La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1082)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

Le Majordome reprit la laisse, en donna un coup sec ce qui me fit revenir sur terre, descendre de la table, tentant de retrouver mon équilibre, tant mes jambes tremblaient encore … Quelques jours ont passé et donc après l’épisode de la visite de Monsieur le Comte que j’avais déjà oublié, le Maître appela Walter par l’interphone lui ordonnant de venir tout de suite. Le Majordome avait une admiration sans borne pour Monsieur le Marquis et lui était complètement dévoué. Dans le passé, le Noble l’avait sauvé d’une situation difficile et en avait fait son Majordome et bras droit, ce qui explique la fidélité inébranlable de Walter et la quasi dévotion qu’il portait au Châtelain devenu son employeur

- Walter, viens me voir immédiatement dans mon bureau, et amène-moi Ma petite chienne préférée.
- Oui Monsieur le Marquis, tout de suite, répondit Walter, abandonnant ce qu’il faisait.

Le Majordome vient me chercher tandis que je finissais de m’habiller. Je portais une sorte de robe de soie, transparente au possible, avec des escarpins de style Salomé, sur ma tête un voile blanc du même tissu, brodé d’un liseré rouge, au cou un collier arborant les Initiales du Maître gravées en lettres d’or dans le métal et la laisse de cuir tressé... J’avais fière allure, une véritable princesse de harem...

- Viens, suis-moi, m’ordonna Walter, Monsieur le Marquis nous appelle, tous les deux !
- Oui Monsieur, répondis-je !

Arrivés devant la porte du bureau du Maître, le Majordome s’arrêta, me regarda une dernière fois, et me dit :

- Tu es belle, oui très belle et parfaite, petite chienne (puis il frappa)
- Entrez !

Le ton du Maître me donna à penser immédiatement qu’il était en colère ou tout au moins, énervé par quelque chose. Walter ouvrit la porte, entra en me faisant signe d’attendre.



- Ah oui, mon bon Walter, entre donc... m’as-tu amené Ma petite chienne ?
- Oui bien sûr Monsieur le Marquis, je pense que vous allez être content.

A ces mots, le Noble releva brusquement la tête comme surpris de ce que venait de lui dire son Majordome. Walter ouvrit la porte et me dit :

- Entre, petite chienne !

Le Châtelain était assis à son bureau, comme attendant une surprise, et effectivement, mon entrée ne passa pas inaperçue... Mon pas, chaloupé, pas instinctif de mannequin, parée comme je l’étais, entourée de voiles, la laisse pendante entes mes seins visibles sous les voiles, ma façon d’avancer la jambe, mon bassin ondulant mais toujours de façon non provocante ni accentuée, mais naturelle, tout ceci fit enlever ses lunettes au Noble qui resta bouche bée, devant ce qui lui semblait une apparition...

- Co…comment...est-elle habillée ? articula le Maître en se frottant les yeux d’étonnement ou d’émerveillement.
- Monsieur le Marquis n’est pas content ? dit sobrement et doucement Walter, soudain devenu craintif de la réaction possible du Châtelain
- Ah ! Mais pas du tout, Walter, pas du tout, sauf que je ne m’attendais pas à cette présentation si... étonnante, si... merveilleuse, si... inattendue... si... intemporelle que...

Se levant brusquement, Monsieur le Marquis fit le tour du bureau, s’approcha de moi qui m’inclinais devant Lui en une révérence digne de celle faite à un Roi... Maître me tendis la main que je pris et baisa avec dévotion. J’étais en révérence encore quand il écarta très doucement le voile masquant en partie mon visage, effleura mes joues, comme pour se prouver que ce qu’il regardait était bien réel...

- Mon dieu ! dit-il, Ma petite chienne, ma très chère petite chienne, que tu es belle ainsi… tu es... à ravir et digne de paraître à la Cour du Roi. Mais qui a eu l’idée de cette parure et en vertu de quoi ?

A cet instant, Walter intervint et dit :

- Monsieur le Marquis, me permettez-vous une faveur ?
- Une faveur, Walter ? reprit le Maître étonné, et pourquoi donc une faveur mon bon Walter ?
- S’il vous plait !
- Accordé !

Celui-ci ouvrit la porte en grand, les deux battants largement ouverts et le Maître fit face à :

- Bon anniversaire, Maître, reprit en chœur par des dizaines de mâles et femelles accompagnés et encadrés par les dresseurs équipés de cravache.
- Bon anniversaire, Maître chantaient les esclaves et le personnel du Château.

