- Je nen suis pas étonné à la vue de son anatomie. Ses muscles intimes sont très développés ce qui est rare chez les femelles mais ce qui prouve que lorsquelle jouit, elle doit le faire bien plus fortement que le commun des femelles. Son anus même est étonnant, il peut avaler gros voire très gros et long en plus. Lanatomie de votre femelle est étonnante, vraiment ! Une perle rare, sans aucun doute
Tandis que jétais toujours à quatre pattes, Walter se leva et dit :
- Lorsquelle nous suce par exemple, elle a une façon de faire, personnelle, qui me donne à penser quelle contrôle lenvie de celui quelle suce, sans quil puisse lui éjaculer quand il le décide. Pour être fixé, docteur, vous devriez lessayer, vous verriez par vous-même !!
- Ah ! Je ne dis pas non, répondit le médecin qui dégrafa son pantalon, baissa son slip, dévoilant une bite de belle taille au gland démesuré et luisant déjà de mouille. A ne pas douter que ça faisait un moment quil était excité
.
- Faites-en lexpérience, cher toubib, ainsi vous comprendrez mieux.
Disant cela, Walter passa derrière moi. Il ne tarda pas à, lui aussi défaire son pantalon et, exhiber une verge fort raidie. Il sempressa de la présenter devant ma rondelle et commençait à menculer sans ménagement. Devant lintroduction violente de son gros sexe, aussi raide quun baobab, je ne pus que glousser, en tentant de me retenir davancer sur la table.
- Tu vas sucer le Médecin, ordonna Walter, comme tu sais si bien le faire, petite salope, en lui montrant comment tu contrôles nos jouissances !
En disant son ordre, il me pistonnait sans ménagement, senfonçant lourdement en mon ventre quil ramonait vertement.
- Ah la garce de salope ! En effet, elle sait y faire
Les larges mains, que dis-je mains, les battoirs de Walter, sétaient agrippés mes crêtes iliaques ajoutant à ses coups de reins, des reculs violents comme pour mempaler encore plus profondément sur sa queue qui fouillait mon ventre. Du côté bouche, je poursuivais mon travail, les joues creusées par laspiration expiration que jexerçais sur la bite du médecin, clouant celle-ci sur mon palais, et la léchant de la pointe de ma langue. Je sentais lun et lautre approcher ensemble de lorgasme, quand soudain, ne sachant si cela était concerté, le gynéco se saisit de mes tétines durcies par les envies, tandis que le Majordome commençait une fessée à sa manière. La largeur de la main de Walter, recouvrait lintégralité dune de mes fesses, cest vous dire limpact quelle avait sur moi. Ses coups de reins labouraient mes fesses, distendant mon anus de chienne, tandis que sa main tombait lourdement sur ma fesse droite, la rendant rapidement brûlante, et que le gynéco sagrippait à mes tétons, ongles enfoncés profondément, sa bite enfoncée jusquau fond de mon gosier
. Le Majordome sexclama dans un grand éclat de rire :
- Regardez docteur, je suis comme le cavalier de la Garde républicaine jouant de ses timbales. Un coup à droite, un coup à gauche.
Il riait grassement, tandis que ses mains, frappaient mes fesses alternativement mais de façon puissante
tantôt ma fesse droite, tantôt la gauche
(A suivre
)
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