La Femme En Petite Tenue...
En cette nuit chaude dété, je roulais tranquillement pour rentrer chez moi, quand je fus interpelé par des lumières venant du lotissement sur ma gauche, celui-même où demeurait Lisa, une collègue de boulot. À cette seule pensée, une vive envie daller lui rendre une petite visite me submergea. Un peu plus loin sur la route, jai bifurqué pour me rendre dans la direction souhaitée. Parmi les trente pavillons implantés, un seul mintéressé celui auquel je venais de stopper devant la grille. Dun rapide coup dil je maperçus quaucune lumières filtrées de travers les volets. Avais-je fait ce petit détour pour rien ? Me demandais-je. Un peu débité, je mis tout de même pied à terre et je me suis avancé jusquà la sonnette grâce aux lumières de mes phares. Jai enfoncé de mon index le bouton. Aucune âme qui vive ne répondit à mon appel. Le doute était levé, la gentille Lisa nétait pas chez elle. Mais alors que jallais remonter dans ma voiture, mon regard fut comme accroché par le pavillon voisin. Dont une faible luminosité produite sans doute par un écran de télévision éclairée une femme assise. Mais fait irréelle, elle était en petite tenue.
Poussé par une curiosité inexplicable, je mavançais prudemment jusquà louverture. Japerçus un salon au décor rustique. Les meubles étaient nombreux. Canapé, table basse et un fauteuil, là-même où était installée la femme vue précédemment.
La quarantaine, rousse. Loin dêtre une beauté fatale, elle avait tout de même du charme dans à un soutien-gorge qui avait du mal à contenir des seins dune incroyable opulente.
Un désir brutal me traversa lesprit. Je ne pus résister de sortir ma verge de son nid douillé et je de lenrouler de mes doigts. Meffleurant les couilles avec lautre main. Je ne sais pas ce quelle regardait mais cela avait lair de lémoustiller. Au point décarter une partie de sa culotte pour effleurer son clitoris les yeux rivés sur lécran. Avec sa deuxième main, elle se malaxait les seins assez durement sous sa coque en dentelle, pinçant parfois le bout de ses tétons.
- Elle te plaît ? Me fit une voix grave.
Que dire dans ces moments, je vous laisse deviner ?
- Je
je mexcuse
- Ce nest pas ce que je tai demandai. Je tai dit si elle te plait.
- Oui
oui, bien sûr
répondis-je en replaçant maladroitement ma verge dans le jean.
- Tu la trouves comment ?
- Appétissante !
Le seul mot qui me venait en tête à cet instant. Priant le bon Dieu de navoir rien pris dans la gueule jusquà maintenant.
- Tu déconnes ?
- Non, je suis parfaitement sérieux. Elle me fait bien bander.
- Ah oui ! Tu ne déconnes pas ? Minterrogea-t-il en fixant la femme sur le fauteuil en train de se toucher.
- Comme 1 et 1 font 2. Répliquais-je, réconforté de men tiré en si bon compte.
- Si nous allions lui rendre une petite visite, à cette dame. Lança-t-il.
À ces mots je perdis toute crédulité.
- Mais
mais monsieur
vous
vous ny pensé pas. Jen bafouillé. Enfin je ne vous laisserais pas
pas faire. Je suis voyeur, pas
pas
pas violeur.
- Beau gosse comme tu sembles lêtre, elle ne se refusera pas, crois-moi
- Et quest-ce que vous en savez-vous ? De ce quelle pense, la dame
- Tout simplement par ce nous parlons là, et bien de ma femme.
- Votre femme ? Mais alors
Oh ! Pardon
fis-je en prenant la poudre descampette.
- Oh là ! Oh là ! Pas si vite mon beau. Où vas-tu là ?
- Et bien je me casse
tiens !
- Non ! Reste. Fit-il avec autorité, en me saisissant par le bras. Tout au contraire nous allons ensemble rendre une visite à Micheline, ma femme
- Mais monsieur ! Voyant
Pourquoi ?
- Par ce que ma vie était jusquà ce soir devenue d'un ennui mortel.
- Non, monsieur
sans façon...
