Mon Cul Pour Un Téléviseur

Après avoir fait l'amour dans une chambre d'hôtel avec Maxime, mon amant du moment, installés dans un bar nous parlons d'un peu tout.
Dans la conversation, en parlant des émissions télé, je lui dis que je dois trouver un grand téléviseur qui irait mieux dans mon salon mais que je ne veux pas le payer un prix fou et que pour cela j'attends la période des soldes.
Il me dit qu'il peut m'aider car il a un copain qui propriétaire d'un magasin qui vend de l'électroménager et également ce genre d'articles.
<<oui mais je ne veux pas le payer au prix normal alors que je l'aurais moins cher bientôt>>.
<<je te donne l'adresse puis tu vas y faire un tour, ensuite si un modèle t'intéresse je lui parlerais, il y a moyen de s'arranger avec lui>>.
<<tu penses qu'il ferait ça pour toi>>.
<<non! mais pour toi certainement>>.
<<je ne vois pas pourquoi, je ne le connais pas>>.
<<ce n'est pas un problème, tu as ce qu'il faut pour l'intéresser>>.
<<je ne vois pas comment>>.
<<tu es bonne au lit et lui est un chaud lapin qui ne résiste pas à une belle femme, je sais qu'il a déjà fait de bonnes remises à des femmes contre des faveurs sexuelles>>.
<<tu me parles de coucher avec lui, de me comporter comme une putain>>.
<<si ça ne te déranges pas de lui faire l'amour, si un article qu'il vend t'intéresse et que tu y trouves un intérêt financier substantiel ou est le problème>>.
<<après tout tu as raison, pourquoi pas s'il me propose un prix correct>>.
<<si tu trouves ce que tu veux chez lui je lui en toucherais deux mots>>.
<<d'accord mais tu veux certainement quelque chose en échange pour lui parler>>.
<<rien de plus que ce que tu m'offres actuellement, je profite déjà de ton cul et je n'ai pas besoin de plus>>.

<<faire l'amour avec toi c'est agréable et cela durera tant que cela aura de l'attrait>>.

Deux jours plus tard après m'être vétue très sexy je vais visiter le magasin indiqué par mon amant.
Avant d'entrer j'enlève la parka qui dissimule mes formes et la laisse sur le siège de ma voiture.
Je regarde longuement les téléviseurs ayant les dimensions souhaitées, je me baisse sans plier les genoux pour lire les étiquettes afin que ma jupe serrée qui remonte ne dissimule que le minimum de mes fesses et montre mon string.
Comme je l'avais prévu le commerçant qui matait depuis son comptoir s'approche de moi, il m'abreuve de sourires commerciaux et me fait son baratin.
C'est un homme quelconque, pas du tout attirant, bouffi, petit, très bedonnant qui ne doit voir son sexe qu'en regardant dans un miroir, son crane est très dégarni.
Il n'arrête pas de loucher sur mes seins qu'on devine bien à travers mon maillot ajusté de plus mes tétons pointent à travers le tissu à cause du soutien-gorge seins nus que j'ai mis exprès.
J'ai chaussé des bottines à talons hauts pour faire ressortir le galbe de mes mollets et il n'est pas indifférent à mes jambes dont une bonne partie est bien visible avec ma jupe assez courte.

Il a tendance à se tenir trop près de moi et son odeur de sueur me gêne.
Une fois que j'ai assez de renseignements je me débarrasse du commerçant et je quitte le magasin en disant que je vais réfléchir.

Lors de notre rendez-vous suivant avec Maxime mon amant je m'ingénue à lui donner beaucoup de plaisir.
Arrivés dans la chambre d'hôtel je me jette à son cou, me colle à lui en frottant mon ventre contre son sexe et l'embrasse fougueusement, ma langue se mêle à la sienne et ne veut pas la quitter, le baiser dure.
Avant qu'il ne se déshabille je déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds, je baisse son caleçon et à genoux après avoir caressé et léché ses cuisses, ses testicules et son pénis je m'accroupis et lui fais une fellation appliquée.
Je fais en sorte de faire pénétrer le maximum de sa grosse queue dans ma bouche, ma langue bouge en même temps que mes lèvres se promènent sur le membre qui vient buter au fond de ma gorge, je fais varier la cadence des aller-retour jusqu'à ce que ses ongles s'incrustent dans la peau de mes épaules au moment ou son pénis s'agite dans ma bouche y déversant une bonne quantité de sperme que j'avale en essayant de ne pas en laisser échapper.