Pendant une seconde, le Maître accusa le coup ne s’attendant nullement à cela, puis il se reprit rapidement, visiblement ému de l’attention que lui portait tout le personnel du Domaine, tant administratif, que celui de la maisonnée et les esclaves et soumises (s). Il remercia chaleureusement l’ensemble des participants, exprimant une considération sincère à chacune et chacun par des poignées de mains envers le personnel et de tendres caresses envers les dominés. Il expliqua qu’il avait fort à faire pour l’instant et donc qu’il marquerait son anniversaire le soir même au Château et que tous étaient conviés à marquer cet évènement. Mais que pour l’heure, il fallait le laisser à ses occupations. Alors tous sortirent et le Majordome referma les portes. Le Maître était toujours en admiration devant ma personne, tournant autour de moi, pendant un moment qui parut long au point que mes yeux demandaient à Walter quoi faire, mais celui-ci me répondait qu’il ne savait pas en me regardant d’un regard interrogatif. Brusquement, le Noble se reprit, comme sortant d’un sommeil, à moins que ce ne fût d’un étourdissement causé par le choc de mon entrée. Il toussota, se dirigea vers son bureau, et debout, dit d’un ton décidé :

- Il est 10h30, je vais recevoir mon ami le Comte qui doit m’entretenir de la visite que je lui ai octroyée auprès de ma petite chienne. Veuillez tous les deux à aller là, à côté dans l’antichambre et rester à ma disposition pendant la visite de Monsieur le Comte de Beusgley. Walter, tu m’as bien relaté dans les détails l’incident ?
- Absolument Monsieur le Marquis, répondit le Majordome.

Maître me regardait comme me demandant de confirmer les dires de Walter, mais je restais muette. Muette mais mes yeux parlaient pour moi, comprenant soudainement le pourquoi de ma venue inopinée dans le bureau du Maître. J’avais la tête haute, et la fierté de ma race et de mon sang, seuls mes yeux disaient au Châtelain :

- Oui, Maître, Walter dit vrai.


Monsieur le Marquis comprit mon regard parlant, s’approcha de moi, caressa mon visage, et me fit comprendre d’ouvrir la bouche, ce que je fis, et y pénétra de sa langue en un baiser si torride que mon échine en fût parcourue de frissons d’aise. Le Majordome m’entraina dans la pièce voisine et j’attendis l’arrivée de Monsieur le Comte. A onze heures sonnantes, j’entendis Walter annoncer l’arrivée du Comte de Beusgley qui fut introduit dans le bureau du Maître.

- Bonjour cher ami, dit le Noble
- Bonjour mon très cher ami, lui répondit le Comte. (reconnaissant sa voix)

Tandis que j’avais l’oreille tendue vers la porte, (petite curieuse que je suis) j’entendis derrière moi un :

- Hum !

Me retournant vivement, je vis le Majordome qui était là, entré par je ne sais quelle porte dérobée, mais qui me faisait les gros yeux.

- Ce n’est pas bien d’écouter aux portes petite chienne, mais aujourd’hui je ne dirai rien. Je pense que tu as compris pourquoi Monsieur le Comte est venu ce jour. Il est là pour rendre compte à Monsieur le Marquis de la visite qu’il a effectuée auprès de toi, l’autre jour.

Comme je faisais comprendre à Walter que je comprenais, il ajouta :

- Sauf que j’ai relaté au Maître la tentative de Monsieur le Comte d’r de ta personne, et je peux t’assurer que je n’ai jamais vu blêmir Monsieur le Marquis comme en ce moment où je lui ai annoncé la tentative du Comte à ton égard. Je ne sais pas comment l’entretien se poursuivra mais je pense que ça va barder, crois-moi !

Je regardais, incrédule, Walter me parlait comme si j’étais son égale, comme si ce qu’il me disait était normal, et tandis que je lui envoyais mon sourire le plus doux, ce fut la première fois que j’entrevis une faille par son sourire dans la cuirasse du Majordome, devenu l’espace d’une seconde, un être humain respectueux et bon envers une esclave ! Se reprenant vivement, il me dit :

- Eloigne-toi de la porte, petite chienne, Maître m’apprécierait pas du tout de te voir l’espionner.


Il était redevenu le Majordome strict et Dominant et je répondis :

- Oui, bien sûr, veuillez me pardonner, Monsieur !
- Au lieu de jouer à écouter aux portes, viens plutôt me soulager …

Tout en disant cela il me fit comprendre par son geste clair de la main, de m’agenouiller et de le sucer alors qu’il ouvrit sa braguette pour en sortir une verge déjà mi-dure. Alors je pris en main cette verge de plus en plus tendue au gland violacé et gonflé pour la masturber lentement. Mon dieu, si grosse, si longue, si épaisse ! Après un soupir de résignation, alors que mon bas-ventre commençait à être en ébullition, j’ouvris grand la bouche pour prendre le gland si volumineux et je dus forcer un peu sur ma mâchoire pour y arriver. Je commençais à le sucer lentement, trop lentement à son goût car il me lança ces mots sur un ton d’exigence :

- En suçant ainsi, je vais mettre des heures à jouir, salope, active-toi sinon gare à tes fesses, la chienne …

(A suivre …)

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