- Je bande mon gars et ça, grâce à toi. Aller viens entrant
- Non
non, protestais-je, il faut que je rentre chez moi, ma famille mattends.
- Oui, à cette heure là, prends-moi pour un con. Aller discute plus et avance.
Dailleurs je ne pus ne rien faire dautre que le suivre puisquil avait une poigne denfer et mattira avec lui à lintérieur du salon. Sa femme fut surprise de notre intrusion. Elle se leva dun bloc, avec un air dubitatif.
- Oh, tu es là ? Tu nes pas au travail
pas ! Sexclama-t-elle, le visage cramoisie, remettant tant que mal son peignoir sur ses épaules. Et pourquoi emmènes-tu quelquun avec toi, à cette heure.
- Un fan de toi, ma chérie.
- Un fan ! Un fan de quoi ?
- Il te regardait à travers la porte-fenêtre pendant que tu tadonnais à ton plaisir.
Elle devint toute rouge, et serra la ceinture de son peignoir. Avec un sourire en coin, le mari mattira jusquau divan.
- Viens avec moi, toi
La femme, debout, les seins se soulevaient à un rythme saccadé sous son peignoir, nous fixant tour à tour.
- Alors ? Fit le mari.
- Alors quoi ? Fit-elle, se forçant à sourire.
- Mais bordel ! Retire ton peignoir, merde !
- Mais tes fou
pourquoi je ferais ça ?
- Ne discute pas, fais ce que je te dis
Elle jeta un rapide regard dans ma direction. Après une dernière hésitation elle fit tomber son peignoir. La culotte de dentelle mettait en valeur ses cuisses un peu grasses, à la peau très blanches. Les bras le long du corps, elle respirait plus vite. Sous les bonnets, les pointes de ses seins paraissaient très grosses.
- Tu attends quoi pour montrer tes seins ? Questionna le mari.
Tremblante et rouge comme une pivoine, la femme dégrafa son soutien-gorge puis dressa ses bras à la verticale, en cambrant le buste. Ses mamelons ressemblaient à des tétines de biberon au milieu daréoles marron très foncées et larges comme des petites soucoupes.
Le mari glissa ses bras sous ses aisselles et lui palpa les seins. Elle jeta un regard affolé dans ma direction. Ses mamelons commencèrent à se dresser. Il les pinça doucement, les faisant durcir. Elle protesta dune voix faible, comme si je ne devais pas entendre.
- Je ten prie !
Il me prit à témoin.
- Figure-toi quelle fait un complexe à cause de ses gros tétons. Comme tu vois, ils sont vraiment très gros, et très durs
Cramoisie, elle ferma les yeux. Des gouttes de sueur coulaient sur sa figure. Sa poitrine se soulevait à un rythme précipité. Cruellement, il lui tordit les mamelons sur eux-mêmes. Elle poussa un faible cri.
- Fous-toi à poils.
Avant de poursuivre son déshabillage, elle marqua une nouvelle hésitation.
- Je ten prie, pas devant...
- Allons, allons pas de façon.
Je sentis ma queue durcir, alors quelle fit glisser sa culotte le long de ses jambes, dévoilant un ventre bombé couvert de boucles rousses et fournies. Les bords humides et minces du sexe bâillaient. Après lavoir enjambée, elle se redressa et mit les mains derrière le dos, les yeux baissés comme une écolière prise en faute. Ses mamelons avaient doublé de volume.
- Tu vois quand tu veux. Mets-toi sur la table.
Elle se le fit pas dire une seconde fois, elle prit place sur la table, jambes repliées et genoux écarté. Les lèvres de son sexe souvrirent un peu plus, montrant lintérieur rouge vif au milieu des poils roux. Il la tira par les hanches, lui amena les fesses au bord de la table. Dune main preste, il ouvrit sa braguette, sortit sa queue courte. De son gland décalotté, il frotta les nymphes puis enfonça le bout de sa queue dans le vagin.