Ne lui laissant pas l'initiative je le déshabille tout en caressant et embrassant les parties de son corps que je mets à nu puis je le pousse sur le lit.
Je me dévêts en prenant des poses, il est très excité et son érection ne faiblit pas.
Une fois que j'ai gagné moi aussi le lit je le caresse de nouveau partout puis j'embrasse et lèche avec ardeur sa queue et ses testicules.
Je me mets à califourchon sur lui mes jambes de chaque côté de son corps puis je fais pénétrer sa verge dans mon intimité et je me baisse pour que sa verge coulisse dans mon intimité en repoussant les chairs vu sa grosseur.
Maxime donne des coups de reins en rythme avec les miens tout en caressant mes seins et agaçant les tétons.
Il trouve que je suis très chaude aujourd'hui.
Le gros engin me fait mouiller et tape au fond de ma grotte.
Au bout d'un moment les aller-retour de ma chatte sur son pénis donnent le résultat escompté, celui-ci gonfle encore et avec des soubresauts se déleste de son sperme dans mon vagin.

A genoux le cul tourné vers lui je le masturbe avant de sucer à nouveau sa queue, il bande de nouveau rapidement.
Pendant ce temps il s'en prend violemment à mon clitoris et un puis deux doigts s'agitent dans mon anus pour en agrandir l'ouverture ce qui fait monter le plaisir dans mon ventre.
Je suis toujours à genoux, je creuse les reins et mets la tête dans les draps, il se place derrière moi et introduit sa queue dans mon intimité puis il donne de bons coups de reins pour le faire aller et venir en moi tout en continuant à masturber vigoureusement mon clitoris.
Le plaisir que je ressens devient intolérable au bout d'un moment, prise de spasmes j'ai un orgasme et la cyprine qui s'échappe de mon vagin arrose sa main.
Il continue un peu à faire aller sa queue dans ma chatte puis se désintéresse de cet orifice et c'est mon anus qu'il investit.
Il me défonce d'abord doucement le temps que son gros pénis qui force les chairs fasse sa place puis il se met à donner des grands coups de reins, une main s'occupe toujours de mon clitoris ce qui fait que mon plaisir ne faiblit pas.
Il me fait jouir une deuxième fois puis une troisième fois, je m'écroule sur le lit sans que sa queue sorte de mon cul qu'il continue à défoncer et dans lequel il finit par se soulager.

Mon amant allongé sur le lit a débandé, je ne le laisse pas en paix, après l'avoir mastubé vigoureusement sa queue recommence à grossir, je lui fais une fellation et je sens le membre enfler dans ma bouche jusqu'à retrouver une bonne érection.
Je me couche sur le dos, il s'allonge sur moi et une fois qu'il a pénétré ma chatte je replie mes jambes puis il me défonce pendant un moment, je mouille beaucoup et les clapotis accompagnent les va-et-vient de la queue, ses testicules claquent contre mes fesses.
Le pénis sort de mon intimité et vient buter entre mes fesses, je l'aide à trouver l'orifice qu'il cherche et le membre s'enfonce dans mon anus que Maxime se met à sodomiser à grands coups de reins.
Le plaisir ne quitte pas mon ventre et augmente vite, de nouveau je jouis pour son plus grand plaisir.
Il me défonce très longtemps satisfait de m'amener de plus en plus rapidement à l'orgasme avant d'arroser de nouveau mon cul de son sperme.
Allongés côte à côte nous récupérons surtout moi qui ne suis plus très lucide.

Après nos ébats sexuels, une fois lavés et rhabillés nous quittons l'hôtel.
Maxime me demande ou j'en suis concernant l'achat d'un téléviseur.
<<il y a deux modèles qui m'intéressent mais même si je peux je ne veux pas mettre ce prix la>>.
<<j'ai déjà abordé le sujet avec mon copain Lucien mais je vais reparler avec lui demain matin si cela ne te poses pas de problème de faire l'amour avec lui>>.
<<non même si son physique n'est pas attirant>>.
<<retournes au magasin dans quelques jours tu diras à Lucien que tu es Laura la copine de Maxime et n'hésites pas à bien négocier avec lui>>.

