Chantilly
L'émir s'est placé sur une estrade derrière des micros et a annoncé que L'imam sérénissime ne pouvait pas se déplacer, retenu par d'autres obligations et nous a conviés après les civilités d'usage de nous servir au buffet. Il a serré quelques mains en descendant et s'est rapproché.
Bonjour, vous devez être Dominique et Jeff. C'est ça?
Oui votre altesse. Il avait un ton de voix naturellement doux mais aussi énergique. Ces yeux me détaillaient sans trop avoir l'air d'y toucher. Je suppose que vous avez vos passeports?
Euh non votre altesse.
Mon conseiller vous fera faire cela dès lundi et le soir même vous connaîtrez mon pays. Régalez vous, profitez du buffet. Il est passé à d'autres personnes.
Je ne sais pas ses revenus mais j'ai vu qu'on passait dans une autre dimension. De petits canapés avec ce qui ressemblait à des oeufs de lump gris m'a attiré et la, surprise, c'était du vrai caviar! Je n'en avais jamais goûté et Jeff non plus à voir son air étonné.
Des personnes se sont approchées pour faire la conversation ,habituelle pour eux, de salon. Parlant de tout et de rien. Au fur et a mesure que les plats se vidaient d'autres arrivaient. J'ai fait attention à ne pas trop manger, plus attentif aux goûts nouveaux. L'émir est sorti , nous entraînant de fait à sa suite dans la tribune.
Vous allez voir courir un de mes meilleurs chevaux, un vrai arabe, nerveux qui fera un bon reproducteur, il disait ça en me matant me faisant frissonner d'aise. Regardez il est dans le rond de présentation. En effet un étalon fin et piaffant d'impatience tenu par une longe tournait, une petite selle ne cachait rien de cette magnifique bête. Je n'avais jamais remarqué les boules d'un étalon mais bon, c'était beau aussi.
Le jockey est monté sur son dos aidé par le mec qui tenait la longe et l'a lâché sur la piste. La, il a donné la pleine mesure de sa fougue et il a du le calmer. Je fixais tellement le cheval que je ne me suis pas aperçu que l'émir était presque collé contre moi, regardant par dessus mon épaule.
Cette fois le message était clair. J'allais y passer et je commençais à imaginer sa queue. Devinant qu'il devait être poilu et vu sa taille avoir un sexe pas énorme, j'allais prendre mon pied. Son cheval a fini deuxième à sa surprise. Il est resté jusqu'à la fin des courses mais je l'ai senti contrarié. Il a attendu les courses suivantes mais sans trop d'intérêt avant de se retirer. Le toubib était passé et nous a emmené dans une autre voiture derrière lui.
On est pas rentré à Paris mais dans l'enceinte d'un hôtel boisé où j'ai vu quelques gardes en noir. On est sorti sans le voir, le toubib nous a amené dans des chambres , chacun la notre, avec seule consigne d'attendre en sous vêtements. De ma chambre, un peu en hauteur par rapport au parc je me suis assis dans un fauteil, nu où presque. Le slip ne cachant pas mes fesses. J'observais le manège des oiseaux. L'atmosphère feutrée de l'hôtel m'a fait glisser dans mes songes. Un courant d'air m'a fait ouvrir l'oeil. L'émir venait d'entrer et cette fois en djellaba immaculée. Je me suis levé immédiatement. Il a tourné autour de moi, passé la main sur mes fesses me faisant frissonner et me cambrer.
Il est venu devant moi, m'a appuyé sur la tête. La, je comprenais et me suis mis à genoux il a pressé ma tête contre son ventre, se frottant contre ma bouche.
Soulève ma djellaba Dominique, je crois que tu vas apprécier. J'ai un peu reculé pour le faire et en effet il avait une longue bite et des poils mais taillés au dessus. Son membre avait des soubresauts mal maitrisés attendant ce que j'allais offrir. A peine ma langue l'a touché que son pénis s'est dressé, tirant les boules dessous. Je vais le décrire il valait le coup. Le gland circoncis, en pointe , suivi d'une bonne vingtaine de centimètres d'une même grosseur de sous le gland jusqu'au couilles. Un bel engin qu'il a entrepris de me fourrer dans la bouche.
La du coup j'ai gueulé Il allait trop loin. Je me laissais aller mais ouich, et en plus il insistait, fier de sa queue. il labourait mon trou sans pitiè. Passé le moment ou il m'a fallu m'habi à son sexe, j'ai pris mon pied a le sentir aller et venir dans mes reins. Je me suis laché et j'ai grogné à chaque coup qui m'envoyait en avant, je reculais sur sa queue. J'ai un peu perdu la notion du temps et j'étais un peu dans les vaps quand il m'a flanqué une paire de claques sur le cul.
Alors t'as pris ton panard lopette?
Oui, à fond votre altesse.
Laisse tomber quand on est tout les deux. Appelle moi Rachid comme quand j'ai fait mes études chez vous et que je sautais des minous dans ma piaule. Mon père est parti un peu tôt alors je me ratt avec toi. Mais attention! Qu'en privé!
Oui votre alt.. pardon, Rachid.
Bien tu vois comme c'est simple. J'ai prévenu de préparer pour toi pour les moments d'abandons que j'aime , une tenue plus apte à tes goûts. Mais la reste comme t'es. Il jouait avec mes pointes de tétons, les faisant durcir. Je haletais en matant ses doigts et ses yeux qui brillaient. Laisse toi aller. J'ai eu des spasmes de plaisir que je contrôlais et en fermant les yeux j'ai laché mon jus.
Oh pardon Rachid. Il a souri et m'a tendu ses poigts. Je les ai sucé un à un sous son regard vicieux. Il a apprécié.
Bon j'ai aimé ta bouche et tes reins t'es une vraie petite nana avec une bite. La, du coup, c'est moi qui lui ai souri. Ce soir j'ai une invitation a honorer et tu seras servi ici. Habille toi, tu seras nu pour moi. Cette nuit j'ai aussi du travail mais je rentrerais te sauter , habitue toi à être baisé quand je veux. Pas quand tu veux!
Demain j'ai aussi des obligations diplomatiques et tu ira faire du shopping avec mon toubib.
Il est le seul à connaître mes préférences et il aura une carte platine pour vos achats. Laisse toi aller et surprend moi. Il est sorti . Je suis allé prendre un bain. L'eau était douce et je me serais endormi. Je crois que j'étais bien tombé pour mon premier mec que j'escortais. Je ne pensais qu'à sa queue, elle était belle et de l'imaginer encore dans mes reins m'a fait bander mais bon , j'ai préféré ne pas jouer avec ma mini bite. Les mecs aimaient me voir et me faire jouir. Moi j'aimais aussi alros j'allais pas leur gâcher le plaisir.
Je me suis enveloppé dans un peignoir blanc immaculé et j'ai attendu en regardant le grand écran. Une nana est entré avec une desserte à roulettes, osant à peine me regarder. Une bonne odeur a envahie la chambre quand elle a un peu soulevé le couvercle du plat. Elle est repartie me disant de sonner quand je voudrais qu'elle débarasse. J'ai mangé comme un roi et j'ai sonné. Elle est venue tout retirer et je me suis mis à poil sur le lit pour regarder la télé. A poil c'est façon de dire, à part mes tifs j'en avais plus.
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