- Oui
Oui baise-moi
Dun mouvement continu, il enfonça sa queue jusquau fond. Je sentais ma verge se raidir par saccades. Ny tenant plus je sortis ma verge de ma braguette. Je la serrais à pleine main en mefforçant de maîtriser les soubresauts qui la raidissaient. Tout de suite il se mit à aller et venir vivement. Les plaintes de la femme devinrent plus sourdes. Elle se crispa, la tête en arrière, la bouche ouverte. Le mari continua à la baiser. Chaque coup de reins faisait naître un bruit mouillé dans le bas-ventre de sa femme. En jouissant, il la prit par les hanches et ne bougea plus, éjaculant au fond delle, alors que je cramponnais ma verge, il me fit signe de la tête, dapprocher.
- Viens par ici mon gars. Soulage tes couilles ! Vas-y
cest le moment ou jamais !
La femme reprenait difficilement son souffle. Je lobligeais à descendre de la table. Je lui fis prendre la position désirée. Pencher en posant ses mains sur la table. Elle se laissa guider, en laissant se balancer ses seins devant elle. Je glissais une main entre ses cuisses, alors quelle se cambra en geignant. Lanus mapparut chauve. Javais inséré deux doigts dans son intimité et la farfouillais. Le souffle haché, elle se laissa aller. Quand jai repris mon bien, ma main était engluée de mouille.
Je profitais de se lubrifiant naturel pour dilater lanus. Il était moite, élastique, sensible, parfumé. Après lui avoir prodigué de précieuse caresse, il devint aussi large quune bouche de bébé. Un peu de chair rose apparut au-delà du bourrelet. Elle devait sans doute senfiler de belle grosse chose dedans.
Sans me presser, jenfonçais ma verge dans le vagin. Celle-ci laissa échapper un geignement aigu. Elle donna de violents coups de reins en arrière. Alors que jétais sur le point de conclure, je me retirai. Jai pointé mon gland sur son anus. En pesant sur lui, il ouvrait un passage à ma verge. Je me glissais lentement dans son fondement, de plus en plus profondément sans difficulté. Quand toute la longueur de ma verge se trouva à labri dans son cul, je marquais un temps darrêt. Mais ce nétait pas du goût de Micheline, qui se mit à cria :
- Bouge ! Mais bouge ! Quest-ce que tu attends pour la faire voyager. Oubliant dans sa folie, la présence de son époux.
Je commençais par de sages mouvements de va-et-vient. Elle accompagna en se dandinant de façon obscène, m'offrant son cul. Et je comptais bien en profiter jusqu'à la jouissance. La sentir soumise à mon plaisir commençait à me faire tourner la tête, et j'accélérais la cadence. Son cul était maintenant à moi, et à moi seul.
La table glissa sur le parquet sous la puissance de mes assauts. Un son strident sortait de sa bouche. Je ne métais jamais autant senti vivant de ma vie. Et c'était cette femme, que je voyais pour la première fois de ma vie, qui me faisait cet effet-là. Le visage couvert de sueur, je me déchaînais pour le grand final. Jenfuis ma main fureteuse entre ses cuisses. À laide de deux doigts je fis saillir son clitoris gorgé de sang. Elle sécarquillait pour mieux loffrir. Petit bouton sensible. Que je me mis à pincer avec force. Les mains bien ancrées sur le bord du meuble, elle laissa échapper un cri perçant. Rattr de spasmes, qui eurent pour effet de crisper et de détendre ses fesses. Dans le mouvement son anus mordillait ma queue. Il men fallait pas plus pour me faire partir. Elle et moi, en chur, nous beuglions notre orgasme. Je lâchais mon plaisir, sous les yeux intéressés de son mari, assis sur le divan, alors que sa femme râlait comme une bête à lagonie.
Quel plaisir. Si intense, si fou ! Je manquais de mourir de plaisir.
Quand plus tard, javais repris la route, jéprouvais une pointe damertume. Je men voulais. Comme à chaque fois. Et pourtant, quelque part à lintérieur de moi, je me sentais apaisé. Lodeur tenace de cul collait à moi. Javais limpression que je traînais le parfum avec moi. Jeus envie dune bonne douche pour me sentir de nouveau propre. À cette pensée, jai appuyé sur laccélérateur
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