Toujours vêtue sexy je me rends dans le magasin et comme le commerçant est occupé avec un client je patiente en faisant le tour des téléviseurs exposés.
Une fois libre Lucien se précipite vers moi.
<<bonjour madame vous avez réfléchi depuis l'autre jour>>.
<<j'hésite entre ces deux téléviseurs>>.
<<lequel de deux modèles préférez vous>>.
<<je n'ai pas de préférence mais ils sont un peu chers pour moi>>.
<<on peut voir pour les conditions de paiement>>.
<<oui si vous me faites un bon rabais>>.
<<les temps sont durs, je ne pourrais pas vous faire grand chose mais il faudra que vous soyez accommodante avec moi>>.
<<ce qui veut dire>>.
<<être très gentille et faire ce que deux personnes du sexe opposé font ensemble>>.
<<et qu'est ce que j'y gagne>>.
<<l'extension de garantie gratuite ou une remise de la même valeur>>.
<<c'est trop peu, je suis Laura la copine de Maxime>>.
<<il fallait le dire, ça change tout>>.
Nous commençont une discussion ou chacun défend ses intérêts: lui m'accorder le minimum de remise mais recevoir le maximum de moi sur le plan sexuel, moi je veux le maximum de rabais et au diable ce qu'il exige en contrepartie même si pour la forme je résiste.
Il a trop envie de me sauter et nous finissons par tomber d'accord sur un prix.
<<il me faudrait un accompte et que je voie ce dont vous êtes capable pour ne pas tomber avec une femme qui écarte les cuisses et attend que cela se passe en lisant le journal>>.
<<ce n'est pas mon genre, quand je fais l'amour je ne fais pas semblant>>.
<<on peut aller dans mon bureau pour les papiers et l'accompte>>.
<<allons y, je vous donnerais ce que vous attendez de moi>>.

Il ferme la porte du magasin à clé et met la pancarte "fermé".
Je le suis, à la bosse qui déforme son pantalon je vois qu'il est impatient d'avoir son accompte.
Rapidement il remplit les papiers, je vois qu'il y inscrit le prix négocié.
Ne voulant pas m'éterniser pendant qu'il continue à remplir le bon de commande je me déshabille.
La vue de mon corps le déconcentre,il a du mal à continuer à écrire.
Il me regarde stupéfait, sa figure vire à l'écarlate, sa main tremble.
Mon comportement le désoriente, je dois profiter de la situation.
Je suis nue devant lui qui me regarde avec de grands yeux qui brillent.
Il bredouille quelques paroles:
<<tu es belle, je n'ai pas l'habitude que les femmes se déshabillent ici aussi rapidement>>.
<<je dois payer un accompte et tu dois pouvoir estimer si la contrepartie est satisfaisante, ça te gêne que je sois nue>>.
<<non mais d'habitude les femmes sont plus timides et je dois faire ce qu'il faut pour mettre leurs seins à l'air et elles ne retirent pas leur culotte comme ça.

Il est assis à côté de son bureau sur une chaise pivotante, je m'approche.
Il pelote mon corps sans douceur puis une main s'attarde sur mon sexe qu'un doigt boudinné pénètre.
Je passe mes bras autour de son cou et colle mes lèvres contre les siennes, ma langue pénètre dans sa bouche qui est entrouverte et va à la recherche de la sienne, au bout d'un moment il réagit et mêle sa langue à la mienne.
Pendant que nous nous embrassons je caresse sa queue par dessus le pantalon ce qui le fait sursauter puis je m'attaque à la fermeture de celui-ci, je fouille dans le caleçon et à cause de sa position sur la chaise et de son ventre imposant j'arrive difficilement à en extraire son sexe qui est assez gros et court.
Tout en caressant son membre je me mets à genoux, je passe ma tête sous son ventre puis je lèche le pénis pendant un moment surtout le gland avant de l'enfoncer dans ma bouche puis je commence une fellation avec des va-et-vient d'abord lents puis de plus en plus rapides.
Le résultat ne se fait pas attendre, trop excité il se cabre sur sa chaise et pousse des gémissements aigus, ses doigts qui sont sur mes épaules se crispent, la queue tressaute dans ma bouche pendant que je reçois des giclées de sperme que j'avale puis je continue un peu à sucer.

A ma demande il se couche, difficilement vu sa forte corpulence, sur le bureau après avoir retiré les quelques papiers qui s'y trouvaient.
Je monte sur le meuble et me positionne sur lui mes jambes de chaque côté de son corps.
A l'aide d'une main je présente sa queue devant l'ouverture de mon intimité et je me baisse pour la faire pénétrer à l'intérieur, son ventre me gêne mais je fais avec.
Je remue en veillant à ce que la verge ne sorte pas de ma chatte pendant les va-et-vient à cause de sa faible longueur et aussi de la gêne due à son très important embonpoint.
Je m'active un moment pendant qu'il tripote mes seins, tire sur les tétons et les tord ce qui est douloureux mais je serre les dents pour ne pas crier.
Il souffle, gémit et les phrases qu'il prononce ne sont pas agréables à entendre:
<<oui continue salope c'est bon>>, <<oh! la pute que c'est bon!>>, <<grosse salope tu sais y faire avec ton cul>>. Et j'en passe.
Son corps reste inerte, seuls ses bras s'activent et il reste les yeux clos, le visage bien empourpré.
J'accélère les aller-retour de ma chatte sur sa queue et après un moment il se crispe et éjacule dans mon vagin.
Je me retire en essayant de tenir fermée ma chatte avec une main pour éviter que le sperme n'en sorte. Il m'indique ou trouver un lavabo et de l'essuie-main.
Je vais me nettoyer puis je reviens me rhabiller.

<<es tu satisfais de l'accompte, j'espère que tu n'as pas trouvé mon corps trop moche>>.
<<c'était bien, tu es douée et pas coincée, je trouve que tu es mignonne. Je croix que je ne vais pas regretter l'argent que tu me fais perdre>>.
<<pour le premier paiement en nature tu veux faire ça ici>>.
<<non chez moi lundi, c'est mon jour de fermeture>>.
<<d'accord, on pourra faire les choses mieux>>.
<<oui surtout que ma femme ne sera pas là, elle travaille dans une société du lundi au vendredi>>.

Le lundi suivant je me rends chez Lucien.
J'ai à peine le temps de sonner à sa porte qu'il m'ouvre. Sans perdre de temps il m'entraîne dans une chambre joliment tapissée et agréablement meublée.
Il est très peu vêtu: un maillot bien déformé par son gros ventre et un pantalon de survêtement qui a du mal à tenir à ce qui devrait être sa taille.
Je me déshabille en prenant des poses pour bien l'exciter ce qui à la vue d'un certain endroit de son corps n'est pas ment nécessaire.
je m'approche de lui et le caresse tout en l'embrassant, nos langues se mêlent et je fais durer le baiser jusqu'à ce qu'il soit à bout de souffle.
Puis toujours en caressant son corps je le déshabille ce qui n'est pas aisé pour le maillot mais est facile pour le pantalon et le slip.
Il met ses mains partout sur mon corps s'attardant un peu sur mes seins et tord sans ménagement les tétons puis fourre un doigt dans ma chatte en l'enfonçant au maximum.
Il s'allonge sur le lit.
A genoux entre ses jambes je caresse son corps puis j'insiste sur son entre-jambes avant de m'en prendre à sa queue assez grosse et courte.
Puis je mets ma tête sous son ventre et la relève repoussant un peu celui-ci avant de lécher le pénis et surtout le gland tout en agaçant ses testicules, je suis attentive à la progession de son plaisir en fonction des sons et des mots qui sortent de sa bouche.
Quand je prends son membre dans ma bouche et que je lui fais une fellation les mots crus et peu agréables se font plus nombreux.
Les aller-retour de ma bouche sur sa verge sont rapides et il ne résiste pas longtemps, la queue s'agite et il arrose ma gorge de son sperme que j'avale.

Comme je continue à sucer il ne débande pratiquement pas, je me mets à genoux le dos bien creusé et la tête dans les draps.
Lucien se positionne derrière moi et essaye sans succès de me pénétrer, avec une main je l'aide et il arrive à enfoncer sa queue dans ma chatte.
Il remue mais souvent pendant les va-et-vient, à cause de la proéminence de son ventre, sa verge sort de mon intimité et je dois l'aider à la remettre en place avec une main.
Du coup je me couche sur le dos et il s'allonge sur moi mais malgré que ce soit moi qui remue le plus, son poids et sa corpulence me gênent et je constate qu'il ne risque pas de jouir dans ces conditions.
Il s'allonge sur le dos et je me mets au dessus de lui tout en lui faisant face, les jambes de chaque côté de son corps, avec une main je fais pénétrer sa queue dans ma chatte puis avec les mouvements de mon corps je fais aller et venir son membre dans mon intimité en veillant à ce qu'il n'en sorte pas.
Je m'active pendant un bon moment tout en faisant abstraction des bruits et obscénités qui sortent de sa bouche. Je serre les dents pour ne pas crier car il martyrise mes seins et surtout les tétons sans ménagement.
Enfin ses râles et les tressauts de sa queue m'indiguent qu'il éjacule.

Je me retire et me mets entre ses jambes.
Je caresse puis masturbe vigoureusement sa verge gluante qui rétrécit rapidement.
En même temps avec ma main libre je caresse son corps, je lèche et embrasse son ventre volumineux un peu partout.
Il me faut m'activer un bon moment avant que son pénis ne reprenne vie, je lui redonne une bonne érection en le suçant ardemment.
Je me positionne au dessus de lui en lui tournant le dos.
Sa queue dans une main je la positionne entre mes fesses puis je me baisse et avec le poids de mon corps je m'empale.
Avec des mouvements verticaux je fais aller et venir le pénis dans mon anus et alors là outre ses gémissements les phrases qu'il me sort sont vraiment grossières.
Imperturbable, empalée sur sa verge je continue à remuer et me sodomiser en accélérant au maximum les va-et-vient.
Je suis contente quand enfin, en sueur, après un long moment alors que je désespérais, son corps s'agite et il se met à raler pendant que sa queue est prise de soubresauts et envoie un peu de sperme dans mon cul.
Je me relève pendant qu'il souffle bruyamment. A mon avis il en a assez.
Après m'être nettoyée dans la salle de bain je me rhabille puis il en fait autant.
Il m'offre un verre puis me tend le bon d'achat du téléviseur.
<<tu l'as mérité, je te livrerais l'appareil après notre prochain rendez-vous ici mercredi, ma fille tiendra le magasin pendant mon absence>>.
Cela ne m'enchante pas de me donner de nouveau à lui mais maintenant que j'ai commencé il me faut aller au bout du marché que j'ai passé.
<<pas de problème je viendrais à la même heure qu'aujourd'hui>>.
Avant que je ne le quitte il veut m'embrasser, je me colle contre son ventre et je mêle ma langue à la sienne dans un long baiser toujours incommodée par l'odeur de sueur qui se dégage de son corps.

Le mercredi sans enthousiasme je passe de nouveau dans le lit de Lucien et dans les mêmes conditions que la fois précédente.
De nouveau en y mettant beaucoup d'énergie je le fais jouir trois fois: d'abord facilement dans ma bouche puis dans mon vagin et pour finir difficilement dans mon anus.
Avant de le quitter et après avoir discuté du jour et de l'heure ou il doit me livrer je lui demande de mettre une affiche sur le carton d'emballage indiquant le prix normal barré plus le prix remise déduite, ceci pour ne pas éveiller les soupçons de mon mari.

A mon initiative, car j'ai triché sur l'heure de livraison, mon mari est parti faire des courses quand Lucien me livre le téléviseur, je lui donne un chèque correspondant au prix réel que je dois payer et comme je lui dis que mon homme ne va pas tarder à rentrer il ne s'attarde pas.
Il a quand même pris le temps de me proposer de venir le voir le lundi suivant.
Mais avec lui j'ai assez donné, les ébats sexuels sont fatiguants et ce qui me rebute le plus ce sont ses paroles vulgaires qu'il me sort dans l'excitation.
Donc il pourra toujours m'attendre très longtemps car l'espoir fait vivre.

Mon mari est satisfait du téléviseur et de ses dimensions.
Il a apprécié l'excellent prix obtenu et l'extension de garantie gratuite et il est curieux de vavoir comment je me suis prise.
N'étant pas à un mensonge près je lui donne ma version:
Il y avait un téléviseur qui convenait mais dont l'arrière était un peu abimé mais ça ne se voyait pas une fois installé et ça n'affectait pas son fonctionnement, j'en avais négocié le prix et signé le bon de commande. Sa fille qui tient le magasin quand il doit s'absenter n'était pas au courant et l'a vendu à un couple, donc il n'a pu faire qu'autrement que honorer la vente au même prix et nous livrer un appareil neuf et intact.

Il m'a félicitée sans savoir jusqu'à ou je suis allée pour obtenir ces avantages.